J’avais décidé après mûr réflexion que la Corporation de l’Ombre devait se donner les moyens de ses ambitions. Nous avions de nombreux ennemis et un choix que j’avais fait n’était pas de tuer tout le monde mais d’en emprisonner une partie, ce qui était suffisamment dangereux mais pas assez pour être éliminé. Il y avait également des ennemis de l’Empire contre qui nous n’avions pas de preuve formelle mais que nous savions pertinemment leur traitrise. Occien Parlat était bien sûr une solution mais à mon goût elle n’était pas assez discrète et on pouvait toujours s’en échappé et j’en savais quelque chose.
Au bout d’un couloir, Il y avait dix geôles individuelles pour accueillir les prisonniers. Ces derniers étaient surveillé par des gardes soumis au secret de plus ils étaient tous sourd et muet évitant ainsi qu’ils ne soient tenté de délivrer des informations. Enfin il était impossible de sortir de ces lieux semblables à un labyrinthe. Ce n’était pas le grand luxe, c’était même rudimentaire mais les personnes avaient une paillasse, une table et une chaise, cependant ce mobilier pouvait être enlevé en fonction des besoins. Car ce lieu avait aussi une disposition que peu ou pas de prison de l’Empire avait.
Une des bases de l’Ombre était de recueillir des informations et cela nécessitait parfois d’interroger des personnes et des prisonniers. Cette salle était isolée de tout le reste car les méthodes d’interrogatoires pouvaient être variées. Ce genre de méthode n’était pas conventionnel ni apprécié mais c’était une des choses que l’Ombre savait faire et qui parfois s’était avéré utile.
Cependant j’avais imposé deux règles. La première était que chaque prisonnier devait être inscrit sur un registre avec la date et les raisons de son emprisonnement. La seconde était que pour interroger les personnes il fallait l’accord du Spadassin ou de son représentant.
Dans la salle d’interrogatoire on pouvait trouver une table ou des sangles de contorsion étaient attachées, des chaines pendaient du plafond. Un récipient servant de brasero ainsi qu’une grande bassine d’eau se trouvait également dans la pièce. Contre un mur se trouvait également une grande armoire fermé à clé. Dans cette armoire se trouvaient divers accessoires : pinces, marteau, couteaux, pic, fer à marquer le bétail, pointes, cage de fer pour les pieds incrusté de clou,… Cependant il n’était pas possible d’utiliser ces instruments, tout comme cette pièce, car les seules personnes qui possédaient les clés de l’armoire étaient le Spadassin et le Conseiller de l’Ombre.
Au bout d’un couloir, Il y avait dix geôles individuelles pour accueillir les prisonniers. Ces derniers étaient surveillé par des gardes soumis au secret de plus ils étaient tous sourd et muet évitant ainsi qu’ils ne soient tenté de délivrer des informations. Enfin il était impossible de sortir de ces lieux semblables à un labyrinthe. Ce n’était pas le grand luxe, c’était même rudimentaire mais les personnes avaient une paillasse, une table et une chaise, cependant ce mobilier pouvait être enlevé en fonction des besoins. Car ce lieu avait aussi une disposition que peu ou pas de prison de l’Empire avait.
Une des bases de l’Ombre était de recueillir des informations et cela nécessitait parfois d’interroger des personnes et des prisonniers. Cette salle était isolée de tout le reste car les méthodes d’interrogatoires pouvaient être variées. Ce genre de méthode n’était pas conventionnel ni apprécié mais c’était une des choses que l’Ombre savait faire et qui parfois s’était avéré utile.
Cependant j’avais imposé deux règles. La première était que chaque prisonnier devait être inscrit sur un registre avec la date et les raisons de son emprisonnement. La seconde était que pour interroger les personnes il fallait l’accord du Spadassin ou de son représentant.
Dans la salle d’interrogatoire on pouvait trouver une table ou des sangles de contorsion étaient attachées, des chaines pendaient du plafond. Un récipient servant de brasero ainsi qu’une grande bassine d’eau se trouvait également dans la pièce. Contre un mur se trouvait également une grande armoire fermé à clé. Dans cette armoire se trouvaient divers accessoires : pinces, marteau, couteaux, pic, fer à marquer le bétail, pointes, cage de fer pour les pieds incrusté de clou,… Cependant il n’était pas possible d’utiliser ces instruments, tout comme cette pièce, car les seules personnes qui possédaient les clés de l’armoire étaient le Spadassin et le Conseiller de l’Ombre.