Galarendïl était l’île la mieux lotie parmi celles qui constituaient l’archipel Yohô.
Les ressources indispensables comme l’eau, le gibier, les minerais … étaient présentes en abondances sur l’île qui possédait la plus grande surface de l’archipel …
Cela en faisait donc un avantage aussi bien commercial, militaire et économique pour quiconque réussirait à la coloniser …
L’île semblait simple et inoffensive à première vue …
Deux blocs de montagnes compactes étaient nichés au beau milieu de l’île, montagnes dans lesquels les sentiers étaient rares, tout comme l’oxygène, appauvrie par l’altitude grandissante des pics parfois enneigés.
Autour de ces montagnes, et comme sur la quasi-totalité de la surface se trouvait une forêt d’une énorme densité.
Le climat y était tropical, donc chaud et humide, et cela favorisait l’apparition de créatures introuvables sur les terres plus froides.
De plus, une telle densité était parfaite pour receler nombreux pièges où embuscade, bien que les occupants de cette terre ne soient guère nombreux.
La seule partie de ces terres à être épargné par l’étreignante densité était les côtes.
Celles-ci étaient de sable fin et plates, passé les plages et les plaines, on entrait dans la forêt.
C’est donc le long de la mer que les armées coloniales des îles avoisinantes bâtirent leur camp avant de partir en exploration où de s’affronter …
Cette ambition coloniale ne plaisait aucunement aux quelques aborigènes qui logeaient à l’orée de la forêt, dans les vallées montagneuses.
Des pièges étaient régulièrement posés et entravait considérablement quiconque oserait s’aventurer trop loin dans les terres.
Mais si peu nombreux, il n’offrait pas de réelle résistance aux envahisseurs.
Alors pourquoi cette île si enrichissante, si bénéfique n’avait pas encore été découverte et colonisée ? Cela, les seigneurs des îles avoisinantes ne se posaient pas la question aveuglée par leur cupidité …
Seuls certains échos racontaient la présence d’un homme et une créature exilés sur la plus haute montagne de l’île …
Les ressources indispensables comme l’eau, le gibier, les minerais … étaient présentes en abondances sur l’île qui possédait la plus grande surface de l’archipel …
Cela en faisait donc un avantage aussi bien commercial, militaire et économique pour quiconque réussirait à la coloniser …
L’île semblait simple et inoffensive à première vue …
Deux blocs de montagnes compactes étaient nichés au beau milieu de l’île, montagnes dans lesquels les sentiers étaient rares, tout comme l’oxygène, appauvrie par l’altitude grandissante des pics parfois enneigés.
Autour de ces montagnes, et comme sur la quasi-totalité de la surface se trouvait une forêt d’une énorme densité.
Le climat y était tropical, donc chaud et humide, et cela favorisait l’apparition de créatures introuvables sur les terres plus froides.
De plus, une telle densité était parfaite pour receler nombreux pièges où embuscade, bien que les occupants de cette terre ne soient guère nombreux.
La seule partie de ces terres à être épargné par l’étreignante densité était les côtes.
Celles-ci étaient de sable fin et plates, passé les plages et les plaines, on entrait dans la forêt.
C’est donc le long de la mer que les armées coloniales des îles avoisinantes bâtirent leur camp avant de partir en exploration où de s’affronter …
Cette ambition coloniale ne plaisait aucunement aux quelques aborigènes qui logeaient à l’orée de la forêt, dans les vallées montagneuses.
Des pièges étaient régulièrement posés et entravait considérablement quiconque oserait s’aventurer trop loin dans les terres.
Mais si peu nombreux, il n’offrait pas de réelle résistance aux envahisseurs.
Alors pourquoi cette île si enrichissante, si bénéfique n’avait pas encore été découverte et colonisée ? Cela, les seigneurs des îles avoisinantes ne se posaient pas la question aveuglée par leur cupidité …
Seuls certains échos racontaient la présence d’un homme et une créature exilés sur la plus haute montagne de l’île …