**Pensée, Jour 1.**
La brume…voilà vraiment trop longtemps que cette fichue brume n’est pas repartie d’où elle vient. Plus le temps passe plus la brume se répand … vraiment cela devient intolérable, ne plus pouvoir contempler ses propres terres. Voilà bien dix ans que je ne suis pas descendu de ma tour ? Ou vingt je ne sais plus ? Haeden s’occupe de tous à ma place alors pourquoi descendrais je voir un peuple qui serait sans doute effrayé par mon apparence ?
Quoique … ils ont du changé eux aussi … drôle de cadeau que je leur ai fais. Il y a combien quarante ans ? Cinquante ans ? Hum … impossible de dire, vraiment impossible… enfin cela n’a que peu d’importance pour moi, maintenant. On vit, on meurt … Pour ce que cela peut intéressé la roue des ages … savoir si mon peuple est aussi flegmatique que moi ? Je doute, Haeden m’a dit que le peuple se développait à une allure lente et sure … étrange … j’ai compilé mes archives … on dirait que nous sommes en pleine essor démographique … Peut être devrais je remontrer à mon peuple qui commande ?
**Pensée, Jour 2**
Haeden est vraiment une perle … je ne regrette pas de l’avoir placé à la régence d’Araheleir, comme demandé il a fais recueillir toutes les rumeurs qui circulaient sur mon compte dans les villes et les villages de nos Landes. Vraiment, il y a de tout. Certains pensent qu’il n’y a personne au dessus d’Haeden simplement un titre fantoche pour tenir le peuple dans les rangs. D’autre encore croient que je suis un infernal se servent d’eux ou un vieil Inquisiteur trop vieux pour sortir de sa tour. Mais je dois avouer que ce qui revient le plus souvent est assez proche de la vérité …
Les habitants de la capitale disent voir une silhouette sur la plate de la tour chaque soir, mes gens ont une bonne vue pour m’apercevoir parmi toute cette brume… humm… je vais demander a Haeden de faire parler de moi au peuple quelques sycophantes de ci de là pour répandre la rumeur que le Seigneur de la Tour va faire son retour. Humm, et augmenter la milice … le peuple … va frémir de peur d’avoir un homme plus mort que vivant comme Seigneur, la milice fera des exemples. Les rebelles seront écorché vif et crucifié sur les murailles … oui sur les murailles ….
**Pensée, Jour 3**
Un régal … qui l’eut cru, il y a quelques jours ? Moi, le Seigneur d’Arandul ancien Inquisiteur maintenant Nécromant à la face ravagé se balade dans la capitale d’Araheleir sous les yeux de son peuple. Haeden a placé des membres de la milice dans la foule compacte, ils crient et applaudissent, la foule les imite dans l’ensemble mais on distingue la peur dans les yeux. Un elfe noir sort du rang et me pointe du doigt et hurle « monstre », il commence a crier à la révolte, une lance siffle et se plante dans sa cuisse, l’elfe tombe a terre en se tenant la cuisse sous le silence atterré de la foule qui ne pipe plus mots, seul les infiltrés crient pour qu’on abatte l’elfe.
Je le vois dans leurs yeux, dans leurs âmes, ils attendent de moi que je réagisse pour savoir si je suis un faible ou un fort, ils attendent ma réaction pour me juger. Alors, je souris, dévoilant des dents luisantes sous mon capuchon et j’ai une idée. Mes longs doigts squelettiques relève lentement le haut de ma capuche qui retombe en arrière, la foule comme un seul être à un haut le cœur et recule d’un pas. Je sais ce qu’ils voient, je le vois dans le miroir tout les soirs, une peau grise en plein putréfaction, sur le coté droit de la mâchoire il manque de la peau et on peut apercevoir mes molaires, deux yeux d’un jaune maladif contemple la foule cernés par des poches rouge mais le pire doit être la partie droite et le cou. Je les sens, ces insectes qui court le long de mon cou, grimpe sur ma joue et courent sur mes tempes, je passe une de mes mains décharnées dans mes cheveux épars gris filasse avant de rire doucement dévoilant des dents jaunes.
Délectable … la peur que distille la foule est un des meilleurs nectars de ce monde mais bien sur il y a notre ami le contestataire. L’elfe est toujours à terre se tenant la jambe mais semble avoir oublié sa douleur et me regarde atterré, immobile. Humm… je devrais le remercier pour m’avoir servis à remettre la foule au pas mais il peut encore m’être utile …tirant sur les rennes de mon étalon, celui-ci se cabre au dessus de l’elfe avant de retomber dessus de tous son poids broyant le bras dressé comme unique protection. Et je recommence encore et encore … quand je m’arrête l’elfe n’est plus qu’une masse sanguinolente sur le sol, d’un geste de main je fais avancer mon équidé continua ma balade comme si de rien n’était mais j’ordonne discrètement de lâché les goules sur le malheureux. Alors devant la foule muette, les monstres se mettent à dévorer l’elfe encore vivant poussant des cris à glacer le sang, des gens vomissent dans la foule, ils ont compris que nul écart ne sera toléré.
La brume…voilà vraiment trop longtemps que cette fichue brume n’est pas repartie d’où elle vient. Plus le temps passe plus la brume se répand … vraiment cela devient intolérable, ne plus pouvoir contempler ses propres terres. Voilà bien dix ans que je ne suis pas descendu de ma tour ? Ou vingt je ne sais plus ? Haeden s’occupe de tous à ma place alors pourquoi descendrais je voir un peuple qui serait sans doute effrayé par mon apparence ?
Quoique … ils ont du changé eux aussi … drôle de cadeau que je leur ai fais. Il y a combien quarante ans ? Cinquante ans ? Hum … impossible de dire, vraiment impossible… enfin cela n’a que peu d’importance pour moi, maintenant. On vit, on meurt … Pour ce que cela peut intéressé la roue des ages … savoir si mon peuple est aussi flegmatique que moi ? Je doute, Haeden m’a dit que le peuple se développait à une allure lente et sure … étrange … j’ai compilé mes archives … on dirait que nous sommes en pleine essor démographique … Peut être devrais je remontrer à mon peuple qui commande ?
**Pensée, Jour 2**
Haeden est vraiment une perle … je ne regrette pas de l’avoir placé à la régence d’Araheleir, comme demandé il a fais recueillir toutes les rumeurs qui circulaient sur mon compte dans les villes et les villages de nos Landes. Vraiment, il y a de tout. Certains pensent qu’il n’y a personne au dessus d’Haeden simplement un titre fantoche pour tenir le peuple dans les rangs. D’autre encore croient que je suis un infernal se servent d’eux ou un vieil Inquisiteur trop vieux pour sortir de sa tour. Mais je dois avouer que ce qui revient le plus souvent est assez proche de la vérité …
Les habitants de la capitale disent voir une silhouette sur la plate de la tour chaque soir, mes gens ont une bonne vue pour m’apercevoir parmi toute cette brume… humm… je vais demander a Haeden de faire parler de moi au peuple quelques sycophantes de ci de là pour répandre la rumeur que le Seigneur de la Tour va faire son retour. Humm, et augmenter la milice … le peuple … va frémir de peur d’avoir un homme plus mort que vivant comme Seigneur, la milice fera des exemples. Les rebelles seront écorché vif et crucifié sur les murailles … oui sur les murailles ….
**Pensée, Jour 3**
Un régal … qui l’eut cru, il y a quelques jours ? Moi, le Seigneur d’Arandul ancien Inquisiteur maintenant Nécromant à la face ravagé se balade dans la capitale d’Araheleir sous les yeux de son peuple. Haeden a placé des membres de la milice dans la foule compacte, ils crient et applaudissent, la foule les imite dans l’ensemble mais on distingue la peur dans les yeux. Un elfe noir sort du rang et me pointe du doigt et hurle « monstre », il commence a crier à la révolte, une lance siffle et se plante dans sa cuisse, l’elfe tombe a terre en se tenant la cuisse sous le silence atterré de la foule qui ne pipe plus mots, seul les infiltrés crient pour qu’on abatte l’elfe.
Je le vois dans leurs yeux, dans leurs âmes, ils attendent de moi que je réagisse pour savoir si je suis un faible ou un fort, ils attendent ma réaction pour me juger. Alors, je souris, dévoilant des dents luisantes sous mon capuchon et j’ai une idée. Mes longs doigts squelettiques relève lentement le haut de ma capuche qui retombe en arrière, la foule comme un seul être à un haut le cœur et recule d’un pas. Je sais ce qu’ils voient, je le vois dans le miroir tout les soirs, une peau grise en plein putréfaction, sur le coté droit de la mâchoire il manque de la peau et on peut apercevoir mes molaires, deux yeux d’un jaune maladif contemple la foule cernés par des poches rouge mais le pire doit être la partie droite et le cou. Je les sens, ces insectes qui court le long de mon cou, grimpe sur ma joue et courent sur mes tempes, je passe une de mes mains décharnées dans mes cheveux épars gris filasse avant de rire doucement dévoilant des dents jaunes.
Délectable … la peur que distille la foule est un des meilleurs nectars de ce monde mais bien sur il y a notre ami le contestataire. L’elfe est toujours à terre se tenant la jambe mais semble avoir oublié sa douleur et me regarde atterré, immobile. Humm… je devrais le remercier pour m’avoir servis à remettre la foule au pas mais il peut encore m’être utile …tirant sur les rennes de mon étalon, celui-ci se cabre au dessus de l’elfe avant de retomber dessus de tous son poids broyant le bras dressé comme unique protection. Et je recommence encore et encore … quand je m’arrête l’elfe n’est plus qu’une masse sanguinolente sur le sol, d’un geste de main je fais avancer mon équidé continua ma balade comme si de rien n’était mais j’ordonne discrètement de lâché les goules sur le malheureux. Alors devant la foule muette, les monstres se mettent à dévorer l’elfe encore vivant poussant des cris à glacer le sang, des gens vomissent dans la foule, ils ont compris que nul écart ne sera toléré.