Aux petites heures du matin, alors que le soleil sommeille toujours, laissant place à la lune blanche et scintillante ainsi qu'aux étoiles denses et uniformes, la ville capitale, éclairée par la faible lueur lunaire, sommeille elle aussi profondément. Le silence n'a jamais été aussi présent, tout le peuple dort tranquillement, ne se souciant que de leurs rêves, leurs désirs et leurs espoirs. La ville semble morte, mais à ces heures matinales, la capitale d'Argostole est pourtant très mouvementée...
Un groupe d'individus voit le jour. Des rebelles se soulèvent afin de contrer les menaces de l'Empire. Ils n'ont qu'un seul objectif et feront tout pour en finir avant que les hauts dirigeants ne finissent par les capturer. Bien entendu, personne ne connait l'existence de ce groupe, mais la capitale entière finira par aimer ces rebelles qui n'ont pas peur de l'Empereur, ces rebelles qui osent le défier, bravant le danger, tentant de vivre dans une paix saine et longue. Les jours se sont succédés et aujourd'hui leur groupe est assez important pour que la roue commence à tourner. Ces rebelles changerons le destin entier de Kalamaï en agissant contre la volonté même du grand Empereur.
Leur premier acte, ce soir là, fut très professionnel. Aucun indice ne fut laissé sur la scène du crime, mais leur plan avait été planifié depuis des semaines. Un marchand très important en Argostole ne cessait de répandre ses opinions impérialles. Cet homme admirait l'Empereur Enguerrand et il devrait en payer de sa vie.
Car le marché économique d'Argostole en souffrait. Les pauvres, oubliés par l'Empereur, n'avaient rien pour subvenir à leurs besoins. Ceux-ci étaient prédestinés à devoir soutenir l'Empereur, il n'oseraient jamais se relever contre les magouilles de cet homme. Ainsi, une fois libre de pouvoir agir économiquement en Argostole, ce peuple enfermé dans son propre malheur pourrait désormais entreprendre de grandes choses, et aider leur famille.
Lorsque le meurtrier entra dans la demeure du marchand, aucune réaction n'eut lieu. La maison était sombre et les rideaux ne laissaient que très peu filtré la lumière provenant de l'extérieur. Avançant à petit pas, l'homme ailé sortit sa dague, s'approcha du lit du marchand, tendit son couteau droit au cœur, et l'enfonça sans réfléchir, laissant le sang de l'homme se vidé tranquillement pour en mourir.
Le meurtrier ressortis tranquillement sans laissé aucune trace derrière lui. Sans que quiconque ne sache qui il était. Ni même ne le soupçonne car il n'avait jamais réellement défier l'empereur publiquement pour que quiconque pense devoir l'interroger. Mais ils doutaient bien fort que quiconque interroge qui que se soit face à ce meurtre, ceci ferait le plaisir de tous, sauf de l'empereur...
Un groupe d'individus voit le jour. Des rebelles se soulèvent afin de contrer les menaces de l'Empire. Ils n'ont qu'un seul objectif et feront tout pour en finir avant que les hauts dirigeants ne finissent par les capturer. Bien entendu, personne ne connait l'existence de ce groupe, mais la capitale entière finira par aimer ces rebelles qui n'ont pas peur de l'Empereur, ces rebelles qui osent le défier, bravant le danger, tentant de vivre dans une paix saine et longue. Les jours se sont succédés et aujourd'hui leur groupe est assez important pour que la roue commence à tourner. Ces rebelles changerons le destin entier de Kalamaï en agissant contre la volonté même du grand Empereur.
Leur premier acte, ce soir là, fut très professionnel. Aucun indice ne fut laissé sur la scène du crime, mais leur plan avait été planifié depuis des semaines. Un marchand très important en Argostole ne cessait de répandre ses opinions impérialles. Cet homme admirait l'Empereur Enguerrand et il devrait en payer de sa vie.
Car le marché économique d'Argostole en souffrait. Les pauvres, oubliés par l'Empereur, n'avaient rien pour subvenir à leurs besoins. Ceux-ci étaient prédestinés à devoir soutenir l'Empereur, il n'oseraient jamais se relever contre les magouilles de cet homme. Ainsi, une fois libre de pouvoir agir économiquement en Argostole, ce peuple enfermé dans son propre malheur pourrait désormais entreprendre de grandes choses, et aider leur famille.
Lorsque le meurtrier entra dans la demeure du marchand, aucune réaction n'eut lieu. La maison était sombre et les rideaux ne laissaient que très peu filtré la lumière provenant de l'extérieur. Avançant à petit pas, l'homme ailé sortit sa dague, s'approcha du lit du marchand, tendit son couteau droit au cœur, et l'enfonça sans réfléchir, laissant le sang de l'homme se vidé tranquillement pour en mourir.
Le meurtrier ressortis tranquillement sans laissé aucune trace derrière lui. Sans que quiconque ne sache qui il était. Ni même ne le soupçonne car il n'avait jamais réellement défier l'empereur publiquement pour que quiconque pense devoir l'interroger. Mais ils doutaient bien fort que quiconque interroge qui que se soit face à ce meurtre, ceci ferait le plaisir de tous, sauf de l'empereur...