Vous savez, les étrangers, son parfois vue comme des indésirables non ? Ces indésirables sont souvent aussi les premiers à blâmer non ? Pff ! Foutaise pour moi, mais pour la plupart d'entre vous ces quasiment un pécher si ce n'en est pas ainsi. Mais, dans ces temps, les humains n'aiment pas trop le changement, la preuve, enlever leurs maisons. Catastrophe ! J'ai tout perdu, dirais l'un ou l'autre dirai ils m'ont pris ma fortune. Ils n'accepteraient tellement pas ce ''changement'' qu'ils finiraient pars se suicider, sans même aller au bout des choses et sans même se poser la question du pourquoi on leurs enlève leurs foyer. Pour certain précisons le. Mais moi je dirais que ça l'implique pas mal tous ces humains. Pourquoi ces humains agisses ainsi ? C'est simple, ils ne pensent aucunement avant d'agir. Pour certain je précise encore, ces je prends deux pommes et toi prend le raisin. Et moi dans tout ça ? Vous allez comprendre.

Les humains disent que je suis née sous une journée sans ciel. Pourquoi sans ciel ? Ils disent que c'était une journée sans soleil où il ne fit jour que le lendemain ... alors on peut appeler cela une journée sas ciel non ? Alors, je reprends, on dit aussi que je suis née sans poil, mais encore ce n'es que des bribes d'informations pris ici et là et que je serai née d'une famille humaine, Malheur à moi. Je ne pouvais pas moi aussi naître ingrats et être humain moi aussi ? Plus je vieillissais et plus j'avais du poil. Mais plus je vieillissais plus aussi mon visage prenait l'allure du tigre un animal craint chez les humains. Alors, mais parent se sont mis à me battre et à vouloir m'utiliser plus comme un animal de compagnie qu'un enfant, pendant peut-être 14 ans je suis resté dans mon coin dans Leure petite chaumière jusqu'au jour où je prie une épée à mon père qui était sur le ramassis de la table et je m'approchai lentement et lamentablement vers leur chambre. Mais non je ne pouvais pas, je ne pouvais pas aller les tuer non. Alors, je prie ce que je pouvais prendre dans la maison. Je prie avec moi une dague et une épée courte que je pouvais me mettre à la taille, je leurs vola aussi à mes parents une gourde d'eau un sac et quelque aliment que je fourrai dans le sac, A oui ! je prie aussi une petite bourse qui, avais l'air à être pleine de petits cristaux rouge, je les trouvai beau alors je les amenas avec moi. Mon père était bûcheron et chasseur je croie. Il y avait aussi sur le mur un morceau d'étoffe que je m'enroula autour du cou et je partis avec mes pantalons a moitié briser. C'était la nuit et je pense que j'avais 14 ans oui et je prie le sentier, le seul sentier qui avait en fait qui se rendait à l'opposer de la maison de ce que je suis obligé d'appeler, mes parents.

J'ai appris à bien parler la langue humaine en passent de ville en village où ont me regardai d'un aire sauvage comme si j'étais un loup ou encore un lion, ou tous les enfants vous regardent en vous pointent du doigt vous savez sûrement c'est quoi non ? Sûrement pas ! Un jour je me suis dit que savoir où j'allais, serait une libération. Je ne voulais surtout pas retourner d'où je venais, alors j'entrai dans une ville et alla dans ce qui me semblait bien être la place commerciale, car il y avait plein de marchand qui faisaient leur aubaine. Alors, je m'arrêtai cher un marchand et lui demanda :

C'est alors qu'il me brandit une carte où il y avait un continent et il m'indiqua où j'étais, alors je lui demandai s'il pouvait me la donner, mais il me répondit non, quelle était à vendre alors je sortis la petite bourse remplies de petits cristaux rouge et lui en tendit un, il l'a pris et me lança quasiment la carte. Alors, il regarda la bourse et retourna ses yeux mesquin vers moi et ce mis à crier :

En même pas une minute j'étais assaillis par des gardes qui m'enlevèrent ma bourse et mes trucs pour enfin me retrouver dans un endroit ou puait l'humidité et la sueur, sur les murs suintaient un liquide verdâtre comparable a de l'eau stagnante, mais sur un mur ont voyaient très bien un filait d'eau couler.

Alors, ces dans ces sept années que j'ai compris c'était quoi la cruauté humaine je n'en parlerai même pas, car vous humain vous êtes parfaitement capable de l'imaginer vous-même. Alors, je me suis dit que s'il pouvait avoir du liquide qui pouvait entrer dans la cellule pourquoi pas essayer de gratter un peu la paroi pour peu-être trouver une défaillance dans l'un de ces murs. Bingo ! je réussis après plusieurs heures à percer un trou assez gros pour que je puisse y entrer. Malheur ... ce n'était qu'une autre cellule, une cellule totalement vide, mais par miracle la porte n'était pas fermée alors j'en profita pour sortir, je courais sans même savoir où j'allais dans ce dédale de couloir et d'escalier que je finis par me rendre dans une bibliothèque qui donnait sur le jardin alors je brisa une fenêtre et je sortis de force. Là, le marchand j'espérais de tout mon coeur qu'il soit encore là.

Arriver à la place des marcher, je le vis là, avec une carte à vendre et quelque babiole alors je marcha d'un pas décider jusqu'à lui quand il me vit, il se rappela de moi et il ne dit rien lorsque je prie la carte qui était sur sa table, je tirai aussi sur sa nappe et pris la première épée qui me tomba sous la main et je quitta en courant avec les trois objets. Plus tard, je me mis la nappe au cou pour en faire une écharpe elle était d'un beau bleu et l'épée je la trouvai trop lourde pour ma fuite vue que je n'avait pas de fourreaux ou la mettre je la laissa tomber au sol et j'ouvris la carte et me mis comme destination de me rendre au Naxopole, entre la citadelle noire et la tour d'Opaline, au nord de Graevendal. Voici mon histoire.