Le Monde de Kalamaï
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descriptionLa grande Aréne EmptyLa grande Aréne

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Si vous demandez à un Nardogord dans quel lieu du royaume on s’amuse le plus, il vous répondra la plupart du temps :
« l’Aréne par Brak ! ».

Mais pourquoi cet engouement ? Pour trouver la réponse à cette question il faut remonter à l’origine du royaume insulaire, le royaume de Nardogord fut fondé par 3 hommes :Gontrand Stein Moret ,dont les descendants deviendrait les suzerains du royaume , Heilamard Von Séviand ,le Marteau pourpre ,dont la descendance seconderaient les rois,et le dernier Asto Kandra.C’est ce dernier individu qui nous interesse.Ses deux compagnons avaient pris les places les plus importantes et il se retrouvait bien délaissé par le partage,il décida de se mettre le peuple dans la poche, mais les premiers habitants du royaume était des soldats venus du continent coloniserThassopole ,comment les satisfaire ?C’est la que Kandra eut une idée de génie ,il allait leur offrir à ces frais des batailles miniatures pour les distraire…Au début ces combats n’étaient que des affrontements entre bêtes puis petit à petit, on obligea des hommes à ce battre .Ces combats eurent un tel succès,que le roi lui-même décida de participer financièrement en construisant des locaux pour ces combats c’est ainsi que fut construit la grande aréne .Construit dans une pierre noire, le bâtiment était l’un des plus sinistre de la ville dépassant en taille le palais royale , l’édifice était capable d’accueillir deux fois la population de Del-Deleth la capitale du royaume,et à chaque ouverture la « Kandra » (en hommage à son fondateur) était remplie.On rentrait dans cette aréne par un porte gigantesque richement décorée que l’on appelée la porte d’Or, car c’est là que l’on pariait sur les futurs combats.Lorsque Del-Deleth fut rasée par le seigneur liche,celui-ci ne détruisit pas l’arène, il poursuivit même les jeux non plus pour le peuple mais son propre plaisir.C’est ainsi que l’aréne reste encore de nos jours le seul vestige du royaume des rois Moret.

Lorsque le roi liche fut chassé de la ville et Aedric mit sur le trône, le prêtre rouge vit dans l’arène une manière comme un autre d’honorer Brak en effet seul les forts survivaient aux épreuves de l’arène, mais il n’y vit pas que cela il y voyait une aussi une façon de déshumaniser les « non-humains » les faisant combattre tel des bêtes pour le plaisir des hommes.
Ainsi le bâtiment le plus ancien de la ville fut de nouveau agrandi,des cachots gigantesques pour y enfermer n’importe laquelle créatures de tout Kalamaï ,des mécanismes innovant pour faire entrer lesdites créatures, et toute sortes d’ autes innovations. La façade abrupte de l’arène fut décoré de divers bas reliefs représentant les victoires d’Aedric ou des allégories de Brak .Des mosaïques représentant de sanglant combat furent placé dans les couloirs menant aux gradins.Bref toute la cruauté du peuple Nardogord emmagasiné durant la guerre contre le seigneur Liche fut déversé dans ce lieu.Et elle y est toujours...

« La mort est une vérité ,le sang une réalité »
proverbe inscrit sur le fronton de l'aréne

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Suite à la victoire des armées de Nardogord sur les pilleurs venus de Zackinthe, l’arène avait été ouverte. Les prisonniers qui avaient été pris, ainsi que les plus grands gladiateurs de l’arène allaient combattre pour le plaisir du peuple. Les spectateurs vinrent de tout Nardogord et toute l’île de Cadeiron, et les pronostiques allait de bon train les terribles barbares de Zackinthe allaient il l’emporter sur les plus grands combattants de l’arène et les bêtes qu’elle habités. Devant la porte d’or les paris furent nombreux depuis le départ d’Aedric aucun jeux n’avaient été organisé, les grandes portes de fer du bâtiment s’ouvrirent, les habitants s’y engouffrèrent. Les gradins se remplirent et comme à son habitude l’arène était remplie. Le soleil éclaira alors les lieux de ses rayons puis apparut à un balcon dominant l’arène celui que le peuple appelé le maitre de arène.
Il portait un immense manteau noir, et son visage était recouvert d’un masque blanc ou était dessiné un visage neutre, c’était sans doute le personnage le plus mystérieux du royaume, nul ne savait son identité, certain disait que c’était un descendant de la famille Kandra, d’autre un plus fous pensait qu’il s’agissait d’un esprit hantant l’arène, les rumeurs les plus folles couraient sur lui, mais seul Aedric connaissait sa véritable identité. Il leva ses bras vers le ciel, et parla d’une voix rauque qui n’avait pas l’air naturel :
Peuple de Nardogord, nous sommes réunis de nouveau aujourd’hui, pour fêter notre victoire sur ces barbares de Zackinthe, la province de Brak dise-t-il mais dites moi Nardogord qui sont les plus grands servants de Brak ?
NARDOGORD ! hurlèrent les spectateurs
Bien mes amis, bien mais vous n’êtes pas venus pour m’entendre parler, c’est pourquoi peuple de Nardogord je t’ai préparé aujourd’hui un spectacle comme tu les aime, un spectacle sanglant, un spectacle digne de toi et de Brak.A présent que les jeux commencent.
La phrase fut suivit d’un hurlement générale.
Un groupe d’une vingtaine d’hobgobelins entrèrent alors, ils n’étaient pas armés, sa aurait put être dangereux. Tout de fois un tas d’armes avait été disposé au centre de l’arène maintenant qu’ils ne pouvaient plus ressortir qu’ils soient armés ou non ne changeait rien. Les goblinoïdes se saisirent des armes et regardèrent autour d’eux se demandant d’où viendrait le danger. Soudain une partie du sol se mit à descendre dans un bruit de rouage lorsqu’elle remonta, une créature apparut en même tant, un insecte d’un taille conséquente aux pinces et au dard acérés.Un scorpion géant.Sur son dard avait été tatoué une tête de sanglier, c’était un cadeau d’Aedric à l’arène.
Tu reconnais ton ami, Manjork, tu l’as déjà vu à l’épreuve, sera-t-il à la hauteur ou nos invités parviendront –ils a s’en sortir vivants.
Les hobgobelins se regardèrent entre eux, hésitants ,une hésitation qui fut fatale à l’un d’eux ,le dard de Manjork lui transperçant le corps, le scorpion envoya le corps de sa victime s’écraser contre le mur de l’arène ,provoquant un hurlement des spectateurs ,les condamnés se jetèrent alors en hurlant sur la créatures tous en même temps ,mais les armes de mauvaise qualité qui leur avaient été données ne pouvait rien contre la carapace du scorpion, ils périrent les uns après les autres ,l’un d’eux résista plus longtemps ,armé d’une lance il parvint même a percer l’un des yeux de la bête ,malheureusement l’euphorie le déconcentra un moment,Manjork profita de se moment d’inattention pour l’attraper avec ces pinces .C’était finit. Les goblinoïdes n’avaient eu aucune chance les jeux commençait toujours avec du sang…
Le spectacle continua, on y vit des hommes serpents, un mille pate géant et d’autre créature toute aussi exotique les une que les autres, en attendant aucun des prisonnier à être entré dans l’arène n’avaient survécus.
Nardogords, les bêtes ont assez joué pour aujourd’hui, il est tant de passer, à ce que vous appréciez le plus, les gladiateurs vont à présent entrer dans l’arène .Commençons avec la révélation des derniers, il fait partis d’une misérable race d’homme poisson mais il nous a montré qu’il savait se battre comme un lion, voici le Requin.
Il s’agissait d’un Sahuagin, il était recouvert d’une armure en écaille et armé d’un trident.
Face à lui, un géant, d’une taille colossale, accueillez notre prisonnier, notre sympathique barbare de Zackinthe.Pour ce genre « d’invité » qui pouvait s’avérer dangereux, quatre balistes était disposées tout autour de l’arène au moindre mouvement suspect le géant était transpercé d’un carreau géant.
Le géant était torse nu se qui montrait sa musculature surdéveloppée, il était armée de ce qui ressemblait à un gourdin, encore une fois les stéréotypes étaient respectés. La tache de l’homme poisson était difficile, réussir à abattre un adversaire faisant deux fois sa taille, n’était pas facile. Le géant pris l’initiative, frappant violement en direction du Sahuagin, celui-ci esquiva de justesse, il se jeta alors vers les jambes du géant lui enfonçant son trident profondément dans le pied gauche, le géant hurla de douleur en réponse à sa il attaqua avec encore plus de force, pendant une bonne minute le sahuagin esquiva les coups puis, sa chance cessa, frappé de plein fouet il fut tué sur le coup. Les guerriers de l’arène les plus célèbre combattirent le Vautour : le célestial aux ailes noires, le Boucher : l’orque armé d’une immense hache, le mur de fer un nain protégé par une lourde armure de fer, Le Bœuf un immense minotaure à la fourrure blanche, ils l’emportèrent. Mais les débutants comme le sahuagin eux n’eurent pas cette chance. C’est dans ces conditions qu’eut lieu le dernier combat, opposant le plus célèbre combattant de l’arène : le Sabre foudroyant au dernier géant à l’aspect redoutable. La particularité du Sabre est qu’il était le seul humain gladiateur car à l’inverse des autres il combattait ici pour la gloire et non pour survivre. Il avait de longs cheveux noir qui lui arrivait au milieu du dos, une mèche recouvrant son œil gauche, il était vêtu de vêtements usés, mais il portait à la main un sabre de facture magnifique le capuce décoré d’un serpent d’or, la lame quand à elle était décoré de runes indéchiffrable, nul ne connaissait l’origine de cette arme et de son manieur.
Le combat ne dura pas longtemps le géant comme tout ces congénères, frappa violament en direction de son adversaire, Sabre esquiva facilement, le géant frappa de nouveau, qui fut de nouveau esquivé, le gladiateur se jeta alors vers les jambes de son adversaire, il frappa au niveau du genou son adversaire tomba à plein ventre sur le sol, incapable de se relever, Sabre fit alors le tour de son adversaire se plaçant de sa tête, d’une voix que seul son adversaire put entendre il dit :
Désolée.
IL lui planta son sabre en pleine tête et dans un hurlement barbare de la foule, les jeux se finirent, Sabre poussa un soupir. Quand trouverais-je adversaire à ma mesure se demandait-il...

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Le soleil, se dressait fièrement dans le ciel lorsque le défilé commença. Sur les 5000 hommes qui composaient l’armée de Nardogord, seul les 3000 fantassins du royaume participait à l’événement .Aedric à leur tête. L’inquisiteur avait pour l’occasion revêtu ses atours de roi. La couronne du royaume visée sur son crane, une armure d’or en mémoire des rois Moret, une cape en velours rouge flottait derrière lui. L’inquisiteur sanguinaire avait laissé place au suzerain. Le défilé partait de la porte de la ville et s’arrêterais juste devant la porte d’or de l’Arène. C’est ainsi que sous les yeux du peuple les soldats commencèrent leurs longue marche dans les rues de la capitale .Tout les citoyens étaient dans les rues. Même si l’assistance au défilé, était obligatoire, il ne faisait aucun doute que les habitants du royaume n’aurait manqué ce spectacle pour rien au monde. Les soldats nardogords étaient donc la dans leurs armures de fer noir, qui se fondaient avec les murs d’enceinte de la ville, noirs eux aussi .A leurs cotés, se dressaient impassibles, les golems de combats. La fierté du royaume. Les meilleurs du monde disait on … Plus grand et plus large ses soldats ne connaissant ni la peur ni la douleur étaient les troupes de chocs les plus redoutable de tout Thassopole .Clôturant le défilé la garde personnelle d’Aedric, marchait dans leurs lourdes armure de fer, leurs visages masqués par de lourds heaumes, et en main de longues hallebardes. C’est ainsi que suivis de ses 3000 hommes Aedric marcha vers l’arène, acclamés par le peuple. Car même si en dehors du royaume le prêtre rouge était considéré comme un fou aveuglé par son fanatisme le peuple de Nardogord tout entier le considérait comme un sauveur et un redoutable guerrier. En arrivant aux alentours de l’arène Aedric reconnut le jeune Galtar, tout enchainé et entouré de deux gardes de l’arène. Il lui jeta un regard qui semblait dire Regarde à quoi tu t’oppose gladiateur.Puis soudainement, les portes de l’arène s’ouvrirent c’était l’heure des Jeux.
Une dizaine de minutes plus tard, l’arène était comme à son habitude bondée. Le peuple hurlait d’impatience

Du sang, du sang…

C’est alors qu’Aedric, assis dans son balcon privé au coté du maitre de l’Arène, se dressa. Il scruta la foule, son peuple, ses sujets. Ce peuple qui depuis qu’il avait reconquis sa liberté ne rêvait que de gloire et de conquête. Il prit la parole :

Peuple de Nardogord. Voici venir un jour nouveau. L’aire de l’esclavage est terminée, l’air de la reconstruction l’est lui aussi. Voici venir l’air du pouvoir Nardogord. Déjà Thassopole s’agenouille face à Brak et à toi .Cette province autrefois divisé s’unis pour servir le Tout-Puissant et tes intérêts. Le Sénat même n’obéit plus qu’à tes exigences. Et bientôt avec l’aide de Brak se sera l’empire tout entier. D’Edhesse à Etimon on n’entendra qu’un seul nom le tiens Nardogrod, on glorifiera ton nom et celui de Brak,tes armées marcheront sur l’Outre mer et sur tout les territoires connus et dans des siecles l’empire que nous fonderons tiendras toujours.Brak y sera glorifié les dieux sombres oubliés.Mais je vous ai assez embêtés Nardogords .Car l’heure n’est pas aux mots mais au sang !

Le maitre de l’Arène dit alors :

Mes amis il est tant d’accueillir nos deux premiers combattants, le premier t est bien connue, une créature qui t as tant amusé tu ne risque pas de l’oublier. Accueillez comme il se doit Boarium le Basilic.En face de lui un tout jeune venu, formé par le Marteau virevoltent en personne, je vous demande un tonnerre d’applaudissement pour celui qui participe à ses premiers et derniers jeux, Voici Poing d’Acier le guerrier venu de Zackinthe.

Une grille s’ouvrit ,il était temps pour le gladiateur de montrer de quoi il était capable,… dans l’arène.

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Galtar entendit son nouveau nom être clamé par le maître de l'Arène : c'était à lui. Au centre du cercle de sable se dressait un énormé Basilic, plus grand que le semi-gobelin au garrot. Tout comme Ukrimos. Seulement, cette fois, il allait vaincre. Il entra dans l'Arène, sous les hurlements de la foule. Le Vautour avait eu raison : c'était particulièrement grisant. Mais ça détournait l'attention, se dit Galtar lorsque les crocs du Basilic s'entrechoquèrent à deux centimètres de sa poitrine. Il ne paniqua cependant pas. Lorsque le monstre repassa à l'attaque, il dégaina à la vitesse de l'éclair ses deux lames, esquiva et creva les deux yeux du monstre. Ses lames y restèrent, pour l'empêcher de cicatriser les plaies. Il dégaina son glaive, alors que le monstre hurlait de rage et de douleur, puis il passa à l'attaque, lardant de coups les écailles du reptile, trop rapide pour que celui-ci puisse se défendre. Quand il se retrouva de nouveau nez à nez avec les crocs de la bête, il esquiva la frappe de ceux-ci et reprit ses deux lames, jetant à terre son glaive. Les yeux ne cicatrisèrent pas. Parfait ! Il savait maintenant qu'il avait l'avantage, car il avait gagné l'estime du Basilic. Il contourna alors la bête, et, sans qu'elle ait le temps de réagir, monta sur son dos, la domptant comme un cheval. Il planta ses deux lames dans ce qui devait être sa nuque, puis sauta à terre avant que Boarium ne s'effondre mollement dans la poussière de l'Arène, mort. Il ramassa alors son glaive, le regaina, et reprit ses deux épées courtes, puis les leva en signe de triomphe vers Aedric, comme l'exigeait la tradition. Le bourdonnement des acclamations réjouit Galtar. Son nom n'était pas encore gravé dans la légende, mais déjà il avait l'estime du peuple.

La foule hurlait son nom, hystérique.

- Poing d'Acier ! Poing d'Acier ! Poing d'Acier ! Poing d'Acier !

Il baissa les bras, puis recula au fond de l'Arène, dans l'ombre, en attendant qu'un nouveau challenger vienne le défier.

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Boarium avait été vaincu.Un nombre incalculable d'homme était mort par ses crocs.Et ce barbare venait de l'éliminer avec une facilité déconcertante.Aedric était vexé dans son amour propre.Ce Poing d'Acier n'allais pas ridiculiser son arène ainsi.Enfin bref il était temps pour lui de rentrer en scène.Il descendit dans l'arène.As'Elarith à la main.

Le seigneur Von Seviand va à présent nous faire une démonstration de ses talents,face à lui une créature des plus stupides ,mais aussi des plus fortes.Voici Grakmar le troll.

Sans se faire attendre ,la créature ,se jeta en direction de l'inquisiteur.Plaçant son marteau au dessus de sa tête ,Aedric attendit le troll .Puis au dernier moment il se décala ,il frappa violemment le troll sur
le flanc ,celui ci émit un gémissement de douleur,puis reparti à l'assaut envoyant volé l'inquisiteur.Aedric se releva immédiatement ,un peu sonné.C'est lui qui prit l'initiative cet fois,le troll frappa de nouveau du poing.Il fut stoppé d'un coup de marteau dans celui-ci,sa main se brisa dans un craquement sec,La créature s'écroula se tenant sa main brisé .Elle fut achevé prestement d'un coup à la tête. Et sous les acclamations du peuple il remonta à la tribune.

Les jeux continuèrent.Il y eut les grands classiques ,les prisonniers dévorés par les fauves,mais aussi un jeu qui plaisait particulièrement aux Nardogords.On le nommait couramment "Cours Gobelins!",on plaçait une dizaine de gobelins dans l'arène.Chaque spectateur pouvait alors miser sur le gobelins de son choix.Puis on faisait rentrer une créature quelconque ce jour là ce fut un chacal volant,aux ailes coupés pour éviter toute tentative de fuite.la créature se mettait donc en chasse des gobelins.Et le derniers vivant remporté la partie et était gracié.Toute de fois on notait qu'il y avait un gobelin libre ,"longue jambe" on l'appelait, sa faisait trois jeux qu'il remportait le jeux.
Divers combats opposèrent hommes et bêtes.Le devenu fameux Manjork le scorpion géant,mit vint à la vie de cinq jeunes gladiateurs.
Puis vint le temps des combats des gladiateurs,Vautour ouvrit les festivités écrasant son adversaires sous ses coups.Il fut suivis par le Boucher qui fit voler son énorme hache ,tranchant et déchirant ,tout autour de lui.Le sabre fit même une apparition tuant son adversaire à une vitesse ahurissante ,il était devenu encore plus fort.

Vos trois gladiateurs préférés,viennent de combattre.Il temps pour notre tout nouveau venu d'affronter,ses camarades gladiateurs.Je parle bien sur de Poings d'Acier et qui va-t-il affronter,le plus solide de nos gladiateurs l'inébranlable,Mur de fer.Le mur sera il brisé par la poigne de fer de son adversaire? Il est temps pour nous de le découvrir.Gladiateurs à vos places.

S'avança au centre de l'arène,un nain revêtu d'une lourde armure de fer,un immense bouclier à la main gauche et une hache de bonne facture à la main droite.Il était temps pour Poings d'Acier d'utiliser toutes ses capacités offensives.

Gladiateurs battez vous!

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Galtar fut de nouveau appelé au centre de l'Arène. Pendant le combat du Sabre, il avait étudié chacun des mouvements de son futur ennemi, et il savait les contrer. Le combat n'en serai que plus dur, car son échec aux premiers coups agacerait le Sabre. Mais pour l'heure, Galtar devait vaincre un nain, sans le tuer, avait dit le maître de l'Arène. Soit ! Il donnerai du spectacle. Lorsqu'il vit le nain, une évidence lui vint à l'esprit : son adversaire était très lent et très coriace. La solution pour le défaire était de tournoyer autour de lui avec ses deux lames, ne lui laissant pas le temps de porter un coup, pour au final l'épuiser et le jeter à terre. Le duel s'engagea. Poing d'Acier feintait, encore et encore, sans jamais infliger à son adversaire plus que des estafilades d'où le sang coulait, pour donner du spectacle. Galtar, extrêmement concentré, tournoyait avec une immense rapidité autour de son ennemi, et ses poignets s'agitaient si vite que l'oeil humain ne pouvait en percevoir les contours exacts.

Pendant ce temps, le nain battait le vide avec sa hache, frappant à des endroits d'où Galtar s'échappait comme un fantôme. Soudain, quand le semi-géant sentit son adversaire souffler, il regaina à la vitesse de la foudre ses deux lames, empoigna son glaive et engagea le vrai combat. Il frappa d'abord d'estoc mais le nain para de son bouclier, et riposta d'un coup de hache avec une puissance à laquelle ne s'attendait plus Galtar. A l'évidence, ce nain l'avait dupé, mais il ne pouvait plus reculer. La hache écorcha son avant bras et déchira la manche de sa tunique, lui infligeant une vive douleur. Enragé, le semi-géant lacha son arme et se jeta, armé uniquement des poings d'acier qui lui avaient donné son nom, sur le nain surpris qui n'avait pas encore relever sa hache.

Le premier coup de gantelet l'atteignit en plein visage, et le choc le sonna le temps qu'un deuxième coup s'abatte, sur son poignet cette fois, lui faisant lâcher son arme. A présent, les gladiateurs étaient à égalité : le nain, plus blessé que Galtar mais portant une armure, et Galtar, sans armure et ayant juste le bras écorché.

- Mort aux nains, murmura l'ex-Ménéxen à son adversaire avec un sourire sadique.

Puis son poing vola, allant frapper l'abdomen du nain, déformant son armure. L'autre partit également, faisant ployer le Mur de fer son une pluie de coups. Le pauvre ennemi de Galtar n'eut aucune chance. Il fut finalement jeté à terre, les deux lames sur la gorge.

- Nardogord ! Que dois-je faire de lui ? hurla le semi-géant à la foule en délire.

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Galtar venait de faire céder le Mur de fer.La défense d'acier du nain n'avait pas suffit contre la force offensive du semi-gobelin.Aedric avait été bluffé lorsque Galatr avait à main nue frappé l'armure de son adversaire ces gantelets d'acier était une arme magnifique et surtout destructrice.Il était temps de choisir si le nain méritait la vie sauve,enfin c'était au peuple d' en décider.Aedric fixa la foule avec attention,la plupart était mécontents,le Mur de fer était un gladiateur de premier ordre et la majeur parti des spectateurs avaient misé sur lui.Et sa le peuple ne le pardonnerait pas au nain.De plus aucun gladiateur n'avait été tué et le peuple voulait du sang.Il allait en avoir.

Achéve le Poing d'Acier ,un mur brisé ,est un mur inutile.Adieu Mur d'acier.

Il se ressaya regardant Galtar accomplir sa triste besogne lorsque le sang coula, un hurlement de satisfaction générale se fit entendre.Aedric sourit le barbare fournissait un bon spectacle ,et son peuple était ravi que demander de plus?Brak avait béni Nardogord lorsque les Ménéxéen avaient décidé de passer à l'attaque.Aedric fixa le semi géant depuis son balcon ,droit dans les yeux.D'un geste de la tête il lui fit signe de se mettre à l'écart pour laisser place au combat suivant.Les combats durèrent une petite heure. Après sa,il était temps pour les quatre gladiateurs les plus performant du jour de s'affronter.Les deux vainqueurs s'affronteraient alors pour désigner qui combattrait le champion en titre:Le Sabre Foudroyant.

Il est temps pour nous chers spectateurs ,de retrouvez nos combattants préférés pour les quatre derniers combat de ces jeux.Nous commencerons si vous le voulez bien Nardogord par un combat opposant,le plus féroce des gladiateurs ,le plus brutal ,un véritable colosse de la nature.Un beau spécimen de son espèce.Voici le Guerrier Boeuf.Le minotaure blanc s'avança d'un pas lourd.Pour l'affronter le gladiateur le plus impitoyable ,sa hallebarde à déja pris la vis à plus d'une vingtaine de gladiateur le Vautour.

Le célestial aux ailes noire s'avança l'air confiant encore il n'était qu'a quelque pas de la liberté .Ce n'était pas un minotaure qui allait l'arrêter.Utilisant sa plus petite corpulence,le celestial parvint à venir à bout de son adversaire le faisant chuter avec sa hallebarde.Dans sa chute le minotaure eut le temps de frapper une dernière fois son adversaire,d'un violent coup de hache.Le célestial esquiva le coup de justesse.mais il ne sortit de cette épreuve qu'avec une jolie blessure au bras.Le peuple gracia le minotaure qui avait depuis le début de la journée montré ses talents en matière de combat et de mise en scène morbide.Vautour était aux anges il fit un tour d'honneur sous les acclamations du public déchainé.Lorsqu'il passa devant la tribune du prêtre rouge il s'inclina humblement puis alla faire soigner son bras qui commençait à se faire douloureux.Il croisa alors Galtar qui se préparait à renter en scène.

Profite bien de ce combat barbare sa risque fort d'être le dernier.Puis il s'en alla sans attendre de réponse en rigolant.


Nardogord,voici venir le deuxiéme combat.Tu le connais c'est une icone de cette arène,il est grand,il est musclé il adore découpé ses adversaires en morceau,tu l'as connu grâce à sa hache,il va aujourd'hui te montrer les fruits de son entrainement à l'épée avec le Sabre en personne.Tu l'as connu dangereux.Tu vas le découvrir encore lus redoutable.Voici le Boucher.En face de lui,tu l'as découvert aujourd'hui,c'est un ancien ennemi,devenu l'allié de tes plaisirs,celui qui a fait plier le mur de fer:Poing d'Acier.


Aedric jubilait,Galtar était persuadé d'avoir été le seul à être entrainé spécialement pour ses jeux.Mais le maître de l'arène avait voulu améliorer le niveau de ses gladiateurs.Le Boucher était un test et surtout un grand obstacle pour le semi-géant.

Gladiateur combattaient !

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Lorsque Galtar entendit une troisième fois son nom, et qu'il découvrit dans l'Arène, l'attendant patiemment, le Boucher, armé d'une épée longue, il se sentit trahi. Aedric avait manifestement fait de lui une bête de cirque, et lui avait donné comme troisième adversaire un des plus terribles gladiateurs de Nardogord. Soit il voulait sa mort, soit il avait une grande confiance en lui, soit il voulait voir laquelle de ces deux choses Galtar méritait le plus. C'était surement ça. Poing d'Acier avait déjà tué deux grands de l'Arène, et ce n'était pas cet orque qui allait l'arrêter. Il le vaincra aussi facilement qu'il avait vaincu les autres.

Cependant, sa témérité s'affaiblit lorsque l'orque fit tournoyer son épée avec une grâce dont Galtar ne l'aurait jamais cru capable. Il avait été entraîné par le Sabre, c'était évident. Et lui, un barbare venu de Zakinthe, devrait tuer le maître et l'élève. Soit, puisque les dieux en voulaient ainsi. Poing d'Acier dégaina ses deux lames et dit au Boucher, en le fixant droit dans les yeux :

- Ce jour en est un bon jour pour qu'un autre meure.

Puis il attendit l'assaut de l'orque. Il savait comment parer ses coups, mais il ne devait pas montrer au Sabre, qui observait surement la scène, son style de combat. Les lames s'entrechoquèrent lorsque l'épée du Boucher bondit telle un serpent. Une des épées courtes de Galtar tenta une frappe au flanc de l'orque, mais ce dernier esquiva, et contre-attaqua si rapidement que Poing d'Acier n'eut le temps de parer qu'avec son bras. L'épée longue entailla sa chair, déversant son sang sur le sable couleur soufre. Un deuxième coup s'abattit avec vivacité, mais il rencontra cette fois une des lames du semi-géant, qui à son tour passa à l'offensive. Le Boucher, qui n'était pas par nature rapide, dut céder du terrain à son adversaire, mais ne prit aucun coup. Galtar avait cependant l'avantage de l'offensive, et il finit par déstabiliser son adversaire, comme il l'avait fait pour le Mur. Alors que le Boucher gisait au sol, il se jeta dans les jambes du semi-gobelin, l'obligeant à le rejoindre dans le sable. Le combat tournait au ridicule. Le Boucher reçut comme correction un coup de poing ferré dans son groin de porc. Alors que Galtar recupérait ses armes qui avaient chu comme lui, l'orque se releva d'un bond et asséna un coup de sa lame sur l'épaule du semi-géant, qui esquiva de justesse, mais conserva son équilibre. Les deux ennemis tournèrent l'un autour de l'autre pendant quelques minutes, reprenant leur souffle et guettant les faiblesses de l'ennemi. Puis le Boucher repassa à l'assaut, sans se rendre compte que Galtar avait une seconde d'avance. Une des deux épées courtes s'enfonça dans son ventre jusqu'à la garde. Alors qu'il grognait de douleur, le semi-géant dégaina son glaive et l'abattit sur le cou de son adversaire, qui roula au sol pour échapper à la morsure du métal, et se releva aussitôt, comme ignorant la présence d'une épée dans ses entrailles.

Le combat prit une tournure favorable à Galtar ; il fracassa des côtes, un bras et un doigt, et entailla de multiples parties de son adversaires, en s'en tirant avec des estafilades au torse et au visage, ainsi que sa blessure au bras gauche, déjà écorché par le Mur de fer. Il se battait si vite que son adversaire, épuisé par ses blessures, particulièrement celle, irréparable, de son ventre, s'effondra au sol, inconscient. Le semi-géant s'approcha du corps inerte et retira vivement sa lame, faisant jaillir le sang de l'orque, pour le plus grand plaisir de la foule. Il regarda Aedric et s'inclina légèrement devant lui, puis il se retira de nouveau dans l'ombre, laissant son ennemi au centre de l'Arène, se vidant de son sang sur le cercle qui en était déjà imbibé.

Encore une fois Galtar avait gagné, mais il fallait qu'il soigne au plus vite ses blessures, pour être en état de combattre le Sabre. Il appela dans cet objectif deux médecins des combattants, et en envoya deux autres chercher le Boucher, toujours étendu au centre de l'Arène, avant que le combat suivant ne débutte. Puis tandis que les médecins nettoyaient son bras, il dit au Vautour venu voir l'issue du combat :

- Tout le monde trouve un jour son supérieur.

Et il éclata de rire en voyant la colère et la frustration se mélanger sur le visage du Célestial.

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Poing d’Acier avait encore fait des siennes .Malgré de grande difficulté il était venu à bout du Boucher, qui se vidait à présent de son sang. Sa vie n’avait pas put être sauvé par le peuple qui en ultime hommage scandait le nom de son meurtrier. Nardogord ne respectait que la loi du plus fort et son ancienne idole ne l’avait pas assez été .Le combat suivant devait opposer Vautour et Poing d’Acier mais les deux gladiateurs souffraient de leurs blessures.Le prétre rouge se leva alors et dit :

Nos deux prochain combattants sont blessés en temps normal, je n’en aurais rien eu à faire mais ils m’ont bien amusé je vais leurs accordé un sursis. Sabre mon ami prépare ton épée… J’arrive.
Il avait dit la dernière phrase d’un ton menaçant, en réalité il accordait au champion un choix, perdre rapidement contre l’inquisiteur et affronter un adversaire encore blessé, ou faire tout pour vaincre son adversaire et en affronter un qui serait plus en forme .Aedric connaissait déjà la réponse .Tant mieux il allait pouvoir s’amuser.Contre un adversaire comme le Sabre, rapide ,Aedric n’utilisait pas son célèbre marteau ,il lui préféré une épée en fer noir, l’ancienne épée du seigneur Liche Akavir .Purifié et baptisé Un’aleric la lame des Dieux. Arrivé dans l’arène proprement dite, Aedric jeta un regard accompagné d’un sourire narquois au deux gladiateurs qui allait se disputer la chance d’affronter le Sabre.Puis tirant son épée Aedric exécuta un salut à son adversaire et se jeta sur lui.Sabre para facilement son premier coup et riposta rapidement parant de justesse Aedric dut céder du terrain. Les lames s’entrechoquaient, ne combattant pas avec son arme de prédilection Aedric avait déjà reçu plusieurs coups.C’est alors qu’à la vue du sang une lueur macabre apparu dans les yeux d’Aedric.La vu du sang le faisait toujours rentré dans une sorte de transe. Ou il devenait plus dangereux pour lui et pour les autres.L’inquisiteur frappa alors de plus en plus fort. Sabre parait toujours les coups mais il fallait l’avouer avec plus de mal.Puis soudain l’inquisiteur frappa du poing surpris le Sabre ne vit rien venir frappé au visage ,il tituba,un coup de pied l’envoya au sol.Aedric le regarda alors avec un visage de meurtrier assoifé de sang .Il en avait d’ailleurs le visage recouvert.Puis soudainement un sifflement en provenance du balcon ou siégeait le maitre de l'aréne se fit entendre et Aedric repris ses esprits.Et avec eux revenait la douleur.Rengainant son épée il dit au Sabre :
Nous avons assez joué je pense.Amuse moi autant à ton prochain combat. Dit-il d’un ton arrogant. Puis crispé par la douleur il remonta à sa loge ou son médecin personnel vint lui panser ses blessures.

Et bien je pense qu’il est temps pour nous d’entamer l’avant dernier combat de ses jeux .Mais quel combat! Le second meilleur combattant de l’arène l’impitoyable Vautour,en face de lui le tout nouveau mais tout aussi impressionnant Poing d’Acier lequel d’entre eux aura l’immense privilège d’affronter le Sabre .Les gantelets d’acier contre l’hallebarde .Laissons place au combat.


Pendant que le maitre de l’arène prononçait ce discours Aedric regardait Vautour, il avait bien grandis, il était devenu aussi bien plus dangereux. Vautour était dans cette arène depuis l’âge de 12 ans il en avait presque 20, 8 ans d’entrainement ,8 ans de combats .Une véritable machine de combat, formé par Polémélagos lui aussi. Les deux élèves allaient s’affronter.Aedric sourit a cette idée, qui s’effaça vite lorsque la douleur de son bras se raviva.C’est alors que le maitre de cérémonie hurla :

Combattez !

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Le Boucher, et maintenant le Vautour. Galtar grimaça. Aedric voulait-il qu'il se trouve épuisé lorsqu'il arriverait devant le Sabre ? A vrai dire, le seigneur n'y avait probablement pas prêté attention. Si Galtar tuait ses deux derniers adversaires, il gagnerait une place de choix parmi les grands de Nardogord, il le savait. Mais l'issue des combats semblaient de plus en plus incertaine. Il affrontait maintenant un être volant, armé d'une hallebarde. Il pouvait l'attaquer des airs, sans que Poing d'Acier ne puisse faire quelque chose. Il fallait donc qu'il lui arrache rapidement l'arme du célestial et la retourne contre lui. Ainsi, il pourrait vaincre. Il savait qu'il vaincrait, mais quel serait le prix ? Qu'importe. Son objectif ultime était la liberté. Alors que le Vautour s'élevait dans les airs, légèrement au dessus du sol, le semi-géant, qui n'avait pas dégainé, le provoqua.

- Je sais maintenant pourquoi on t'appelle le Vautour. Tu te préciptes sur des ennemis faibles pour les achever. Tu es incapable de les terrasser toi-même, lâche.

Le célestial lui jeta un regard de dédain. Pour qui ce barbare se prenait-il ? Lui, Vautour, avait terrassé bien plus d'ennemis, et bien plus dangereux, que ce Poing d'Acier.

- Allez, viens ! Je vais te montrer ce qu'un vrai guerrier a dans le ventre.

Vautour passa à l'attaque, si vif que l'oeil humain n'eut pas le temps de suivre le mouvement de l'arme d'hast. Galtar esquiva, sauta, et retomba sur la gauche du célestial. A présent concentré, le semi-géant envoya son pied frapper le genou de son adversaire, qui esquiva et tenta de faire reculer Galtar en le frappant avec le tranchant de la hallebarde. L'ex-Ménéxen sauta en arrière, échappant encore une fois à la mortelle morsure de l'arme. Alors que Vautour prenait confiance en lui, dominant totalement l'offensive, il fit une erreur. Il frappa avec puissance de la pointe de son arme, et se laissa emporter par son poids. Voilà l'occasion qu'attendait Galtar. Il empoigna la hampe et l'arracha d'un puissant pivot de la hanche. Désarmé, le Vautour s'éleva un peu plus haut et tira son épée de son fourreau. Le semi-géant, lui, se campa sur ses jambes puissantes et frappa son ennemi de la pointe de sa nouvelle arme. Vautour esquiva aisément, et piqua sur Poing d'Acier, épée en avant. Galtar se jeta au sol, lâchant momentanément la hallebarde, mais cependant assez longtemps pour que le célestial la récupère. De nouveau équipé de so arme de prédilection, Vautour eut un rictus de haine pour Galtar, qui n'avait plus d'autre choix que de briser l'arme, ou de mourir. Il choisit la première option. En effet, Vautour reprit le monopole de l'offensive, mais la hampe de la hallebarde fut brisée par une des deux lames de Poing d'Acier, que celui-ci avait dégainées. S'emparant de nouveau de sa propre épée, le célestial atterit et replia ses ailes, décidé à se battre au sol. Poing d'Acier sut qu'il avait gagné, mais que le plus dur était à venir. Pour le moment, aucun des deux antagonistes n'était blessé.

Galtar passa alors à l'attaque, battant son adversaire de vitesse. Celui-ci céda du terrain, mais réussit à entailler le flanc droit du semi-géant, qui grogna de douleur, mais repassa à l'attaque en virevoltant, perdant néanmoins son sang sur le sable chaud. Il frappa de taille le célestial, qui bloqua, contre-attaqua dans le vide et se prit un coup de lame dans l'épaule. Les deux adversaires étaient maintenant blessés. Galtar savait pourtant que sa blessure à lui était plus handicapante que celle de Vautour. Mais, sans que le célestial s'y attende, Galtar se jeta contre lui, tête la première. Sa plus grande force était son imprévisibilité, et il savait l'utiliser à souhait. Etonné, Vautour reçut un coup de tête dans le creux du ventre, et se plia en deux sous le choc, ce qui permit à Galtar de briser son nez grâce à un formidable coup de genou. Cependant le célestial n'avait pas dit son dernier mot. Il dégaina alors qu'il était plié en deux un poignard effilé et l'enfonça dans le flanc déjà touché de Galtar lorsque celui-ci lança son genou. Le semi-géant porta la main à la garde du poignard et l'arracha, hurlant de rage et de douleur. Tel une furie, il larda le visage plein de sang de son ennemi de coups d'épées, le défigurant à tous jamais. Puis, sans que le célestial ne puisse réagir, il le frappa de ses poings recouverts d'acier, et le laissa, vaincu près du bord de l'Arène, à mi-chemin entre la vie et la mort. Galtar ne voulait pas qu'il meurt, car vivant, il souffrirait son visage maintenant hideux, et ce pour l'éternité, puisque les célestiaux avaient la réputation d'être divins.

Crachant du sang, Poing d'Acier repartit dans l'ombre se faire soigner avant l'ultime combat contre le Sabre. Ses blessures lui avaient fait perdre une partie de son assurance, mais sa détermination contre-balançait son incertude. Sabre mourrait à ses pieds, et le geôlier qui l'avait maltraité aussi.

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Après le Boucher c’était au tour du boucher de tomber sous les coups de Poings d’acier. C’est sur ce n’était pas un combattant ordinaire, il avait gravi tout les échelons non sans difficulté mais il les avait franchis comme même. Sur sa route ne se dressait que deux chose : le Sabre et son épée. Le champion avait l’air sur de lui. L’était-il vraiment ? Personne ne le savait. Il avait regardé tout les combats du semi géants d’un œil attentif, il savait aussi que son adversaire avait fait la même chose. Sabre fixait son épée avec attention, comme si il tentait de communiquer avec elle, c’était la seul chose qui ne l’avait pas déçu sur cette terre. Sabre était un immigré prévézien, il était arrivé après la chute du seigneur Liche, il n’avait qu’un seul but devenir le plus grand combattant au monde. Et il n’avait rencontré qu’une personne aussi forte que lui le seigneur Von Seviand .Allait il en rencontrer une deuxième aujourd’hui au fond de lui il l’espérer profondément. Il voulait un rival, quelqu’un qu’il désirerait surpasser plus que tout au monde. Ce Poing d’acier pourrait il combler ce rôle ? Il allait le découvrir. Sabre regarda le seigneur Von Séviand se lever de son siège, un regard méprisant il n’aimait pas cette homme c’était une brute sans cœur, qui prenait un malin plaisir à voir les rêves de liberté des gladiateurs se brisaient mais Sabre n’avait pas le choix, il lui fallait beaucoup d’argent et le seigneur Aedric payait bien.

Peuple de Nardogord, mon peuple, il est tant pour nous d’assister au combat final des ses jeux, Boucher et Vautour sont tombé, Poing d’Acier est à un combat de la liberté.Mais sera il à la hauteur car se dresse face à lui le plus redoutable combattant de cette arène et surtout son épée. Brak ô toi qui regarde se combat, puisse tu l’apprécier autant que nous, et bénis ces deux combattants pour qu’ils donnent leur meilleurs d’eux même pour eux, pour toi et pour notre plaisir à tous. Regardons ces deux combattants s’affronter pour la fortune et la gloire dans ce combat tant attendu. Mettez vous en place et que le plus fort l’emporte.

Un orchestre se mit alors à jouer, un air rapide fort, qui excita le public qui était maintenant déchainé, beaucoup d’or était en jeu, et étrangement le Sabre n’était pas favori au vu des mises. On disait qu’Aedric avait lui-même misait une jolie fortune mais sur qui ?En tout cas le nom du vainqueur n’allait pas tarder à tomber.Chacun des spectateur scandait le nom de son champion.Les deux combattants se trouvaient maintenant au milieu de l'arène seul face à leurs destin.Sabre fit un salut poli à son adversaire.Et dit alors au milieu du brouhaha ambiant suffisamment fort pour son adversaire l'entende :

Bonne chance Galtar,Poing d'Acier,tu as fait preuve d'un grand courage et de talent de combattant rare.Je dois bien t'avouer que je m'attendais à affronter Vautour.Allez montre moi à quel point tu désire retrouver ta liberté.

Aedric se leva faisant signe à l'arène de faire silence.Elle se tut rapidement.Il espérait au fond de lui que les deux hommes survivent au combat il aurait besoin des deux,il avait d'ailleurs fait part de ce souhait aux deux combattants par le biais du Maitre de l'arène juste avant le combat.

Messieurs je n'ai qu'une chose à dire...
Combattez ! hurla l’arène toute entière

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Le grand moment était venu. Le Sabre se trouvait enfin face à Galtar. L'homme à l'arme quasi-légendaire salua le semi-géant.

Bonne chance Galtar,Poing d'Acier,tu as fait preuve d'un grand courage et de talent de combattant rare.Je dois bien t'avouer que je m'attendais à affronter Vautour.Allez montre moi à quel point tu désire retrouver ta liberté.

Poing d'Acier, ignorant sa blessure au flanc, salua respectueusement le Sabre et lui dit avec un sourire franc.

- Plus que vous ne pourrez jamais l'imaginez. Battons-nous avec honneur, et que le plus doué de nous deux terrasse son adversaire.

Les deux guerriers se mirent en garde et tournèrent l'un autour de l'autre alors que la foule scandait leur nom. Nardogord allait assister à un des plus grands combats de tous les temps. Tels le Chaos Bronek et l'Ordre Kanderak, Galtar et Sabre incarnaient l'Equilibre parfait, deux combattants surpuissants, qui allaient se battre sous les yeux d'Aedric Von Seviand, tel Hassar le Grand. Si le Prophète Aquilodon avait assisté à cela, il aurait atteint la béatitude. Ou considéré cela comme une hérésie. Puis les deux guerriers, plus concentrés que jamais, chargèrent en même temps, tels les dieux eux-mêmes. Les lames s'entrochoquèrent avec fracas, s'unissant, puis se séparant sous les yeux du peuple de Brak. Aucun des deux combattants ne parvint pendant une dizaine de minutes à prendre l'avantage, toute frappe rencontrant la défense de l'autre. Puis le Sabre, par un revers inattendu, réussit à envoyer son pied botté dans l'estomac de son ennemi, lui coupant momentanément le souffle. Il passa à l'attaque avec son Sabre, et Galtar l'esquiva, se fendit et envoya une estocade, qui fut parée. Le Sabre, par un mouvement rapide du poignet, fit bondir son arme qui alla s'enfoncer à l'endroit d'où Poing d'Acier venait de bondir. Cet erreur permit à Galtar de se jeter de tout son poids sur le côté de son adversaire. Les deux guerriers roulèrent au sol.

Galtar fut le plus rapide à se relever, mais Sabre donna un coup de tête dans son genou, et se releva, reprenant possession de son sabre et attaqua, assénant un coup terrible. Tel la faux de Nucter, la lame trancha net, traversant le gantelet, l'annulaire et l'auriculaire droit de la main droite de Galtar, qui laissa tomber son arme sous l'effet de la douleur. Le sang jaillit à flot. Prit de sa rage gobeline, Galtar profita de la satisfaction du Sabre pour entailler son poignet directeur, ce qui lui fit aussi lâcher son arme principale. Véxé de s'être fait ainsi piégé, Sabre envoya dans le visage de Poing d'Acier un crochet du droit dévastateur, qui lui brisa quelques os de la face. Le combat épique tourna à la rixe mortelle à mains nues. En effet, Galtar lâcha sa deuxième lame et utilisa tous ses talents en matières d'arts martiaux pour tenter de terrasser Sabre. Malheureusement, l'expérimenté gladiateur était également très doué dans ce domaine. Ayant tous deux une main inutilisable, ils frappaient avec leurs trois autres membres, dans un magnifique ballet de la mort. Galtar utilisait à nouveau les techniques de danse martiale que l'on enseignait à tous les fidèles de l'Equilibre, mettant ainsi Sabre au défi de vaincre un art qu'il ne connaissait pas. L'art mortel de Ménéxène eut finalement raison du Sabre. Il fut acculé par la fureur de Galtar et jeté à terre, comme tous les autres adversaires que Poing d'Acier avaient défaits aujourd'hui. Le Sabre sentit la mort venir de cet être étrange, animé par la fureur. Mais Galtar ne porta pas le coup de grâce, dans ses yeux se lirent la pitié pour le Sabre, jeté à terre. Et le concerné avait horreur de ça. Être pris en pitié par un débutant, ça non !

Enragé, il fut en une fraction de seconde sur ses pieds, frappant de nouveau. Pris de surprise, Poing d'Acier fut repoussé au centre de l'Arène à grand renfort de coups de poings, de pieds, de genous, de tête et même de coudes. Puis le combat se stabilisa de nouveau, alors que le peuple de Nardogord hurlait, hystérique, du sommet de ses gradins. Jamais dans l'Arène ne s'était déroulé de plus beau combat. Ni de plus long, d'ailleurs. Malgré toutes les blessures qu'ils devaient endurer, les deux combattants persistaient à se battre, l'un animé par l'appat du gain et l'espoir de voir un rival s'élever face à lui, l'autre par l'attrait de la liberté et du pouvoir. La foi en leurs compétences était la meilleure arme des deux antagonistes.

Puis le Sabre reprit l'avantage, multipliant les coups qui pleuvaient à présent sur Galtar Poing d'Acier. Sabre accula à son tour Galtar sur le mur de l'Arène, mais il se passa alors un phénomène étrange. Galtar, presque vaincu, sembla avoir un regain d'énergie. Ses yeux flamboyèrent de l'intérieur et il frappa d'un coup de poing si rapide et si puissant au milieu du thorax du Sabre que le gladiateur ne put l'arrêter. Il se sentit décoller du sol, éjecté par la force du coup, et retomber lourdement sur le sable, projeté sur une dizaine de mètres. Tel un fauve, Poing d'Acier bondit élégamment au côté de son adversaire sonné et l'immobilisa d'une prise si puissante qu'elle fit monter les larmes aux yeux du Sabre, pourtant habitué aux fractures et autres blessures graves. Puis le semi-géant frappa le crâne de son ennemi plusieurs fois dans le sable, jusqu'à ce qu'il soit à la limite de l'étouffement. Il récupéra alors le sabre légendaire à l'Arène et en menaça son propriétaire. L'ex-Ménéxen avait vaincu le plus grand des gladiateurs de ce monde, et lui avait donné un nouveau rival. Et avait achevé le combat par la plus grande symbolique de victoire du monde des guerriers : menacer l'ennemi avec sa propre arme.

La foule hurla en l'honneur des deux combattants, qui leur avait offert le plus combat de tous les temps. Galtar salua Nardogord, et clama sa victoire, puis laissa son adversaire se relever, le visage plein de sable. Blessé dans sa fierté, Sabre s'inclina devant Poing d'Acier, le premier des gladiateurs qui l'avait vaincu.

Galtar le salua à son tour, marquant ainsi la fin du duel. Puis les deux guerriers repartirent dans l'ombre après avoir salué la foule et le seigneur Von Seviand.

Dernière édition par Aquilodon le Mar 2 Mar 2010 - 20:53, édité 1 fois

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Alors c'était fait Sabre était détrôné ,vaincu.Le roi de l' arène avait été détroné,Poing d'Acier avait gagné.Deux sentiments abritaient Aedric ,la déception au fond de lui il savait qu'il aurait mieux fallu que le barbare de Zackinthe meure aujourd'hui.D'un autre coté si il s'avérait être un bon pion Aedric avait bien réussis son coup.Seul l'avenir le dirait.Mais Aedric n'avait absolument pas confiance en son champion.Il regarda son peuple exalté par le combat il ne l'avait jamais vu ainsi auparavant.Et cela le rendait le plus heureux du monde ,Nardogord ne craignait plus rien.Elle avait retrouvé la liberté et rien n'y personne ne pourrait la lui renlever.Et se serait pas un barbare de Zackinthe ,ni un faux prophète,ni même le frère de l'empereur Enguerrand qui y parviendrait.
L'arène se vida petit à petit.Chacun récupérant ses gains de la journée.Dans l'infirmerie de l'édifice Galtar attendait.La blessure sur son flanc le faisait souffrir et le médecin personnel d'Aedric s'en occuper.A coté de lui ,Boucher et Vautour était eux aussi allonger sur des lits les médecins s'activant autour d'eux.Le célestial avait repris conscience le visage couvert de cicatrices.Lorsqu'il s en était aperçu il avait pousser un hurlement de rage ,tout de fois il avait bien conscience d'être pour l'instant incapable de défaire poing d'Acier.L' état du Boucher était problématique ,une grande partie des ses organes avait été bléssé tout de fois ce colosse était encore vivant,un mage s'occupait de lui Von Seviand le voulait vivant, quel-qu'en soit le prix.Aedric en compagnie du maitre de l'Arène vint alors eur rendre visite .Aedric avait revêtu des vêtements de soie, et s'était peigné les cheveux,lui donnant un air noble et élégant toute fois ,quiconque qui connaissait le personnage ,en se laisserait pas leurrer par cet élégante apparence.A coté de lui le Maitre de l'arène il portait toujours la même tenu,mis à part son masque qui avait changé.Un large sourire le décorait ce qui lui donnait un aspect plutôt étrange.Pour finir Polémélagos était la aussi.

Et bien messieurs vous vous êtes mis dans un sale état tout de fois je dois bien vous l'avouer c'est les meilleurs jeux auquel nous avons eu le droit d'assister depuis la création de cette arène par Kandra.C'est pourquoi dans mon immense bonté vous êtes tous libéré.A condition de servir l'armée Républicaine ou une quelconque institution sous mes ordres vous acceptez?Galtar j'ai une proposition à te faire ou plutôt ton a ancien commandant en a une.Hein seigneur de l'arène ?.

Maitre Galtar ,j'ai une demande de haute importance à vous transmettre.Mon roi,Aedric souhaiterais que vous vous chargiez der mon entrainement au combat,en échange il vous promet à la fin de mon entrainement une place comme lieutenant des Chasseurs de Démons,ainsi qu'un salaire de colonel.


Il a oublié de préciser que si tu n'accepte pas je risque d'une d'être très vexé et tu te retrouvera les fers au pieds et tu retournera voir le géolier.Ainsi qu'à partir de maintenant si tu accepte mon offre.Ces deux là ,dit-il en montrant l'orc et le celestial,son à tes ordres.Tu accepte l'offre Poings d'Acier?

Aedric savait que si il voulait surveiller Galtar,il devait limiter ses actions un maximum quand à Vautour et Boucher s'était pour le surveiller.Le maitre de l'arène espérait que le célèbre gladiateur accepte de l'entrainer.Car avec son enseignement le seigneur Von Seviand serait enfin fier de lui.Polémélagos était resté silencieux il devait déjà laisser parler ses supérieurs

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Galtar avait enfin retrouvé sa liberté. Et voilà que Von Seviand voulait la lui reprendre, indirectement. Mais il serait patient. Un jour il aurait son royaume personnel et tous ceux qui l'avaient fait souffrir, excepté le Sabre, paieraient. La demande de l'Arène surprit cependant Poing d'Acier. Cet homme n'avait donc pas reçu d'éducation guerrière ? Si c'était ce qu'Aedric voulait, soit. En revanche, la présence des deux gladiateurs qu'il avait handicapé à vie ne l'enchantait pas le moins du monde.

- Je ne veux pas du commandement de ces deux là, un apprenti étant déjà une responsabilité suffisante, mais j'accepte, sire. Cependant, permettez-moi de vous rappeler que j'ai perdu deux doigts contre le Sabre. Il me faudra donc le temps que blessure cicatrise pour pouvoir enseigner le combat à l'épée avec efficacité. Nous pourrons cependant commencer dès demain à nous entraîner au combat à mains nues, le meilleur de tous. Je suis harrassé de fatigue aujourd'hui, et je ne suis pas en mesure de faire un combat de plus.

Il était évident qu'Aedric voulait le surveiller. Galtar devait paraître stupide s'il voulait atteindre son but et venger ses frères tombés. Au diable Von Seviand et Aquilodon : les deux étaient responsables. Et il tuerait les deux ou mourrait en les combattant.

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