Premiers pas à Naxopole

Samia, un peu intimidée par l'agressivité de Varatorn, était heureuse que Yorg, au caractère chaleureux et protecteur, l'ait prise sous son aile.

Le début du voyage, elle préféra garder le silence, histoire de ne pas s'attirer la foudre du guerrier. Puis, le rivage atteint, elle accepta la proposition de Yorg: deux heure dans la charrette, deux heure à guider la charrette.

Elle profita de ce voyage pour parler à Yorg pendant que Varatorn ne l'entendait pas. Samia lui glissa d'abord:

"Merci, c'était très aimable à vous de me soutenir."

Puis, un moment plus tard:

"En fait, je ne me suis pas vraiment présentée. Vous savez que je m'appelle Samia et que je suis une nouvelle recrue des Ombres. Je viens de Drusagomas, je suis bonne commerçante et voleuse, comme vous me l'avez fait remarquer, je me bats plutôt bien et c'est ma première mission pour notre corporation."

Alors que la charette continue a avançée Varatorn trouvé cela trop calme le marécage etait gluant et puant et s'étendé a perte de vue alors que la nuit commençée a prendre le pas sur le jour Varatorn ce tourna vers les deux assasins et leurs dit :

<< On continue toute la nuit, une halte dans ces régions et aussi dangeureux qu'imprévisible je suis heureux de voir qu'il n'y a ... >>

Un bruit de branche perturba le guerrier qui scruté l'orizon mais rien.

<< qu'il n'y a eu aucune attaque pour le moment continuons notre chemin il faut sortir de ce marécage sa nous prendra un ou deux jour si on ce perd pas suite a cela on commencera notre enquète on visitant les villages au allentours. >>

Le chemin etait long et le marais térriblement difficile a pratiqué pour une charette a plusieur reprise Varatorn du mettre pied a terre pour désanbourbé une des roue de charette, même une foit le cheval de traie cétait lui meme embourbé.

La nuit continuer sont cours et le marais telement épaie qu'on n'arrivé pas a distingué la lune, l'utilisation des tarche était donc une nécésité quand la visibilité etait finalement nul.

L'Ambience etait de plus en plus tendu un brouillard commençée a entourer la charette des bruits touts aussi suspect les uns que les autres, des créatures ou animaux roder au allentours, Varatorn etait sur le qui-vive prêt en mesure de.

Alors que la nuit semblait persisté le convoit arriva dans une grande clairière au milieu même du marais de l'ancienne Naxos on pouvait distingué au milieu un petit village des fumée sorter des cheminées.
Varatorn désigna le Village et dit :

<< Bien on va faire escale ici, et prendre quelque renseignement en avant. >>

La charette avançée et petit a petit il arrivèrents au village les porte était fermé personne dans les rues quelque cheminée allumée.
Finalement non loin de l'entrès il trouvèrent une auberge Varatorn la désigna et dit au assasins :

<< Bien on s'arrete la mettais la charette a l'abris, DEMI-PORTION ( Dit Varatorn en Hurlant ) garde le chariot si on nous le dérobe je donne pas chère de ta misérable vie. >>

Varatorn attacha sa monture a la charette prit sont sac et fit un signe a yorg l'invitant a rentrée dans la taverne.

Il brumait ténébreusement dans l’épaisseur de la nuit et nul bruit ne se passait. C’est cette atmosphère qui transfère au hameau cette sphère éphémère et propice à mes pièges et fausses pistes, et se présente plaisante aux plaisanteries, pensa Del. Celui-ci sinuait sur les quelques sentier du lieu où était arrivé la caravane de Varatorn, Yorg et Samia.

Le cri qu’il entendit du colérique, c’était une perche qu’on lui tendit pour une petite pique. Le sérieux sert au rieur pour ses jeux, toujours, comme aller le démontrer à l’homme démonté de furie la fée encore à l’abri. Caché par le coin d’un mur, d’un murmure haché et avec soin Del incanta le futur amusement du hameau.

Alors que le combattant allait entre tambour battant dans l’auberge, sans qu’on la voie qui émerge, une forme vient et avant que Varatorn n’entre, entre les deux omoplates de l’homme se plaque une tape, une petite claque. Alors qu’il se retourne, il tombe face à la trombine et à la masse d’un ogre au regard torve qui s’égare à lui adresser un mot terrible, un mot bref mais au relief des menaces millénaires, un mot émis d’un air sévère :

— Bouh !

Varatorn ce tourne en deguainant sont arme et ce mets en position prêt a attaquer.
Il regarde d'un regard noir l'ogre et lui dit :

<< Arrière monstre, ne fait plus un pas en avant ou je t'arrache les trippe maudite créature des marais. >>

Varatorn ce pose et ce dit qui l'ogre pourrai bien lui servire :

<< Ecoute moi misérable, écoute bien y'a t'il un Infernal qui sévit dans le coin, a tu remarqué des changement particulière d'origine démoniaque dans les allentour ?
Si tu me sert bien je t'épargnerai la vie.
ALORS PARLE ET VITE ! >>

Varatorn et posté prêt a chargé au moindre signe agréssif de l'ogre.

Après avoir parlé longuement avec Samina, la nouvelle recrue de l'ombre, Yorg descendit du chariot pour monter le camp de base. Comme à son habitude, Varatorn ne put s'empêcher d'insulter Samina... Cette habitude devais vraiment changée et bien vite car Yorg supporté de moins en moins de voir un membre se faire insulté de la sorte...

- Je vais resté avec la " demi-portion " comme vous dites, allez menez votre enquête de votre côté, nous irons enquêtez ailleurs avec nos méthodes. Surtout soyez discret ou vous aurez affaire à moi.

Yorg attacha la charrette à un arbre et la cacha avec des branchages. Puis il se tourna vers Samina et dit:

-Suivez moi.

Et ils s'enfoncèrent dans la forêt laissant à Varatorn la tâche d'enquêter à l'auberge. Au bout de quelques minutes, Yorg eu un mauvais pré-sentiment, très mauvais. Il dégaina ses deux dagues et mit seulement quelques gouttes d'un étrange mélange de sa confection... Se tournant vers Samina:

- Ceci est un poison auquel il n'existe aucun antidote, il paralyse la victime en trente secondes et tue un gobelin en quarante-cinq secondes... Suivez moi.

Yorg connaissais la capacité à Varatorn de s'attirer des ennuis et partit donc en direction de la taverne. Ils arrivèrent juste à temps pour entendre " écoute bien y-a t'il un Infernal qui sévit dans le coin "

- Et c'est sa qu'il appelle la discrétion ??? Il va m'entendre cette fois...

Yorg analysa d'un œil expert la créature étrange devant Varatorn et vît qu'il s'agissais surement d'un ogre... Dans un souffle, Yorg dit à Samina:

-Surtout ne bougez pas d'ici, si un combat se profile, intervenez dans le dos de l'ogre... Ne prenez AUCUN risque inutile. Je vais me placer là-bas. Soyez-extrêmement attentive, il n'est peut être pas seul.

Puis l'assassin se déplaçât comme une ombre, sans bruits et alla se placer à droite de la créature de façon encercler la créature. Maintenant, les membres de l'ombre attendirent la suite des évènements...

La réaction de Varatorn détonna tant et étonna tellement que Del devint atone et que le monstre s’atténua montrant la fée dissimulée, jusqu’à se dissiper entièrement. Le mutisme se mua en immense rire, dense de cynisme.

— Voilà un paysan dépaysant, qui peut se payer une épée et s’épargner la politesse. Tu te payes de ma poire ? Si tu voyais la tienne, tu te taillerais un tel rire que le mien, d’ailleurs.

Del avait du mal à maitriser son rire malsain et malicieux.

— Quel drôle de fermier qui devrait plus la fermer s’il ne veut pas être éphémère face à un Infernal. Et s’il y a des monts aux alentours ? Ou alors des halles autours des monts ? Mais si tu cherches des changements des monts, cela prend du temps, un temps diablement long à changer une montagne, fusse-t-elle d’ammoniac.

La fée riait de plus en plus, comme si son hystérique gaité se hissé au pic d’une montagne, une montagne de rire démonique.

— Plutôt que d’épargner ma vie, je te conseille le départ d’ici, pour que le démon qui a ses vies ici, comme tu dis, ne prenne pas la tienne ! Ou alors que mon ami qui a sa visée sur toi et s’avisera de éviter ton cœur d’un de ses carreaux si tu ne t’y tiens pas, à carreau, toi qui semble être une flèche.

Maintenant, Del se roulait presque au sol, écroulé de rire et de joie de pouvoir dérouler son humour et sa perversité.

Varatorn avait du mal a garder sont calme face a la créature qui éclater en rire devant, qui puisse et la créature anonçée la présence d'un de ces camarade prêt a tuer a tout moment Varatorn.
Malgrès cela Varatorn repondit a la créature :

<< Silence et cesse de rire de cette manière vil créature ou cette foit-ci tu en perdra la tête et sache que ton prétendu ami imaginaire ne prend pas, alors maintenant tu va parler ou la mort sera ta prochaine compagne que tu pourra divertir par ton rire sadique et tes phrase d'une poésie douteuse. >>

Varatorn tourna la tête de droite a gauche pour essayer de voir ces camarade ou même le tireur qui guettez les moindres fait et geste.

Samia ne perdit pas une miette de la scène qui se déroulait sous ses yeux. Le fait, qu’un fée ait réussit à berner le guerrier aussi facilement et qu’en plus il se moquait de lui ouvertement, amusait beaucoup la voleuse. Elle resta néanmoins vigilante : même si Varatorn l’insultait et ne faisait preuve d’aucune discrétion, il était son coéquipier. Elle persista à rester cachée et surveilla les alentours pour essayer d’apercevoir le complice de l’étrange être. Mais elle ne vit personne. Pendant que le rire démoniaque de l’être retentissait une nouvelle fois et que le guerrier lui ordonnait de se taire, Samia chercha son supérieur des yeux pour savoir ce qu’elle devait faire.

Après plusieurs échanges, la fée et le guerrier s'observaient mais ne bougeaient pas... Après plusieurs minutes d'attentes, Yorg décida de prendre les choses en mains. Il chercha son équipière des yeux et la trouva, elle n'avais pas bougé un pouce conformément à ses ordres, une bonne recrue pour l'Ombre. Elle tourna la tête et regarda Yorg. L'assassin lui fît une série de geste rapides se qui voulais dire : " ne bougez pas et si il y a du danger, intervenez "

Yorg avança discrètement jusqu'à la sortie des arbres et se plaça sur le côté de la fée laissant ainsi l'effet de surprise à Samina, situé dans son dos, si le besoin s'en faisais sentir. L'assassin fît un clin d'œil à Varatorn et tapotant discrètement sa cape sous laquel se trouvée ses dagues.

- Que voulez vous fée ? Qu'attendez vous au juste ?

— Oh un clone du clown à qui je cause ! Il y a un chapiteau chamarré caché dans la charrette ?

Del s’essouffler toujours à rire des camouflets dont il affublait les deux phénomènes de foire, toutefois cette fois il préféra fit passer la sécurité avant ses cures de gaité. Il s’envola et virevolta vers le toit vermoulu de la taverne De la, il parla :

— Ce que je veux ? Je veux un jeu joyeux à jouer toujours tous les jours.

Il rit.

— Mais ce n’est pas mes envies ou ma vie sur lesquels vous avez envie que je vous dévie. Ensuite, ce que j’attends ? La suite bien sûr ! Je vus assure, la suite de vos aventure, parce que je vous attendais. Car oui, je tends à connaître un infernal effrayant et démesurément démoniaque.

Il continua à conter ses histoires en riant de voir les deux bizarres en bas avoir de l’intérêt à savoir soudain.

— Je vais tout vous dire. Ce n’est pas un démon en fait, ni une fée en démon, mais une humaine d’humeur horrible, qui humilie tout cette humble région de ses maléfices et ses méfait et ses mâles et fils sont bornés et malfaisant.

Il cessa de rire aussitôt. Ce qu’il susurrait à ces simplets devenait assurément essentiel.

— Cette diablesse loge sous mes fesses, dit-il en montrant l’auberge sous lui, elle en est l’hôtesse, mais son pinard est si indigeste qu’il blesse plus qu’il égaye. Bref, c’est une telle piquette que ça en devient infernal.

Son rire explosa de nouveau.

— Ah oui, et ses enfants et son mari ne sont peut-être pas des démons, mais des cons, assurément.

L'assassin écoutait avec un intérêt les dires de cette maudite fée et la chute dépassât les bornes.

-Écoutez, fée... nous n'avons pas que ça à faire. je vous prie d'arrêter vos blagues puériles et de nous laisser en paix. En plus de ne pas être drôles, vos blagues ne sont même pas bien dites... J'ignorais que les fées, pourtant si savantes en générales, pouvais faire autant de fautes au parlé. Si ça n'est pas une faute, expliquez moi le sens de Je vus assure s'il vous plait, ça m'intrigue... Maintenant, allez faire un brouillons de vos blagues à deux pièces et ne revenez pas.

Yorg savais que les fées étaient des créatures arrogantes et qui se croyaient supérieurs. Cette petite mise au points allé sans nul doute faire réfléchir la maudite fée. Yorg avais dit tout ça avec une voix d'un calme désarmant...

Del haussa un sourcil sans cesser un seul instant son rire, ainsi on essayer de le rabaisser. Voilà qui était malaisé et malséant, mais amusant, vraiment, amusant.

— Ma langue effilée a fourché ce que parfois elle finit par faire, une faute bien faible.

Yorg ne pouvait sans doute pas réaliser qu’en réalité on n’ébrèche pas les vieilles roches trop habituées à faire des reproches en relevant une petite anicroche. Del avait vécu trop vieux pour en venir encore à de véhémentes violences lorsque dévoilé à dépourvu.

— Pour le reste, je vous avise prestement que ne vous retiens nullement. Passez, passez donc, vous n’avez sans doute pas assez d’esprit pour capter celui de mes pensées.

Sur ce, la fée effectua un demi tour sur son toit et montra son dos aux deux débatteurs en contrebas, les yeux déjà ébahis par la lune et le rire lancé aux astres allumés au loin.

Varatorn regarda Yorg et marcha d'un pas agacé vers la fée et posa sa lame sur son épaule et lui dit d'un ton menaçant :

<< Attends, tu me ris au nez et tu crois qu'en me tourna le dos je vais t'oublier, mais tu crois au miracle toi, alors écoute moi j'ai un marché très avantageux, soit tu m'aide à trouver le démon que je recherche, sois tu perd la tête. >>

Varatorn attendez n'importe quoi, de préférence un geste brusque pour coupé la tête a la fée.

Sa tête ? Voilà bien des étés que sa tête n’était plus sur le haut de son être. Et plus le temps passait, plus s’effaçait les menaces auxquelles il faisait face.

— Allez voir autre part, si par hasard je n’y suis pas.

Trois mots étroits suffirent.

— Là-bas, pourquoi pas ?

Del montrait une fée, se montrait lui-même, en fait qui montrait ses fesses en faisant des bonds, alors sur le haut de la maison le Del qui montrait auparavant était absent.

Varatorn regarda yorg puis descendit du toit et lui dit :

<< Bien, il semblerait que cette misérable créature ait pris la fuite. Mes instructions sont que si vous la recroisez, quelque soit la raison, vous la tuez.
Bon reprenons nos investigations, on a perdu trop de temps. >>

Varatorn se redirige vers la taverne d'un pas décidé il franchit la porte, la taverne était très peu peuplée, il devait y avoir quatre, cinq voyageurs. Varatorn s'approcha du comptoir et alla voir le tenancier :

<< A boire et plus vite que ça ! >>

Varatorn s'accouda au comptoir et regardé la salle de droite a gauche.

hrp: I'm come back

Après la fuite de la fée, Varatorn donna quelques instructions et entra dans la taverne. La taverne n'étant pas le lieu idéal pour rester discret, Yorg repartit dans la forêt, fît quelques virages en vérifiant de ne pas être suivit et alla se poster à côté de la nouvelle recrue de l'Ombre.

-Enfin cette fée nous à quittée... Les ordres de Varatorn sont clair, il veut que nous la tuions la prochaine fois que l'occasion se présentera. Mes ordres à moi sont de laisser cette fée tranquille, c'est leurs natures véritables que vous venez de voir. En effet, les fées sont des créatures magiques qui adorent la poésie et les jeux... Mais bon un combattant comme Varatorn ne peut pas connaitre ses détail, il est assez étroit d'esprit. Attendons son retour et surveillons les alentours.

Yorg, toujours caché, attendit la réaction de son équipière...

Samia attendit que Yorg la rejoigne et l'écouta attentivement. Ainsi, il ne voulait pas tuer le fée comme Varatorn l'avait ordonné et ses motivations étaient justifiées, Yorg en savait bien plus sur ces étranges êtres que le guerrier.

La gnome trouvait le fée assez sympathique et si celui-ci blessait uniquement la fierté du guerrier, elle ne voyait pas l'intérêt de l'éliminer.

La jeune voleuse répondit:

"Je suivrait vos ordre, bien sûr: le fée restera en vie, s'il croisera à nouveau notre route."

Puis, jetant un coup d'oeil vers la taverne, elle déclara, sceptique:

"Ne vaudrait-il pas mieux rejoindre Varatorn, histoire qu'il ne mette pas toute la maisonnée au courant de nos recherches?"

Yorg était fière de la nouvelle recrue de l'Ombre. En effet, elle suivais les ordres sans hésitations et c'était une qualité rare chez les nouvelles recrues. La proposition de Samina n'était pas dénué de sens, le guerrier allé encore avoir des ennuis si on le laissé seul...

-Vous avez raison, il va encore attirer l'attention. En raison de votre petite taille, je vous suggère de rejoindre notre ami. Restez dans l'ombre et ne vous faites pas voir, surveillez le et ramenez le si le besoin s'en fait sentir. Je vais rester ici et je vais patrouiller les alentours.

Sur ses mots, l'assassin partit sans aucuns bruits, discrètement et il vît Samina faire de même en direction de la taverne. Mais que se passais t-il en se moment à la taverne avec le combattant ?

Varatorn était toujours au comptoir de la taverne bien qu'il n'ait pas touché à sa chopine. Varatorn restait concentré sur la salle ne sachant pas comment débloquer sa situation, Varatorn laissa sa chopine remplie sur le comptoir et sortit de la taverne. Il croisa le regard de ces deux compagnons et leur dit :

<< On repart il n'y a rien ici direction la Capitale >>.

Aussitôt dit Varatorn remonta sur son destrier et attendit que ces deux compagnons fasse de même pour leur charrette.

Juste après que la jeune gnome entre dans la taverne, Varatorn en sortit et les trois compères partirent sur la route de la Capitale de Naxopole. C'était l'endroit le plus sûr pour avoir des informations et rien de tel que se mélanger à la foule pour passer inaperçue....

- Allons-y Samina, entrons dans cette charrette. Je prend les deux prochaines heures, allez vous reposer, je vous réveillerez. A moins que vous ayez des questions? Si tel est le cas je suis la pour y répondre.

Sur ces paroles, Yorg monta à la charrette suivi de Samina et les trois compères partirent.

Samia, contente de repartir, entra dans la charrette. Pendant que son supérieur conduisait et que Varatorn galopait à leur côté, elle en profita, comme on le lui avait suggéré, de se reposer. Elle s'endormit bientôt...

Puis, se fut à son tour de conduire. La route lui parue long, rien ne se passait, tout était calme. Mais pour combien de temps?

Soudain, une lueur s'alluma devant le petit groupe. Puis une deuxième, une troisième,... Plein de petites lumières les encerclaient. Mais elles étaient trop éloignée pour distinguer qui tenait ces lanternes, si c'était bien des lanternes...

Après avoir passé les rênes de la charrette à Samina, Yorg s'endormit aussitôt à l'arrière. Il dormit d'un sommeil agité et se réveilla en sursaut, ses sens en alerte. Pourtant, il ne voyait absolument rien à part quelques lanternes au loin, sans doute un village.... Puis, après réflexion, Yorg se souvînt qu'il n'y avais pas de village à cet endroit normalement... Tout en restant caché à l'arrière, Yorg dit à Samina:

- Demandez à Varatorn, qui connait bien les lieux, si il s'agit d'un village ou d'autre chose...

N'attendant pas la réponse, Yorg s'arma en silence, près à toute éventualité...

Samia un peu paniquée par les étranges lueurs, s'empressa d'obtempérer. Elle fit signe à Varatorn d'approcher sa monture et, se penchant vers lui, la voleuse chuchota:

"Yorg vous demande ce qui se passe. Est-ce un village ou autre chose?"

Les lumières commencèrent à se resserrer autour d'eux. Et, soudain, elles se mirent à tourner de plus en plus vite tout en s'approchant d'avantage. Leur ronde folle devint si rapide qu'on ne distinguait plus qu'un cercle lumineux.

A force de regarder, Samia en avait mal à la tête. Qu'était-ce? Encore des êtres mystérieux doués de magie?

Sujet: Re: Premiers pas à Naxopole Ven 3 Sep 2010 - 22:07

Varatorn trouvait ces lumières agaçantes mais également menaçantes. Il sortit sa lame et dit aux deux agents de l'ombre.

<< Préparez-vous au combat ! On ne sait jamais ce que cette forêt maudite peut nous réserver >>

Varatorn regardait à droite et à gauche, essayant de déceler ce qu'était ces lumières. Varatorn était prêt a charger au moindre signe de menace, cependant une stratégie groupée serait plus appropriée dans ce genre de situation.

<< Bon, on reste groupés et on panique pas. Si c'est encore une farce de cette fée, n'hésitez pas à la tuer, si ce sont des créatures autres que des humains, tuez-les à vue. Je ne veux prendre aucun risque et toi demi-portion ne me gêne pas en trainant dans mes pattes.

Varatorn était sur le qui-vive. Le cercle de feu se refermait sur eux.

Sujet: Re: Premiers pas à Naxopole Sam 4 Sep 2010 - 16:27

N'ayant pas cessé d'analyser la situation, Yorg fît part de ses observations à ses compères :

-Il me semble avoir lu sa quelque part dans un vieux grimoire sur les créatures légendaires peuplant les marais... Je pense que nous avons en fasse de nous des Ectoplasmes. D'après se que je me souviens, les Ectoplasmes sont des créatures magiques et ils ressemblent à des petites lueurs se qui collerai... Si je me souviens bien, ils ne sont absolument pas dangereux en petit groupes mais ils peuvent se révéler redoutable s'ils sont en masse....

Yorg était mal à l'aise car les lumières se rapprochaient et leurs nombre augmenté. Yorg pria Chezzer en silence et dit :

- Espérons que je me soit trompé .