La Grande Place

Celà faisait maintenant deux semaines qu'Aëras séjournait dans la Capitale. il avait tout visité, parlé a un maximum de gens, passé des journées dans la Grande Bibliothèque.
Maintenant il connaissait presque tout de la vie en ville, de l'histoire de Kalamaï, des différnts peuples, religions et mentalitées. Lui ne connaissait que Dinas, dieux de la Compassion et il continuerai de le servir jusqu'a sa mort, mais le fait d'en découvrir d'autres lui avait ouvert les yeux.

Mais deuis sa rncontre avec le mysterieux inconnu, le Chevalier n'avait cessé de jetter des regards tout autour de lui, se méfiant de chaques personnes et observant minussieusement les Gardes Impériaux.
Quelque chose n'allait définitivement pas du tout en Kalamaï, et maintenant il savait quel en était la cause: l'Empeureur lui-même !

Mais aujourd'hui, les Gardes s'activaient plus que d'habitude, collant des affiches partout sur les murs, alors Aëras se dirigea vers l'une d'elles.

Sa Majesté Impériale, Enguerrand de Kalamaï ordonne par ce présent édit.

Décret 1082A: Scitopole n'est plus reconnue comme Province légale, culturelle ni religeuse de l'Empire de Kalamaï.

Décret 1082B: Les habitants de Scitopole sont désormais considérés comme faisant partie d'une Race Inférieure de la catégorie des Humanoïdes - Globelinoïdes.

Décret religieux 571: Synodar est reconnu comme Déité de l'Empire de Kalamaï. Son culte est autorisé et doit être représenté dans toutes les capitales Provinciales.

Décret religieux 572: Kanderak n'est plus reconnu comme Déité de l'Empire de Kalamaï. Son culte n'est plus autorisé et ne doit plus être représenté dans les édifices religieux.

Signé par l'Empereur.

... Celà ne pouvait se passer comme ça ! Il ne pouvait pas se permettre de désigner des sous-races ! et encore pire, de renier un Dieu présent depuis des siècles !

Tout ceci était trop, le Chevalier décida de rentrer en Vénopole, ainsi il pourrait raconter ce qu'il avait vu a sa tribue et peut-être réagiraient-ils en conséquence.. Il l'espérait tout du moins..
Aëras prit la direction de Vénopole..

Erilgafin la "douce", Erilgafin "le petit ange" comme la surnommaient ironiquement bien des gens - quoique jamais en sa présence - arriva sur la gand'place directement depuis la guilde des cultes. Elle arborait toujours un petit écusson symbole de sa foi sur sa poitrine, quoique désormais placé sur son armure au lieu du manteau qui la recouvrait. Rien par contre pour cacher l'enseigne de la Corne d'Arloc, brodé à l'arrière de son manteau.

Elle s'approcha d'une des affiches placardées et relu une fois encore les décrêts insultants y figurant, tout particulièrement le dernier, quoique le premier la touchait particulièrement également. Puis, caressant d'une main distraite sa masse d'arme qu'elle portait au côté, elle observa les personnes autour d'elle. Beaucoup de badauds, de citadins "innocents" qui quoiqu'il arrive, se déclareraient en faveur du plus fort. D'autres également, dont les regards fuyants trahissait leur conscience...

Quoiqu'il en soit, Erilfgafin n'allait pas moisir ici encore longtemps.

Décret 1082B: Les habitants de Scitopole sont désormais considérés comme faisant partie d'une Race Inférieure de la catégorie des Humanoïdes - Globelinoïdes.

Si les habitants de Scitopole sont des races inférieurs, nous ne pouvons pas tolérer ces insultes !!

Révoltons nous !!

Vive Scitopole !

Gaur, apercevant avec curiosité les affichettes fraichement placardée, s’approcha de l’une d’elles et entendit la supplique d’un homme non loin de lui. À la suite d’un rire sans joie rendu caverneux par son heaume, Gaur tourna la tête vers l’homme et répliqua :

_ Une révolte contre l’armée impériale, avec les quelques poignées de Scitopoliens aptes et en accord avec vous pour se battre ? Non, je ne crois pas, mais Hassar n’a pas abandonné ses fidèles, il n’a pas oublié non plus ceux qui on eu foi en d’autres dieux pour autant qu’ils soient du même panthéon. Il faut être patient mais sans laisser les choses aller trop loin, ces larves impériales n’ont pas fini de laisser derrières elles les traces visqueuses de leurs décrets xénophobes. En somme je pense qu’une ou deux émeutes dans la lancée ne ferait que transformer les joyeux terrains urbains des humains en charniers sanguinolents de civils. Mais pourquoi pas rallier une armada quelconque dans le but de rassembler tous, je dis biens tous les Scitopoliens. Mais après tout je suis pas Scitopolien, hein, tout ceci ça ne me regarde pas. Ajouta t-il sur un ton bourru.

Mais dans un souci de... Comment vous appelez ça ? Civisme, je me premets d'éviter la propagation d'idées qui pourraient condamner beaucoup de personnes pour rien.

La Grande Prêtresse de la Maison de Guérison passa par la Grande Place sur son chemin hors de la Ville, accompagnée d’une poignée de Gardiens des Forêts dans leur cape vert sombre. Constatant un attroupement à quelques murs, elle les fit halter et s’avança seule pour assouvir sa curiosité, se faufilant entre les personnes encore agglutinées.

Son soupir retentit et ses yeux se dilatèrent. Elle resta figée un moment.

NON MAIS C’EST QUOI CETTE AFFAIRE LÀ ??? hurla-t-elle. Son visage devint pourpre. Les curieux commencèrent à disparaître en voyant les Gardiens s’approcher. Kimri prit une grande respiration et leva une main pour les arrêter. Déjà, un cercle d’espace s’était formé autour d’elle.

Elle repartit, songeuse, et en colère, suivie par les figures vertes.

Erilgafin avait vu ce qu'elle avait à voir. Les partisans de l'empereur étaient nombreux, mais néanmoins quelques rebelles évaient fuit la ville avant elle. Il était temps de les imiter, malheureusement sans avoir eu temps de contacter le sieur Bördisch, occupé à la guilde du Mana - lieu qui lui était désormais fort dangereux de fréquenter.
L'oeil aux aguets, la main guère éloignée de son imposante masse, ses blasons quelque peu masqués, elle se dirigea vers une porte de la ville, tout en se promettant de prendre contact avec Eliess et Kimri, qui pourraient se révéler des alliés fort bienvenus...

Sur le chemin de la guilde de mana, l'envi de ne plus y aller me prit, en réalité, l'armada comptait avant tout, je traversais la ville pour aller en Zakinthe. Mais en passant devant la fontaine, je vis le bon vieux Regit qui m'avait bien souvent conseillé efficacement.

- Que fais-tu ici, cher Regit ? N'étais-tu pas en Scitopole ?
- Des affaires m'ont fait revenir à la guilde des cultes mais finalement je n'y reste pas plus longtemps. Je me rend justement en Scitopole, la situation se détériore de jours en jours...
- Comment ? J'envoie de suite un messager en Scitopole, pendant ce temps nous allons en Zakinthe, pour ammener des renforts. Ne t'en fais pas nous y serons certainement à temps pour les aider à repousser l'armée de l'Empire.
- Nous n'avons pas énormement d'Homme, Sire.
- Nous ne créerons qu'une diversion, ce sera mieux que rien.

Je ne voulais pas tuer une personne pour en faire un messager et me vint l'idée de tuer un oiseau. Quelques oiseaux passaient et j'en neutralisai un à l'aide d'un sort de foudre. Je le rappelai ensuite pour en faire mon serviteur et lui attacha un message vocal magique. Qu'il ne pourrait donner qu'en présence d'un garde divin ou céleste.
Notre direction fut ensuite Zakinthe.

La jeune Célestiale, qui n’avait quitté Amphise depuis son enfance, atterri avec autant de joie que de grâce au sein de ce qui semblait être une place. Laissant un instant ses ailes déployées, Sherisha mirait ce qui l’entourait, fascinée.
Elle scrutait les environs sans vraiment savoir où aller, ayant refusé toutes visites guidées proposées par des personnes de son entourage, en prétextant un besoin de solitude. Evidemment, être surveillée était la dernière chose dont elle avait envie. De nature plutôt indépendante, la damoiselle préférait largement la compagnie de ses amis, voire d’étrangers, que celle des membres de sa famille. Elle ne se sentait pas libre avec eux, même si elle les aimait réellement, c’est pourquoi elle avait prévu cette plus ou moins longue escapade en ville.
Faisant quelques pas, elle se dirigea vers une affiche qui attira son attention ; elle avait pour titre « La Taverne du Loup qui boite ». Ce lieu l’intéressait, elle décida donc d’aller y jeter un œil.

Alors que la nuit commençait à tomber, un vieil homme aperçu une lumière blanche venant d'une petite rue aux alentours de la Grand place. Il se dirigea vers celle-ci avec curiosité et put voir une femme ailée apparaître. Devant cette vue, il resta figé et muet. La femme s'avança vers lui, il ne bougea toujours pas. La Célestiale le regarda dans les yeux et lui dit ces quelques mots:

- Je pense que tu n'aurais pas du voir ça, désolée mais je n'ai pas d'autre choix.

Alyndra sortit son poignard et l'enfonça dans la poitrine de l'homme qui s'écroula à terre. Le coup fut net et rapide, c'était à peine si il avait sentit le poignard entrer puis sortir.

*Je ferais mieux de le cacher. Une bouche d'égout fera l'affaire, personne ne le verra là.*

La Célestiale mit directement son idée en éxecution, il était maintenant temps de partir et d'explorer ce qui semblait être une ville. Alyndra sortit de la rue et se retrouva ainsi sur la Grand place. Voulant être discrète elle cacha son visage à l'aide de sa capuche et replia ses ailes sous sa cape de tel sorte qu'on ne les voyent plus. Ceci ne servait peut-être pas à grand chose, la Grand place étant pratiquement vide, mais c'était plus sûr de le faire quand même.

*Là une taverne, j'y serais en sécurité, le temps qu'on me dise pourquoi j'ai été envoyée ici, car je n'en ait toujours pas la moindre idée.*

Ardent sortit de son auberge en laissant son ami masqué protéger ses possessions.

Arrivé sur la grand place, il s'étonna a quel point la ville avait évoluée depuis sa dernière venue. Puisque les maisons avaient pris de l'expansion et de la hauteur.

Il chercha quelqu'un qui n'avait pas grand chose a faire, puis, ayant trouvé sa cible, se dirigea vers elle en s'armant de son plus beau sourire.

Bonjour, savez vous où est le temple des Humpfrungs mon brave?

Puisque l'homme lui montra le chemin avec courtoisie, il lui donna une petite bourse et il partit sans demander son reste. Il passa chez une fleuriste et en ressortit avec deux roses noires et il continu son chemin.

( ce postsuit celles de la prison)

Je crois que tous dans cette ville ne savent pas réfléchir... Pensa-t-il

Arretez de jouer, seigneur elfe.

Si vous tentez de faire quoi que ce soit, vous allez mourrir.

SOLDATS!! VISEZ!!

Milles hommes sortirent de leurs cachettes en pointants tous vers l'elfe.

Si un de mes hommes de fait maltraiter, l'homme en face de lui le saura. Dites a vos hommes de sortir et de déposer les armes ou vous mourrez instantanément.

Cet homme cherche à tuer le plus de gens possible et il a déja tué plusieur de mes amis. Laissez moi m'en charger et mellez vous de vous affaires, la prochaine fois.

Ceci n'est pas une blague. Si vous vollez mourrir, Faites a votre tete mais vous êtes maintenant prisonniers d'Ardent de Montfort jusqu'a nouvel ordre. Aucun mal vous sera fait si vous obéissez.

Pensez ou mourrez

Farlen regarda l'homme, enfin son plan avait marché, quelle imbécile. Un de plus un de moins. Farlen regarda les hommes et mit son arc à terre, l'elf à côté de lui aussi. D'un bref signe de la tête, il dit :

-Vous avez tord de me croire sans défence.

La moitié des hommes ennemi eurent une flèche dans leurs mains. Et apparu 600 elfes, tout autour de Marigan et ses hommes. Une voix résonna derrière l'homme. À quelques mètre de lui, un autre elf sortit de l'ombre.

-Cette homme sert une cause plus noble que vous le penser, car il était avec moi lors de la bataille en Zircondal. Il est un inquisiteur, donc un homme de paix.

-Je vous présente mon frère, Arden. Arden messire... je ne me rappelle plus de son nom. Ca t'en a pris du temps. Je savais que tu te cachait, mais quand tu allais sortir, là est la question.

Les hommes de Marigan cherchèrent un appuie de la part de leurs partenaires. Tous avait une main en moins, ce qui veut dire qu'il ne pouvais plus combattre à l'arc.

-Je trouve que cette tournure à asser durée, donner nous l'homme, sinon, vous serez mort dans l'heure. Et en même temps, vous n'êtes pas avec l'empereur, vous êtes un traitre. Nous ne sommes avec personne, nous ne voullons que la paix, nous aurions pu tuertous vos hommes, mais nous n'aimons pas la mort et la souhaitons à personne.

Farlen regarda Arden qui tira sur la main de Marigan.

-Je vais vous dire un truc, nous sommes quatre chef de division, chaque chef à avec lui 4 section d'attaque, chaque section à 150 hommes. Donc, combien sommes nous à votre avis?

Dernière édition par Eldor Sil`Ethen le Mar 14 Oct 2008 - 20:27, édité 1 fois

Encore une fois vous nous sous estimés jeune elfes.

La compagnie de 350 soldats portant les couleurs d'Ardent formèrent une carapace de boucliers et d'armures sur 360 degrés d'un seul mouvement autours de Marignan, de l'inquisiteur et de Berthold, fesant dévier la fléche lancée sur eux

Aucune compagnie d'archer n'a blessé un seul soldat dans le mur des lames. Je vous souhaite la bonne chance. nul d'entre nous ne vous veut du mal et le palatin Oengus nous à demandé de le garder.

On ne veut tuer personne mais si vous nous l'oubligez a le faire, les pertes seront lourdes de chaque coté, et vous allez perdre.

Le lieutnant d'Ardent prit sa place, et aucun homme ne laissa aucune parcelle de chair en vue.

Le général Waltta était à la porte Nord et avait reçu l'absolution de Fardall 1er puis était retourné au près des Amazones après une brève discussion avec Oengus afin de voir si le seigneur Ardent avait utilisé leur services. L'elfe fut surpris de voir le groupe en train de discuter et danser pour tuer le temps. Ainsi, le sourire au lèvres, il les interpella.

Demoiselles de la forêt, je suis heureux de voir tant de réjouissance dans cette cité. Je suggère que nous allions sur la grande place pour en connaître les activités suite au passage de notre maître.

C'est ainsi que l'amphisois se dirigea en compagnie de plus d'une centaine de guerrières en direction de la grande place. À leur arrivé, quelle surprise d'y voir Messires Arden, son frère Farlen ainsi que Sire Ardent et ses compatriotes. Autant d'armes pointé sur un et de bouclier devant les autres, voilà une situation extrêmement tendue avec pour point d'intérêt un Inquisiteur ligoté.

Il s'adressa au Farden : Messieurs, voyons ! Ce n'est pas là un moyen de faire la paix que d'attaquer et blesser son interlocuteur. Dois-je comprendre que les deux frères veulent libérer l'inquisiteur qui fût mis au arrêt par Oengus... Quel qu'en soit les raisons, vous auriez l'audace de défiez votre palatin ? Je crois qu'il est temps pour vous d'expliquer clairement vos projets et convictions car si vous aviez terminé ce que vous essayiez d'entreprendre c'était l'acte de trahison qui vacillait au dessus de votre tête tel l'épée de Damoclès.

À mesure que Waltta parlait, les amazones se dispersèrent un peu partout sur la grande place, surveillant les gestes de chacune des personnes présente afin d'éviter un débordement de violence. Particulièrement en ces instants qui devrait être heureux puisque la guerre est terminé et que le dictateur est mort.

Seigneur Ardent, je vous remercie d'avoir gardé l'Inquisiteur Arzhùl à la fois sain, sauf et captif. Je vais maintenant en reprendre la charge tel que me la demandé Oengus d'Héraldie.

Une ouverture se fit parmi le bouclier de métal et le prisonnier fût amené devant le général amphisois. Alors que les hommes d'Ardent allait le mettre à genoux, l'elfe leur indiqua que sa posture devrait être debout tel que son rang le mérite.

Seigneur Arzhùl, palatin de Thassopole, haut membre de la Sainte Inquisition, je vous salut. Voilà de ça peu de temps, Oengus a ouvert les portes de la ville et fait soumettre la garde impériale car la mort de l'empereur faisait de lui l'homme du plus haut rang de Kalamaï. Les paroles divines de nouvel empereur ont fait réfléchir mon maître qui m'a ici envoyé afin de poser un geste bien précis puisque les événements l'empêche de se présenter en personne.

Waltta sorti une courte dague de sa ceinture, la pointa vers Arzhùl puis d'un geste vif mais précis coupa les liens qui entravait la liberté de l'inquisiteur. Il rangea ensuite son arme et salua avec respect.

Je vous transmet les excuses de mon palatin. Puisse l'harmonie régner entre nos provinces respectives et pardonniez les erreurs commises. Pensant agir pour le bien de l'Empire votre arrestation fût ordonné suite à des informations reçus de nature plus ou moins précises. En souhaitant bénéficier de votre présence lors de l'éventuel banquet de célébration qu'organisera sûrement la nouvelle royauté.

Puis, regardant tout ceux autour de lui : Messieurs, que la paix règne maintenant sur Kalamaï, une terre qui a bue trop de sang dans son histoire.

L'Inquisiteur se frotta les mains endoloris pas les liens.

Bien, bien, vous n'etes pas sans savoir que l'Inquisition devra mettre ce litige au clair!

Dans l'avenir des accorts traité devront être établie pour une guerre propre et sans bavure... Mais ceci ne vous conserne point! l'Inquisiteur avait l'air sincère

L'Inquisiteur prit la parole haut et fort
Mes seigneurs!
Il est temps que cette masscarade cesse!
La paix est de nouveau en route, remercion Kanderak et ses Frères.
Joignons nous au réjouissence.
La Sainte Inquisition ne fera point de feu de camp se aujourd'hui. dit t il avec ironie

Les Forces Thassopoliennes ont elles donnée signe de vie?Ont ils prit par aux conflits? en s'adressant à l'inconnu, ambassadeur d'Oengus

Le lieutnant d'Ardent libéra juste assez de place pour ses yeux et il interpella l'elfe qui venait pacifiquement

Maitre, je suis désolé mais je n'ai pas vu le seigneur Ardent. Savez vous ou il se trouve???

Je ne bougerais pas d'ici avant de l'avoir vu, mort ou vif.

Messire Inquisiteur, je suis désolé d' avoir dû vous traiter de la sorte... je ne suis qu'un soldat et je suis trop loyal pour désobeir à des ordres, même d'un palatin...

Il laissa le palatin de Thassopole sortir du cercle de boucliers, Et il se reforma encore plus solidement, comme une carapace de tortue.

Arden regarda Waltta avec surprise lorsque celui-ci surgit de derrière. Tous baissèrent leurs armes et les rangèrent. Lorsque Waltta se mit en face d'eux, il virent qu'il avait fait une erreurs, mais quoi, Farlen pris la parole :

-Messire Waltta, je ne comprend plus, ces hommes ont libéré les prisonniers et ont voulu combattre contre l'empereur.
Je n'ai fait que mon devoir en les chassant. Vous avez très bien que je ne tuerais jamais personnes ennemi ou alliée. Et en même temps, nous avons recu un message de la part de son frère qui veut le punir, il arrive ici d'une seconde à l'autre.

-Et comment ca, nouss erions des traitres si nous aurions fini?

Arden regarda son frère et appuya son raisonnement, mais quelques chose le chicotait. Pourquoi était-il heureux que Fardall ait gagné? Il me sembaliat qu'il était du bord de l'empereur.

-Messire Waltta, comment pouvez-vous être content alors qu'on a supposément perdu la guerre? êtes vous en train de dire qu'on aurait pu éviter la guerre de Zircondal?

Arden était confus de ce qui se passait, que ce passait -il bon sang, il regarda le général et lui demande.

-Messire, que ce passe t'il?