Vala, comme promis.
Par contre l'historique de Destinée concernant les gnomes est désolante car totalement désintéréssée de ces merveilleuses petites créatures bouuh. Il n'y a rien les concernant, c'est comme s'ils n'existaient pas ou peu. Ne m'en veuillez pas, j'ai dû faire appel à mon imagination.
INTRODUCTION
Narsé, aussi lointaine qu'inatteignable, immortelle et sage dans sa demeure étoilée, ne s'en trouvait pas moins proche de ses enfants, ceux qu'elle mit au monde dans l'au delà s'étendant jusqu'aux sous-sol endiablés et qu'on appelait plus communément dans les terres limités, inachevés des mortels : Les gnomes. Ceux-ci que peu d'entre les races eurent la merveilleuse chance d'apercevoir une seule fois dans leur éphémères existences, ou inaccomplis continuaient, au grand étonnement qu'elle pourrait portée à la connaissance de tous provoquer, de se voir engendrer des pensées mêmes de leur mère incarnée dans toutes choses née de ce monde, en accouplement avec la terre; produisant alchimie bienheureuse, harmonie totale.
Ainsi depuis les temps, les gnomes naissèrent, fort de ce mode naturel dont ils semblaient se délecter, et se multiplièrent à travers tout Kalamaï sans que nul, même informé de leur existence ne puisse estimer leur nombre étonnant, la prospérité qui les avait accompagné s'agrandissant , toute discrétion gardée , au cours des siècles écoulés. Vint il y a plusieurs siècles la naissance de l'un d'eux, qui allait marquer très rapidement sa destinée, celle que sa mère porteuse, représentante au corps charnel de Narsé lui découvrit très rapidement.
APPARITION
BRRRR.... Un grondement terrible rugit tout droit des entrailles de la terre, à des profondeurs abyssales presque aussi semblable que l'infini. Dans les océans de noirceurs qui en dominaient les splendeurs, une rage inextinguible s'éleva, gagnant en force comme éprise d'une véritable jouissance de ce qu'elle vivait à l'instant. L'heure sonnait pour les clochettes et celles ci sonnèrent, sonnèrent, de leur tintements aigus perçant jusqu'aux plus épaisses des parois, les échos de leur chants étouffés résonnant jusqu'à la surface de la terre, apparaissant alors aux autres races comme seulement, une fausse note dans le vent. Une impression.
Tel un chant d'honneur, une musique de bienvenue, très vite on les sentit acclamer le Nouveau-venu , - non encore véritablement venu - et sa nouvelle appartenance à ce monde. Le fétus, déformé, d'allure discordantes en tout point, ce que les humains jugeraient plus sévèrement comme laid ou affreux, né des entrailles de la terre, à s'élever et s défaire de ce maëlstrom de boue, de roche, d'eaux et de poussières; ainsi que toutes sortes de substances gluantes maternelles, de sécrétions dont les mères de la terre avaient le secret qui se déversaient de ce corps si petit, presque ubuesque à l'aperçu.
FORMATION.
Avenue de l'apparition soudaine, accompli, le tissu rocheux verdâtre, le voile protecteur de chair et de boue se déchira en monceaux éclatés sur le sol glissant, sablonneux et liquide en la totalité de ses endroits. Tête la première, le corps hâve et couleur cendre sortit du sol, et comme transporté en dessous par une force apocalyptique, s'éleva envers et contre tout, la force de la terre, milles fois son poids, pourtant insignifiante contre ses épaules resserrées, ses bras en forme de croix. On eut l'impression grandiose que le bas du corps malgré les tourments occasionnés se fondaient encore avec le sol, ne faisant qu'un avec le sol, mais qu'une corde invisible, impitoyable tirait et l'arrachait désespérément à ce lien. De cette forme découragé, déchiré en son fort intérieur de cette brusque séparation, d'avec son monde si connu, tant protecteur qu'emplies de chaleurs s'engagea alors un véritable tumulte qui alla s'opposer férocement à l'harmonie implacable qui se jouaient entre les clochettes.
Le premier cri du bébé gnome, déjà au coeur d'une bataille même si sonore, grandissant en puissance malgré le désarroi qui en perçait de façon intransigeante. Un bébé, plein de vie, qui aimait déjà faire usage de sa voix , il n'était point à douter. Il grandit, il grandit, de plus belle, luttes après luttes avec soit même, acharné contre l'extérieur, envers ses liens. Alors enfin, la tête d'une fragilité trompeuse se trouva à sa hauteur fixe, et la plante des pieds devenues indépendants, fut libéré de la terre et de toutes ces toiles de substances verdâtres qu'ils tenaient en leur possession depuis des temps indéterminés.
ATTRIBUTION.
Le braillard, vigoureux sans l'apparaître, gisant face à contre terre à bas ventre de sa mère éreintée sentit les nécessiteuses douleurs, achever son étrange composition. Et il brailla de plus belle, justement accompagné d'une incommensurable colère. Car ses oreilles, rondes comme la miches s'empressèrent de s'étirer de la plus tenace des gageurs.
Il advint ainsi que le gnome en arriverait à percer à des distances innommables les bruits, distinguer à proximité chaque son, aussi nombreux soient-ils.
Vint le tour des yeux qui muèrent d'une couleur noir d'ébène à celle d'un bleu pur saphir, pétillant, faisant apparaitre la magie d'une pixelisation outrageante à la pupille de son hôte. Le nouveau né, put constater à présent que sa vue plus perçante et précise que celui de faucon, pouvait dorénavant transcender à travers l'espace jusque dans la chair d'ou que soit les kilomètres qui le séparait, dans la lumière comme dans les ténèbres.
Pendant ce temps, résultant de l'allongement de son nez en pointe, l'ultrasensibilité et la célérité de l'odorat se firent sentir à point nommé, son flair devant un redoutable effet protecteur contre toute mauvaise infortune et surprise quand bien même elle soit belle.
La plus belle de ses attributions comme la plus douloureuses provint de son crâne plus déformé que toute autre, alors que son rapetissait en long dans le même temps par rapport à ses bras. Le cerveau qui enflait comme un champignon s'accompagna d'une effervescence de ses terminaisons nerveuses tandis qu'ils s'étendaient jusqu'à l'arrière des parties inexplorés du crâne.
La plus précieuse des transformation permit ainsi, dès sa naissance comme tout gnome, au nouveau né dès sa matérialisation de se doter d'une intelligence hors du commun.
DETERMINATION.
La mère porteuse, dans son étendue amour, au grand dam de sa fatigue, le couva comme elle put, mais celui-ci tendait déjà à s'échapper, à refuser son écrasante et imposante autorité. A genoux sur le sol, attiré par le rayon de lumière le bébé gnome s'empressa avec jubilation qui allait si tôt le caractériser de forcer vers son destin. La mère porteuse le remarquant, vint le frapper de sa douce voix par ses paroles qui faisaient soudain décliner en lui la volonté d'en approcher.
" Mon fils, vois la lumière et captives-en ses particules chatoyantes, elles stimuleront ta dévorante énergie qui fera de toi, égale à tous ceux de ta race, un être ardent, un féroce travailleur ! Comment ? D'ou te vient cette offusquation ? Très bien fais dont ce que bon te semble, bête d'humain obstiné.
....
Oh, sacregnome, vile créature rusée. Il a fallu que je m'endorme à tes côtés pour qu'en toute discrétion tu accours à cette lumière qu'auparavant tu feignais d'ignorer finalement.
Je vois. Ainsi dont, tu refusais d'en jouir car avenant de mon seul désir et non du tien propre mais n'en n'éprouvait pas moins belle attirance, et préfère en user quand je ne te le demande pas, quitte à faire de ton propre désir, concurrence au mien n'est-il pas ?
Petit être enquiquineur surfant entre la drôlerie et l'outrage, éperduement tendront à s'élargir ta ruse et ta prudence, comme follement enfouies dans l'essence même de ton âme, profondes et vivaces, viendront jaillir en ton fort, ton égo et tes ambitions.
Ton nom n'en devient que plus aisé à récompenser. Tilk, enquiquineur des sous sols, Nosferan, celui qui n'aura d'autres maitres que ses propres ambitions. Tilk Nosferan ainsi répondras-tu à ce nom. "
Par contre l'historique de Destinée concernant les gnomes est désolante car totalement désintéréssée de ces merveilleuses petites créatures bouuh. Il n'y a rien les concernant, c'est comme s'ils n'existaient pas ou peu. Ne m'en veuillez pas, j'ai dû faire appel à mon imagination.
NAISSANCE
.INTRODUCTION
Narsé, aussi lointaine qu'inatteignable, immortelle et sage dans sa demeure étoilée, ne s'en trouvait pas moins proche de ses enfants, ceux qu'elle mit au monde dans l'au delà s'étendant jusqu'aux sous-sol endiablés et qu'on appelait plus communément dans les terres limités, inachevés des mortels : Les gnomes. Ceux-ci que peu d'entre les races eurent la merveilleuse chance d'apercevoir une seule fois dans leur éphémères existences, ou inaccomplis continuaient, au grand étonnement qu'elle pourrait portée à la connaissance de tous provoquer, de se voir engendrer des pensées mêmes de leur mère incarnée dans toutes choses née de ce monde, en accouplement avec la terre; produisant alchimie bienheureuse, harmonie totale.
Ainsi depuis les temps, les gnomes naissèrent, fort de ce mode naturel dont ils semblaient se délecter, et se multiplièrent à travers tout Kalamaï sans que nul, même informé de leur existence ne puisse estimer leur nombre étonnant, la prospérité qui les avait accompagné s'agrandissant , toute discrétion gardée , au cours des siècles écoulés. Vint il y a plusieurs siècles la naissance de l'un d'eux, qui allait marquer très rapidement sa destinée, celle que sa mère porteuse, représentante au corps charnel de Narsé lui découvrit très rapidement.
APPARITION
BRRRR.... Un grondement terrible rugit tout droit des entrailles de la terre, à des profondeurs abyssales presque aussi semblable que l'infini. Dans les océans de noirceurs qui en dominaient les splendeurs, une rage inextinguible s'éleva, gagnant en force comme éprise d'une véritable jouissance de ce qu'elle vivait à l'instant. L'heure sonnait pour les clochettes et celles ci sonnèrent, sonnèrent, de leur tintements aigus perçant jusqu'aux plus épaisses des parois, les échos de leur chants étouffés résonnant jusqu'à la surface de la terre, apparaissant alors aux autres races comme seulement, une fausse note dans le vent. Une impression.
Tel un chant d'honneur, une musique de bienvenue, très vite on les sentit acclamer le Nouveau-venu , - non encore véritablement venu - et sa nouvelle appartenance à ce monde. Le fétus, déformé, d'allure discordantes en tout point, ce que les humains jugeraient plus sévèrement comme laid ou affreux, né des entrailles de la terre, à s'élever et s défaire de ce maëlstrom de boue, de roche, d'eaux et de poussières; ainsi que toutes sortes de substances gluantes maternelles, de sécrétions dont les mères de la terre avaient le secret qui se déversaient de ce corps si petit, presque ubuesque à l'aperçu.
FORMATION.
Avenue de l'apparition soudaine, accompli, le tissu rocheux verdâtre, le voile protecteur de chair et de boue se déchira en monceaux éclatés sur le sol glissant, sablonneux et liquide en la totalité de ses endroits. Tête la première, le corps hâve et couleur cendre sortit du sol, et comme transporté en dessous par une force apocalyptique, s'éleva envers et contre tout, la force de la terre, milles fois son poids, pourtant insignifiante contre ses épaules resserrées, ses bras en forme de croix. On eut l'impression grandiose que le bas du corps malgré les tourments occasionnés se fondaient encore avec le sol, ne faisant qu'un avec le sol, mais qu'une corde invisible, impitoyable tirait et l'arrachait désespérément à ce lien. De cette forme découragé, déchiré en son fort intérieur de cette brusque séparation, d'avec son monde si connu, tant protecteur qu'emplies de chaleurs s'engagea alors un véritable tumulte qui alla s'opposer férocement à l'harmonie implacable qui se jouaient entre les clochettes.
Le premier cri du bébé gnome, déjà au coeur d'une bataille même si sonore, grandissant en puissance malgré le désarroi qui en perçait de façon intransigeante. Un bébé, plein de vie, qui aimait déjà faire usage de sa voix , il n'était point à douter. Il grandit, il grandit, de plus belle, luttes après luttes avec soit même, acharné contre l'extérieur, envers ses liens. Alors enfin, la tête d'une fragilité trompeuse se trouva à sa hauteur fixe, et la plante des pieds devenues indépendants, fut libéré de la terre et de toutes ces toiles de substances verdâtres qu'ils tenaient en leur possession depuis des temps indéterminés.
ATTRIBUTION.
Le braillard, vigoureux sans l'apparaître, gisant face à contre terre à bas ventre de sa mère éreintée sentit les nécessiteuses douleurs, achever son étrange composition. Et il brailla de plus belle, justement accompagné d'une incommensurable colère. Car ses oreilles, rondes comme la miches s'empressèrent de s'étirer de la plus tenace des gageurs.
Il advint ainsi que le gnome en arriverait à percer à des distances innommables les bruits, distinguer à proximité chaque son, aussi nombreux soient-ils.
Vint le tour des yeux qui muèrent d'une couleur noir d'ébène à celle d'un bleu pur saphir, pétillant, faisant apparaitre la magie d'une pixelisation outrageante à la pupille de son hôte. Le nouveau né, put constater à présent que sa vue plus perçante et précise que celui de faucon, pouvait dorénavant transcender à travers l'espace jusque dans la chair d'ou que soit les kilomètres qui le séparait, dans la lumière comme dans les ténèbres.
Pendant ce temps, résultant de l'allongement de son nez en pointe, l'ultrasensibilité et la célérité de l'odorat se firent sentir à point nommé, son flair devant un redoutable effet protecteur contre toute mauvaise infortune et surprise quand bien même elle soit belle.
La plus belle de ses attributions comme la plus douloureuses provint de son crâne plus déformé que toute autre, alors que son rapetissait en long dans le même temps par rapport à ses bras. Le cerveau qui enflait comme un champignon s'accompagna d'une effervescence de ses terminaisons nerveuses tandis qu'ils s'étendaient jusqu'à l'arrière des parties inexplorés du crâne.
La plus précieuse des transformation permit ainsi, dès sa naissance comme tout gnome, au nouveau né dès sa matérialisation de se doter d'une intelligence hors du commun.
DETERMINATION.
La mère porteuse, dans son étendue amour, au grand dam de sa fatigue, le couva comme elle put, mais celui-ci tendait déjà à s'échapper, à refuser son écrasante et imposante autorité. A genoux sur le sol, attiré par le rayon de lumière le bébé gnome s'empressa avec jubilation qui allait si tôt le caractériser de forcer vers son destin. La mère porteuse le remarquant, vint le frapper de sa douce voix par ses paroles qui faisaient soudain décliner en lui la volonté d'en approcher.
" Mon fils, vois la lumière et captives-en ses particules chatoyantes, elles stimuleront ta dévorante énergie qui fera de toi, égale à tous ceux de ta race, un être ardent, un féroce travailleur ! Comment ? D'ou te vient cette offusquation ? Très bien fais dont ce que bon te semble, bête d'humain obstiné.
....
Oh, sacregnome, vile créature rusée. Il a fallu que je m'endorme à tes côtés pour qu'en toute discrétion tu accours à cette lumière qu'auparavant tu feignais d'ignorer finalement.
Je vois. Ainsi dont, tu refusais d'en jouir car avenant de mon seul désir et non du tien propre mais n'en n'éprouvait pas moins belle attirance, et préfère en user quand je ne te le demande pas, quitte à faire de ton propre désir, concurrence au mien n'est-il pas ?
Petit être enquiquineur surfant entre la drôlerie et l'outrage, éperduement tendront à s'élargir ta ruse et ta prudence, comme follement enfouies dans l'essence même de ton âme, profondes et vivaces, viendront jaillir en ton fort, ton égo et tes ambitions.
Ton nom n'en devient que plus aisé à récompenser. Tilk, enquiquineur des sous sols, Nosferan, celui qui n'aura d'autres maitres que ses propres ambitions. Tilk Nosferan ainsi répondras-tu à ce nom. "