Campagne d'un future Palatin

Je grimpais l'estrade de la place central, repettant mentalement mon discour. Ma récente entrevue à la corporation du culte m'avais empli d'une volonté nouvelle: devenir Palatin.
Depuis trop longtemps la stagnation et le désordre régnaient en Scitopole, cela ne pouvait durer, cela devait changer. J'arrivai en haut des marches, une bonne partis de la population était réunis, se demandant se qu'un inquisiteur de Kanderak pouvait bien avoir à leur anoncer. Je me plaçai bien au centre, pris une inspiration...
Bonjour à tous,
je suis Felix Jeagda, inquisiteur de Kanderak, le dieu de la Loi et de l'Ordre. C'est cet Ordre que je souhaite apporter à la province de Scitopole en devenant palatin. Je vois vos regards surpris, sachez que vous n'avez rien à craindre, je veut, tout comme vous j'en suis sur, un rétablissement immédiat de l'Ordre en Scitopole. Car depuis trop longtemps vous subissez les moqueries et l'ignorence des autres habitants de l'Empire, il est temps que cela change, il est temps que le nom de Scitopole soit à nouveau nymbé de respect, il est temps que cette ville acceuille à nouveau de nombreux pélerins! Si vous voulez retrouver la place qui vous échoie depuis toujours au sein de l'empire, alors joignez vous à moi, que notre union face notre force! Tous cela pour dire que j'ai bien l'intention de rétablir l'Ordre dans la province religieuse de l'empire, et pour cela, j'ai besoin de vous!
En vous remérciant.

Je regardais la capital du haut du chemin de ronde, une mérveilleuse parade de couleurs et de lumières dansaient à mes pieds. Cette ville était magnifique, symbole de l'Ordre et de la Justice. J'avais chargé mon conseiller de la réorganisée et, non sans fièrté, je constatais qu'il avait fait du bon travail: les rues n'étaient plus jonchée de détritus, les coupes jarrets ne marraudaient plus la nuit et les hommes du guet (dont le nombre avait doublé) patrouillaient fièrement, l'uniforme rutilant et l'arme à la main. Cette ville était à nouveau digne de l'Empire et, bien que mon maitre m'avait enseigné l'humilité, je ne put réprimer se sentiment que tout cela était grace à moi.
En effet, la campagne de purge menée en Outre-mer s'était avérée fructueuse: nous avions rammené de nombreuses richesses qui embélissaient désormait la capital. Le palatin de cette misérable province n'avait pas put grand chose face à la discipline des forces de Kanderak, je l'avais balayé comme l'on balaie la vérmine. Toutefois, si il vennait se jeter à mes pieds, peut-etre ferais-je preuve de clémence la prochaine fois.

Je fus tiré de mes réveries par des cris: "Vive notre palatin, vive Jeagda le seigneur du Stirland! Vive Kanderak!" La foule m'acclamait, et je vint me joindre au féstivitées, la guerre attendra...