Ici, tout y est construit pour le plaisir des yeux. Les minarets éclatants se lèvent vers le ciel d'un bleu pur, brillant comme pour célébrer la lumière du soleil.
Ici, le son cristallin de l'eau irriguant les cultures comble mes oreilles de délice après la traversée de l'erg qui nous a conduits ici.
Ici, la pierre n'est pas froide. Gorgée de soleil, l'effleurer de la main laisse une douce chaleur emplir mon âme. Je laisse ensuite le sable s'écouler entre mes doigts pour sentir le désert me caresser.
Ici, je me laisse emporter par les saveurs envoûtantes des mets que je mange. La fleur d'oranger me transporte dans le royaume des djinns, des effrits et des génies dont Zakhyl me parle.
Ici enfin, je traverse les jardins le soir venu, et je m'appuie sur les balustrades des terrasses situées au dessus. J'hume l'air du soir, je m'emplis de ces fragrances subtiles en faisant face à la Lune...
Le matin, les premiers rayons du soleil s'alanguissent lentement sur les dunes, dégradé de début de journée annonçant la venue du disque solaire. Les femmes tirent l'eau du puits, fraîche, désaltérante avant la chaleur de la journée.
Le soleil est maintenant haut dans le ciel, troublant l'air de sa chaleur. Les palmiers écartent leurs larges feuilles en une géante main pour offrir au peuple de l'oasis l'ombre salvatrice, la brise caressante d'un voile rafraichissant.
Le soir approche, l'air chaud s'anime pour mêler les parfums des fleurs, du désert infini, des maisons préparant le repas marquant la fin de la journée. Les enfants semblent sortir de la torpeur de la journée et profitent des dernière lumières moins chaudes pour faire les quatre cents coups sous le regard des hommes, amusés ou grondeurs, transmettant leur savoir, leur vie.
La nuit a maintenant revêtu l'oasis de son manteau argenté. La douceur de l'air offre le repos à l'oasis, les rêves s'envolent dans le firmament étoilé d'un ciel pur, attendant le retour de l'astre de vie.
Ici, le son cristallin de l'eau irriguant les cultures comble mes oreilles de délice après la traversée de l'erg qui nous a conduits ici.
Ici, la pierre n'est pas froide. Gorgée de soleil, l'effleurer de la main laisse une douce chaleur emplir mon âme. Je laisse ensuite le sable s'écouler entre mes doigts pour sentir le désert me caresser.
Ici, je me laisse emporter par les saveurs envoûtantes des mets que je mange. La fleur d'oranger me transporte dans le royaume des djinns, des effrits et des génies dont Zakhyl me parle.
Ici enfin, je traverse les jardins le soir venu, et je m'appuie sur les balustrades des terrasses situées au dessus. J'hume l'air du soir, je m'emplis de ces fragrances subtiles en faisant face à la Lune...
Le matin, les premiers rayons du soleil s'alanguissent lentement sur les dunes, dégradé de début de journée annonçant la venue du disque solaire. Les femmes tirent l'eau du puits, fraîche, désaltérante avant la chaleur de la journée.
Le soleil est maintenant haut dans le ciel, troublant l'air de sa chaleur. Les palmiers écartent leurs larges feuilles en une géante main pour offrir au peuple de l'oasis l'ombre salvatrice, la brise caressante d'un voile rafraichissant.
Le soir approche, l'air chaud s'anime pour mêler les parfums des fleurs, du désert infini, des maisons préparant le repas marquant la fin de la journée. Les enfants semblent sortir de la torpeur de la journée et profitent des dernière lumières moins chaudes pour faire les quatre cents coups sous le regard des hommes, amusés ou grondeurs, transmettant leur savoir, leur vie.
La nuit a maintenant revêtu l'oasis de son manteau argenté. La douceur de l'air offre le repos à l'oasis, les rêves s'envolent dans le firmament étoilé d'un ciel pur, attendant le retour de l'astre de vie.