Varatorn arriva à la Grande Forge, revenu du sénat avec la ferme intention de changer les choses. Il appela son scribe pour noter toutes ces idées et ses intentions dans la Grande Forge, dans la grande salle où se passe normalement les convocations et les doléances des nobles. Varatorn se mit à avoir des idées sur la province ; elle était dotée de grandes infrastructures militaires permettant au seigneur d’avoir plus d’hommes. Des bâtiments administratifs ont également vu le jour, permettant au seigneur de prélever à toute la population aux alentours de ces infrastructure les impôts, car Varatorn avait remarqué qu’avant son arrivée les impôts étaient mal collectés.
Varatornt après s’être penché sur les frontières de Vénopole bien gardées, pensa qu’il serait temps de se faire des alliers. Des messagers provenant des frontières informèrent Varatorn de leur état avec un jour de retard, et Varatorn prit connaissance d’une expédition qui avait pour but de chasser les hérétiques de la région. Varatorn était contre le fait que l’on s’attaque à son peuple, mais si ce peuple ne reconnaît pas la légitimité du pouvoir et refuse de communiqué avec les dirigeants des Corporations, Armadas, Provinces, et même l'Empire, il est vrai qu’une hérésie peut être suspectée.
Varatorn était mal à l’aise avec cette idée de purger son propre peuple. Il s’oppose fermement à cela, ou du moins d’y contribuer. Varatorn demanda cependant à son scribe d’écrire une missive pour Penya, Thaumaturge de la Corporation des Arcanes pour lui soumettre un PNA, un accès territorial libre, Autorisation du libre commerce et pourquoi pas un Pacte Total.
Varatorn dit au scribe :
Note ceci, Moi Varatorn, Seigneur d’Aldanas, Palatin de Vénopole, Chef de l’Armada Echo’Avatar, je vous envoie cette missive pour vous inviter à discuter à la Grande Forge dans la Capitale de Vénopole.
Je sais que nos rapports de force passés doivent vous rendre mal à l’aise en lisant ceci, mais je peux vous assurer que je veux que cela change. Vénopole veut s’allier à vous, il recherche des alliers pour diverses choses notamment pour une unité. Au niveau de l'Empire, de plus en plus de troubles commencent à sévir, dû à l’auto-proclamation de Fardall. Je vous demande de venir pour que nous en discutions et aussi pour me faire pardonner pour ma réaction lors de notre première rencontre. J’étais aveugle et je m’en excuse, je vous présente mes sincères et plus plates excuses.
Vos amis et votre convoit sera logé et nourri au Château si vous le voulez bien, et je mettrais à disposition mon influence pour vous aider dans votre quête.
Mes sincères salutations, Varatorn, Seigneur d’Aldanas, Palatin de Vénopole, Chef de l’Armada Echo’Avatar, membres de la Corporation des Combattants.
Le scribe fit une copie de la lettre et la confia à un homme aux couleurs de Vénopole qui parti, sans plus tarder, dans le but de donner la missive à Penya.
Varatorn alla dans la salle administrative de la Grande Forge et consulta les registres. Il regarda les seigneurs habitant Vénopole, ainsi que des parchemins concernant les fonds de la province.
Aucune plainte concernant l’Etat des coffres, et surtout sur le taux d’imposition.
Varatorn alla à la bibliothèque et consulta l’histoire de la province de Vénopole, et bien plus tard dans la nuit, s’endormit sur un tome parlant des conflits contre l’outre-mer.
Varatornt après s’être penché sur les frontières de Vénopole bien gardées, pensa qu’il serait temps de se faire des alliers. Des messagers provenant des frontières informèrent Varatorn de leur état avec un jour de retard, et Varatorn prit connaissance d’une expédition qui avait pour but de chasser les hérétiques de la région. Varatorn était contre le fait que l’on s’attaque à son peuple, mais si ce peuple ne reconnaît pas la légitimité du pouvoir et refuse de communiqué avec les dirigeants des Corporations, Armadas, Provinces, et même l'Empire, il est vrai qu’une hérésie peut être suspectée.
Varatorn était mal à l’aise avec cette idée de purger son propre peuple. Il s’oppose fermement à cela, ou du moins d’y contribuer. Varatorn demanda cependant à son scribe d’écrire une missive pour Penya, Thaumaturge de la Corporation des Arcanes pour lui soumettre un PNA, un accès territorial libre, Autorisation du libre commerce et pourquoi pas un Pacte Total.
Varatorn dit au scribe :
Note ceci, Moi Varatorn, Seigneur d’Aldanas, Palatin de Vénopole, Chef de l’Armada Echo’Avatar, je vous envoie cette missive pour vous inviter à discuter à la Grande Forge dans la Capitale de Vénopole.
Je sais que nos rapports de force passés doivent vous rendre mal à l’aise en lisant ceci, mais je peux vous assurer que je veux que cela change. Vénopole veut s’allier à vous, il recherche des alliers pour diverses choses notamment pour une unité. Au niveau de l'Empire, de plus en plus de troubles commencent à sévir, dû à l’auto-proclamation de Fardall. Je vous demande de venir pour que nous en discutions et aussi pour me faire pardonner pour ma réaction lors de notre première rencontre. J’étais aveugle et je m’en excuse, je vous présente mes sincères et plus plates excuses.
Vos amis et votre convoit sera logé et nourri au Château si vous le voulez bien, et je mettrais à disposition mon influence pour vous aider dans votre quête.
Mes sincères salutations, Varatorn, Seigneur d’Aldanas, Palatin de Vénopole, Chef de l’Armada Echo’Avatar, membres de la Corporation des Combattants.
Le scribe fit une copie de la lettre et la confia à un homme aux couleurs de Vénopole qui parti, sans plus tarder, dans le but de donner la missive à Penya.
Varatorn alla dans la salle administrative de la Grande Forge et consulta les registres. Il regarda les seigneurs habitant Vénopole, ainsi que des parchemins concernant les fonds de la province.
Aucune plainte concernant l’Etat des coffres, et surtout sur le taux d’imposition.
Varatorn alla à la bibliothèque et consulta l’histoire de la province de Vénopole, et bien plus tard dans la nuit, s’endormit sur un tome parlant des conflits contre l’outre-mer.