Le Chef de La Garde Divine arriva et entendit parler d’un ambassadeur ayant été sommé de libérer un certain Arzhùl Gorbad, Palatin de Thassopole. Ce nom lui revint en mémoire et il en discuta avec Oengus un moment, qui avait pris en charge l’affaire. La nuit tombait et la ville semblait reprendre des couleurs, les gens avaient l’air plus gais et joyeux. Les quelques guérisseurs et nombreux soldats volontaires allèrent distribuer gratuitement des vivres aux démunis et aux pauvres, leur apportant aussi des soins dont ils avaient été privés au profit de la guerre par le tyran. L’amour et la compassion sauvèrent plusieurs vies ce soir là, et éveillèrent à la vie plus d’un esprit.
Le Maître des Croisés fit réunir les Seigneurs présents dans la capitale, sans distinction de leurs précédents allégeances et leur présenta un cas particulièrement tortueux qui lui revenait sans cesse en mémoire depuis le début de la journée.
- Chers Seigneurs et Dames, le mercenaire Nathaniel, ayant mené des troupes pour semer le troubles en terre d’Empire, fait massacrer tant de gens que l’on peut parler de génocide, soutenu la violence des troupes contre le peuple déjà considérablement aigri par la guerre, je considère son âme sans rédemption, perdue dans les ténèbres, et moi-même je ne saurais l’y trouver. Je convoque donc la Cour Martiale en les lieux du Tribunal Impérial, afin de délibérer sur le sort qui lui incombe, il sera jugé dans les lois, comme il se doit, malgré la peine qui ronge nos cœurs et nos émotions. N’oubliez pas que nous sommes ici pour faire rayonner la Lumière, si longtemps oubliée par les Empereurs et assurer le bien du peuple, montrons-nous digne de la tâche que nous ont confiée les dieux. Pieds et poings liés, Nathaniel subira le jugement que nous lui déciderons.
Je vous souhaite une nuit de réflexion, afin de penser et voir plus loin, où est notre devoir dans la grande tapisserie de l’histoire que tisse les dieux. Que Sorenssen et Kanderak vous soient favorables.
Sur ce, le Seigneur de Zirconie se retira près de son cheval, il avait décidé de dormir à la belle étoile malgré les offres des habitants. Son destrier, au poil doux et à l’amitié indéfectible se coucha lui aussi, sur de la paille que son maitre lui avait trouvé. Non loin se trouvait Faraël et Rafaël, ne fermant les yeux ni l’un ni l’autre, absorbés par leurs pensées.
Dans l’atmosphère de paix et de piété s’endormirent les habitants et les soldats de la capitale. La paix semblait revenue dans l’Empire.
Le Maître des Croisés fit réunir les Seigneurs présents dans la capitale, sans distinction de leurs précédents allégeances et leur présenta un cas particulièrement tortueux qui lui revenait sans cesse en mémoire depuis le début de la journée.
- Chers Seigneurs et Dames, le mercenaire Nathaniel, ayant mené des troupes pour semer le troubles en terre d’Empire, fait massacrer tant de gens que l’on peut parler de génocide, soutenu la violence des troupes contre le peuple déjà considérablement aigri par la guerre, je considère son âme sans rédemption, perdue dans les ténèbres, et moi-même je ne saurais l’y trouver. Je convoque donc la Cour Martiale en les lieux du Tribunal Impérial, afin de délibérer sur le sort qui lui incombe, il sera jugé dans les lois, comme il se doit, malgré la peine qui ronge nos cœurs et nos émotions. N’oubliez pas que nous sommes ici pour faire rayonner la Lumière, si longtemps oubliée par les Empereurs et assurer le bien du peuple, montrons-nous digne de la tâche que nous ont confiée les dieux. Pieds et poings liés, Nathaniel subira le jugement que nous lui déciderons.
Je vous souhaite une nuit de réflexion, afin de penser et voir plus loin, où est notre devoir dans la grande tapisserie de l’histoire que tisse les dieux. Que Sorenssen et Kanderak vous soient favorables.
Sur ce, le Seigneur de Zirconie se retira près de son cheval, il avait décidé de dormir à la belle étoile malgré les offres des habitants. Son destrier, au poil doux et à l’amitié indéfectible se coucha lui aussi, sur de la paille que son maitre lui avait trouvé. Non loin se trouvait Faraël et Rafaël, ne fermant les yeux ni l’un ni l’autre, absorbés par leurs pensées.
Dans l’atmosphère de paix et de piété s’endormirent les habitants et les soldats de la capitale. La paix semblait revenue dans l’Empire.