Kurunor est l’île la plus proche de Galarendïl, mais il n’y a qu’un fin bras de mère qui la sépare d’Hastariane ce qui la rend vulnérable de celle-ci.
Sur la cote Sud-Est, quatre pics montagneux se dressent haut vers le ciel. C’est juste au Sud qu’est le port principale de l’île et c’est à côté qu'est bâtie la Capitale, une vaste citée de pierre et de bois entourée d’une muraille de pierres de taille moyenne.
Au centre de la ville, face à la mer et sur une butte de terre est dressé le Palais des Princes, une imposante demeure de pierre de cinq étages. Au rez-de-chaussée se trouve la salle du trône, toute en longueur et terminée par le siège du Seigneur, il est taillé dans le tronc d’un chêne centenaire et comporte une multitude de détails. Les étages supérieurs son interdit à tous les civils, sauf rares exceptions et les proches du Seigneur.
L’île est couverte de plaines de hautes herbes.
La plus part des forêts que l’on trouvait ici en abondance avant que les hommes perdent le respect des arbres, ont été rasées, mais on peut encore en trouver ça et là, bien elles sont dangereuses, plusieurs communautés de loups s’y sont installer, les bergers fond donc de leur mieux pour les éviter…
Les habitant quand à eux sont des fanatiques de Brox, ils sont persuadés qu'il les soutient dans toutes leurs campagne et leur garantit la victoire, malgré ça, ils se battent de leur mieux pour lui faire honneur et pour garder sa sympathie, se sont de redoutables guerriers qui fuient que rarement, même s'il doivent sacrifier des vies pour!
Les libertés sont réduites par un pouvoir corrompu! La différence entre les riches et les pauvres et flagrante, les deux se méprisent.
Les Kurunoréens on une ville sur Galarendïl. Elle est appuyée sur le bloque montagneux le plus au Sud. La petite cité, principalement marchande, est protégée par deux hauts murs de rondins de bois pointus. Entre ces deux défenses, une garnison de cinq cents hommes protègent le lieu et fouillent les convois qui tentent d’entrer dans la ville ainsi que ceux qui tentent d’en sortir. En face des murs, à une centaine de mètres, se dresse une forêt.
Le Seigneur a décidé de mettre sa ville coloniale ici pour plusieurs raisons économiques, en effet, dans la montagne il est un gisement de charbon, où travails chaque jours plusieurs dizaines de serfs, une petite mine d’argent, qui sera bientôt épuisée et une rivière qui passe à travers la forêt
Les marchandises qui ne sont pas utilisées sur place sont envoyées à Kurunor par une route qui mène à un port défendu par une palissade de bois et cinquante soldats -bien qu’il puisse en accueillir jusqu’à deux mille hommes-, qui les envois ensuite sur l’île. De la nourriture est envoyé depuis Kurunor par le même chemin.
Chaque jour, quelques soldats fouillent la forêt tout le jour durant à la recherche d’éventuels soldats ennemis. S’ils croisent une force supérieurs à eux, ou qui a l’air mieux équipée ils ont pour ordre de ne pas déclencher les hostilités et de revenir immédiatement à la base Kurunoréenne pour déclencher l’alerte. Dans ce cas, plus aucuns convoi ne sort du port ou de la ville marchande, les archers se préparent à tiré par de fines fentes dans les murs de rondins, les murs n’ayant de chemins de ronde. Si la première fortification tombe, les archers et une partie de l’infanterie se replient dans la ville même alors que cent soldats se battent encore, s’il y a une nette supériorité numérique, toute l’infanterie reste pour massacrer au plus vite les assaillants.
Sur la cote Sud-Est, quatre pics montagneux se dressent haut vers le ciel. C’est juste au Sud qu’est le port principale de l’île et c’est à côté qu'est bâtie la Capitale, une vaste citée de pierre et de bois entourée d’une muraille de pierres de taille moyenne.
Au centre de la ville, face à la mer et sur une butte de terre est dressé le Palais des Princes, une imposante demeure de pierre de cinq étages. Au rez-de-chaussée se trouve la salle du trône, toute en longueur et terminée par le siège du Seigneur, il est taillé dans le tronc d’un chêne centenaire et comporte une multitude de détails. Les étages supérieurs son interdit à tous les civils, sauf rares exceptions et les proches du Seigneur.
L’île est couverte de plaines de hautes herbes.
La plus part des forêts que l’on trouvait ici en abondance avant que les hommes perdent le respect des arbres, ont été rasées, mais on peut encore en trouver ça et là, bien elles sont dangereuses, plusieurs communautés de loups s’y sont installer, les bergers fond donc de leur mieux pour les éviter…
Les habitant quand à eux sont des fanatiques de Brox, ils sont persuadés qu'il les soutient dans toutes leurs campagne et leur garantit la victoire, malgré ça, ils se battent de leur mieux pour lui faire honneur et pour garder sa sympathie, se sont de redoutables guerriers qui fuient que rarement, même s'il doivent sacrifier des vies pour!
Les libertés sont réduites par un pouvoir corrompu! La différence entre les riches et les pauvres et flagrante, les deux se méprisent.
Les Kurunoréens on une ville sur Galarendïl. Elle est appuyée sur le bloque montagneux le plus au Sud. La petite cité, principalement marchande, est protégée par deux hauts murs de rondins de bois pointus. Entre ces deux défenses, une garnison de cinq cents hommes protègent le lieu et fouillent les convois qui tentent d’entrer dans la ville ainsi que ceux qui tentent d’en sortir. En face des murs, à une centaine de mètres, se dresse une forêt.
Le Seigneur a décidé de mettre sa ville coloniale ici pour plusieurs raisons économiques, en effet, dans la montagne il est un gisement de charbon, où travails chaque jours plusieurs dizaines de serfs, une petite mine d’argent, qui sera bientôt épuisée et une rivière qui passe à travers la forêt
Les marchandises qui ne sont pas utilisées sur place sont envoyées à Kurunor par une route qui mène à un port défendu par une palissade de bois et cinquante soldats -bien qu’il puisse en accueillir jusqu’à deux mille hommes-, qui les envois ensuite sur l’île. De la nourriture est envoyé depuis Kurunor par le même chemin.
Chaque jour, quelques soldats fouillent la forêt tout le jour durant à la recherche d’éventuels soldats ennemis. S’ils croisent une force supérieurs à eux, ou qui a l’air mieux équipée ils ont pour ordre de ne pas déclencher les hostilités et de revenir immédiatement à la base Kurunoréenne pour déclencher l’alerte. Dans ce cas, plus aucuns convoi ne sort du port ou de la ville marchande, les archers se préparent à tiré par de fines fentes dans les murs de rondins, les murs n’ayant de chemins de ronde. Si la première fortification tombe, les archers et une partie de l’infanterie se replient dans la ville même alors que cent soldats se battent encore, s’il y a une nette supériorité numérique, toute l’infanterie reste pour massacrer au plus vite les assaillants.