Description générale
Myos est un nain. Du moins par rapport aux autres minotaures, qui le dominent facilement d’une tête. Cela a toujours complexé Myos, qui, jeune, subissait des moqueries de ses camarades et des brimades diverses. Cela, rajouté à sa couleur blanche plutôt inhabituelle, l’exclu des rapports avec autrui. L’exclusion est particulièrement terrible pour les minotaures, très attachés à leur groupe et à leur tribu. Naturellement, le petit Myos vécu très mal cet état de fait, persuadé que les autres étaient profondément injuste à son égard et que lui-même devait s’endurcir pour faire face aux vexations.
Tous ces éléments expliquent pourquoi, dès qu’il en eut l’âge, Myos s’engagea dans l’ordre des paladins de Kanderak, pour chercher une reconnaissance et un entraînement que son village ne pouvait lui offrir. Son parcours fut difficile, contrairement à ses attentes, les brimades ne baissèrent pas, même entre les murs du dieu de la Loi. Cependant, sa volonté et sa force exceptionnelles imposèrent finalement le respect à ses pairs et ses professeurs.
En quelques années, Myos devint intraitable, inflexible et dur comme la Loi, dont il est devenu un fanatique et ardent défenseur. Pour lui, Kanderak doit régner partout, le chaos et l’injustice doivent être bannis et la Loi doit être sans pitié pour ceux qui l’enfreignent. Pour ce qui est de sa taille, son complexe ne s’est pas améliorer, bien au contraire. Non seulement, il se vexe extrêmement facilement à ce sujet, mais il n’hésite plus à provoquer l’offenseur en duel, comme la Loi lui permet, pour faire justice lui-même, conscient de sa force et de son habileté au combat.
Lorsqu’il eut finit sa formation de paladin, avec tous les honneurs et deux minotaures sous ses ordres, il retourna dans son village natal. Là-bas, il eut une altercation avec un ennemi d’enfance devenu chef. Le duel ne mit pas long à avoir lieu, et Myos en sortit victorieux en fracassant le crâne de son adversaire d’un coup de masse. Cette victoire et sa nouvelle position dans les ordres fournir à Myos le prestige nécessaire pour se hisser à la tête de son village, au nom du grand Kanderak.
Myos est un nain. Du moins par rapport aux autres minotaures, qui le dominent facilement d’une tête. Cela a toujours complexé Myos, qui, jeune, subissait des moqueries de ses camarades et des brimades diverses. Cela, rajouté à sa couleur blanche plutôt inhabituelle, l’exclu des rapports avec autrui. L’exclusion est particulièrement terrible pour les minotaures, très attachés à leur groupe et à leur tribu. Naturellement, le petit Myos vécu très mal cet état de fait, persuadé que les autres étaient profondément injuste à son égard et que lui-même devait s’endurcir pour faire face aux vexations.
Tous ces éléments expliquent pourquoi, dès qu’il en eut l’âge, Myos s’engagea dans l’ordre des paladins de Kanderak, pour chercher une reconnaissance et un entraînement que son village ne pouvait lui offrir. Son parcours fut difficile, contrairement à ses attentes, les brimades ne baissèrent pas, même entre les murs du dieu de la Loi. Cependant, sa volonté et sa force exceptionnelles imposèrent finalement le respect à ses pairs et ses professeurs.
En quelques années, Myos devint intraitable, inflexible et dur comme la Loi, dont il est devenu un fanatique et ardent défenseur. Pour lui, Kanderak doit régner partout, le chaos et l’injustice doivent être bannis et la Loi doit être sans pitié pour ceux qui l’enfreignent. Pour ce qui est de sa taille, son complexe ne s’est pas améliorer, bien au contraire. Non seulement, il se vexe extrêmement facilement à ce sujet, mais il n’hésite plus à provoquer l’offenseur en duel, comme la Loi lui permet, pour faire justice lui-même, conscient de sa force et de son habileté au combat.
Lorsqu’il eut finit sa formation de paladin, avec tous les honneurs et deux minotaures sous ses ordres, il retourna dans son village natal. Là-bas, il eut une altercation avec un ennemi d’enfance devenu chef. Le duel ne mit pas long à avoir lieu, et Myos en sortit victorieux en fracassant le crâne de son adversaire d’un coup de masse. Cette victoire et sa nouvelle position dans les ordres fournir à Myos le prestige nécessaire pour se hisser à la tête de son village, au nom du grand Kanderak.