Les évènements qui suivent se déroulent quatre ans après que Vald eu assouvie sa soif de vengeance. Depuis, il ère de ville en ville à la recherche de proies faible à dépouiller. Son vagabondage la amené dans une sombre taverne d'un village de Zakinthe.
Vald jouait avec son coutelas, adossé contre le mur au fond de la taverne. Il leva la tête pour observer les environs. Au bar, un nain saoul tentait désespérément de charmer la serveuse, qui semblait ne pas s'en préoccuper. Sur une table, on pouvait apercevoir un groupe de joyeux orcs qui ripaillaient, chope de bière à la main. L'un d'eux se retourna pour observer Vald. Il chuchota quelque chose à l'oreille de son compagnon. Ils pouffèrent de rire, puis se levèrent d'un même mouvement, faisant vaciller la table de bois. Vald se redressa et dégaina sa dague, l'œil aux aguets. L'orc le plus bourru des deux vint lui adresser la parole.
Nous n'aimons pas trop qu'un elfe noir tel que toi vienne traîner dans nos godasses. Si tu continues à nous regarder comme ça, tu vas vite finir casse-croûte pour nos loups...
Vald ne répondit rien, mais continua de fixer son interlocuteur dans les yeux. Celui-ci pris à nouveau la parole :
D'ailleurs, tu n'aurais pas quelques pièces d'or dans tes poches ? C'est que nous, les orcs, nous ne sommes pas riches, et il faut bien payer la bière pour remplir nos ventres vide !
Ils entamèrent un rire tonitruant. Vald resta impassible, le regard rivé sur les pupilles rouges de la créature qui lui faisait face.
Et bien, tu as perdu ta langue, bougre ? Je n'aime pas que être ignoré, surtout par rapiats tel que toi !
Vald posa une main sur la table. L'orc sentit le danger et aussitôt dégaina sa hache. Son compagnon en fit de même avec sa masse. Au loin, la serveuse semblait perplexe, mais n'interrompit pas son service pour autant. L'assassin se leva et d'un revers de lame agile, planta sa dague dans la gorge crasseuse de son adversaire. Un sang noir vint lui peindre la joue, qui s'empressa d'essuyer à l'aide d'un pan de sa veste. Puis il dit quelques mots :
"Apparemment, tu es plus doué pour la parlote, mais lorsque l'heure est a la tuerie, tu n'est pas très efficace..."
D'un coup sec, il retira sa lame du cou de l'orc. Celui-ci tomba lourdement au sol en un bruit mat, renversant au passage une cruche de vin.
Vald jouait avec son coutelas, adossé contre le mur au fond de la taverne. Il leva la tête pour observer les environs. Au bar, un nain saoul tentait désespérément de charmer la serveuse, qui semblait ne pas s'en préoccuper. Sur une table, on pouvait apercevoir un groupe de joyeux orcs qui ripaillaient, chope de bière à la main. L'un d'eux se retourna pour observer Vald. Il chuchota quelque chose à l'oreille de son compagnon. Ils pouffèrent de rire, puis se levèrent d'un même mouvement, faisant vaciller la table de bois. Vald se redressa et dégaina sa dague, l'œil aux aguets. L'orc le plus bourru des deux vint lui adresser la parole.
Nous n'aimons pas trop qu'un elfe noir tel que toi vienne traîner dans nos godasses. Si tu continues à nous regarder comme ça, tu vas vite finir casse-croûte pour nos loups...
Vald ne répondit rien, mais continua de fixer son interlocuteur dans les yeux. Celui-ci pris à nouveau la parole :
D'ailleurs, tu n'aurais pas quelques pièces d'or dans tes poches ? C'est que nous, les orcs, nous ne sommes pas riches, et il faut bien payer la bière pour remplir nos ventres vide !
Ils entamèrent un rire tonitruant. Vald resta impassible, le regard rivé sur les pupilles rouges de la créature qui lui faisait face.
Et bien, tu as perdu ta langue, bougre ? Je n'aime pas que être ignoré, surtout par rapiats tel que toi !
Vald posa une main sur la table. L'orc sentit le danger et aussitôt dégaina sa hache. Son compagnon en fit de même avec sa masse. Au loin, la serveuse semblait perplexe, mais n'interrompit pas son service pour autant. L'assassin se leva et d'un revers de lame agile, planta sa dague dans la gorge crasseuse de son adversaire. Un sang noir vint lui peindre la joue, qui s'empressa d'essuyer à l'aide d'un pan de sa veste. Puis il dit quelques mots :
"Apparemment, tu es plus doué pour la parlote, mais lorsque l'heure est a la tuerie, tu n'est pas très efficace..."
D'un coup sec, il retira sa lame du cou de l'orc. Celui-ci tomba lourdement au sol en un bruit mat, renversant au passage une cruche de vin.