Le Quartier du Culte

Le siège de la Sainte Corporation du Culte de Kalamaï est une citée à l’intérieur de la Citée Impériale elle-même. Elle représente une partie conséquente de la ville, qui est elle-même immense, et de ce faite des murailles on été dressé autour du quartier du Culte, qui vue du ciel est une immense masse symétrique et circulaire. Trois gigantesques portes permettent de pénétrer dans le dit quartier. Ces portes sont toujours ouvertes et garder par la Sainte Armée. Une force militaire ne répondant qu’au Souverain Pontife et ayant une extrême loyauté envers lui du faite de leur croyance implacable, qui est d’ailleurs la raison pour lequel ils ont été choisie, on les nomme les Templiers. Leur nombre n’est connu que des hautes sphères de l’Eglise. Une fois les portes traversé vous aurez l’hommage de pouvoir contempler chaque temples et chaque chapelles dédier à un Dieu du Panthéon Blanc. Le quartier est aussi composé de grands jardins entretenu et relaxent, de tavernes pour se détendre et relâché la pression, de boutiques et autres commerces pour se satisfaire, de bibliothèque pour parfaire son savoir… Une vraie micro-ville. Ce quartier est réputé pour être l’un des plus sur de tout l’Empire, avec au bas mots, une patrouille à tous les coins de rues.

Au centre du quartier trône quartes immense édifices, la Grande Bibliothèque de Kalamaï, où tout le savoir et la connaissance y son jalousement gardé. La Maison de Guérison, au milieu d’un petit parc boisé, un coin vert manifestant la présence d’Adrien dans la Ville Impériale, se trouve une vieille bâtisse imposante de marbre blanc et de calcaire. De grands et nombreux vitraux irisent les lieux. Les couleurs brillent sur les murs et les allées, comme des arcs-en-ciel sur un nuage. Un large chemin où deux charrettes peuvent passer côte à côte relie la place centrale à cette maison. Le siège de la Sainte Inquisition, véritable forteresse, sinistre et effrayant comme il en est rare, qui inspirerais la terreur à qui oserai la contempler. Et enfin, la Sainte Cathédrale dédier à Kanderak, immense et magnifique, d’une sobriété époustouflante. C’est ici que loge l’actuel Souverain Pontife, l’Inquisiteur Arzhùl Gorbad.

Dernière édition par Arzhùl Gorbad le Lun 18 Aoû 2008 - 3:02, édité 1 fois

Après ce petit entrevu, le Palatin Oengus reparti vers sa patrie qui avait grand besoin de lui. Il laissa derrière lui un austère personnage au pied d’un édifice pas plus rassurent. La personne en question qui avait l’air d’être redevenu pensif. Puis Arzhùl se retourna pour se diriger vers l’intérieur de la lugubre battisse au moment où un homme en sorti en toute hâte.

Mon Seigneur, il fit une révérence tenez, deux messages de nos agents infiltrés. L’homme refit une révérence et repartie. L’Inquisiteur ouvrit la première missive. Elle était écrite de manière coder, comme Arzhùl l’avait appris à ses disciple, il avait appeler ce codage le glossia.



Arzhùl resta pensif, puis détruisit la première lettre, puis pris la deuxième missive pour la lire.



Arzhùl détruisit aussi la deuxième.

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Quelques instants plus tard.
Capitaine Sysk’o, je veux qu’une armée conséquente soit lever au plus vite ! C'est-à-dire demain cinq heure.
Ne réquisitionne pas que de la Garde Inquisitoriale, je veux aussi est surtout des Templiers pour ramener l’ordre par la suite.

Mon Seigneur ? Pourquoi faire appel aux Templiers ? La Garde Inquisitorial se suffit à elle-même…

Je sais très bien qu’elles sont les compétences de l’Inquisition. Et par Kanderak tu vas mettre ton animosité envers l’armée de l’Eglise de coté veux tu ! dit t il sur un ton irrité
La Garde pour la répression et les Templiers pour le maintient de l’Ordre. Point barre !
Tu as des directives, va les remplir au plus vite. On se rejoint demain à 5 heures et demi devant les murs de la citée. Et il y a intérêt que tout soit près pour le départ !

A vos ordres Seigneur !

Puis Sysk’o parti a son devoir.
Le Seigneur Gorbad, lui, traversa la place centrale pour ce rendre dans la cathédrale dédier à Kanderak. Il devait étudier certains dossiers puis se reposé avant de partir pour Vénopole.

Le Père Gunthar se dirigea vers les appartements du nouvel arrivant, le jeune Thangorthorim.
Il tapa a la porte puis entra dans la cellule.

Bien le bonjour a vous frère Thangorthorim.
Vos appartements vous conviennent t ils?

La cellule était plutôt confortable et bien aménager, sans parler de la vue imprenable sur les jardins.

Très bien, dit t il en se frottant la barbe, puis je m’assoir ?
Une fois assit, le vieux prêtre continua.

Notre Très Sainte Corporation a besoin de vous pour une tache toute particulière. Vous avez peu être entendu parler d’un ressente quête dans le nord ? De nouveaux territoires ont été revendiqués par notre Empire, et une colonie va être érigée. Et nous voulons que vous y alliez pour soutenir le Grand Prêtre. Le plus tôt sera le mieux, car le convoie a prit de l’avance.

Le vieille homme parlais lentement et calmement.

Vous serez accompagné par une délégation de prêtres, aux nombres de trente deux, qui seront sous votre juridiction, à moins que le Seigneur Gorbad n’en décide autrement bien sûr. Vous serez chargé de vous occupé des blessés et de la bonne propagation de la Parole de nos chères Dieux. Le Seigneur Gorbad vous indiquera quoi faire une fois sur place. Si vous partez tout de suite vous aurez une chance de les retrouvez en Edesse. Tenez leur itinéraire.

Le vieux prêtre tendis le parchemin au prêtre nain.

Le quartier de la sainte Institution était immense, Thangorthorim s'y perdait souvent, mais toujours un novice ou un prêtre prevenant lui indiquait le chemin à suivre.

Les appartements qu'on lui avait alloués étaient parfaits et la vue superbe.

Le père Gunthar qui avait procedé à son inscription le prevint que la grande croisade d'Edesse pour l'Empire avait besoin d'hommes et de ressources et que sa présence à la tête d'un escouade de prêtres serait la bienvenue.

Fort joyeux, il congratula le père d'une accolade naine bourrue et alla rassembler quelques uns de ses gens afin de participer à la grande Expédition du Nord.

Il fit trésser dans sa barbe les anneaux de guerre, de Brak et d'allégeance à l'Empire.

Enfin prêt, il sauta sur sa monture, un ours brun assez grognon et lança le cri de guerre de son clan.

Aedric flânait dans l'immense quartier du culte,sa faisait déjà un moment qu'il y loger,son visage recouvert de balafre reçues lors des ses excursion dans les quartier mal famés de la capitale,

au bout d'un petit moment il trouva ce qu'il cherchait :Le temple de Brak,le lieu était plutôt y sommaire,
la seule fantaisie du bâtiment était un bas relief situé au dessus de la porte répressantant Brak triomphant de ce qui semblait être un Seigneur Démon, Aedric rentra, lintérieur était tout aussi sommaire que l'extérieur, la salle n était éclaire que par un seul vitrail décorée de la croix de Brak.

Aedric n'était pas seul dans le temple,un minotaure d'une taille colossale était a genoux en pleine prière.

Aedric en fut dégouté qu'est-ce qu'une créature inférieur faisait dans le Temple de SA divinité...Se plaçant a l'opposé de cette infâme créature il se mit a prier Brak avec toute sa dévotion...

Un nain en armure arborant fièrement ses glyphes en hommage à Brak s'approcha de l'inquisiteur avec un oeil interrogateur.

B'jour mon fils, chuis le Chapelain Morgrim Grimisson, Prêtre de Brak et ici c'est chez moi, 'fin chez Brak. C'est bin la première fois que j'vois ton marteau dans les parages. Es tu nouveau dans l'coin ? Le nain fit mine de regarder le marteau de l'inquisiteur. Hmmm c'est pas d'l'ouvrage nain, pour sur ! Mais c'est une belle pièce d'arme qu'voilà. Prends en soin et elle prendra soin d'toi. Le prêtre avait une voix bourru et étouffé par sa volumineuse barbe. Des restes de son dernier repas était resté coincé dans sa Tromm, ce qui lui donnait un air comique et caricatural.

Le nain souriait.
Voilà une bonne initiative qu'marteler la raclure des bas fond, mais garde mon fils, vous portez les glyphe d'notre Corpus, n'l'en tachez pas ! dit le prêtre guerrier.
Il regarda la direction que l'homme lui indiqua. Lui, c'est Ash'Thaa, un guerrier Minotaure du clan Thaashar de la Zakinthe du Nord. Depuis qu'on s'connaît il a toujours fait preuve d'courage et d'ténacité, alors n'l'regarde pas comme ça ! dit t il d'une voix irritée.
Puis, se détournant complètement du sujet il tendit la main vers le marteau. Puis-je ? fit t il avec le regard du connaisseur. J'aimerais bien jeter un coup d'œil nain sur la bestiole pour voir un peu à quoi sa r'semble. Dit t il un sourire en coin.

Oubliant le minotaure Aedric confia son précieux marteau au prêtre.
Ce marteau ne vaut peut être pas les merveilles que votre peuple a crées mais croyait moi c'est pour moi la meilleur arme au monde dit il avec un sourir des plus sadiques





Edit : Longueur de post inadéquate. Merci de respecter le minimum de 5 lignes pleines.

Aedric était enfin de retour à la cité ,le voyage depuis Anaphe c'était plutôt bien passé sans attaques de brigands ou de pirates ,à son grand désespoir.
Comme à son habitude il franchit les portes de la cité impérial a pied son arme à l'épaule.Il se dirigeât vers le siège de la Sainte Corporation à fin de rejoindre sa cellule.
Son sens de l'orientation n'étant pas des plus développé il finit par se perdre dans l'immense quartier du culte.
Il finit par se décider a demander le chemin a un badaud qui lui indiqua le chemin avant de prendre ses jambes a son coup comme si il avait pris l'inquisiteur pour un vulgaire brigand.
Il suivit donc les indications et se retrouva devant une façade qui lui était familière.Le lieu n'avait pas changé depuis son départ pour Anaphe.Puis en ayant assez de rester sur le perron il se décida d'entrer.Le hall était désert comme vexé Aedric hurla : Il y a quelqu'un ici ? .Puis il s'assit sur une chaise attendant de voir si quelqu'un allait répondre.

Le hall était silencieux, d'un calme apaisant. Toutes personnes entrant dans l'une des nombreuses chapelles se retrouvaient serein et en harmonie avec elle-même. Un peu plus loin des cierges brûlais en hommage au Dieu vénéré dans cette paroisse. Puis, un peu après Aedric fut entré dans le lieu bénit, une personne totalement étrangère se leva et vint à sa rencontre.
Il avait ou plutôt elle avait une bure marron et resta encapuchonné quand elle s'adressa au nouveau venu.

Bonjour mon fils puis-je vous aidez ? Vous renseignez sur un sujet quelconque ? D'après le ton de sa voix la prêtresse n'avait pas l'air d'avoir plus de la trentaine, mais la bure, trop ample, ne laissait rien paraître de ses formes.

Peu après l'arrivée d'Aedric dans la salle,arriva une personne qu'il n'avait jamais vu auparavant celle-ci était toute encapuchonnée couvrant l'intégralité de son corps ce qui lui donnait un air plus que mystérieux,
lorsqu'il entendit sa voix l'inquisiteur fut surpris : c'était une femme.
Aedric enleva son propre capuchon dévoilant ses cheveux blonds.
Il fouilla dans ses poches et en sortit un parchemin ,plus précisément celui qu'il avait reçu a Anaphe.

J'aimerais bien savoir pourquoi on m'a envoyé cette lettre me demandant de me rendre ici le plus vite possible alors que j'étais à Thassopole?
Et puis d'abord qui êtes vous?Je ne vous est jamais vu ici.Vous m'avez l'air suspecte

Il avait dit cette dernière phrase avec un immense sourire et il prit son marteau comme si il s'attendait à ce que cet étrange individu lui saute à la gorge.

On entendit alors un VLOP! retentissant, et un paquet de chair et de plumes tomber du ciel. Balbuzard avait volé jusqu'à la cité impériale, mais son orgueil l'avait interdit de se rendre au quartier du culte en marchant, en risquant d'abimer ses trop précieuses ailes dans la cohue. Il cherchait alors le temple de Dinas et dans ces rues trop étroites, inadaptées à la voltige aérienne, s'était pris le fronton du temple de Brak en pleine face.

Il se releva en s'époussetant d'un air endolori, il déploya, plia ses ailes: elle n'étaient pas cassées, et globalement il avait réussi à bien se réceptionner. Ses membres en revanche étaient encore douloureux. Aussi c'est en boitant qu'il rentra dans le temple, en voyant ainsi un homme avec un marteau de guerre.

"Navré de vous déranger. Balbuzard du Dashilon, inquisiteur."

Je... Suspecte ? Mais... La femme avait l'air troublé... Une prêtresse de Damien monsieur, Alina Degarnot ! Et vous qui êtes vous ? Je n'apprécie pas vraiment qu'on me suspecte de quoi que ce soit dans un lieu Saint ! Dit-t-elle d'une voix autoritaire et prenant des mains la missive que lui tendit Aedric. Allez dans l'office du Chapelain Gunthar, c'est son sceau privé que vous voyez ici. Sa voix s'était radouci et calmer.

Puis un Célestial entra est se présenta.

Je suis Alina Degarnot, prêtresse de Damien, pour vous servir. Vous dites inquisiteur ? Je ne vois pas votre glyphe de la Très Sainte Inquisition ? Venez-vous de passer Ecclésiaste ?

"Mon insigne? Ma nomination doit être trop récente encore. Je suis théoriquement diacre. Mais peut importe tous ces détails, je cherchais le Temple de Dinas, peut être devrais je essayer plus loin."

Il détailla l'homme avec le marteau de guerre. Celui ci aussi serait un inquisiteur? Balbuzard aimerait volontiers s'associer avec lui dans ce cas, même si un inquisiteur de Brak n'avait pas le même code que celui de Dinas.

"Bien je vais peut être tout simplement vous laisser, il y a plus important que de s'occuper de ceux qui sont suffisamment maladroits pour se prendre le fronton des temples en pleine figure."

La tension tomba d'un coup lorsque le celestial tomba littéralement du ciel la scène avait un coté comique,la réaction de la femme encapuchonné qui se disait prêtresse de Damien le dieu des légendes,le fit aussi sourire lorsqu'elle lui parla du chapelain Gunthar ,la bonne humeur d'Aedric disparu ,il lui faudrait de nouveau supporter les leçons de morales du vieil homme mais bon si il le fallait.
Bon et bien je vais aller rendre visite a notre sympathique chapelain et la prochaine éviter de sortir de nul part tout encapuchonné disciple de Damien c'est plutôt effrayant.
Lui reprenant la lettre des mains ,il fit demi tour et se dirigea vers la porte.Au moment de sortir il se retourna une dernière fois et s'adressa au célestial.
Hé le piaf Dinas tu as dit,amusant comme dieu pour un inquisiteur,tu lutte contre l'hérésie avec de la bonté et de la gentillesse.Mon nom est Aedric de Nardogord souviens toi en.Quand j en aurais finis avec sa dit-il en montrant la missive Je te montrerais comment ce que s'est qu'un véritable inquisiteur.
Puis il se mit en route vers l'office du père Gunthar

"Mais je n'attends que ça mon cher. Revenez donc, je vous attends.

Je suis un célestial, pas un piaf, retenez le, Brute. Et avec de l'Humanité, on peut obtenir beaucoup de choses."

Balbuzard aurait bien voulu en imposer d'avantage, mais une articulation profita de ce moment précis pour le faire souffrir. C'est vrai que s'écraser contre un temple, ce n'était pas sérieux.

Certes Balbuzard était vexé qu'on lui parle sur ce ton, mais ce bourrin l'avait piqué suffisamment au vif pour attendre son retour.

Bien sûr, jeune ami, le temple de Dinas est part ici. La prêtresse lui indiqua le chemin, une fois que l'homme en rouge fut parti.
Ne vous inquiétez point Célestial, les adorateurs de Brak sont certes brutaux dans leur manière de faire et de parler, mais on peut compter sur eux. Soyez en sûr. Désolée d'écourté notre entrevue, mais j'ai une foule de document à rédiger, sans parler de mon travail de copiste qui s'accumule... Puis la prêtresse lui fit un bref signe de la tête et partis dans l'obscurité des voûtes. Balbuzard retrouva seul dans l’immense hall. La fréquentation du lieu Saint étant rare à cette heure tardive.