Marchand ambulant depuis plusieurs années déjà, Eliastofar voyageait depuis plusieurs jours sans croiser Âme qui vive. Sa cargaison constituer d'anciens bibelots acheté pour une bouché de pain a un elfe pressé de s'en débarrasser. Ces bibelots, il le savait, valait une véritable fortune dans les terres plus au nord et il s'en allait les revendre a un ami dans la région.
L’hiver arrivait à grand pas et déjà le sol se couvrait d'une fine couche de neige. Le vent glacial s'infiltrant partout, Eliastofar mis une buche dans son misérable feu de camp et serra sa cape contre lui. Assit, seul au milieu de nulle part, il eu tout le temps pour réfléchir. Des souvenirs remontaient à sa mémoire.
Son jeune âge, avec sa famille et leur jolie maison dans le sud. Sa mère, boulangère de profession lui avait enseigné bien jeune a se servir de ses mains et a effectuer de divers travaux. Son père, marchand lui aussi depuis longtemps l’amena lorsqu’il fut en âge sur les routes et il passa plusieurs semaines en sa compagnie, découvrant les merveilles du monde et les joies de voyager. Mais par un soir nuageux, alors que Eliastofar et son père pénétrait dans la vallée menant a leur chaumière. Deux elfes, la peau sombre et le visage sans expression, filèrent vers eux sur leurs puissants destriers. Sans même un mot, ils plantèrent leurs lames dans le pauvre corps du père du jeune garçon. C4e dernier, revoyant les elfes revenir a la charge courut a en perdre haleine vers le bois avoisinant. Il gagna au prix d’un terrible mal de jambe la forêt sombres et y pénétra sans trop savoir ou il se dirigeait. Les elfes, haut perché sur leurs chevaux prirent le corps du vieil homme et disparurent dans la nuit comme ils étaient venu.
Au matin, le jeune Eliastofar, alors âgé de seulement 11 ans réussit à retourner chez lui et tout ébranlé par ce qui venait d’arriver, il conta la terrible histoire à sa mère. Celle-ci fut atterrée. Elle s’enfermant dans sa chambre, pleurant jour et nuit la mort de son mari. Le pauvre Eliastofar dut se débrouillé par lui-même jusqu’au jour de ses 17 ans. Sa mère, devenu avec les années complètement folle passait ses journées alité et semblait vieillir dix fois plus rapidement. Décidément, la mort de son mari l’avait détruite. Au cours de l’année, Elle mourut et Eliastofar, plus rien ne le retenant chez lui, partit sur les routes faire ce qu’il savait de mieux, marchander. Le pauvre bougre n’avait rien et dut jouer dure pour se faire un nom et pour arriver à créer un commerce respectable. Les années passèrent sans histoires. Il accumulait des richesses, s’acheta une jolie maison dans un village paisible nommé Serdaran. La bas, il se fit rapidement un nom, participant a de nombreuse reprise a des œuvres caritative pour les mendiant et les nécessiteux. Pourtant, il se tenait loin des gens, ayant peur de s’engager par peur de perdre tout ceux a qui il s’attacherait…
Un bruit sortit Eliastofar de ses rêveries. Le vent toujours plus glacial lui apporta l’écho d’une branche qui craque au loin. Surement un animal désireux de retourner chez lui. Personne ne serait assez fou pour sortir en une pareille nuit. Soudain un puissant coup de vent fit vacillé les flammes l’espace d’un instant et une ombre apparus près de lui. D’un coup de poing, l’ombre l’envoya voler dans la neige. La peur le pétrifiant, il vit, impuissant, un homme de noir vêtu se pencher vers lui. Une douleur hallucinante lui prit au niveau de la gorge et se débattant, il sentait ses forces vitales décroitre a un rythme alarmant. Il sombra dans l’inconscience la plus totale. Il se réveilla le lendemain soir, du moi c’Est-ce qu’il croyait, changé. Ses canines devenu pointu, son teint pale.
Oubliant tout de sa précieuse cargaison, il se hâta de retourner dans son petit village paisible. La, il s’enferma dans sa maison et entreprit des recherches. Dans de vieux parchemins achetés il y a longtemps a un vieil homme fou, il trouva peut-être la réponse à sa question. Creusant ses recherches, il découvrit sa nouvelle nature de vampire, ses avantages et ses faiblesses. Il changea du tout au tout. Bedonnant autrefois, il décida de se mettre en forme et raffermit ses muscles. Il avait fait couper ses cheveux blonds prés court lui donnant un style bien à lui. Auparavant craintif et associable, son estime de soi remonta en flèche a la découverte des ses nouveau pouvoirs. L’être chétif n’était plus. Il était maintenant fonceur et déterminé. Ce subit changement étonna beaucoup ces concitoyens et il se fit que plus aimé dans sa communauté. C’est ainsi qu’à la mort du comte de Serdaran, celui-ci n’ayant aucun héritier, une grande élection fut organisé. Eliastofar s’y présenta sans trop d’espoir mais quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’il récolta plus de 85 % des votes du royaume. Devenu compte, il prospérait et continuait ses recherches sur la mort et son statut de vampire.
Il était un comte bon et juste, aimé des ses citoyen, et craint de ses voisins. La situation économique du royaume était florissante. Il avait horreur de l’incompétence et exigeait de ses collaborateurs la plus entière fidélité sinon c’était l’échafaud…
L’hiver arrivait à grand pas et déjà le sol se couvrait d'une fine couche de neige. Le vent glacial s'infiltrant partout, Eliastofar mis une buche dans son misérable feu de camp et serra sa cape contre lui. Assit, seul au milieu de nulle part, il eu tout le temps pour réfléchir. Des souvenirs remontaient à sa mémoire.
Son jeune âge, avec sa famille et leur jolie maison dans le sud. Sa mère, boulangère de profession lui avait enseigné bien jeune a se servir de ses mains et a effectuer de divers travaux. Son père, marchand lui aussi depuis longtemps l’amena lorsqu’il fut en âge sur les routes et il passa plusieurs semaines en sa compagnie, découvrant les merveilles du monde et les joies de voyager. Mais par un soir nuageux, alors que Eliastofar et son père pénétrait dans la vallée menant a leur chaumière. Deux elfes, la peau sombre et le visage sans expression, filèrent vers eux sur leurs puissants destriers. Sans même un mot, ils plantèrent leurs lames dans le pauvre corps du père du jeune garçon. C4e dernier, revoyant les elfes revenir a la charge courut a en perdre haleine vers le bois avoisinant. Il gagna au prix d’un terrible mal de jambe la forêt sombres et y pénétra sans trop savoir ou il se dirigeait. Les elfes, haut perché sur leurs chevaux prirent le corps du vieil homme et disparurent dans la nuit comme ils étaient venu.
Au matin, le jeune Eliastofar, alors âgé de seulement 11 ans réussit à retourner chez lui et tout ébranlé par ce qui venait d’arriver, il conta la terrible histoire à sa mère. Celle-ci fut atterrée. Elle s’enfermant dans sa chambre, pleurant jour et nuit la mort de son mari. Le pauvre Eliastofar dut se débrouillé par lui-même jusqu’au jour de ses 17 ans. Sa mère, devenu avec les années complètement folle passait ses journées alité et semblait vieillir dix fois plus rapidement. Décidément, la mort de son mari l’avait détruite. Au cours de l’année, Elle mourut et Eliastofar, plus rien ne le retenant chez lui, partit sur les routes faire ce qu’il savait de mieux, marchander. Le pauvre bougre n’avait rien et dut jouer dure pour se faire un nom et pour arriver à créer un commerce respectable. Les années passèrent sans histoires. Il accumulait des richesses, s’acheta une jolie maison dans un village paisible nommé Serdaran. La bas, il se fit rapidement un nom, participant a de nombreuse reprise a des œuvres caritative pour les mendiant et les nécessiteux. Pourtant, il se tenait loin des gens, ayant peur de s’engager par peur de perdre tout ceux a qui il s’attacherait…
Un bruit sortit Eliastofar de ses rêveries. Le vent toujours plus glacial lui apporta l’écho d’une branche qui craque au loin. Surement un animal désireux de retourner chez lui. Personne ne serait assez fou pour sortir en une pareille nuit. Soudain un puissant coup de vent fit vacillé les flammes l’espace d’un instant et une ombre apparus près de lui. D’un coup de poing, l’ombre l’envoya voler dans la neige. La peur le pétrifiant, il vit, impuissant, un homme de noir vêtu se pencher vers lui. Une douleur hallucinante lui prit au niveau de la gorge et se débattant, il sentait ses forces vitales décroitre a un rythme alarmant. Il sombra dans l’inconscience la plus totale. Il se réveilla le lendemain soir, du moi c’Est-ce qu’il croyait, changé. Ses canines devenu pointu, son teint pale.
Oubliant tout de sa précieuse cargaison, il se hâta de retourner dans son petit village paisible. La, il s’enferma dans sa maison et entreprit des recherches. Dans de vieux parchemins achetés il y a longtemps a un vieil homme fou, il trouva peut-être la réponse à sa question. Creusant ses recherches, il découvrit sa nouvelle nature de vampire, ses avantages et ses faiblesses. Il changea du tout au tout. Bedonnant autrefois, il décida de se mettre en forme et raffermit ses muscles. Il avait fait couper ses cheveux blonds prés court lui donnant un style bien à lui. Auparavant craintif et associable, son estime de soi remonta en flèche a la découverte des ses nouveau pouvoirs. L’être chétif n’était plus. Il était maintenant fonceur et déterminé. Ce subit changement étonna beaucoup ces concitoyens et il se fit que plus aimé dans sa communauté. C’est ainsi qu’à la mort du comte de Serdaran, celui-ci n’ayant aucun héritier, une grande élection fut organisé. Eliastofar s’y présenta sans trop d’espoir mais quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’il récolta plus de 85 % des votes du royaume. Devenu compte, il prospérait et continuait ses recherches sur la mort et son statut de vampire.
Il était un comte bon et juste, aimé des ses citoyen, et craint de ses voisins. La situation économique du royaume était florissante. Il avait horreur de l’incompétence et exigeait de ses collaborateurs la plus entière fidélité sinon c’était l’échafaud…