Dans les rues d'Halicarnasse

Varatorn etait désarmé et encerclé il ne pouvait rien faire appart ce rendre.
Varatorn ce rendit a l'inquisition sans combattre car a cause des dirigeant de l'expédition celuit-ci n'avait plus d'arme sur lui et ne peut que ce rendre et accepter sont sort qui celont lui sera une mort térrible et douloureuse, ou pire un exil loin de l'Empire.
Varatorn défiat le regard de l'inquisiteur et ce rendit.

J'étais en train de nourir mon griffon avec affection.
Lui donnant de le viande de lapin.
Une de ses nourritures préférées.
Lorsque que des paroles firent éruptions.

Seigneur Varatorn !
Au nom de la Sainte Inquisition et de Kanderak, je vous mets en état d’arrestation.
Toute résistance ne sera que futile.

Je pris mon arc avec moi et mes flèches et me suis approché du lieu.
Le certain Varatorn ce faisait entourer par plusieurs gardes.
Je réussi malgrès tout à voir qu'il n'avait pas d'arme.
Un combat sans défence n'était pas un vrai combat.
Je me suis donc approcher du groupe.

Je crois messire qu'il n'y aura pas d'arrestation sans ordre de l'empereur ou du chef de sa coorporation.
Ceci est une quête sur qui tous peuvent venir.
Malgrès leurs différents avec les autres.
Je ne sais pas qui vous êtes, mais sachez une chose.
Personne ne détruira l'ambiance du camps.

Me tournant vers Varatorn pour l'observer un peu plus.
Il portait le motif des combattants.
Qu'avait t'il fait pour devoir être en danger.
De mort ou bien d'emprisonnement.
Peu importe, il n'avait pas d'arme et n'avait rien fait selon moi.
Bien que tous soit contre lui, j'esperais que tout rentre dans l'ordre.

Donc, messire, je crois qu'il faudrait que l'on discute des troubles que vous causez ici.
Je ne vais pas laisser quelqu'un amener un homme qui fait parti de mon ordre.
Donc, soit nous y allons par la force, soit on discute de tout cela avec notre chef.

Un peu de sueur sur mon front, je savais que j'étais désavantagé.
Mais que je pouvais encore l'emporter.

Le commandant s’approcha du tumulte causé par l’arrivée de l’inquisition sur la place centrale d’Hélicarnasse. Il savait qu’il n’avait pas grand-chose à faire, mais un seul regard dans la direction du combattant qui avait quand même risqué sa vie en sortant de sa cachette par sa faute, car il lui avait envoyé une lettre lui demandant de venir le rejoindre pour assurer la défense du convoi. La voix de Farlen résonna, et elle accentua la pression qu’il ressentait déjà à ce moment. Il se fit un bref effort de conscience, puis se retourna vers le lieutenant qui l’accompagnait en lui disant :

Prépare la compagnie… Il se peut que nous ayons de droit à une bataille de grande envergure, bien que je ne veuille pas tuer des civils, mais je n’ai pas le choix. Je ne veux pas vivre avec d’autres remords pour le restant de mes jours…

Il se dirigea vers Varatorn, brisant les lignes de l’inquisition car son rang le plaçait comme égal au chef de l’inquisition. De plus, quelque chose dans l’allure du commandant semblait dire que si quelqu’un le stoppait, il lui en cuirait. Il arriva dans le cercle de lames entourant Varatorn, puis dégaina prestement son sabre. Le chuintement de la lame créa quelques murmures dans la foule massée aux alentours, car de nombreuses rumeurs disait que cette lame était magique ou maudite, car elle avait été en possession du général ayant le plus dévasté Scitopole de son histoire, le général Nathaniel. Nombre de ces mêmes civils avaient vu cette lame à Zicondal, et c’était cette même lame qui avait donné la mort à son protecteur le plus dévoué, Gamuval, L’intendant de la citée régie par les Barka. Il fit un clin d’œil à Varatorn et à Farlen, qui avaient enfin compris ce que signifiait faire parti de la même corporation, puis se retourna pour faire face au grand pontife de Kalamaï, en tenant son sabre en garde basse. Il haussa la voix, et dans le silence qui avait suivi la sortie de la lame, elle semblait gronder comme le tonnerre.

Pourquoi L’inquisition veut prendre cet homme? Vous ne vous occupez pas de ceux qui sont contraire à la religion de Kalamaï? Je ne crois pas que le seigneur Varatorn vénère de faux dieux, sinon qu’il vénère Hassar avec une ferveur incomparable. Hé oui, qui dans Kalamaï à participé à autant de guerres, jusqu’au point d’en déclencher?

Je refuse que vous vous emparerez de lui, car il est en mission pour la corporation des combattants, et que vos motifs ne me suffisent pas. Si vous tenez à l’emprisonner, il faudra me tuer avant.

Et nous avant Ardent! Rugirent les trois cents hommes de la compagnie Ardente qui l’avait accompagné qui s’étaient équipé en silence pendant que leur seigneur attirait l’attention sur lui.

Vous voyez, maître inquisiteur, vous ne pouvez pas prendre Varatorn en évitant un bain de sang, Continua Ardent une fois que les cris se furent calmés, autant de ses troupes que des civils pris de peur. Il participe à la quête générale déclenchée il y a trois jours par l’empereur et il fait partit des protecteurs du convoi. Je ne pourrais pas dire la même chose de vous, qui n’avez pas envoyé de membres, même pas le plus humble des prêtres, pour nous aider à suivre le chemin que nous impose les dieux. Vous dévoilez votre présence seulement pour prendre des défenseurs, sans promettre d’envoyer des hommes nous aider.

Il ne voulait pas de cette bataille injustifiée, mais il n’aurait pas le choix si l’inquisiteur déclencherait la guerre. La balle était dans son camp, il espérait qu’il allait avoir assez de jugement pour l’éviter… Il rétabli sa garde, pis adressa une dernière parole à celui qui avait le pouvoir de décider d’éviter ou de causer un massacre.

Si vous voulez la guerre, commencez par venir chercher Varatorn, et vous viendrez rejoindre mes rêves.

Altarian ne savait pas ce qui lui avait pris... Il ne se souvenait de rien depuis qu'il avait discuté avec le seigneur Kaim. Il eut une pensée d'effroi en imaginant qu'il l'avait sans doute nié.

L'assassin se préparait à le rejoindre pour continuer la discussion et surtout, s'excuser, quand un brouhaha de voix et d'armes le contraignit à aller s'informer. une véritable bataille allait commencer ,ayant visiblement pour objet le traître honni de tous, Varatorn.

Dans quel camp se ranger? Fallait-il en choisir un?Il éprouvait autant d'antipathie pour l'Inquisiteur que pour sa proie.
Altarian ne choisit pas et se contenta de rester en retrait, sa dague préférée à portée de main.

L'armé d'Ardent apparu armé jusqu'au dent.
Ils s'étaient enfin décidés de bouger.
Voila ce qui était une bonne nouvelle pour moi.
Car, seul je ne pouvais rien faire de grandiose.
Maintenant, le vent venait de changer de camps.
S'il tenait à mourir, il allait attaquer.
Sinon, il devrait rester en retrait loin de Varatorn.

L'énoncé de Ardent fit une surprise à Farlen.
Il est vrai qu'il avait raison sur quelques points.
Ce qui veut dire que l'on combattait...
Le chef de l'inquisition...
Après la comtesse, voici un autre être puissant.
Tant pis, les élections auront lieu bientôt s'il voullait attaquer.
Qu'allait t'il se passer maintenant?
Est-ce que une guerre allait éclater?
Seul celui qui a tout commencer allait pouvoir répondre.

Je fis un clin d'oeil à mon griffon pour lui dire de se préparer.
Car, au corps à corps, je n'étais pas le meilleurs.
Comparé à ses gardes sur entrainés.
Au moins, Ardent et ses hommes étaient là.
J'ai brandi mon arc et j'ai visé le seigneur de l'inquisition.
Comment pouvais-je avoir la paix maintenant.

La balle est dans votre camp maintenant.
Vous avez deux choix a faire.
Soit nous attauquer ce qui va mettre notre mission en péril.
Ainsi que plusieurs paysans qui n'ont aucun rapport dans ce combat.
Et qui sera surement votre dernier combat.
Ou vous parler pour que l'on arrange tout.
Dépêcher vous, car je n'ai pas de patience dans ces situations.
Contrairement au seigneur Ardent.

Je pris mon épée et la lanca vers Varatorn.
L'épée atterit à quelques pas de lui.
Toujours prêt au combat, je me suis calmé.

Alors que choisisez-vous?

Je voyais l’armée des combattants se réunir face à l’Inquisition rangée elle aussi en ordre de bataille. Et au milieu de tout cela Varatorn. La chose était clair l’Inquisition voulait amener Varatorn tandis que les combattant voulait protéger un des leur.
Je réussis non sans mal à franchir le cercle et à arriver au milieu. Je pouvais entendre Ardent remettre en question l’Inquisition. Ce qui n’allait pas non plus calmer le Grand Prêtre qui pouvait être des plus rude et obstiné.

Messires calmez-vous ! On nous regarde nous devons montrez que nous sommes unis pour le plus grand bien de Kalamaï. Si nous montrons aussi ouvertement un conflit comment voulez vous que l’expédition se passe dans de bonne condition.

Avant qu’un des protagonistes n’aient pu réagir je compléta

Messire Arzhul vous êtes venu pour juger Varatorn qui est venu à la demande d’Ardent pour aider à l’expédition. Je pense jusque là ne pas me tromper. Il est vrai que l’Inquisition s’était chargée du jugement du dit Varatorn. Mais comme l’a bien justement fait remarquer il n’est pas accusé d’avoir enfreins la religion.

Je vis le Grand Inquisiteur qui visiblement n’était pas satisfait, mais ce qui allait suivre n’allait du coup pas non plus être du gout d’Ardent.

Par contre Commandant Ardent vous n’êtes pas sans savoir que Varatorn est disons soupçonné d’avoir compléter contre l’Empereur. J’ai été personnellement dans les montagnes pour l’amener à se rendre sans faire couler le sang.

Je fis une pause afin de recueillir toute l’attention.

Au vue de cela et en mon rang de Magistrat des Institutions Impériale je vous propose de laisser Varatorn poursuivre l’expédition sous surveillance. Mais à notre retour, enfin si nous en revenons un jour, le seigneur Varatorn sera amené à répondre de cette accusation devant un tribunal. Pour le composer je propose de vous associer tous deux messires Ardents et Arzhul ainsi que moi-même afin de pouvoir rendre la justice.

J’attendais de voir leur réaction, ma proposition me paraissait honnête et permettait ainsi de concilier les deux parties. J’espérais également que ma réputation de personne juste et diplomate allait se révéler utile pour dénouer la situation.

Lythranne se sentait calme et reposée pour la première fois depuis longtemps. Mais le tumulte causé la força à sortir de ses songerie et à participer à la discution. Elle s'avança dans la foule jusqu'à se rapprocher de l'elfe malpolie de la dernière fois. Le colosse qui lui sert de garde du corps était toujours là, les bras croisés, le regard dur comme l'acier, toujours prêt à protéger sa maitresse.

Messire Arzhul, je ne vous ai jamais croisé et je n'ai rien contre vous. Je ne connait pas plus ce Varatorn qui semble être un criminel recherché.

Lythranne fit une très courte pause et continua sur sa lancée, mais en pesant ses mots comme si ils étaient énormément important pour elle.

Mais par contre je sait plus que n'importe qui d'autres ici présent, que même la personne la plus vile et sans honneur mérite de pardonner ses fautes et ses pêchés. Chaque personne mérite le droit de faire ses preuves.

Lythranne recommença à parler normalement.

Si vous tenez à arrêtez cette homme il serait plus prudent et plus juste de le le laisser venir avec nous.

Elle se tourna vers Farden en lui répondant:

Je vois que vous vous êtes légèrement amélioré depuis notre dernière rencontre.

Un homme encapuchonné rôde dans une sombre forêt à l'abri du soleil et de la lumière. Si un badaud passait par là, il se retrouverait la gorge tranchée et ses vêtements serviraient à essuyer son sang impur qui aurait taché la dague. Là, l'homme masqué aurait caché le corps et aurait entrepris sa pénible tâche de se cacher du soleil qui changeait lentement de position. Il avait faim, ou soif, et était loin de chez lui. Sa soif de pouvoir l'avait poussé en Thassopole et en Scitopole jusqu'à ce que son armée soit anéantie.

Errant dans cette province qui lui était inconnue, comme un vagabond, il entendit non loin deux voix féminines. Des vierges peut-être, des proies pures, faites pour lui. Ca serait du gâteau, simple comme bonjour.

Il attendit qu'elles arrivent à son niveau pour sauter sur le cheval de l'une et déployer sa dague sous le cou délicat de celle qui justement avait confié sa propre dague à l'autre, se désarmant ainsi, du moins ce que croyait l'homme qui par souci de sûreté, avait conservé son capuchon sur la tête.

D'une voix froide, il dit à l'autre. Tu bouges, elle meurt.

Des proies faciles qui lui permettrait de récupérer un cheval pour rejoindre Naxos et monter une nouvelle armée. Son attente n'avait pas été veine.

Dartoil avait préféré passer la nuit proche de ses hommes. Il avait dit au commandant Ardent qu'il n'attaquerait pas d'elfe noir durant le voyage sauf pour se défendre. Il savait que malgré la rancœur qu'il leur porte, il était capable de tenir sa promesse.

Cependant, certains de ses hommes pouvaient haïr les elfes noirs bien plus que lui, même s’ils ont souvent combattu et obéis à ses ordres, c'était la première fois qu'il devait leur interdire d'attaquer les elfes noirs, les êtres qui ont tué leurs familles. Il avait déjà eu un aperçu de leur réaction lors de leur altercation.

En restant auprès d'eux, il s'assurait de pouvoir éviter d'éventuels actes irréfléchis de ses hommes.

Ils étaient finalement arrivés à la Capitale, cela dérangeait Dartoil de voir tant d'elfes noirs rentrer dans cette Capitale qu'il est censé défendre, mais il ne devait pas réagir et prendre sur lui.

Puis tous s'enchaîna, la tension avait monté et le combat pouvait arriver à tout moment. Dartoil devait à la fois protéger la Capitale, mais aussi soutenir la corporation dont il faisait partie.

Le choix fut vite fait, Dartoil n'avait pas suffisamment d'hommes pour empêcher une bataille, il n'avait plus qu'à espérer que ceux qui savaient trouver les bonnes paroles arriveraient à éviter toute effusion de sang dans la Capitale.

Dans le cas contraire, il lui fallait rejoindre un coté afin d'aider à stopper au plus vite les combats s’ils avaient lieu. Le choix était alors facile puisque ça rejoignait son devoir envers sa Corporation.

Dartoil demanda alors à ces hommes de se tenir prêt et se rapprocha du conflit.

Je préfèrerais qu'aucun combat n'ai lieu ici, mais si cela arrivait, je serais au coté de ma corporation !

J'ai rangé mon arc avec prudence.
Car, je ne savais pas s'il allait nous attaquer ou non.
Mais d'un certain point de vue.
Nous étions supérieurs en nombre,
Et en force aussi.
La proposition d'Adola était selon moi, très bonne.
Cependant, le fait que l'on surveille un homme qui n'a ni arme et surement ni armée m'agacait.
Il fallait trouver un autre terrain d'entente.
Je me suis approché de mon capitaine pour lui demander :

Je trouve qu'arrêté un homme qui est non seulement un des notre,
mais qui en plus est désarmé est inaceptable.
Il est ici de son plein gré, et je trouve qu'il devrait avoir la protection de notre coorporation.
Je ne sais pas ce qu'il a fait pour en arrivé là,
mais l'arrivé de ce messire avcec son arrestation en pleine quête me démange un peu.
Je serais d'avis qu'il reste avec nous pour la mission qui nous a été donné,
mais qu'il reparte chez lui ensuite librement, s'il le veut.
Mais, c'est votre choix puisque vous êtes mon capitaine.

J'étais dans une colère noir.
Une des rares fois quand même.
J'ai regardé l'inquisiteur avec une grande haine.
Car il était celui qui venait de tout détruire l'harmonie.
Ce qui, d'après moi, était le plus relaxant.

Une dernière chose à surligner.
Penser vous qu'il serait venu en se disant :
Je vais aller me jeter dans la gueule du loup?
D'après moi, s'il est ici, c'est pour se reposer comme nous tous et pour nous aider.
Du moins, je l'espère.

En se relevant aussi vite qu'il le put, il rangea sa lame dans son fourreau par pure courtoisie, l'homme avait pu reconnaître sa ... Mère, celle qui lui avait offert une nouvelle vie en tuant sa première. Il était mort une fois, il ne le serait pas deux. Et même si elle lui avait fait un cadeau, ce dernier était à double tranchant, ce qui avait pour conséquences qu'il la haissait autant qu'il l'aimait.

Comtesse Eolia, tiens tiens. Comme on se retrouve. Même si elle ne vient pas de ma main, votre mort arrivera avant la mienne, je vous le garantis. Il la regarda méchamment, ses longues dents aiguisées ressorties.

Mais s'apercevant que l'autre, la plus forte des deux lui semble t-il était irritée que l'attention ne soit plus tournée sur elle, il attendit un temps avant de se tourner vers elle.

Vous vous contredisez sans vous offusquer votre Altesse. Vous voulez mon nom pour oublier cet affront, mais vous voulez aussi que je vous serve pour le laver. Vous me demandez deux choses. Essayieriez-vous de manipuler un manipulateur ? Elle aussi eut droit à son regard mauvais, si l'homme pouvait tuer par les yeux, elles seraient déjà mortes.

Se rendant compte qu'avec cette lutte, le soleil donnait sur lui, il changea de position pour se retrouver dans l'ombre d'un arbre où au moins, il put retirer son capuchon et leur faire voir son visage. Elle avait été très rapide, à tel point qu'il en avait perdu ses moyens. Il ne commettrait pas la même erreur deux fois.

Si je peux avoir un cheval et à ... boire, alors oui je vous servirai pour les payer.

Finalement, Malbrum et ses troupes avaient rattrapés l'expédition.
Le marchand vêtu d'une cape verte kaki, se glissait à travers la foule qui était entassée autour de la scène où se passait ce qui était à l'origine du rafut qu'il avait entendu peu avant. Il pu aperçevoir entre deux têtes Faraël, et non loin de là le Grand Inquisiteur face à un groupe auquel se trouvait le nommé Varatorn.

*Hmm.. une arrestation.. il semble y avoir de l'eau dans le gaz....* Pensa t-il.

Malbrum se retourna vers l'un de ses subordonnés et lui affirma :
"Tâchons de rester en retrait mais gardons les yeux attentifs, si cela tourne au massacre il nous faut être parés!".

Il observa la situation un instant et continua :
"Après mon absence qui a durée bien trop longtemps, je n'accepterais pas de rester là sans rien faire si Faraël se trouve en difficulté ! "

Sur ces mots chacuns portèrent la main au fourreau obervant avec la plus grande attention ce qui attirait tous les regards.

Edit modo : Encore faudrait-il que le gaz existe... nous sommes à une époque médiévale.