Dans les collines de Scitopole

Uzul qui se tenait en face de l'inconnu était vraiment très décontracté contrairement à la rencontre avec l'elfe.
L'homme s'était donc présenté enfin il avait dit qu'il avait fait parti de la bataille des rebelles contre l'empereur Enguerrand.

Mes salutations ; je suis … enfin, vous me nommerez Geoffrey, quant à mon visage, vous l’avez certainement vu ses dernières années ; que ce soit en scitopole …
… ou sur le champ de bataille. Quant à ma présence ici … comme vous pouvez le voir, j’étais en ce moment même en train de discuter avec cette jeune céléstiale ici présente …
Mais peut-être que ma présence auprès d’elle vous dérange ? Si c’est le cas je m’en excuse.

Après ces paroles le célestial se souvenu de son visage dans le champ de bataille. Il se souvint de l'emblème de l'ancien empereur sur son armure durant la bataille.

" Oui, je me souviens maintenant ! Vous étiez du côté de l'ancien Empereur, ne vous inquiétez pas, je ne vous en tiendrai pas rigueur même si je devrai vous ligoter sur le champ et vous emmenez à la capitale !
Mais trop de sang a coulé, ne vous inquiétez maintenant que tout est finit, tous les êtres sont maintenant égaux selon moi ."

Il s'arrêta quelques secondes et il regarda sa disciple. Celle-ci était gênée de ce qui ce passait, mais Uzul lui fit un léger sourire.Puis il répondit à la question de son interlocuteur.

" Ne vous inquiétez pas. Je sais ce que vous avez enduré après cette défaite, et je pense que malgré tout vous êtes un homme bon. Vous pouvez resté autant de temps que vous voulez."

La voix de l'homme fit ressortir Wisteria de ses pensées :

- Rhalala, je crains que notre discussion doive cesser un instant, me feriez-vous l’honneur de me dire votre nom avant que nous soyons interrompus ?

Elle glissa alors sa réponse dans un murmure

Je me prénomme Wisteria, je ne sais même plus d'où je viens. Et vous? Vous êtes?

La jeune célestiale espérait que son interlocupeur arrverait à lui répondre rapidement mais décida de rester silencieuse jusqu'à ce que son maître la questionne ou lui donne la parole.

Invité

Depuis mon départ de la corporation, j'avais courru à toute jambe bien petite qu'elle soit, n'importe où. J'allais enfin me reposer, car la nuit approchais ou bien c'est mes yeux qui fesais la noirceur de ce paysage.

J'avais cru entendre des paroles non loin de là, ne comprenant pas pourquoi ni comment, mais mes jambes s'avancèrent vers les paroles. Que se soit par curiosité ou bien par envie, j'avancais sans pouvoir m'arrêter. Rendu assez près pour que je puisses voir, je vis avec émerveillement 2anges... et un humain.

Des anges ici, allait-il apporter l'humain avec eux? Quand même les anges viennent des cieux pas de terre. Si c'étais un piège et que ces deux anges ne voulais que la bourse ou l'or de l'humain? Il faut agir et vite.

Sortant mon grimoire, je lu la table des matière et trouva un de mes sorts préféré. La danse irrésistible d'otto. Grâce à cela, la cible est oubliger de danser durant quelques temps. Je ferma mon livre et me dirigea vers eux avec empressement. Je fonca vers le célestial et lui assèna un coup de baton qu'il évita avec facilité. Je me recula vers l'homme et avec puissance lanca aux célestiaux:

N'approcher pas de moi ou de cet homme faux ange, sinon...

J'avais complètement oublié mon sort juste en entrant dans l'action. L'oubli est parfois très bonne dans certaine occasion, mais là, c'étais pas tellement le moment pour un ouli. Dans le trouble avec un air de faux sérieux je continua ma phrase:

sinon... Ehhh... je transforme vos ailes blanche en ailes orange et comme ca, celui qui vous a vendu votre déguisement ne voudra pas le reprendre. Hahahahahahaha

Un autre personnage s'était joint à la discussion, celui-ci faisait rire Uzul. Il avait apparament envie d'attaquer les 3 personnages qui se dressait en face de lui. Cependant, d'après Uzul, il ne savait pas qu'une armée était dans les environs justes à quelques mètres.
Cependant Uzul repris un air sérieux et s'adressa à sa disciple.

" Montre moi ce que tu sais faire,
Maitrises cet imprudent sans le tuer. "

Il s'arrêta quelques instants et repris.

" Ne t'inquiète pas si je vois que tu es en mauvaise posture j'interviendrai !"

Puis il regarda fixement l'assaillant d'un regard noir et terrifiant . Il se tourna vers Geoffrey, et ajouta quelques mots.

" Regardons tranquillement le spectacle."

Et le célestial sourit à l'homme qu'il avait en face de lui, puis s'asseya sur un tronc d'arbre.

Sujet: Re: Dans les collines de Scitopole Dim 16 Nov 2008 - 16:48

Wisteria ne connaissait toujours pas le nom de celui avec qui elle parlait. Voila qu'un homme faisait son arrivée. Elle le prit pour un vieux fou. Il parlait d'ange, de déguisement...

Uzul ne semblait pas du tout content des propos de cet homme et donna des ordres à sa disciple.

" Montre moi ce que tu sais faire,
Maitrises cet imprudent sans le tuer. "

Il s'arrêta quelques instants et repris.

" Ne t'inquiète pas si je vois que tu es en mauvaise posture j'interviendrai !"

La jeune célestiale n'avait pas envie de se battre contre l'illuminé mais comment pouvait-elle désobéir à son maître?
Le feu lui monta aux joues et elle s'adressa à l'inconnu qui voulait repeindre ses ailes.

Pauvre fou!! Déjà mes ailes ne sont pas blanches et il est hors de question qu'elles passent à l'orange!! Je vous interdis de m'approcher!
Je ne suis pas déguisée je suis une célestiale...

Se rendant compte qu'elle n'obéissait pas, elle tourna la tête vers Uzul.

Maître... Pourquoi le maîtriser par la force alors qu'une explication non musclée pourrait lui montrer son erreur? Pourquoi toujours employer la violence?

Invité

Ivan regarda le demoiselle avec curiosité.
Il ne savait pas quoi répondre à ses paroles.
Ce pourrait-il que se soit de vrai ange?
Que oui ou non, le maitre avait dit de l'attaquer.
Ca n'allait pas être facile à comprendre.
Pour cette jeune demoiselle.
Une colère envahit mon corps.

Ne m'appeler pas pauvre fou.
Je ne suis pas fou, juste un peu petit.
La politesse ca s'apprend de nos jours.

Et reprennant mon allure sérieux.
Je me suis avancer vers la demoiselle.
Pas par pas, petit à petit.

Puis-je répondre à cette question?
En fait, les hommes t'elle que lui, n'aime pas se faire surpasser par les autres.
Vous avez mal choisi votre maitre.
Il ne veut que la force qu'à la sagesse.
Mais...
Ce sont vraiment des vrai ailes.
Nah, je ne peux pas y croire.
Les anges ne vivent que dans les contes.
Du moins, je le crois.
Bref, allons nous nous battre oui ou non?
Car, j'ai d'autre chose à faire qu'à vous regarder.
On m'attend ailleurs vers une ville.

[Etant donné ma disponibilité et le temps qui s'est écoulé depuis le début de ce RP je pense qu'il est plus simple de ne plus donner suite.
En plus il y en a d'autres en cours...]

Uzul quitta son royaume seul, laissant toute la gouverne à son second qui était aussi brave que diplomate.
C'est alors qu'il était dans les collines de Scitopole, errant, ne sachant pas vraiment où aller pour trouver sa dulcinée.
Il s'arrêta sur un rocher, le soleil tapait sur son crâne, la chaleur était intenable. Il prit donc sa gourde pour s'hydrater le gosier mais aussi pour mettre un peu d'eau sur la tête, afin de se rafraîchir les idées.
Sur son rocher, Uzul réfléchissait, par quel lieu allait-il commencer pour choisir son élu de son coeur.
Il pensa donc à la capitale où il avait quelques connaissances lointaines qui pourraient peut-être lui trouver une belle femme gracieuse et intelligente, un peu noble peut-être, cela arrangerait bien Uzul s'il monterait en grade quelque peu.
C'est alors qu'il prit la direction de la capitale avec son fidèle cheval nommé Zetrapou, un nom complètement loufoque qu'Uzul avait choisi lors d'un soir où la boisson avait été un peu trop forcé. C'était un cheval bleu, tel la Forteresse de son royaume, on aurait pu croire que ce cheval pouvait voler avec sa couleur ciel et son allure allant toujours plus loin.
Uzul sur Zetrapou était donc en direction de la capitale imaginant la femme idéale dans son esprit, assez mince mais pas trop se disait-il, un visage resplendissant,.....
Uzul avait vraiment un esprit mélancolique, rien ne paraissait le distraire autour de lui, les passants qui lui disaient bonjour, il ne répondait à rien, il regardait juste au loin. Juste les femmes pouvaient écarter son regard de l'horizon.
Il n'était plus très loin maintenant de la capitale, et s'exclama :

"Zetrapou, nous ne sommes plus très loin, allons trouver ma FEMME !
Allez plus vite ! "

Uzul avec son fidèle cheval était donc à quelques heures de la capitale, il lui tardait d'arriver à destination. L'idée d'avoir une femme, le mettait dans une joie impossible.