Un léger vent soufflait au coeur de la forêt, secouant en douceur les feuilles des arbres qui se frottaient les unes aux autres, laissant ainsi tomber les quelques gouttes de rosées accumulées pendant la nuit. Les oiseaux chantaient ou chassaient les insectes sortis de leur cachette nocturne en cette matinée ensoleillé, et des petits rongeurs s'abreuvaient dans les grandes plantes en forme de vases ou l'eau s'était accumulé. L'endroit était calme, reposant, quand un craquement de branche attira l'attention de tout se petit monde, tous les sens en alertes chacun essayait de percevoir un signe de danger. Mais ce n'était qu'une biche gambadant tranquillement, broutant des brins d'herbes ça et là. Son pelage clair indiquait son jeune âge, mais pourtant elle se déplaçait déjà avec toute la grâce et l'élégance d'une biche digne de se nom. Ses oreilles cherchaient à capter le moindre signe de danger tandis que son museau reniflait l'air à la recherche d'odeur inhabituel, mais rien ne venait troubler sa quiétude au coeur de cette forêt, quand soudain, une flèche silencieuse et rapide comme le vent la percuta, lui crevant l'oeil et transpercent le cerveau de l'animal qui mourut instantanément, sans avoir eu le temps de comprendre ce qui s'était passé. Une petite pluie de goutte de sang tâcha quelques feuilles et le sol tandis qu'un petit filet de se liquide vital s'écoulait de la blessure.
Un peu plus loin on put entendre un son ressemblant à celui de quelqu'un atterrissant en douceur sur le sol, puis le bruit de pas léger se dirigeant vers la carcasse de la jeune biche fraîchement tué. L'individu était de taille moyenne, habillé avec un doublet sans manches en cuir noir allant jusqu'au niveau des genoux. Ce dernier était fermé au niveau de la taille par une ceinture aussi en cuir noir possédant une grosse boucle en or, de la même manière que les coutures extérieures de la ceintures et celles du doublet étaient aussi en or. Au niveau du torse le doublet laissait apparaître une ouverture en forme de V à travers laquelle on pouvait voir la chemise de soie blanche dont les manches courraient jusqu'aux poignets, ondulant légèrement avec la brise de l'air. Au niveau des jambes, l'ouverture du doublet faisait une cloche, qui permettait de voir entièrement me pantalon de cuir noir lui aussi, mais qui surtout ne gênait pas le mouvement des jambes de l'individu. Ce pantalon de cuir rentrait quand à lui dans des botte hautes en cuir bleu sombre brodées de fils d'or également. Ses main quand à elles étaient gantées par des gants en cuir d'un vert kaki assez sombre brodés de fils noir de soie noire. L'individu portait également deux épaulettes finement travaillées, sculptées, en or massif. Autour de son cou courrait une chaîne en or au bout de laquelle une opale verte était accrochée.
Sa longue chevelure châtain volait au grès du vent matinal laissant apparaître par moment ses deux longues oreilles pointues caractéristiques de sa race : les elfes. En revanche sa peau était bleu pâle et ses yeux d'un vert émeraude ce qui démontrait son appartenance à la catégorie des elfes qui ont choisit de vivre près des sources d'eau et non plus reculé au coeur des forêts ancestrales. Sa musculature était solide mais pas tape à l'oeil, sa silhouette fine et svelte le rapprochait encore plus de ses origines elfiques. Dans sa main gauche il tenait l'arc avec lequel il venait de tuer la biche. Il était fait en bois de Sylvanien rouge sombre, un arbre très rare dont le bois souple et robuste sert à fabriquer les meilleurs arcs. Celui ci avait en plus été peaufiné avec des motifs en or et la corde faite avec quelques un des cheveux de la reine des elfes, ce qui la rendait presque invisible si on n'était pas très attentif ou si la lumière ne venait pas nous donner un petit coup de pouce. Enfin ce dernier fut enchanté à l'aide de magie elfique pour qu'il puisse lui même crée ses propres projectiles. Cet arc était une relique du passé, un cadeau offert il y bien longtemps à un valeureux guerrier, quand celui ci mourut son fils très jeune à l'époque le reçut en héritage et le possède encore aujourd'hui.
L'homme arriva enfin là ou son gibier s'était écroulé. Il l'observa attentivement, c'était vraiment une belle bête, il avait eu de la chance de la trouver. Mettant un genoux à terre un posa son arc à côté de lui avant de tâter l'animal. Les muscles était détendu, et il n'y avait aucun noeud, la chair serait donc tendre, il salivait déjà à l'avance du repas de ce midi. Tout l'art de la chasse consistait à tuer sa proie quand celle ci était détendu est calme, si au contraire elle était tué quand l'animal était crispé ou entrain de courir, les muscles et la chair serait resté tendu et n'aurait pas donné un repas succulent. Il regarda ensuite le pelage de la bête, celui ci était magnifique, la peau servirai sûrement à crée un objet qui se revendrai bien quelques pièces d'or sur le marché...ou ferai un belle descente de lit. Il retira le projectile magique de sa proie, celui ci disparut alors dans sa main en se volatilisant en petite fumerolle verte dispersé par la brise. Il prit quelques feuilles alentour et nettoya le petit filet de sang et enfonça dans l'orbite de la biche le petit paquet de feuille pour faire office d'absorbant le temps du voyage. Il souleva l'animal et le place sur ses épaules, reprenant son arc dans la main gauche, il prit le chemin de du retour, marchant d'un pas souple et léger malgré le poids supplémentaire, mais moins rapide qu'à l'accoutume il en va de soit.
L'individu et son butin de chasse arrivèrent sur les abords d'une rivière qu'il longea avant d'arriver à un pont en pierre construit il y a des générations et dont la presque totalités était recouverte de plantes rampantes. Il enjamba le pont pour se rendre de l'autre côté de la forêt et continuer son chemin pour arriver en face d'un grand mur végétal. La forêt était plus dense ici et les arbres bien plus grand que tout les autres. Il tendit soigneusement l'oreille et utilisa son regard perçant pour scruter les alentours. Une fois sûr que personne ne se trouvait dans les parages il psalmodia quelques mot en elfique, presque inaudible même pour quelqu'un se trouvant à côté de lui. Les végétaux bougèrent alors pour laisser un petit espace apparaître et dans lequel s'engouffra l'elfe portant toujours son gibier sur les épaules. Il se retrouva ainsi derrière une maison dans un grand village construit à la fois au sol et sur les arbres géants, le tout autour d'un lac à l'eau clair, le soleil baignant de sa lumière le village sylvestre d'Alagandra. Il se dépêcha de grimper en haut des marches creusées à même les arbres pour rejoindre sa demeure dans les hauteurs des arbres de la ville. Il s'arrêta un moment à mi-chemin pour regarder la de haut la ville.
La cité était immense tant en largeur qu'en hauteur, des rues pavés sillonnait la ville de long en large le long des maison en pierre de différentes tailles et hauteurs construites au niveau du sol dont certaines étaient recouvertes par la végétation par endroit. Dans les arbres, des escaliers faisant le tour des troncs grimpaient vers les huttes parsemées de ci de là sur ses même arbres géants. Loin en haut sur le plus grand des arbres se trouvait le manoir sylvestre du dirigeant de la cité, constitué de différentes parties positionnées sur de nombreuses branches. Le lac quand à lui, était alimenté par un grand fleuve qui prenait sa source loin dans les montagnes au Nord de l'empire. La forêt fournissait une protection suffisante de part ses murs végétaux mais aussi les prédateurs et autres pièges de la nature, si bien que la seule fortification de la ville était construite à la jonction entre le lac et le fleuve le tout sur une distance suffisante pour bien englober le lac et une partie des plaines, tout en enjambant le fleuve par un immense pont. Il s'agissait d'un mur en pierre renforcé par dame nature d'une couche végétale de lierre et autre plante grimpante lui assurant une grande solidité. Sur ce mur une grande porte fut construire pour laissé passer les caravanes marchandes venant des différentes villes voisines ou de plus loin dans l'empire. Les battant étaient en bois de chênes et les gonds en métal, 5 lourdes barres en sapin renforcées de pièces métalliques par endroit permettaient de bloquer les portes en cas de siège. Sur le lac et le fleuve des navires pouvait circuler et venait de nombreuses ville situé le long du fleuve en amont.
Son souffle reprit et ses yeux remplit par se paysage bucolique et reposant, il continua son ascension des marches pour finalement arriver à une porte dérobé dans une des parties basse du manoir. Celle ci était toujours ouverte et donnait accès aux cuisines. A cette heure ci tout les cuisiniers étaient soit en ville soit dans la forêt, il rentra discrètement et posa la biche sur la table puis il pris un couteau et le planta d'une certaine façon. C'était un signe convenu avec le chef cuisiner il y a bien longtemps pour dire que c'était le repas qui serait servit dans la journée. Content de s'être débarrassé de son fardeau il s'étira et se massa rapidement les épaules tout en époussetant ses vêtements le plus possible. Reprenant une posture correcte il s'avança hors de la cuisine pour atterrir dans une des nombreuses passerelles du manoir. Il croisa plusieurs domestique qui le saluèrent en joignant les mains puis en s'inclinant d'un angle approximatif de quarante-cinq degré, comme le voulais la tradition ancestrale, tandis que des sentinelles elfiques se mettaient au garde à vous. Le manoir était constitué de plusieurs bâtiments sur différentes hauteur relié entre eux par des passerelles végétales. Devant chacune des entrées (mise à part la porte de derrière des cuisines) étaient gardé par deux gardes d'élite. Après quelques minutes il se retrouva dans la salle d'arme réservé au maître des lieux. Plusieurs épées runiques forgées il y a longtemps ainsi que des armures et autres reliques étaient exposées et entretenues dans cette pièce. Sur un piédestal richement décoré on pouvait voir qu'il manquait une arme. C'est vers ce piédestal que se dirigea l'elfe pour y déposer avec respect l'arc dont il s'était servit pour tuer la biche dans les bois.
Une fois l'arme remise à sa place, se dirigea vers la chambre du Conseiller, titre attribué à celui qui régnait sur les terres d`Elvaëria. Celle ci était situé dans les plus hautes branches, la passerelle végétale était sous la surveillance de 4 gardes, elle aboutissait sur une petite place qui donnait sur une série de 5 marches qui elle même menait à la grande porte en bois donnant sur les appartements privés de la famille régente. La bâtisse était légèrement plus grande que les autres pièces à part la salle d'entraînement et le grand salon des réceptions. Il posa sa main sur la poignée et la tourna doucement tout en poussant la porte. Il déboucha sur le salon, spacieux confortable et relaxant, une petite marre d'intérieur avait était creusé et plusieurs plantes poussaient à l'intérieur. Il referma la porte et respira un grand coup. C'était ce qu'il pouvait apprécier de mieux en cette matinée, personne pour lui rappeler ses obligations, tous occupés à préparer le salon de réception pour recevoir les invités du lendemain. Il cru pouvoir se détendre quand soudain l'intendant apparut avec la Conseillère sortant de la pièce voisine. Tout les deux accusèrent un regard sévère sur le Conseiller. L'elfe se résigna à entendre leur suppliques et à reprendre ses fonctions, finit le temps de l'escapade...
*Suite pour bientôt, en cour de rédaction*
Un peu plus loin on put entendre un son ressemblant à celui de quelqu'un atterrissant en douceur sur le sol, puis le bruit de pas léger se dirigeant vers la carcasse de la jeune biche fraîchement tué. L'individu était de taille moyenne, habillé avec un doublet sans manches en cuir noir allant jusqu'au niveau des genoux. Ce dernier était fermé au niveau de la taille par une ceinture aussi en cuir noir possédant une grosse boucle en or, de la même manière que les coutures extérieures de la ceintures et celles du doublet étaient aussi en or. Au niveau du torse le doublet laissait apparaître une ouverture en forme de V à travers laquelle on pouvait voir la chemise de soie blanche dont les manches courraient jusqu'aux poignets, ondulant légèrement avec la brise de l'air. Au niveau des jambes, l'ouverture du doublet faisait une cloche, qui permettait de voir entièrement me pantalon de cuir noir lui aussi, mais qui surtout ne gênait pas le mouvement des jambes de l'individu. Ce pantalon de cuir rentrait quand à lui dans des botte hautes en cuir bleu sombre brodées de fils d'or également. Ses main quand à elles étaient gantées par des gants en cuir d'un vert kaki assez sombre brodés de fils noir de soie noire. L'individu portait également deux épaulettes finement travaillées, sculptées, en or massif. Autour de son cou courrait une chaîne en or au bout de laquelle une opale verte était accrochée.
Sa longue chevelure châtain volait au grès du vent matinal laissant apparaître par moment ses deux longues oreilles pointues caractéristiques de sa race : les elfes. En revanche sa peau était bleu pâle et ses yeux d'un vert émeraude ce qui démontrait son appartenance à la catégorie des elfes qui ont choisit de vivre près des sources d'eau et non plus reculé au coeur des forêts ancestrales. Sa musculature était solide mais pas tape à l'oeil, sa silhouette fine et svelte le rapprochait encore plus de ses origines elfiques. Dans sa main gauche il tenait l'arc avec lequel il venait de tuer la biche. Il était fait en bois de Sylvanien rouge sombre, un arbre très rare dont le bois souple et robuste sert à fabriquer les meilleurs arcs. Celui ci avait en plus été peaufiné avec des motifs en or et la corde faite avec quelques un des cheveux de la reine des elfes, ce qui la rendait presque invisible si on n'était pas très attentif ou si la lumière ne venait pas nous donner un petit coup de pouce. Enfin ce dernier fut enchanté à l'aide de magie elfique pour qu'il puisse lui même crée ses propres projectiles. Cet arc était une relique du passé, un cadeau offert il y bien longtemps à un valeureux guerrier, quand celui ci mourut son fils très jeune à l'époque le reçut en héritage et le possède encore aujourd'hui.
L'homme arriva enfin là ou son gibier s'était écroulé. Il l'observa attentivement, c'était vraiment une belle bête, il avait eu de la chance de la trouver. Mettant un genoux à terre un posa son arc à côté de lui avant de tâter l'animal. Les muscles était détendu, et il n'y avait aucun noeud, la chair serait donc tendre, il salivait déjà à l'avance du repas de ce midi. Tout l'art de la chasse consistait à tuer sa proie quand celle ci était détendu est calme, si au contraire elle était tué quand l'animal était crispé ou entrain de courir, les muscles et la chair serait resté tendu et n'aurait pas donné un repas succulent. Il regarda ensuite le pelage de la bête, celui ci était magnifique, la peau servirai sûrement à crée un objet qui se revendrai bien quelques pièces d'or sur le marché...ou ferai un belle descente de lit. Il retira le projectile magique de sa proie, celui ci disparut alors dans sa main en se volatilisant en petite fumerolle verte dispersé par la brise. Il prit quelques feuilles alentour et nettoya le petit filet de sang et enfonça dans l'orbite de la biche le petit paquet de feuille pour faire office d'absorbant le temps du voyage. Il souleva l'animal et le place sur ses épaules, reprenant son arc dans la main gauche, il prit le chemin de du retour, marchant d'un pas souple et léger malgré le poids supplémentaire, mais moins rapide qu'à l'accoutume il en va de soit.
L'individu et son butin de chasse arrivèrent sur les abords d'une rivière qu'il longea avant d'arriver à un pont en pierre construit il y a des générations et dont la presque totalités était recouverte de plantes rampantes. Il enjamba le pont pour se rendre de l'autre côté de la forêt et continuer son chemin pour arriver en face d'un grand mur végétal. La forêt était plus dense ici et les arbres bien plus grand que tout les autres. Il tendit soigneusement l'oreille et utilisa son regard perçant pour scruter les alentours. Une fois sûr que personne ne se trouvait dans les parages il psalmodia quelques mot en elfique, presque inaudible même pour quelqu'un se trouvant à côté de lui. Les végétaux bougèrent alors pour laisser un petit espace apparaître et dans lequel s'engouffra l'elfe portant toujours son gibier sur les épaules. Il se retrouva ainsi derrière une maison dans un grand village construit à la fois au sol et sur les arbres géants, le tout autour d'un lac à l'eau clair, le soleil baignant de sa lumière le village sylvestre d'Alagandra. Il se dépêcha de grimper en haut des marches creusées à même les arbres pour rejoindre sa demeure dans les hauteurs des arbres de la ville. Il s'arrêta un moment à mi-chemin pour regarder la de haut la ville.
La cité était immense tant en largeur qu'en hauteur, des rues pavés sillonnait la ville de long en large le long des maison en pierre de différentes tailles et hauteurs construites au niveau du sol dont certaines étaient recouvertes par la végétation par endroit. Dans les arbres, des escaliers faisant le tour des troncs grimpaient vers les huttes parsemées de ci de là sur ses même arbres géants. Loin en haut sur le plus grand des arbres se trouvait le manoir sylvestre du dirigeant de la cité, constitué de différentes parties positionnées sur de nombreuses branches. Le lac quand à lui, était alimenté par un grand fleuve qui prenait sa source loin dans les montagnes au Nord de l'empire. La forêt fournissait une protection suffisante de part ses murs végétaux mais aussi les prédateurs et autres pièges de la nature, si bien que la seule fortification de la ville était construite à la jonction entre le lac et le fleuve le tout sur une distance suffisante pour bien englober le lac et une partie des plaines, tout en enjambant le fleuve par un immense pont. Il s'agissait d'un mur en pierre renforcé par dame nature d'une couche végétale de lierre et autre plante grimpante lui assurant une grande solidité. Sur ce mur une grande porte fut construire pour laissé passer les caravanes marchandes venant des différentes villes voisines ou de plus loin dans l'empire. Les battant étaient en bois de chênes et les gonds en métal, 5 lourdes barres en sapin renforcées de pièces métalliques par endroit permettaient de bloquer les portes en cas de siège. Sur le lac et le fleuve des navires pouvait circuler et venait de nombreuses ville situé le long du fleuve en amont.
Son souffle reprit et ses yeux remplit par se paysage bucolique et reposant, il continua son ascension des marches pour finalement arriver à une porte dérobé dans une des parties basse du manoir. Celle ci était toujours ouverte et donnait accès aux cuisines. A cette heure ci tout les cuisiniers étaient soit en ville soit dans la forêt, il rentra discrètement et posa la biche sur la table puis il pris un couteau et le planta d'une certaine façon. C'était un signe convenu avec le chef cuisiner il y a bien longtemps pour dire que c'était le repas qui serait servit dans la journée. Content de s'être débarrassé de son fardeau il s'étira et se massa rapidement les épaules tout en époussetant ses vêtements le plus possible. Reprenant une posture correcte il s'avança hors de la cuisine pour atterrir dans une des nombreuses passerelles du manoir. Il croisa plusieurs domestique qui le saluèrent en joignant les mains puis en s'inclinant d'un angle approximatif de quarante-cinq degré, comme le voulais la tradition ancestrale, tandis que des sentinelles elfiques se mettaient au garde à vous. Le manoir était constitué de plusieurs bâtiments sur différentes hauteur relié entre eux par des passerelles végétales. Devant chacune des entrées (mise à part la porte de derrière des cuisines) étaient gardé par deux gardes d'élite. Après quelques minutes il se retrouva dans la salle d'arme réservé au maître des lieux. Plusieurs épées runiques forgées il y a longtemps ainsi que des armures et autres reliques étaient exposées et entretenues dans cette pièce. Sur un piédestal richement décoré on pouvait voir qu'il manquait une arme. C'est vers ce piédestal que se dirigea l'elfe pour y déposer avec respect l'arc dont il s'était servit pour tuer la biche dans les bois.
Une fois l'arme remise à sa place, se dirigea vers la chambre du Conseiller, titre attribué à celui qui régnait sur les terres d`Elvaëria. Celle ci était situé dans les plus hautes branches, la passerelle végétale était sous la surveillance de 4 gardes, elle aboutissait sur une petite place qui donnait sur une série de 5 marches qui elle même menait à la grande porte en bois donnant sur les appartements privés de la famille régente. La bâtisse était légèrement plus grande que les autres pièces à part la salle d'entraînement et le grand salon des réceptions. Il posa sa main sur la poignée et la tourna doucement tout en poussant la porte. Il déboucha sur le salon, spacieux confortable et relaxant, une petite marre d'intérieur avait était creusé et plusieurs plantes poussaient à l'intérieur. Il referma la porte et respira un grand coup. C'était ce qu'il pouvait apprécier de mieux en cette matinée, personne pour lui rappeler ses obligations, tous occupés à préparer le salon de réception pour recevoir les invités du lendemain. Il cru pouvoir se détendre quand soudain l'intendant apparut avec la Conseillère sortant de la pièce voisine. Tout les deux accusèrent un regard sévère sur le Conseiller. L'elfe se résigna à entendre leur suppliques et à reprendre ses fonctions, finit le temps de l'escapade...
*Suite pour bientôt, en cour de rédaction*