Nous chevauchions déjà depuis quelques heures, j’étais à coté de mes cavaliers. J’avais chaud sous mon épaisse armure de cuir mais que pouvais-je dire rien, je devais la porter. Dans le cas contraire qu’en aurait pensé mes hommes à qui j’obligeais qu’ils portent leur amures mais qui avaient en plus un bouclier dans le dos ou au coude en permanence et une lance dans la main.
Nous avions quitté Scitopole pour rentrer en Edhesse. Terres de mes ancêtres, terres de l’ancienne Armée de l’Apocalypse qui avait fait trembler de puissant seigneur mais qui maintenant n’était plus. J’avais bien pensé à une époque à la remettre sur pied mais cela n’aurait pas été facile et il fallait que je me perfectionne puis j’étais rentré dans l’Ombre, j’avais grimpé les échelons un à un jusqu’à devenir le Spadassin et un Magistrat Impériale. Ceci faisait que de un je n’avais plus le temps et que deuxièmement je ne pouvais me permettre de reprendre une telle armada qui n’aurait pas été forcement de fait indépendante. Je me laissais aller à mes songes, je n’avais rien d’autres à penser je suivais tranquillement le convoi, prenant part de temps en temps à une discussion en remontant ou descendant la longue colonne afin d’aller voir des homologues, des membres de l’Ombre ou bien mon armée, c’était un des avantages d’être chef de Corporation, j’avais la possibilité de me déplacer dans le convoi. Laisser cette liberté à chacun aurait semé la pagaille. J’étais donc rêveur, chose qui était rare car j’avais en général beaucoup de travail pour mon royaume, pour l’Ombre et pour Kalamaï.
Mais une chose me sorti rapidement de mon songe et n’importe qui aurait été surpris. Mon cheval se cabra sur ses deux pattes arrière, chose qu’il ne faisait que très rarement et jamais sans raison. Heureusement que j’avais de bon réflexe et que je saisis aussitôt fermement les rênes. Il se remit sur ses quatre pattes et c’est alors que je vis la raison de du cabrage.
Un pauvre bougre s’était jeté au devant de mon cheval. C’était suicidaire et visiblement il ne s’était raté que de peu. Je descendis aussitôt de mon cheval pour me rendre auprès de cette personne. Ce que je vis était invraisemblable cette personne avait de profondes blessures qui n’avait pu être provoqué par ma monture. Mais qu’est ce qui avait bien pu provoquer de telles blessures qui ressemblait plus à des coupures et à des brûlures. Je n’avais de réponse.
Je me penchai sur la personne et m’agenouilla afin de lui parler, elle était faible. Je la pris alors par les épaule et appuya son dos sur mon genoux afin qu’elle soit en position semi assise afin de pouvoir respirer plus rapidement. Car visiblement elle avait de trop profonde blessure pour survivre encore bien longtemps, je vis mes hommes mettre pied à terre, j’espérais qu’un guérisseur arriverait rapidement afin de lui donner quelques drogues pour soulager la douleur qu’il devait ressentir.
C’est alors que j’entendis un son sortir de sa voix. C’était un murmure à peine audible. Je tendis mon oreille vers sa bouche.
Messire
Je regarda un peu plus le blessé et malgré le visage gonflé et ensanglanté je le reconnu. C’était un de mes hommes, un des espions que j’avais envoyé s’assurer du chemin. Je fus surpris car je ne m’attendais pas à ça, en tout cas pas ici sur les terres de l’Empire.
Sir, désolé, nous avons été surpris, mort tous mort.
Qui, qui est mort ? qui t’a fait ça ?
Parle, Parle je t’en pris
Mais trop tard il venait de rendre son dernier râle dans mes bras, il était mort mais il avait pu nous délivrer une partie de son message et nous mettre en garde.
Je lui fermai alors les yeux.
Tu es mort en accomplissant ton devoir, je suis fier de toi tu nous as fait honneur.
Je le reposa à terre puis me releva. Je m’adressa alors à mes hommes qui avaient formé un cercle cachant ainsi le spectacle aux autres. Ils avaient compris.
Enterrez le avec tout les honneurs qui lui sont dû. Et essayez de trouver un prêtre, moi il faut que je m’entretienne avec l’Empereur entre autre car il ne doit pas être mort pour rien.
Je remontai alors sur mon cheval bien décider à trouver l’Empereur et si je le pouvais mes homologues des autres corpus. Je remonta la colonne qui continuait d’avancer sans se soucier de rien. Je vis alors le Commandant Ardent. Je m’approcha rapidement et lui demanda.
Pourriez vous m’accompagner je dois parler de toute urgence à l’Empereur.
Je n’attendis pas sa réponse et relancer mon cheval au galop Une foule de question se pressais dans ma tête : qui ou quoi a pu faire ça ? c’était pourtant des hommes expérimenté, comment ont-ils puis êtres surpris ? Étaient-ils tous morts ? Avions-nous été trahis ?
Je trouva rapidement l’Empereur, les gardes me laissèrent passer sans aucun problème ça tombait bien je n’avais pas le temps. Pour une fois je ne regrettais pas ce traitement de faveur ‘être Spadassin et Magistrat des Institutions Impériales et je n’avais de toute façon pas le temps d’attendre.
Votre Altesse il faut absolument que je vous parle.
Puis m’approchant de lui alors qu’il continuait à avancer je lui dit à voix basse afin d’éviter de provoquer une panique qui aurait été ravageuse.
Nous avons trouvé un de mes espions, il n’a rien pu dire sauf qu’ils avaient été surpris et il est mort.
Nous avions quitté Scitopole pour rentrer en Edhesse. Terres de mes ancêtres, terres de l’ancienne Armée de l’Apocalypse qui avait fait trembler de puissant seigneur mais qui maintenant n’était plus. J’avais bien pensé à une époque à la remettre sur pied mais cela n’aurait pas été facile et il fallait que je me perfectionne puis j’étais rentré dans l’Ombre, j’avais grimpé les échelons un à un jusqu’à devenir le Spadassin et un Magistrat Impériale. Ceci faisait que de un je n’avais plus le temps et que deuxièmement je ne pouvais me permettre de reprendre une telle armada qui n’aurait pas été forcement de fait indépendante. Je me laissais aller à mes songes, je n’avais rien d’autres à penser je suivais tranquillement le convoi, prenant part de temps en temps à une discussion en remontant ou descendant la longue colonne afin d’aller voir des homologues, des membres de l’Ombre ou bien mon armée, c’était un des avantages d’être chef de Corporation, j’avais la possibilité de me déplacer dans le convoi. Laisser cette liberté à chacun aurait semé la pagaille. J’étais donc rêveur, chose qui était rare car j’avais en général beaucoup de travail pour mon royaume, pour l’Ombre et pour Kalamaï.
Mais une chose me sorti rapidement de mon songe et n’importe qui aurait été surpris. Mon cheval se cabra sur ses deux pattes arrière, chose qu’il ne faisait que très rarement et jamais sans raison. Heureusement que j’avais de bon réflexe et que je saisis aussitôt fermement les rênes. Il se remit sur ses quatre pattes et c’est alors que je vis la raison de du cabrage.
Un pauvre bougre s’était jeté au devant de mon cheval. C’était suicidaire et visiblement il ne s’était raté que de peu. Je descendis aussitôt de mon cheval pour me rendre auprès de cette personne. Ce que je vis était invraisemblable cette personne avait de profondes blessures qui n’avait pu être provoqué par ma monture. Mais qu’est ce qui avait bien pu provoquer de telles blessures qui ressemblait plus à des coupures et à des brûlures. Je n’avais de réponse.
Je me penchai sur la personne et m’agenouilla afin de lui parler, elle était faible. Je la pris alors par les épaule et appuya son dos sur mon genoux afin qu’elle soit en position semi assise afin de pouvoir respirer plus rapidement. Car visiblement elle avait de trop profonde blessure pour survivre encore bien longtemps, je vis mes hommes mettre pied à terre, j’espérais qu’un guérisseur arriverait rapidement afin de lui donner quelques drogues pour soulager la douleur qu’il devait ressentir.
C’est alors que j’entendis un son sortir de sa voix. C’était un murmure à peine audible. Je tendis mon oreille vers sa bouche.
Messire
Je regarda un peu plus le blessé et malgré le visage gonflé et ensanglanté je le reconnu. C’était un de mes hommes, un des espions que j’avais envoyé s’assurer du chemin. Je fus surpris car je ne m’attendais pas à ça, en tout cas pas ici sur les terres de l’Empire.
Sir, désolé, nous avons été surpris, mort tous mort.
Qui, qui est mort ? qui t’a fait ça ?
Parle, Parle je t’en pris
Mais trop tard il venait de rendre son dernier râle dans mes bras, il était mort mais il avait pu nous délivrer une partie de son message et nous mettre en garde.
Je lui fermai alors les yeux.
Tu es mort en accomplissant ton devoir, je suis fier de toi tu nous as fait honneur.
Je le reposa à terre puis me releva. Je m’adressa alors à mes hommes qui avaient formé un cercle cachant ainsi le spectacle aux autres. Ils avaient compris.
Enterrez le avec tout les honneurs qui lui sont dû. Et essayez de trouver un prêtre, moi il faut que je m’entretienne avec l’Empereur entre autre car il ne doit pas être mort pour rien.
Je remontai alors sur mon cheval bien décider à trouver l’Empereur et si je le pouvais mes homologues des autres corpus. Je remonta la colonne qui continuait d’avancer sans se soucier de rien. Je vis alors le Commandant Ardent. Je m’approcha rapidement et lui demanda.
Pourriez vous m’accompagner je dois parler de toute urgence à l’Empereur.
Je n’attendis pas sa réponse et relancer mon cheval au galop Une foule de question se pressais dans ma tête : qui ou quoi a pu faire ça ? c’était pourtant des hommes expérimenté, comment ont-ils puis êtres surpris ? Étaient-ils tous morts ? Avions-nous été trahis ?
Je trouva rapidement l’Empereur, les gardes me laissèrent passer sans aucun problème ça tombait bien je n’avais pas le temps. Pour une fois je ne regrettais pas ce traitement de faveur ‘être Spadassin et Magistrat des Institutions Impériales et je n’avais de toute façon pas le temps d’attendre.
Votre Altesse il faut absolument que je vous parle.
Puis m’approchant de lui alors qu’il continuait à avancer je lui dit à voix basse afin d’éviter de provoquer une panique qui aurait été ravageuse.
Nous avons trouvé un de mes espions, il n’a rien pu dire sauf qu’ils avaient été surpris et il est mort.