Le Monde de Kalamaï
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Le Monde de KalamaïConnexion
-20%
Le deal à ne pas rater :
Drone Dji DJI Mini 4K (EU)
239 € 299 €
Voir le deal

descriptionLe chevet du Pontife EmptyLe chevet du Pontife

more_horiz
Depuis de nombreuses heures déjà, soit dès l'annonce de l'attentat sur le pontife, une petite salle du siège de l'église de Kalamai avait été transformé en chevet. Un lit avait été fabriqué d'urgence pour subvenir au besoin qu'est la taille du géant, ce qui était un défi imposant. Lorsque le dirigeant du culte fut transporté en cet endroit sur un brancard, un soupir de soulagement eu lieu au sein des membres du clergé présent, car son état était stable bien que faible. Tout l'attention nécessaire lui était fournie mais il manquait d'expertise dans les guérisseurs présent.

Soudain, la porte fut ouvert en trombe, deux jumelles faisant irruptions en compagnie de deux guérisseurs en provenance de la Maison des Guérisons. Le lieu le plus réputé pour soigner les maux et souffrances, un nouveau soulagement qui détendit l'atmosphère tandis que les deux spécialistes s'affairaient à la tâche. Une fois de plus, Nunä & Mäelle avaient rempli leur devoir et collaboré à l'empire.

Les guerrières ne voulaient pas rester et déranger, leur mission était accompli et c'est sans mot dire qu'elles quittèrent les lieux, espérant que le Pontife se remette de cet tentative d'assassinat.

descriptionLe chevet du Pontife EmptyRe: Le chevet du Pontife

more_horiz
Aquilodon ouvrit l’œil. Sa première vision fut le néant, puis il se remémora son état d'aveugle. Il se demanda où il était, et tenta de se souvenir comment il était arrivé là, sans succès. Il se redressa, mais une douleur fulgurante le rabattit violemment sur sa couche. Il poussa un râle de souffrance. Par les dieux, ça y est, il se le rappelait ! Il était mort encore une fois, de la main de Galtar. Qu'était-il devenu, lui, d'ailleurs ? Il appela :

- Quelqu'un pour aider le Pontife ! Par les Seize, quelqu'un !

Il entendit quelqu'un accourir, et bientôt sentit un homme au-dessus de lui.

- Grâce à Dinas, vous êtes vivant ! Nous avons craint de vous perdre plusieurs fois. Vous êtes resté inconscient pendant une bonne semaine.

- Aidez-moi à me redresser, qui que vous soyez.

- Impossible, seigneur Pontife, j'en suis navré. Votre blessure n'est pas encore bien cicatrisée, elle risquerait de se rouvrir. Je suis un guérisseur de la Maison de Guérison. Vous êtes dans une salle adjacente à la nef, dans la Cathédrale. Nous n'avons pas pris le risque de vous transporter plus loin.

Nar'Kaïn jura intérieurement. Il avait une guerre à mener, et il ne pouvait le faire de son lit. En effet, assurément, Galtar avait été envoyé par Aedric.

- Pouvez-vous me dire ce qui s'est passé ?

- Bien entendu, messire. Vous avez été agressé par un homme pendant la grande messe que vous donniez. Il a tué votre second, le prêtre Lammarant, si je ne m'abuse. Il a été emmené par l'Ombre et ses complices ont fui. Peut-être que ceux qui ont assisté à la scène pourront vous en dire plus, une fois que vous serez en mesure de vous déplacer.

- Faites venir Faenaeron, s'il vous plaît.

- Votre nouveau second, le célestial ?

- Lui-même. Et Not l'Acide, le drow grinçant.

- Je vais envoyer quelqu'un les mander, monseigneur.

descriptionLe chevet du Pontife EmptyRe: Le chevet du Pontife

more_horiz
J’avais passé une bonne nuit de sommeil comme cela faisait longtemps que je n’avais pas passé.
Au petit matin je me préparai rapidement à sortir. Les rues n’étaient plus aussi sûres qu’avant pour une personnalité publique telle que moi, mais je me refusais toujours aussi énergiquement d’avoir une escorte. Je préférai avoir à ma ceinture mes précieuses armes : ma fidèle épée et ma dague sans compter ma lame rétractable au poigné.

Je sortie de notre antre par une porte dérobée d’un bâtiment adjacent à la taverne du Borgne.
J’avais décidé de me rendre au siège de l’Eglise afin de prendre des nouvelles du Pontife. Je l’avais laissé alors qu’il était mal en point, des soigneurs devaient venir à son chevet. J’espérais que sa santé s’était améliorée, dans le cas contraire je supposai que j’aurais été informé.
Je n’avais pas de nouvelle par contre du bleu qui s’était fait emprisonné. Est-ce que les deux Ombres avaient pu l’extirper de ce guêpier ? J’espérai car je craignais que bientôt nous aurions besoin de toute les forces fidèles au bien être du peuple.
Mais avant tout il fallait des informations. Je ne sais pas si l’assassin envoyé pour tuer le Pontife avait parlé. Si tel n’était pas le cas alors je m’en occuperai personnellement.

J’arrivai devant les portes où des gardes étaient. Au départ ils se montrèrent méfiant et sur leurs gardes. Je déclinai mon identité, mais à bon escient ils firent venir un des membres du clergé. Il vérifia mon identité. Un des gardes demanda mes armes.


Je suis désolé mais elles restent avec moi.
Je vous signale que je fais parti de ceux qui ont porté secours au Pontife et je suis un Magistrat. Si vous ne me faites pas confiance c’est que vous remettez en question les dirigeants de notre Empire. Et je veux que le Grand Prêtre vive !


Là-dessus, le prêtre fit signe au garde de me laisser passer. Il s’excusa en disant que les consignes de sécurité s’étaient accentuées.
Je fus aussitôt conduit dans une chambre où le Pontife était soigné. On me fit part de son état, il se remettait petit à petit. Le géant était réveillé.


Bonjour cher Pontife.
J’espère que vous allez un peu mieux ?
Dès que vous serez rétablie, il faudra que l’on parle sérieusement de l’Empire et de Kalamaï, sous le sceau du secret.

descriptionLe chevet du Pontife EmptyRe: Le chevet du Pontife

more_horiz
Alors qu'on venait d'envoyer quérir ses seconds, on annonça au Pontife l'entrée du Magistrat Adola. Le géant s'en réjouit, car il avait justement à parler avec le Spadassin qu'il était. Il lui fallait des nouvelles de Galtar, puis de l'Empire. Tant de choses pouvaient se passer en une semaine ! Il espérait qu'Aedric n'avait pas trop profité de ce laps de temps pour prendre un sérieux avantage. Il allait bientôt le savoir.
Le drow entra dans la chambre de fortune et, après un coup d’œil neutre aux lieux, s'adressa aimablement à Nar'Kaïn.


Bonjour cher Pontife.
J’espère que vous allez un peu mieux ?
Dès que vous serez rétablie, il faudra que l’on parle sérieusement de l’Empire et de Kalamaï, sous le sceau du secret.


- Je vais bien, je vais bien. En tout cas, je vais bien mieux que le mort que je devrais être. Et je suis assez en forme pour parler et comprendre, n'ayez crainte, même si la position debout m'est refusée. Guérisseurs, laissez-nous, s'il vous plaît. Et faites attendre Faenaeron et l'Acide s'ils se présentent. Messire Adola et moi avons à dire.

Les soigneurs sortirent discrètement, refermant la lourde porte de bois clouté derrière eux.

- Bien, nous voilà au secret. Eh bien, messire, que s'est-il passé durant ma semaine d'inconscience qui mérite d'être ainsi caché ?

descriptionLe chevet du Pontife EmptyRe: Le chevet du Pontife

more_horiz
Le Pontife était réveillé et avait les idées claires. Il se souvenait de ce qui s’était passé, de l’attaque, qu’il avait failli rencontrer plus tôt que prévu les dieux,… et il n’avait rien perdu de son aversion envers Aedric.
Il fit partir ses serviteurs qui fermèrent la porte derrière eux afin que nous puissions parler dans le secret qui étaient nécessaire en de pareilles circonstances entre deux personnalités puissantes de l’Empire.


Tout d’abord je suis heureux de vous voir vivant et en assez bonne santé. J’espère que vous serez rapidement debout et opérationnel car ce qui lueurs qui parviennent jusqu’à moi ne m’inspire rien de réjouissant.

Votre agresseur a été arrêté avec l’aide des deux jumelles que vous aviez rencontré sur les cendres de la corporation des Combattants.
Il a été livré au service de l’Ombre accompagné de membres du Culte. Malheureusement il n’a pas encore parlé, mais je vais aller m’en occuper car il nous faut des réponses. Vous savez bien que j’ai quelques appointements dans ce domaine et il peut en valoir de la sécurité de Kalamaï et de celle d’un ami.

Pour répondre à votre question, il ne s’est pas passé grand-chose durant votre semaine où vous avez perdu connaissance. Nous n’avons aucune nouvelle du côté du Rouge ce qui m’étonne grandement.
Par contre là où il y a du changement ce qui m’étonne est qu’il y a des mouvements de troupes en Edhesse. C’est une chose qui était devenue inhabituelle dans cette partie de l’Empire. Mon royaume se situe dans cette province j’ai donc des hommes bien placés pour avoir des informations aussi basiques.


Je marque un temps de pause et réfléchie un instant. Selon moi le Pontife était quelqu’un de fiable et fidèle à ses engagements, à la justice et soucieux du peuple.

Je pense que le problème concernant tous ces mouvements de contestation et de troubles politiques proviennent du fait que notre Empereur a perdu de son charisme. Cela proviendrait de son absence dans la vie de l’Empire et dans la vie politique.
Je crains que cela ne conduise à un coup d’état et n’amène l’avènement d’un despote tel que nous avons déjà connu avec Enguerrand par exemple. De plus nous n’avons plus de Gouverneur opérationnel. Heureusement le Sénat est toujours existant et j’ai le sentiment que c’est lui qui amène réellement l’évolution au sein de l’Empire.

Je vous dis cela car j’ai confiance en vous et je sais que vous avez comme moi le souhait de voir l’Empire toujours plus grand et œuvrer pour la sécurité et le bien être du peuple. Cela nécessite parfois des actes qui peuvent dépasser l’entendement et que pour ma part je suis parfois dans des conditions hors limite.

Maintenant il faut que nous trouvions une solution pour marquer un arrêt définitive contre toutes ces tentatives de complots. Cela va peut être nécessité d’assainir ou repenser notre système politique.

descriptionLe chevet du Pontife EmptyRe: Le chevet du Pontife

more_horiz
Je venais de m’entretenir longuement avec le Pontife. Nous avions convenu de chose en commun. Premièrement il nous fallait œuvrer dans le même sens pour le bien être des habitants de Kalamaï. Cela nécessitait donc de surveiller de très prêt l’opposition. Pour cela j’avais tous les moyens en hommes et en matériel nécessaire. C’était mon domaine et avec le soutien de l’Eglise et plus particulièrement de l’Inquisition cela nous donnait plus de force et de légitimité.

Nous avions également convenu que l’Empereur passait pour être de plus en plus faible à force d’être absent. Le Sénat avait prit toute sa place qui lui avait été dévolu et même plus actuellement. Et malheureusement le Gouverneur ne s’était jamais remis de sa maladie, j’avais donc de manière involontaire dû prendre les raines de ce lieu du pouvoir de l’empire.

Nous avions convenu de nous revoir très rapidement, dès que le Pontife serait remis sur pied.

Je le saluai donc et le quitta pour rejoindre ma corporation. Je n’y avais pas mis les pieds depuis quelques temps et désirais voir les changements ainsi que lire les rapports les plus importants.

descriptionLe chevet du Pontife EmptyRe: Le chevet du Pontife

more_horiz
Avant qu'Adola s'esquive, Aquilodon lui demanda de ne pas trop abîmer son assassin, car il voulait lui aussi lui parler. Puis il lui souhaita la bonne journée et lui promit de le prévenir dès qu'il pourrait de nouveau se tenir debout et marcher.

Ainsi, le Rouge se taisait. Sa tentative d'assassinat était un fiasco, et il fallait qu'il se trouve des excuses pour ne pas se retrouver tout l'Empire à dos, mais pas trop vite pour ne pas paraître trop suspect. La fourberie de cet homme l'étonnerait toujours. Ne pouvait-il pas donner ne serait-ce qu'une fois raison à ses fanfaronnades en renversant avec ses seuls hommes l'Empire ? Non, visiblement, il avait malgré tout peur. Ou bien était prudent, mais le Pontife en doutait. Quoiqu'il en était, il venait de s'aliéner l'Eglise toute entière, et peut-être même Nar'Kaïn parviendrait-il à retourner Galtar contre son envoyeur. Auquel cas Aedric aurait très certainement peu de temps à vivre encore et le Sénat pourrait mettre un homme de paille à la tête de Thassopole en attendant qu'un véritable leader pro-impérial se présente.

Dans le cas où Aquilodon ne parviendrait pas à retourner Galtar contre l'ex-grand Inquisiteur, il y aurait la guerre, mais Thassopole disposait de forces puissantes, et n'était probablement pas sans alliés.

Aquilodon n'entendit pas que Not l'Acide et Faenaeron étaient arrivés, jusqu'à ce que l'un des deux se manifeste.


- Nous sommes là, Votre Sainteté. Faenaeron et moi-même sommes à votre disposition.

- Ah, vous voici enfin ! Faenaeron, vous avez de nombreux contacts dans l'Inquisition, à Thassopole. Triez en quelques-uns sur le volet, quelques-uns qui ne vous soient pas connus comme fidèle, mais qui suivront les ordres fidèlement. Je veux qu'ils fassent semblant de rallier Aedric. Qu'ils fassent comme si je les avais excommuniés, eux aussi. Je veux qu'ils nous rapportent tous les agissements du Rouge et de ses armées.

- Si tel est le désir de Sa Sainteté.

- Not l'Acide, allez en Zakinthe, et trouvez le Lieutenant Grodor. Je vous donne le droit de conscription dans les monastères et le droit d'enrôler des pèlerins. Une fois que vous et votre corps d'armée serez parvenu à Gargath, où l'armée de Zakinthe doit attendre mes ordres, je veux que vous fassiez construire des armes de siège. Dès que vous recevrez mes ordres, vous assurerez la direction de la reprise de Dunamopole avec le Lieutenant. Je veux le moins de morts possibles et le moins de destruction possible. Capturez un maximum de soldats de Thassopole et rançonnez les, faites-leur jurer fidélité à l'Eglise et à l'Empire, ou bien, s'ils persistent dans leur fidélité passée, exécutez-les. Voire, en prévision des batailles suivantes, gardez-les pour pouvoir éventuellement les échanger contre ceux des nôtres qui auront été faits prisonniers.

- Bien, Votre Sainteté. Il en sera ainsi. J'espère. Autre chose ?

- Non. Je vous enverrai des missives si quelque chose me vient à l'esprit, et j'attends les vôtres. Au travail, messieurs. Vous pouvez disposer.

Les bruits de pas des deux hommes s'éloignèrent, et un guérisseur rentrait de nouveau dans la chambre quand Aquilodon se rendormit, épuisé par ces discussions.

descriptionLe chevet du Pontife EmptyRe: Le chevet du Pontife

more_horiz
Les jours avaient passé, et il vint un moment où le Pontife de Kalamaï s'impatienta. On ne pouvait décemment mener une guerre en notre défaveur depuis son lit ! Aussi, un matin se lassa-t-il de l'ouvrage que lui lisait Gulion, et où il décida de se reprendre en main. Il devait réapprendre à se battre avant que la guerre n'arrive aux portes de la Capitale, et il avait des affaires urgentes à régler : il devait rendre visite à Adola et à l'Empereur afin de mettre en place une résistance efficace.

Not l'Acide l'avait averti par corbeau que Gargath tomberait sous peu, et qu'il avait, avec le Lieutenant Grodor, évité le carnage en ne laissant qu'une petite garnison chargée de retenir le plus longtemps possibles les armées de la République, qui voulaient à tout prix s'emparer de la côte de Zakinthe. Aquilodon se demandait pourquoi tant de frénésie. La côte de Zakinthe n'était pas particulièrement stratégique ; ses routes intérieures l'étaient beaucoup plus, car elles reliaient Prévèze à Maon, et les forces terrestres de Zakinthe étaient bien plus redoutables que sa faible marine. De plus, les routes maritimes au large de Zakinthe ne contrôlaient aucun réel point névralgique du commerce du continent et le ravitaillement ainsi que le débarquement des troupes de la République ne nécessitaient qu'un port d'attache qu'était Dunamopole.

Non, vraiment, le Pontife ne comprenait pas la stratégie de la République.

Mais peu importait, cela n'influençait pas le fait qu'il devait se lever. Il signala sa volonté à Gulion, qui interrompit sa lecture des Entretiens Cosmologiques de Nimburr, de l'Archimage Nilmarel, et appela un guérisseur. Le géant rouspéta.


- Voyons, mon garçon, le plus grand serviteur des dieux n'a pas besoin de beaucoup plus que ses jambes pour tenir debout ! Pas besoin de ce guérisseur.

- Mais vous n'avez pas marché depuis des jours et des jours, monseigneur !

- Bast ! Tu me suffis amplement, mon jeune ami ! Vous, guérisseur, allez me chercher une robe (simple, comme toujours) et mes gardes restants, je vous prie.

Les blessures du Pontife ne le faisaient plus souffrir malgré leur gravité. Il avait toujours bénéficié d'une récupération corporelle impressionnante. On eut pu même dire quasiment magique. Il s'extirpa, nu, du lit duquel il n'était pas descendu depuis l'attentat de Galtar. Il chancela légèrement lorsqu'il se mit tout à fait debout, mais se stabilisa bien vite.

- Tu vois Gulion ? Je te l'avais dit ! Donne-moi de quoi ne pas choquer ce pauvre guérisseur qui ne devrait pas tarder à revenir.

Il enfila de quoi protéger sa pudeur et fit quelques pas, de plus en plus assurés.

Le clerc revint bientôt, les bras encombrés d'une immense bure blanche, qu'Aquilodon revêtit sans aide. Gulion lui apporta son bâton et ses sandales.


- Ah ! Qu'il est bon de sentir de nouveaux le sol sous ses pieds. Moine, où est ma suite ?

- Elle vous attend derrière la porte, Votre Sainteté !

- Merci. Les dieux vous bénissent.

Aquilodon jubilait, il ne s'était pas trompé : il était guéri. Il franchit la porte et retrouva ses suivants : le prêtre de Velsfer Barbert le Flasque, la paladin sire Jagar Naesser, l'ex-rôdeur Jedyll, le shaman Gar'kor Narbardun, et le nain Moetûn Kaalin, grand ami de Sa Sainteté Thangorthorim. Il n'y eut pas d'effusions particulières, même si tous étaient heureux de retrouver le Pontife et le Pontife de les retrouver tous.

On quitta rapidement la Cathédrale : Aquilodon envoya Kaalin prévenir le Palais Royal de son arrivée et solliciter une audience avec Sa Majesté, tandis qu'il ordonnait à Jedyll d'aller chercher le Spadassin et Magistrat Adola pour un conseil de guerre des plus importants.

descriptionLe chevet du Pontife EmptyRe: Le chevet du Pontife

more_horiz
privacy_tip Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
power_settings_newSe connecter pour répondre