La matriarche avait traversé la province sans rencontrer nul âmes qui vivent, seulement des champs et des fermes abandonnées, il y avait cependant une ferme qui semblai en meilleur état que les autres, Shaka y amena sa monture et en descendit. Apres avoir attaché les renes à une barriere, elle essaya de distinguer quelque chose à travers les fenetres mais celle ci était trop crasseuses pour que l'on puisse apercevoir quelque chose, il lui sembla cependant apercevoir quelque chose bouger, était ce une illusion du à la deformation des carreaux ou y avait t'il vraiment quelqu'un?
Elle frappa à la porte de bois disjointe en demandant asile pour la journée, personne ne repondit à sa requete, elle posa sa main sur la poignet et ouvrit la porte qui n'etait pas fermée.
Elle ne distingua d'abord rien, seulement une odeur de renfermée et de vieille cuisine, une fois ses yeux habitués à l'osbcurité elle distingua un peu la piece dans laquelle elle se trouvait, une piece rangeait, une salle modeste ou tronait en son centre une grande table, la cheminée etait eteinte depuis un certain temps deja, elle avanca un peu plus dans l'obscurité, les lattes de bois émettaient un craquement plaintif à son passage, et là, dans un coin, replié sur lui même se tenait quelqu'un, il semblait appeuré de la presence de l 'elfe.
-Je ne te veux pas de mal, je cherche un abri pour la journée.
L'inconnu lui repondit d'une voix un peu eraillée et grave qu'il voudrait bien l'acceuillir mais qu'elle n'aimerait pas rester ici, la matriarche chercha une lampe et l'alluma, l'homme se releva doucement, vouté sur lui même c'était un bossu, puis lentement il se tourna vers la matriarche qui etouffa un cri dans sa gorge, l'homme avait une bosse sur le front qui caché à moitié son oeil droit, il était d'une laideur repoussante.
-Les autres sont partit à la capitale lui dit il, ils ont tout abandonné pour un peu de richesse.
-Et tu n'es pas allé avec eux?
-non, il battaient le pauvre taol en disant qu'il était trop laid pour la cité.
Alors je suis resté là, avec la compagnie de la nature.
Shaka prit en pitié le pauvre malheureux et s'affligeat de tant de cruauté envers ce pauvre malheureux, les hommes n'avaient pas à être aussi cruels avec lui, la nature s'en était chargée.
Dis moi comment me rendre à la capitale, je souhaite retablir l'odre dans cette province desolée.
Le bossu lui traca un plan sommaire sur une planchette de bois qu'il tendit heureux à la matriarche.
Je reviendrai, Taol, tu es plus beau que la plupart des hommes de ce monde.
Elle sorti de la ferme et detacha son cheval, apres avoir glissé le plan dans un des sac et le grimpa et le fit partir en direction de la cité.
Sur le pas de la porte, Taol regarda cette etrange jeune femme ,qui ne s'etait pas moqué de lui, partir dans un nuage de poussiere.
Elle frappa à la porte de bois disjointe en demandant asile pour la journée, personne ne repondit à sa requete, elle posa sa main sur la poignet et ouvrit la porte qui n'etait pas fermée.
Elle ne distingua d'abord rien, seulement une odeur de renfermée et de vieille cuisine, une fois ses yeux habitués à l'osbcurité elle distingua un peu la piece dans laquelle elle se trouvait, une piece rangeait, une salle modeste ou tronait en son centre une grande table, la cheminée etait eteinte depuis un certain temps deja, elle avanca un peu plus dans l'obscurité, les lattes de bois émettaient un craquement plaintif à son passage, et là, dans un coin, replié sur lui même se tenait quelqu'un, il semblait appeuré de la presence de l 'elfe.
-Je ne te veux pas de mal, je cherche un abri pour la journée.
L'inconnu lui repondit d'une voix un peu eraillée et grave qu'il voudrait bien l'acceuillir mais qu'elle n'aimerait pas rester ici, la matriarche chercha une lampe et l'alluma, l'homme se releva doucement, vouté sur lui même c'était un bossu, puis lentement il se tourna vers la matriarche qui etouffa un cri dans sa gorge, l'homme avait une bosse sur le front qui caché à moitié son oeil droit, il était d'une laideur repoussante.
-Les autres sont partit à la capitale lui dit il, ils ont tout abandonné pour un peu de richesse.
-Et tu n'es pas allé avec eux?
-non, il battaient le pauvre taol en disant qu'il était trop laid pour la cité.
Alors je suis resté là, avec la compagnie de la nature.
Shaka prit en pitié le pauvre malheureux et s'affligeat de tant de cruauté envers ce pauvre malheureux, les hommes n'avaient pas à être aussi cruels avec lui, la nature s'en était chargée.
Dis moi comment me rendre à la capitale, je souhaite retablir l'odre dans cette province desolée.
Le bossu lui traca un plan sommaire sur une planchette de bois qu'il tendit heureux à la matriarche.
Je reviendrai, Taol, tu es plus beau que la plupart des hommes de ce monde.
Elle sorti de la ferme et detacha son cheval, apres avoir glissé le plan dans un des sac et le grimpa et le fit partir en direction de la cité.
Sur le pas de la porte, Taol regarda cette etrange jeune femme ,qui ne s'etait pas moqué de lui, partir dans un nuage de poussiere.