Le Monde de Kalamaï
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Lorsqu'il vit tomber sous les coups de Sabre son dernier compagnon Ménéxen, Galtar gémit. Dans ses veines coulaient le sang des gobelins, mais aussi celui des géants et, choses curieuse, on le prenait souvent pour un orque. Alors qu'il se lamentait sur le sort de ses compagnons et qu'il maudissait Grodor de les avoir envoyés dans un piège, le gros geôlier vint descendre sa cage suspendue et l'ouvrit.

- Eh ! Toi là, l'orque ! cracha-t-il. Le maître gladiateur t'appelle.

La haine bouillonna dans les veines de Galtar. Un jour, il tuerait ce geôlier, il se le promettait. En attendant, il survivrait à ses combats dans l'Arène et vengerait ses compagnons massacrés. Le gros l'emmena dans une petite arène annexe, où les gladiateurs se battaient avec des armes en bois. Un grand homme vêtu d'une cotte de mailles les regardaient d'un air froid. Ses longs cheveux blonds laissaient penser qu'il était originaire des terres de Naxopole, ou de Scitopole. Il s'appuyait sur un marteau de guerre d'assez bonne facture, et en caressait inconsciemment mais continuellement le pommeau. Lorsqu'il vit le geôlier venir avec Galtar, son visage se fendit d'un large sourire.

- Ah ! Merci Tared, vous pouvez retourner à vos cages, ne vous occupez plus de celui-ci.

Sa voix était claire et joyeuse, quoiqu'assez faible. Mais Galtar savait que cet homme n'était pas ce qu'il paraissait. Et l'idée qu'il soit en son pouvoir le hérissait de dégoût. Pendant que le gros retournait à la prison, le grand nordique parla au Ménéxen.

- Tu es bien un de ces pillards de Zakinthe qui ont été vaincus sur la côte ?

Le semi-géant acquiesça, mais n'ajouta rien. Il se contenta de baisser les yeux. Quelle humiliation ! Devoir baisser les yeux face à un humain ! Il laverait aussi cet affront, et arracherait les tripes du bellâtre devant la foule enragée de l'Arène.

- Lève les yeux quand je te parle. Es-tu un fidèle de Brak, oui ou non ?

Galtar leva vers le maître des gladiateurs des yeux pleins de haine et répondit.

- Je ne sers que l'Equilibre, et son Prophète, Aquilodon.

Le maître gladiateur éclata de rire, à la grande surprise du semi-géant, qui était habitué à voir les gens s'incliner avec respect devant les Servants.

- Si tu veux survivre, mon ami, dit le nordique en essuyant ses larmes de rire, ne mentionne jamais la notion de Prophète. Et dis que tu sers Brak. Sinon, tu risques fort d'être brûlé vif, et je peux t'assurer qu'il n'y a rien d'agréable là-dedans, à en croire les cris de ceux qui le sont. Quel est ton nom, jeune effronté ?

Si seulement Galtar avait eu son glaive, et qu'il avait été en Zakinthe, sur son sol, il aurait ouvert le ventre de cet insolent. Pour qui se prenait-il donc ?

- Mon nom est Galtar de Ménéxène, répondit-il néanmoins.

Le maître gladiateur poussa un grand soupir et leva les yeux au ciel.

- Tu es à présent Galtar de Nardogord, jusqu'à ce que sire Von Seviand te rende ta liberté. Si tu la veux réellement, il va falloir vaincre. Et pour arriver à vaincre, il faut être fort, et rapide. Tu as vu Sabre à l'oeuvre tout à l'heure, non ? C'est ça que je vais t'entraîner à devenir. Non, en fait, mieux que ça. Le maître de l'Arène trouve Sabre gênant. En effet, celui-ci exige un paiement à chaque ennemi tué, et le maître de l'Arène ne peut s'en débarrasser, sans quoi le public déserterait le grand spectacle.

Galtar sourit amèrement. C'était donc ça que l'Equilibre lui avait réservé ? Devenir une machine à tuer, ou être tué par un humain ? Soit, s'il n'avait pas le choix, il devait emprunter la voie que les dieux lui avait donné.

- Alors commençons tout de suite, maître.

- Sache que mon nom est Polémégalos, mais "maître" est parfait. Tiens, prends ce bâton et ce bouclier, et résiste à tous mes assauts. Tu n'as pour cet exercice pas le droit de me porter de coup. Si tu le fais, moi aussi je tricherai.

Polémégalos empoigna son marteau de guerre à deux mains, alors que Galtar accrochait le bouclier à son bras et afirmait sa brise sur le bâton. Puis, sans crier gare, le marteau frappa, avec un rapidité si foudroyante que le semi-géant eut peine à parer. Une vive douleur lui envahit le bras droit, et il réprima un cri de souffrance. Déjà, le marteau se relevait en vue d'un nouvel assaut. Mais le Ménéxen savait maintenant à quoi s'attendre. Ici, tous les coups étaient permis. Et il fallait tous les utiliser si on voulait survivre. Il esquivait le marteau et frappa le poignet de son adversaire. Surpris que le semi-géant ait si vite compris les règles du jeu, Polémégalos n'esquiva ni ne para. Le bâton s'abattit sur son poignet, lui faisant lâcher son arme.

- Bien. Tu as rapidement compris qu'un gladiateur n'a cure des règles. Mais c'est le plus facile, bien que ceux qui ont trop d'honneur ne passent jamais cette leçon vivant.

Paroles qui n'auguraient rien de bon, de l'avis de Galtar. Ils passèrent à la leçon suivante : le combat à mains nues. Polémégalos terrassa seize fois son adversaire avec une extrême facilité. Le nordique, ayant ôté sa cotte de mailles, avait dévoilé son torse musclé et couturé de cicatrices diverses à Galtar. Au bout de seize combats, il luisait à peine, alors que celui du semi-géant était brillant de sueur. Polémégalos remonta dans l'estime Galtar, qui commença même à éprouver une sorte d'admiration pour ce guerrier infatigable qui l'aiderait à survivre et à regagner sa liberté.

- Tu n'auras à manger que lorsque tu m'auras vaincu, dit le nordique quand il eut vaincu Galtar pour la vingtième fois.

Le Ménéxen ne mangea ni ce soir là, ni le suivant. Polémégalos ne le ménageait pas. Il le frappait maintenant avec plus de violence, et lui parlait avec colère et une nuance de plus en plus forte de mépris. Son ton qui, le jour de leur rencontre était plutôt doux, était maintenant véhément, et les injures et les moqueries volait dès que Galtar s'effondrait une fois de plus à terre. Puis, lors du sixième jour de son jeûn, le semi-géant eut enfin droit à son repas.

C'était par une journée ensoleillée. Les gladiateurs se battaient comme à leur habitude dans la petite Arène d'entraînement. Galtar subissait une fois de plus leurs quolibets, alors qu'il venait une fois encore d'être jeté à terre par son nouveau mentor. Ce dernier le toisait avec un mépris si apparent que le semi-géant en prit peur. Mais sa rage et sa faim étaient plus fortes que son effroi, et, lorsqu'il se releva, il y avait dans ses yeux toute la force et la détermination d'une bête traquée et affamée face à ses chasseurs. Il savait fort bien que s'il ne parvenait pas à vaincre Polémégalos aujourd'hui, il mourrait soit de faim, soit sous les coups de son maître, déçu de ses trop maigres talents de guerrier. Cette certitude lui donna la puissance du désespoir, et il se jeta sur le nordique avec une fureur qui parut terrible à tous les hommes qui regardaient. En une dizaine de seconde, l'homme blond fut jeté au sol sans avoir put vraiment réagir et immobilisé par une prise qui le maintint face contre terre. Alors que le sable l'empêchait de respirer, il abdiqua en faveur de son élève. Ce soir là, Galtar put festoyer avec les autres gladiateurs, mais aucun d'entre eux ne voulut l'approcher, horrifié par la force qu'il avait manifestée contre Polémégalos, le meilleur d'entre eux, leur maître, le seul qui avait déjà gagné sa liberté. Le semi-géant s'en réjouit. Ainsi, aucun n'aurait envie de l'affronter quand viendrait l'heure de s'entretuer. Il vaincrait aisément et sortirait vainqueur, et libre, de l'Arène.

Il continua pendant plusieurs semaines son entraînement avec Polémégalos, et devint en quelques temps ce qu'un enfant barbare apprenait normalement à devenir en trois décennies : un guerrier impitoyable, sachant ignorer les codes de l'honneur mais aussi les respecter, capable de vaincre tout ennemi en combat singulier. Alors son mentor, impressionné par ses dons de combattant, lui imposa un combat contre cinq hommes avec de véritables armes, en l'armant d'un simple bâton et en lui ordonnant de ne tuer personne. Ce qui n'était pas précisé aux cinq autres. Au bout d'une dizaine de minutes, Galtar les avait tous mis à terre, et s'en tirait avec une simple balafre sur la joue : il était fin prêt pour le prochain spectacle où l'on verrait le Sabre, qui aurait lieu pour fêter le retour de sire Aedric. Il serait l'"invité d'honneur", et devrait vaincre tous les guerriers que lui imposerait le maître de l'Arène. Bien sûr, tout l'honneur rejaillirait sur Polémégalos, mais Galtar serait libéré s'il tuait le Sabre, ou tué si le Sabre gagnait. Concentré désormais sur son objectif ultime, à savoir détruire le plus grand de tous les gladiateurs de Nardogord, le semi-géant attendit avec une impatience fébrile le retour en Thassopole du Seigneur Von Seviand.

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Il était content ,il s'approchait de la liberté il le sentait.Le gladiateur n'avait comme d'habitude laisser aucune chance a ces adversaires , s'acharnant sur eux comme un charognard ,c'est cette façon de combattre qui lui avait valu le surnom de Vautour.C'était un célestial plutôt jeune ,et joli garçon petite particularité il avait les ailes noire.Il avait le visage toujours souriant même si une cicatrice se dessinait sur sa joue droite.Vautour avait suivie depuis quelques jours les progrès fulgurant d'un prisonnier de Zackinthe.Ce jeune débutant lui rappelait lui à ces débuts jeune célestial vendu par son père couvert de dettes à cet humain ce Von Seviand.Mais Vautour n'avait aucune haine contre Aedric ,même il le respectait car le prêtre rouge descendait parfois dans l'arène pour "s'entretenir" comme il disait et il avait vu de nombreux guerriers perdre face à lui. Ayant passé la majorité de sa vie dans l'arène de Nardogord ,Vautour n'avait connu que les combats ,tout de fois il s'était peu à peu lié d'amitié avec un autre gladiateur Le Boucher comme on l'appelait ,et ensemble il était les gladiateurs les plus appréciés de l'arène après le Sabre bien sur...
C'est ainsi qu'un soir durant un repas Vautour alla s'assoir à coté du nouveau et lui parla d'une voix bien amicale :
Salut ,je ne sais pas si tu m'a vu combattre ,on m'appelle Vautour un des plus grands gladiateur de Nardogord je t'ai vu t entrainer ,tu te débrouille bien on dirait le Boucher,quoique je ne suis pas sur que ce sois un compliment ,dit il en rigolant,alors mon gars on m'a raconté que tu voulais te frotter au Sabre , sa risque d 'être amusant tout de fois rappelle toi qu'on dit qu'il est aussi fort que le général Konk ,enfinje ne pense pas que tu le connaisse,certain vont jusqu'à dire qu'il pourrait rivaliser avec Aedric Von Seviand.Quoique j en doute.Bon je suis très bavard et je pourrais continuer comme sa longtemps quel est ton nom étranger et que sais tu du sympathique royaume que les tiens ont tenté de pillé?
Il parlait toujours d'un ton joyeux et rieur qui contrastait avec l'ambiance terne des locaux des gladiateurs...

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Salut ,je ne sais pas si tu m'a vu combattre ,on m'appelle Vautour un des plus grands gladiateur de Nardogord je t'ai vu t entrainer ,tu te débrouille bien on dirait le Boucher,quoique je ne suis pas sur que ce sois un compliment ,dit il en rigolant,alors mon gars on m'a raconté que tu voulais te frotter au Sabre , sa risque d 'être amusant tout de fois rappelle toi qu'on dit qu'il est aussi fort que le général Konk ,enfinje ne pense pas que tu le connaisse,certain vont jusqu'à dire qu'il pourrait rivaliser avec Aedric Von Seviand.Quoique j en doute.Bon je suis très bavard et je pourrais continuer comme sa longtemps quel est ton nom étranger et que sais tu du sympathique royaume que les tiens ont tenté de pillé?

- Mon nom est Galtar de Méné... hum.. de Nardogord, à présent. Ici, on m'appelle plutôt l'Orque, bien que je n'ai aucun sang orque dans les veines. Je ne sais de Nardogord rien de plus que ce qu'on a bien voulu m'en dire : c'est une terre riche, mais les moeurs ressemblent beaucoup à ceux de Zakinthe sous Megiddo. Une belle terre en perspective, que l'on m'a décrite. Ce que j'en ai vu ne correspond en rien à ce que l'on m'a dit. J'ai été fait prisonnier après une grande défaite, puis j'ai assisté au massacre de mes frères et maintenant, je suis un esclave destiné à vaincre ou à mourir.

Quant au Sabre, si l'on m'ordonne de le tuer, alors c'est ce que je ferai, et avec allégresse, si je peux ainsi regagner ma liberté et servir mon nouveau seigneur. Mais, libre, jamais je n'aurais eu envie de le défier.

Malgré les progrès fulgurants que Galtar avait fait, il savait pertinemment que le Sabre était un des guerriers les plus doués de Kalamaï. Mais il savait que lui aussi faisait partie de cette élite. Le Sabre avait, certes, bien plus d'entraînement que lui, mais il n'avait ni sa vigueur, ni sa jeunesse. Il regarda le Vautour dans les yeux et reprit.

- Et vous ? Qui êtes-vous vraiment ? Pourquoi vous battez-vous ? Pour l'honneur, pour la liberté, ou encore pour un quelconque dieu ? Et pourquoi vous adressez vous à moi plutôt qu'à un autre ?

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- Et vous ? Qui êtes-vous vraiment ? Pourquoi vous battez-vous ? Pour l'honneur, pour la liberté, ou encore pour un quelconque dieu ? Et pourquoi vous adressez vous à moi plutôt qu'à un autre ?

Pourquoi je m’adresse a toi mon grand, bas parce que j’en ai vu des gladiateurs défilaient dans cette salle, des elfes des orcs et toute les races de Kalamaï et je dois bien t avouer que c’est bien la première fois que je vois un débutant progressé au combat à une telle vitesse et ,donc cela m’intriguait. Enfin bref Galtard,tu m’as demandé pourquoi je combattais n’est-ce pas ,et bien parce que c’est la seul chose que je sais faire je suis arrivé à l’âge de 10 ans, je ne connais que l’arène les dix dernière années j ai tué tout les adversaires qui se sont présenté devant moi, et je continuerais jusqu'à ce qu’Aedric me rende la liberté ou que la mort me prenne. Et quoi que tu puisse en penser mon sort ne me déplait pas, les hurlements de spectateurs, ton nom résonant dans toute l’arène, le plaisir de voir ton adversaire s’écrouler dans un dernier soupir, tout sa me rempli d’un sentiment de joie. Ma seule déception est de ne pas pouvoir voler librement dans le ciel comme les oiseaux. Un jour je le sens toi et moi nous affronterons dans l’Arène ce jour un de nous offrira à l’autre une chance de combattre pour sa liberté et le plus fort l’emportera alors mon ami prie Brak car je ne perdrais pas celui qui battra le Sabre ici c'est moi…Passons, il serait temps de penser à ton armement a moins que tu ne compte de battre à main nue. Réfléchie bien ce choix sera capital ta vie en dépendra peut être.

Il avait ce don de parler de chose grave avec un ton joyeux et gai,il partis ensuite voir le Boucher qui était assis sur la table à coté en sifflotant...

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- Je connais parfaitement mon armement, crétin ! grommela Galtar lorsque le célestial le laissa seul.

Quelle répugnance habitait cet être ! Il se délectait de sa gloire et se complaisait dans la douleur de son adversaire. De plus, il n'avait rien compris. Galtar ne voulait pas combattre le Sabre, il le devait. Et il tuerait tous ceux qui l'empêcherait d'atteindre son but. Le Vautour, le Boucher, et tous les autres. Ils avaient tué ses frères, et lui les vengerait. Tel était le destin que lui avait donné l'Equilibre, il en était certain. Il retourna à l'entraînement. Il s'entraînait en ce moment au maniement du marteau, art martial dans lequel Polémégalos excellait. Il était déterminé à apprendre à Galtar toutes les techniques qu'ils connaissaient. Le semi-géant ne le battais pas si facilement, armé d'un marteau. Il était trop lent et trop prévisible. Le nordique voulait remédier à cela. A la fin de la journée, il n'était parvenu à rien. Il espérait fortement que Galtar n'avait pas atteint son maximum, car alors il serait terrassé par le Sabre avec une grande facilité.

Le lendemain, ils reprirent la leçon, au cours de laquelle Galtar vainquit trois fois son maître, usant de ses techniques les plus habiles. Satisfait, Polémégalos lui proposa de sortir dans la cité acheter son armement. C'était là une grâce que l'on accordait qu'aux meilleurs, et que seul le maître de l'Arène pouvait délivrer. Il plaçait assurément tous ses espoirs en Galtar pour éliminer ce gêneur de Sabre. Ils sortirent alors dans le rues de la grande cité de Nardogord, en quête d'un équipement qui pourrait contrecarrer la terrible arme qui avait donné son nom à Sabre.

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C’était un jour comme les autres qui s’était levé sur Nardogord, et comme tous les jours, les gladiateurs s’entrainaient dans la petite arène, tous étaient la. Ils furent soudain interrompus par l’arrivée de deux hommes .Le premier le plus petit, était vêtu d’un large manteau, et son visage recouvert d’un masque, une figure bien connu des gladiateurs : le maitre de l’arène. Une des plus grandes figures de l’arène .La personne qui l’accompagnait était quand à lui vêtu d’un large manteau rouge, c’était un jeune homme de 25 ans environ aux cheveux blonds, les gladiateurs le fixèrent avec intention les plus anciens le connaissaient et savaient ce que cela signifiait. Les nouveaux quand à eux se demandaient qui pouvait bien être cet inconnu.
La voix mécanique du maitre de l’arène s’éleva dans la petite arène
:
Qu’attendez vous bandes de larves retournez vous entrainez.

La consigne fut suivit à la lettre par les gladiateurs, Vautour jeta un regard à l’homme vêtu de rouge en souriant. Le deux hommes se dirigèrent vers Galtar ,qui s’entrainait avec son maitre Polémélagos .Arrivé à leur niveau l’homme vêtu de rouge parla :

Polémélagos, sa faisait longtemps on ne s’était pas vu depuis que votre dernier protégé est mort dans l’arène. C’est donc sa votre nouvel élève, ce barbare de Zackinthe dont on m’a parlé. Celui qui pourrait abattre le Sabre. Intéressant, présente toi à moi gladiateur, quel est ton nom et comment combat tu ?

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- Tu es le Boucher, c'est ça ? Et vous, messire, êtes le maître de l'Arène. Je vous ai déjà vu, alors que mes anciens frères étaient massacrés sur votre ordre.

Galtar s'inclina très bas devant l'homme masqué, ne s'attardant guère sur l'homme en rouge, qui lui avait posé un question. Tout en regardant droit dans les yeux, ou dans les trous sombres de son masque, il répondit, toujours en l'ignorant, à la question du Boucher.

- Je suis Galtar de Nardogord, maître. Je suis ici pour tuer tous ceux que vous m'indiquerez, et ainsi gagner ma liberté. Je sais tuer de toutes les façons physiques possibles et imaginables, sans usage aucun de la magie, que je ne sais que peu canaliser, et qui de toute façon ne m'intéresse pas. Maître Polémégalos, loué soit son nom, comme le votre, si vous en avez un, grand maître, m'a presque tout appris de l'art du combat.

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Tu es le Boucher, c'est ça ? Et vous, messire, êtes le maître de l'Arène. Je vous ai déjà vu, alors que mes anciens frères étaient massacrés sur votre ordre.
L'homme vétu de rouge se mit un rire ,un rire qui fit trésaillir Polémélagos et le maitre de l'aréne,puis il se ressaisit,il se mit à parler d'un ton paternel.

Et non Galtar,je ne suis pas le Boucher ,c'est lui la bas.Dit il en montrant un orc de forte carrure qui s'entrainait avec Vautour.Mais je ne doute pas une seconde que tu connaisse mon nom... je suis Aedric Von Seviand maitre de ces terres.Je suis revenu à Nardogord hier sans passer par Anaphe.Je n'anoncerais qu'officiellement mon retour que lorsque les jeux et le défilé qui le précédera seront préparés.Et tu y tiendras une grande place ,on m'a dit que tu te battait mieux que n'importe lequel de mes gladiatuers.J'ai du mal à croire qu'un barbare de Zackinthe sois capable de battre quelqun de la carrure du Vautour ou du Sabre.Alors toi et ton maitre allez vous battre ici et maintenant sous mes yeux je veux te voir à l'oeuvre.Si je suis satisfait et si tu survis au prochain jeux je te promets bien plus que la liberté.Une derniere chose tu est un orc n'est-ce pas ?

Aedric était exité il voulait le voir se battre ,si ce barbare était aussi fort qu'on le racontait,il avait trouvé un nouveau pion bien intéréssant,il regarda les deux hommes et leur tendis deux batons qui trainaient sur le sol.

Battez vous maintenant...

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Galtar se sentit d'une stupidité sans borne. Il se prosterna devant Aedric et implora son pardon, puis se releva lorsqu'il lui demanda de se battre.

- Non, ô seigneur, je ne suis pas un orque. Je suis un croisement entre multiple races, notamment les géants et les gobelins, mais je n'ai aucune goutte de sang orque, hormis sur mon ancienne lame.

Polémégalos et le semi-géant se firent face, brandissant leurs armes respective, le maître son marteau, et le Ménéxen deux lames courtes, rapides, et de bonne facture, quoique sans fioritures inutiles ni filigrane quelconque. Deux lames simples mais solides, deux bonnes raisons de trépasser. Le duel s'engagea. Galtar, fort habile dans l'art de la double lame, força son mentor à céder du terrain, faisant tournoyer ses lames autour des poignets du Nordique, si bien que celui-ci ne pouvait pas attaquer, faute d'avoir certains tendons sectionnés. Puis Galtar feinta, fut paré, frappa la garde du marteau pour rendre moins ferme la prise de son maître et botta le thorax de ce dernier. Vaincu par la rapidité de son adversaire, Polémégalos chuta au sol, lourdement, le souffle coupé. Galtar pointa ses deux lames sur sa gorge et lança, hilare d'avoir encore vaincu celui qui maintenant n'avait plus rien à lui apprendre :

- Que dois-je faire de lui, sire Von Seviand ?

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L'inquisiteur fut bluffé, cet hybride était venu à bout de Polémélagos avec une facilité déconcertante. Cet homme qui avait fait trembler les murs de l'arène, dont le marteau avait pris tant de vies. Vaincus comme sa par ce barbare Aedric était impressionné. L’estime qu'il avait de Galtar était en hausse. Il applaudit la victoire du jeune gladiateur lorsque celui-ci riant lui demanda

Que dois-je faire de lui, sire Von Seviand ?

Laisse le là il devrait pouvoir se relever tout seul. Ton maitre n'est pas n'importe qui. Ou du moins il l'était le Marteau virevoltent, n'est plus ce qu'il était la liberté vous a rouillé Polémélagos.Vous qui pouviez tenir tête à n'importe qui vous voila face contre terre. Mais je me dois de vous féliciter vous avez formé votre digne successeur. Fut que vous n'en avez plus besoin je vous emprunte ceci.

Il ramassa le marteau du combattant vaincu. Et bien Galdar il me semble que tu es prêt, pour les jeux et pour la vie que je te réserve, si tu remporte la victoire. Quoiqu’il te reste une dernière leçon, une leçon que je t'enseignerais personnellement. Elle portera sur... la modestie.
Il fit voler son manteau rouge et frappa en direction de Galdar avec le marteau de son maître, celui esquiva le coup d'un bon en arrière, hésitant...

Tu ferais mieux de te battre sérieusement si tu veux reconquérir ta liberté.

Sans se faire prier, le gladiateur dégaina ses deux épées, et chargea. Il frappa furieusement l'inquisiteur avec répétitions, celui ci fut rapidement couvert d'entailles, loin de l'inquiéter Aedric se mit à rire. Déstabilisé Gáldar continua à distribuer au seigneur Von Seviand, de nombreux coups. Les gladiateurs des alentours regardait le combat, dans un sentiment qui mêlait respect et crainte leur compagnon pouvait tenir tête à Aedric, e t aucun d'eux n'aurait voulu affronter le Zackinthois dans l'arène. Les deux qui restaient de marbre étaient Vautour et le Boucher.

Bon je crois que je t'ai assez laissé t'amuser mon garçon.

A ses mots la tournure du combat changea, ce fut Galtar qui dut parer une multitude de coup, il fut bientôt mis dos au mur. Ses bras s'engourdissaient à force de parer les violents coups que son maitre lui envoyait. Soudain un coup plus violent que les autres fit voler une des lames du gladiateurs.Aedric frappa alors avec son poing en plein dans le ventre du gladiateur puis il envoya voler la deuxième épée d'un coup de marteau. Il frappa alors à mains nus plusieurs fois le visage du semi-géant sonné. Puis il s'arrêta.

Sa suffira je pense. Tu vois tu es fort très forts. Mais je le suis plus, quoique tu m’aies salement amoché gladiateur. Le corps de l'inquisiteur était en effet recouvert de plaies en tout genre, il avait même était atteint au visage. Voila donc ta première défaite et je l'espère la dernière. Tu m'as prouvé ta valeur Galtar de Nardogord. En cadeau je vais te laisser choisir ton surnom choisis le bien, tu le porteras pour le reste de ta vie de gladiateur voir plus.

Aedric essayait de garder la face mais il était épuisé, il avait réellement trouvé un nouveau pion fort intéressant...

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Galtar recouvrait vite son souffle, et aurait pu repasser à l'attaque sur le champ, mais il savait qu'il se serait fait éxécuter s'il avait agi ainsi. Il n'avait pas appris la leçon d'Aedric, mais il connaissait maintenant une chose de plus : il était très rapidement monté dans l'estime de son nouveau seigneur, malgré sa bévue humiliante pour un seigneur aussi puissant que celui de Nardogord. Aedric était persuadé de l'avoir vaincu, mais Galtar savait au fond de lui que lors d'un combat à mort, il l'aurait tué. Cette conviction lui appris qu'il connaissait déjà la modestie, et qu'il faudrait un jour l'apprendre à Von Seviand. Non, réflexion faite. Un prêtre de Brak et grand seigneur de Thassopole n'a pas à être humble. Puis il entendit Aedric parler.

En cadeau je vais te laisser choisir ton surnom choisis le bien, tu le porteras pour le reste de ta vie de gladiateur voir plus.

- Je serai le Poing d'Acier, si mon maître le permet.

Pour illustrer son propos, Galtar leva son gantelet d'acier à la hauteur du visage entaillé de Von Seviand. Ses deux gantelets lui permettraient de continuer à se battre, même lorsqu'il serait désarmé. Il jura qu'il se taillerait un chemin vers le pouvoir avec ces poings d'aciers, poings qui le rendraient célèbre dans tout Thassopole, qui lui permettraient de rentrer à Arthandre et de prendre la tête de Zakinthe. Non. Aquilodon était son réel maître et il lui devait fidélité éternelle. Et puis, au diable le Prophète ! Il arracherait la Claymore de Brak de son corps raide et encore chaud, et s'en servirait pour renverser Aedric.

Il ne laissait physiquement rien paraître de ses voeux de grandeur. Pour l'heure, il était encore un esclave au service de Von Seviand, et il n'avait aucun autre espoir de retourner dans sa patrie qu'en servant cet homme. Il espérait que l'Equilibre lui viendrait en aide dans sa quête.

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Aedric toisa le nouveau gladiateur, qui s’était relevé à une vitesse étonnante. Enfin bon il s’en fichait, il était loin d’avoir utilisé tout ses coups. L’inquisiteur voyait dans les yeux du jeune Galtar une détermination sans faille. Chose qu’Aedric appréciait. Mais il restait vigilant ce barbare, était dangereux et une fois qu’il aurait retrouvé sa liberté, si il la retrouvé, il devrait le surveiller avec attention.Comme il le répétait si souvent son père les gens de changent jamais.Et il le savait trés bien le gladiateur en face de lui restait un servant de l'équilibre,un pion d'Aquillodon.Et sa aucun combat aucun emprisonnement n'y changerait quelque chose.

Je serai le Poing d'Acier, si mon maître le permet.


Poing d’Acier, sa ne sonne pas trop mal après tout, quoique j’ai vu mieux mais le tout n’est pas d’avoir un nom c’est de le faire connaitre. Deux dernières questions barbare, il y a-t-il à part le Sabre quelqu'un que tu tiens à affronter dans cette arène tout particulièrement, et si oui pourquoi. Et pour terminer Poing d’Acier as-tu un rêve quelque chose que tu désire plus que tout à part retrouver ta liberté pourquoi combats-tu ?

Ces questions avaient pour objectif d’en savoir un peu plus sur le gladiateur quoique celui-ci pouvait très bien mentir ,Aedric jeta un coup d’œil au maitre de l’arène qui paraissait ailleurs en effet celui-ci avait la tête levée en l’air, rêveur ou du moins il faisait semblant

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Poing d’Acier, sa ne sonne pas trop mal après tout, quoique j’ai vu mieux mais le tout n’est pas d’avoir un nom c’est de le faire connaitre. Deux dernières questions barbare, il y a-t-il à part le Sabre quelqu'un que tu tiens à affronter dans cette arène tout particulièrement, et si oui pourquoi. Et pour terminer Poing d’Acier as-tu un rêve quelque chose que tu désire plus que tout à part retrouver ta liberté pourquoi combats-tu ?

- Je ne combattrai que ceux que vous m'indiquerez, maître. Le Sabre fait partie de cette liste, d'après ce que m'a dit maître Polémégalos. Mais j'aimerais vaincre le geôlier Tared, moi à mains nues, lui armé, afin de le couvrir de déshonneur et de laver le mien, car il m'a traité comme un animal à mon arrivée ici. J'aimerais le tuer après le Sabre, si possible, car si je meurs, j'aurai trépassé en guerrier.

Je ne combats que pour retrouver ma liberté, et choisir mon maître. Jusqu'à il y a quelques mois, j'ai été commandé par Aquilodon, et je suis maintenant l'un de vos nombreux esclaves. Depuis ces quelques mois, j'ai renié l'Equilibre, notre dogme, pour le culte de Brak et d'Hassar. Si je tue le Sabre j'aimerais ma liberté et, si vous l'autorisez, une bonne place à vos côtés. Je n'ai pas de plus hautes ambitions.

Galtar Poing d'Acier s'arrêta, fit mine de réfléchir et ajouta, souriant à son seigneur d'un sourire énigmatique :

- Pour le moment.

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Maintenant Aedric en était sur.Galtar jouait la comédie.Une totale conversion en si peu de temps était impossible.De plus quelqu'un d'aussi fort que lui ne se contenterais pas d'une place à coté de son ancien tortionnaire.Mais Aedric était joueur il allait lui laisser sa chance, quitte à avoir des complications par la suite.Aussi fort qu'était devenu ce barbare il ne pouvait rien contre As'Elarith et contre la fureur de Brak.Sans rien laisser paraitre de la méfiance qui l'habitait,il répondit calmement.

Une bonne place à mes cotés,rien que sa.C'est bien peu pour un combattant de ta trempe.Mais je ne te refuserais pas sa.Tu seras sans doute intégré à la division d'élite de Nardogord.Les chasseurs de Démons qui sont actuellement chez le faux Prophète Aquilodon.Bon j'ai perdu assez de temps ici,le maitre de l'arène se fera un plaisir de t'expliquer qui tu combattras dans l'arène.J'ai un royaume à diriger,une province à galvaniser et un Empire à purifier après tout. J'aimerais juste que tu regarde le défilé militaire qui aura lieu avant les jeux.Quoique tu as déjà vu les armées de Nardogord et de Brak à l 'oeuvre.
dit il en riant.

Il s'en alla alors en faisant un signe de la main.Il ne se lasserait jamais de cette arène et de ces occupants.Il regrettait presque que se ne soit pas son ancêtre qui l'est fondée.Kandra avait eut une idée magistrale.Pensant au fondateur de l'arène, il se retourna un cours instant vers le maitre de l'Arène.Il était le seul à savoir qui se cachait sous ce masque...

L'individu masqué qui avait gardé le silence,prit alors la parole.

Galtar le Poing d'Acier.Je vais te révéler comment va se dérouler tes premiers et derniers jeux.Etant débutant tu commencera comme venator,chasseur de bêtes dans notre langue.Suivant les instruction de sa Sainteté Aedric von Seviand,tu combattra l'une des créatures les plus redoutables de l'arène: Boarium notre basilic,il commence à se faire vieux et nous aimerions qu'il meure au combat.Si tu survis à cela ,tu pourras affrontez nos gladiateurs.Si tu remporte les trois combats,tu défiera le Sabre.Pour les combats de gladiateurs je tiens à te rappeler qu'en tant qu' esclave tu n'as aucun le droit de vie ou de mort sur les autres gladiateurs .Tu dois donc dans la mesure du possible éviter de tuer tes adversaires.C'est différent des jeux précédent ou les combattants étaient des prisonniers.Se sera tout des questions?

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Galtar le Poing d'Acier.Je vais te révéler comment va se dérouler tes premiers et derniers jeux.Etant débutant tu commencera comme venator,chasseur de bêtes dans notre langue.Suivant les instruction de sa Sainteté Aedric von Seviand,tu combattra l'une des créatures les plus redoutables de l'arène: Boarium notre basilic,il commence à se faire vieux et nous aimerions qu'il meure au combat.Si tu survis à cela ,tu pourras affrontez nos gladiateurs.Si tu remporte les trois combats,tu défiera le Sabre.Pour les combats de gladiateurs je tiens à te rappeler qu'en tant qu' esclave tu n'as aucun le droit de vie ou de mort sur les autres gladiateurs .Tu dois donc dans la mesure du possible éviter de tuer tes adversaires.C'est différent des jeux précédent ou les combattants étaient des prisonniers.Se sera tout des questions?

- J'ai déjà eu l'occasion de combattre un Basilic dans son âge d'or, celui du soi-disant Prophète. Son nom est Ukrimos. Je ne l'ai pas vaincu à l'époque, mais Boarium ne posera pas de problème. Quant à mes adversaires, je ne tuerai que ceux que l'on m'ordonnera de tuer. Tout est parfaitement clair, maître. Je suis prêt à en découdre avec les résidents de l'Arène. Je vais pour le moment me reposer. Vous pourrez me faire quérir lorsque tout sera près.

Galtar Poing d'Acier s'inclina et s'esquiva, laissant le maître de l'Arène avec Polémégalos, qui semblait réfléchir. Il alla dans ses quartiers, une simple pièce aux murs nus. Un glaive, qu'il avait acheté en même temps que ses deux lames, reposait sur une petite étoffe rèche et tâchée. Une paillasse usagée traînait dans un angle de la pièce. Un petit marteau de guerre en fer reposait sur le lit. Galtar Poing d'Acier s'allongea sur sa paillasse et réfléchit au personnage qu'était Von Seviand. Il savait que Galtar jouait la comédie, c'était évident. Et pourtant il le laissait faire. Cet homme méritait le respect. Et Galtar le lui donnerait, même s'il devait le trahir.

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