Alkimen

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Prologue

Je suis Alkimen. J'ai les yeux dorés et les cheveux blonds. Je suis né d'un viol entre un célestial bourré et une jeune princesse elfe. A l'âge de cinq ans, mon père revient et égorge ma mère. Mais quand il sort de la tente elfique, il se fait tué par deux archers elfes. Un druide me garde donc et m'apprend toutes sortes de choses...Il m'apprend le langage des runes, la magie des elfes...Mais quand j'eus douze ans, une horde de guerriers hommes arrive et tue tout le camps à part les enfants, dont moi. Nous sommes conduit dans un village pour devenir des guerriers. Nous avions le choix entre devenir un samouraï et devenir un chevalier. Je pris la décision d'être un samouraï. Pendant dix ans, je suivis l'apprentissage d'être un samouraï au service du Roi. Mais je réussis à m'échapper du camp avec mon sabre et mon livre de runes elfiques. Je partis à la recherche d'un camps d'elfes. J'en trouvas un. Les elfes me reconnurent grâce à une amulette de ma mère et mes yeux. Je devins le conseiller de Loth, village elfe où ma grand-mère régnait avant...

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Je retrouvais Loth. Il y avait un quartier pas fréquentable; prostituées, assassins, maquereaux y traînaient. Un petit peu de rangement s'impliquait. Non pas de détruire ce quartier, juste de prendre des types comme esclaves. Il fallait élargir mon campement. Je commenças à explorer quelques forêts, emprisonner les autres créatures vivant sur ma terre. Je passais près d'un arbre lorsque je vis un enfant avec sa mère entrain de jouer. Des larmes commencèrent à couler sur mes joues. Moi qui n'ai jamais eu de parents. J'allais dans ma tante pour me reposer et pensait à tous les évènement passés. Oh que j'aimerais tant avoir une femme... Bon, allons prendre un bain. Après avoir prit mon bain, je sortis de Loth pour aller me balader à la lisière de la forêt. J'entendais des cris. Je vis un enfant de quatre ans pas plus se faire violenter par des bandits. J'en pris un et l'égorgea. Je pris le deuxième et lui explosa la tête avec une hachette. Je pris l'enfant sous les bras et lui dit qu'il vivrait au campement et qu'il sauverait des vies innocentes lorsqu'il serait grand. Il pleura et se serra contre moi. Il pleurait de joie de pouvoir enfin être aimé. Ce garçon était de la race des Célestials. Nous rentrâmes au campement et nous bûmes un coup. Je déposais l'enfant à sa nouvelle tente...

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Le temps passait, le vent passait. Sortons un peu. J'étais fatigué de toute cette folie. Mais j'étais fou, non? Je voulais retrouver le célestial qui avait corrompu mon père. Je voulais le torturer, le tuer. Son nom m'était inconnu, juste un surnom que je connaissais. L'Aveugle ayant tout vu. Je cherchais longtemps, sans rien trouver... Mais un jour, je trouvas une piste, non, je trouvas l'Aveugle. Et lorsque je le vis, je lui posas quelques questions:
-Et, toi, l'Aveugle. Pourquoi as-tu corrompu mon père? Réponds où je vais t'éclater. (de toute façon, j'allais l'éclater ^^)
-Bonjour, petit. Je n'ai pas corrompu ton père, il s'est était auto corrompu avec l'alcool et la drogue. Par contre, je lui ai dit de tuer ta mère et toi. Tu étais l'élu. Je ne pouvais pas te laisser en vie, toi et ta mère. Seulement ton imbécile de père t'a laissé en vie. Je...Arg...
L'Aveugle venait de se faire cribler de flèches. Les assassins qui avaient tué l'Aveugle voulurent me tuer, et je leur lanças une boule de feu. Ils moururent tous. Je rentras à la tente. Toutes ces révélations, toutes ces questions que je me posais mais toujours aucune réponses. Je m'endormis rapidement...

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Mais qui avait tenté de m'assassiner ? Et puis qu'est-ce que c'est c'est que ce bo****, que je suis un élu ? Il faut que je découvre ce qui ce cache derrière tout ça ! Je fouillas les cadavres des assassins de l'Aveugle. je trouvas une bourse et un bout de papier sur ce qui devait être le chef de ce groupe. Sur le papier, on pouvait apercevoir une écriture fine et élégante, si je puis dire. Sur le bout papier était écrit:
"Voici votre mission. Éliminez l'Aveugle avant qu'il ne parle, et si vous pouvez, éliminez l'élu. Si vous revenez avec le cadavre de l'Aveugle, je vous paierai 100 000pièces d'or. Mais si vous ramenez l'élu, ce n'est pas 100 000pièces d'or que je vais vous donner, mais 3 millions de pièces. Allez, bonne chance.
ps: dès que vous ramenez le(s) cadavre(s), allez au quartier mal famé, dans le petit entrepôt couleur grise.
Zâlmaatar"
J'allai faire un tour du côté du quartier mal famé. Lorsque je trouvas enfin le petit entrepôt, je marchas discrètement. Un nain gardait la porte de l'entrepôt.
-Eh! Le nain ?
-Quoi? aboya-t-il.
-J'aimerais parler à Zâlmaatar.
-Non, tu peux pas lui parler, sale elfe.
-Vraiment ?
Et je le transperça de mon sabre. Je pris ses provisions, son or. J'entrai dans le bâtiment gris. encore une porte à franchir, mais cette fois, aucun garde. S'ils croyaient que le nain était très puissant, ou ils avaient bu, où ils sont fous. J'examinai la porte. Elle était en bronze, et un crâne d'ogre était accrochée dessus. Je toquas à la porte.
-C'est qui ? me répondit une voix malsaine.
-Je m'appelle...Alkimen.
Et je défonças la porte et tua ce qui semblait être un orque. Un homme d'une cinquantaine d'années était assis sur un trône. Il portait un manteau de velours rouge-sang. Il regarda le cadavre de l'orque et m'applaudit.
-Salut à toi, Alkimen, dit l'homme.
-Tu dois être Zâlmaatar. T'as une sale tête !
-Hum... Tu ris mais après, tu seras mort, sale bouffon.
-Ah bon ?
Je lui mis mon couteau sous la gorge.
-Pourquoi veux-tu me tuer, sale chien, dis-je.
-Tu ne sauras rien !!
Il me cracha dessus. Je lui mis un de ces coups de poing. Il pissa le sang.
-Allons chez moi, dis-je.
Nous allâmes dans la forêt, à Loth.
-Si tu ne parles pas, je te torture.
-Crève, me dit-il.
Je lui coupas un doigt. Il poussa un hurlement, puis me donna un coup de poing. Il tenta de s'enfuir, et je lui balanças mon couteau dans le dos. J'allai le voir.
-Hum... Tu as perdu, homme.
-Mais tu ne m'a pas torturer beaucoup et tu n'auras pas d'informations, crétin. Arg...
Il est mort. Je me suis fais avoir !! Je pris son corps et le charcutas avec ma dague.

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Mais mince de mince, je me suis fait avoir... Je vais tuer, n'importe qui !!! Un esclave que j'avais capturé fera l'affaire. Je l'attendis. Lorsqu'il arriva, je lui dit:
-Tu vas mourir... Dommage pour toi.
L'homme avait visiblement peur.
-Alors autant se battre puisque je vais mourir. Je vais devoir me défendre.
Mais un sabre sabre arriva dans son ventre. Il versa quelques larmes.
-P-pourquoi ? Je... Dites à ma fille que je l'aime et que son père est parti, s'il vous plaît...
-hum...non...
On voyait le mourant pleurer à flots. L'homme me regarda, visiblement vivant.
-hum, ah aussi, tu sais surement pourquoi tu es là !?!
-Non !
-Tu as tuer un de mes amis.
-Hin ? Ah, c'était l'autre débile qui venait me demander une petite pièce.
Et il me donna un coup de poing, ramassa un couteau et me lacéra un peu.
-Arhum, je vais t'éclater, sale rat...
Je pris un des marteaux de guerre et lui fracassas le crâne. Un liquide épais et rouge bordeaux, presque noir, jaillit de son crâne. Il n'était pas encore mort...
-J-je, dites à-à ma fille...S'il vous plaît...
-Crève ! Tu vas payer le centuple. Gardes, ramenez le...cadavre.
Purée, ça n'avance rien à mes projets...