Arianthe est une jeune femme extrèmement charmante et très volage qui prend tout avec légèreté.
Sa vie ne fut cependant pas toujours très facile : vendue par ses parents à une maison de plaisirs dès qu`elle fut en âge, elle s`y fait de nombreux ennemis en confrontant sa bonté naturelle aux complots et mensonges.
Remarquée par un noble, Franquin de Bise qui s`en amourache, elle est rapidement sortie des griffes des matrones de cette maison...
Le monde n`en a pas fini avec la jeune femme et Franquin décède au cours d`un raid contre des orques peu après l`avoir épousée. Ses frères dépossèdent Arianthe à qui il ne reste qu`un lopin de terre.
Si sa famille n`a pas voulu respecté la volonté de Franquin de Bise en ce que sa nouvelle épouse hérite de ses biens, Arianthe décide qu`elle ne se résignera pas et fera de cette terre recluse le nouveau et fructueux domaine de Bise!
Elle choisit d`user de ses charmes et de son astuce pour arriver à cette fin!
Elle se dit prête à tout pour y arriver, mais son tempérament profondément bon et sa gentillesse impénitente l'empèchent d'agir de façon maléfique. Arianthe ne connait rien au sens de l'honneur et admire ces chevaliers qui y vouent leur vie et leurs combats, mais elle n'a rien à apprendre sur la bonté d'âme et le pardon.

Description :
Arianthe de Bise, Royaume d'Opselimbe VXAYr-8c6nyTFN22D9ZcHmNeILLxW-Ai004F
Arianthe est un tourbillon blond et élancé, tout de grâce et de vivacité, à la silhouette avantageuse et mise en valeur par des robes faites de dentelles blanches. Ses yeux légèrement en amande font penser à une lointaine ascendance exotique.
Il n'est pas un mot qui ne sorte de sa bouche souriante sans prendre la suave teinte de la séduction. Ils véhiculent une tendresse élégante et courtoise que l'on attend si peu chez une fille élevée si loin des cours conventionnelles.
Sciement ou malgré elle, Arianthe est de ces êtres qui focalisent sur eux les pires jalousies et les romances les plus passionnées.
Eprise de liberté et de candeur, on se doute à la regarder, la contempler, que sa fragilité apparente, si cristalline, n'est que le reflet de celle des hommes avides et des femmes envieuses qui ne peuvent détacher d'elle leurs regards fascinés.