C'était par une nuit d'hiver, il neigeait et il faisait très froid, ma fenêtre ouverte je regardais la lune et les étoiles à moitié cachées par des nuages. J'aperçu au loin des lumières dansant à la pleine lune, le parc prit alors feu, très rapidement puis j'entendis des pleurs, des cris, des hurlements et plein d'autres bruits, ce fut au tour de l’hôpital, un immense bâtiment que l’on pouvait voir de la fenêtre du palais.
Mon frère entra dans ma chambre me donna un sac et me supplia de partir loin, ce que je fit en pleurant. J'abandonnais derrière moi ma vie, mon frère, mes parents et mes amis peu nombreux.
Je me faufilai dans l'ombre pour m'enfuir tel un prisonnier s'évadant, je parti sans regarder derrière moi et j'arriva après 50 minutes de course dans un bois, celui dans lequel j'avais l'habitude de me promener avec mon grand frère. C’était une course intensive !
Je n’avais pas beaucoup mangé ce matin, de plus j’était fatigué car j’avais fais une nuit blanche, j’avais donc très peu de forces. Des crampes aux abdominaux m’empêchaient de bouger, de plus j’avais les jambes en coton, la gorge en feu et les bras m’en tombaient. J’avais du mal à respirer, une envie de vomir et mes paupières se fermaient, le simple fait de froncer les sourcils était une épreuve insurmontable. Mon père me l’avait dit un jour, juste avant la mort, l’état le plus insupportable est l’épuisement, et dire qu’à ce moment là j’avais rit de lui intérieurement. Je ne le souhaite à personne car c’est très éprouvant, j’avais 14 ans !
Ce bois, je ne le connaissais même pas beaucoup car on ne faisait qu'une bref promenade pas très loin de la lisière de la forêt pour ne pas se perdre, mais je couru vers le centre de cette masse incalculable d'arbre pour me cacher, mon frère m'avait dit :
- il faut que tu vives !
Mon frère se souciait plus de moi que de lui même, et il m'avait sauvé la vie encore une fois, le passé refaisait surface, tout les bons et les mauvais souvenirs.
C'est alors qu’au bout de 20 minutes, pendant lesquels je me suis reposé, j'entendis des bruis de pas, des branches qui craque et je me retrouva face à trois brigands, l'un un peu plus imposant que les autres me dit :
- Tu dois mourir pour le bien du seigneur Altaica Tigris !
Il pointa son épée dur moi et les deux autres me sautèrent dessus, je réussis à en éviter un et le deuxième me blessa à l'épaule droite avec sa hache de bataille double lame, j'avais presque perdu mon bras. Et inconsciemment je fis un mur de flamme d'une grandeur incroyable,
après deux petites secondes je transformai les flammes en glace, on pouvait lire la peur sur le visage du brigand coincé dans les glaces. Le chef arriva alors et me donna un incroyable coup de point à l'endroit de ma plaie et je tombai par terre en hurlant de douleur, il s'approcha encore de moi et allait m'achever avec un coup d'épée.
A ce moment là je voulais repensé à tout ce que j'avais vécu mais seulement mes deux dernières années me revinrent, je n'arrivais pas à me souvenir de tout les autres événements de ma vie, je crus mourir.
Soudain les deux bandits restant furent projetés en avant, on pouvait voir des flèches de glace plantées dans leur dos.
Mon frère debout en face de moi, la main en avant me dit une phrase :
- tu ne changeras jamais ...
Mon frère avait raison, j'aurais toujours besoin d'aide, je suis un minable qui ne sait pas se protéger tout seul et je suis une gêne pour quiconque.
Après m'avoir arrangé un peu ma blessure il m'a annoncé la direction à prendre, et il partit dans l'autre sens.
- Pourquoi ne prend tu pas non plus cette direction ?!
- Pour attirer tout les soldats.
- Non, c'est à moi de te sauver maintenant !
Après ça il se mit à rire et partit en courant, faisant des traces avec son sabre dans la terre. Je me résolu à partir dans la direction opposé à la sienne, maudissant le sort.
Mon frère entra dans ma chambre me donna un sac et me supplia de partir loin, ce que je fit en pleurant. J'abandonnais derrière moi ma vie, mon frère, mes parents et mes amis peu nombreux.
Je me faufilai dans l'ombre pour m'enfuir tel un prisonnier s'évadant, je parti sans regarder derrière moi et j'arriva après 50 minutes de course dans un bois, celui dans lequel j'avais l'habitude de me promener avec mon grand frère. C’était une course intensive !
Je n’avais pas beaucoup mangé ce matin, de plus j’était fatigué car j’avais fais une nuit blanche, j’avais donc très peu de forces. Des crampes aux abdominaux m’empêchaient de bouger, de plus j’avais les jambes en coton, la gorge en feu et les bras m’en tombaient. J’avais du mal à respirer, une envie de vomir et mes paupières se fermaient, le simple fait de froncer les sourcils était une épreuve insurmontable. Mon père me l’avait dit un jour, juste avant la mort, l’état le plus insupportable est l’épuisement, et dire qu’à ce moment là j’avais rit de lui intérieurement. Je ne le souhaite à personne car c’est très éprouvant, j’avais 14 ans !
Ce bois, je ne le connaissais même pas beaucoup car on ne faisait qu'une bref promenade pas très loin de la lisière de la forêt pour ne pas se perdre, mais je couru vers le centre de cette masse incalculable d'arbre pour me cacher, mon frère m'avait dit :
- il faut que tu vives !
Mon frère se souciait plus de moi que de lui même, et il m'avait sauvé la vie encore une fois, le passé refaisait surface, tout les bons et les mauvais souvenirs.
C'est alors qu’au bout de 20 minutes, pendant lesquels je me suis reposé, j'entendis des bruis de pas, des branches qui craque et je me retrouva face à trois brigands, l'un un peu plus imposant que les autres me dit :
- Tu dois mourir pour le bien du seigneur Altaica Tigris !
Il pointa son épée dur moi et les deux autres me sautèrent dessus, je réussis à en éviter un et le deuxième me blessa à l'épaule droite avec sa hache de bataille double lame, j'avais presque perdu mon bras. Et inconsciemment je fis un mur de flamme d'une grandeur incroyable,
après deux petites secondes je transformai les flammes en glace, on pouvait lire la peur sur le visage du brigand coincé dans les glaces. Le chef arriva alors et me donna un incroyable coup de point à l'endroit de ma plaie et je tombai par terre en hurlant de douleur, il s'approcha encore de moi et allait m'achever avec un coup d'épée.
A ce moment là je voulais repensé à tout ce que j'avais vécu mais seulement mes deux dernières années me revinrent, je n'arrivais pas à me souvenir de tout les autres événements de ma vie, je crus mourir.
Soudain les deux bandits restant furent projetés en avant, on pouvait voir des flèches de glace plantées dans leur dos.
Mon frère debout en face de moi, la main en avant me dit une phrase :
- tu ne changeras jamais ...
Mon frère avait raison, j'aurais toujours besoin d'aide, je suis un minable qui ne sait pas se protéger tout seul et je suis une gêne pour quiconque.
Après m'avoir arrangé un peu ma blessure il m'a annoncé la direction à prendre, et il partit dans l'autre sens.
- Pourquoi ne prend tu pas non plus cette direction ?!
- Pour attirer tout les soldats.
- Non, c'est à moi de te sauver maintenant !
Après ça il se mit à rire et partit en courant, faisant des traces avec son sabre dans la terre. Je me résolu à partir dans la direction opposé à la sienne, maudissant le sort.