Dans une région reculé, voir même presque inexploré de la vaste province de Naxos, à la limite des régions inconnus du Grand Nord et de ses neiges éternelles, se trouve l'Abysse.

Ignorait par ceux qui ne savent pas où elle se trouve, craint par tous les autres.
Aujourd'hui, sous un ciel nuageux dans lequel les rayons du soleil ne penetre pas, comme si les Dieux ne desiraient pas eclairer cette plaie putride dans le monde,
Shaka, la matriarche de Trimaya, et son armée s'apprete au combat.

En rangs organisés, les generaux devant, les cavaliers, piquier, les cuirasses lourdes qui protegent des pluies de fleches et des sorts, fantassins, puis enfin les machines de guerres, arbaletes, catapultes, trebuchets, tours d'assaut, voila de quoi était composé l'armée reguliere Trimaya, et plus à l'est se trouvé l'armée noire, vampires, goules, orques, ogres, dragons, gobelins, assassins.

L'armée marchait en silence, comme le voulait Shaka, elle aimait les surprises.
La lande était deserte, la vegetation etait morte et craquait sous les pas de l'armée, il n'y avait rien de vivant autour de ce trou infernal.
D'un geste, la matriarche fit stopper l'armée et elle demanda à ce que le camps soit installé comme prevu.
L'armée se reorganisa et en quelques heures un nouveau camps fut montée, le plan de la matriarche était en route.
Au loin on vit un groupe d'archers partir en courant, En'dril le second de Shaka vint la voir pour lui annoncer qu'un groupe de leurs archers avaient fuit lachement et si il fallait leur donner la chasse.
Un sourire de satisfaction se lisait sur le visage de la jeune elfe, qui emmena En'dir sous sa tente.

Un cavalier portant une armure noire et rouge, tachetée de sang seché, s'avanca sur le pont etroit de l'abysse.
Son heaume était surmonté de deux cornes recourbées vers l'exterieur, sa cape dechirée par le bas battait au vent dans un claquement sec.
Elle portait à son bras un bouclier d'acier, tout cabossé, lui aussi plein de sang, on pouvait deviner derriere la crasse et les rayures un dessin, un aigle a deux tetes.

Je souhaite parler au seigneur de cette fortesse. Sachez que vous aller droit dans un piege, le camps que vous attaquez est vide, la matriarche shaka vous attend plus haut, et lorsque vous serez dans le camps elle le brulera a coup de fleche enflamée puis vous coupera la retraite par sa cavalerie.

Le cavalier fit avancer lentement sa monture et fit tomber son bouclier dans un fracas metalique, puis son épée fit de même. Elle fit avancer sa monture quelque peu puis mit pied à terre.

Je suis la comtesse Eolia.

Quelques soldats la tenait en respect, leurs armes braquées sur elle, ils etaient aussi surpris que mefiants.


Grolak vous attend devant la porte de la forteresse pour discuter avec vous. Sachez que vous n'entrerez pas derrière nos murs pour le moment.

La comtesse retira son heaume et se dirigea vers Grolak.

Les chiens arriverent dans un grogement degueulasse, la bave degoullinante de leur babines retroussées sur des crocs luisants à la lumière des torches, ils deboulerent dans le camps devastant tout sur leur passage, reverssant les tonneaux, saccageant les tentes, s'acharnant sur les prisonniers que l'armée avait attachées là, comme l'avait voulut Shaka.

Dans le ciel noir comme de l'encre, une flèche enflammée passe dans une trainée de feu et va se ficher dans le sol à quelque metres des chiens, entre l'abyss et le camps, la flèche brule un instant et soudain le sol s'enflamme, de la pelouse jaillit un mur de feu, coupant la retraite aux chiens.

Puis silencieuses les fleches empoisonnées traversent l'obscurité, invisiblent, elles s'abattent sur le camps, se fichant dans tout, tonneaux, chiens, dans les reste des cadavres à demi devorés, les tentes.
Dans une sorte de lunette, la matriarche regarde, le sol est recouvert de fleches, le camps ressemble à un gigantesque porc epic, rien n'est vivant, l'ombre des flammes dansent sur les cadavres environnants.
Elle detourne sa lunette et regarde vers l'abyss, une ombre furtive passe sur son visage en y decouvrant le cavalier...

Tandis que Grolak voyait la cavalière se rapprocher et qu'il attendait qu'elle entame la discussions qu'elle avait demandé, les autres gardes surveillaient la progression des chiens sauvages vers le campement de l'ennemi. Alors que la meute arrivait, un mur de flamme s'éleva et une pluie de flèche s'abattit sur le camp. Un piège, voilà ce qui aurait attendu les armées du sanglant si elles avaient sorti de la forteresse.

Un des hommes vint en faire le rapport à Grolak qui donna ses ordres.

Faites envoyer les âmes errantes, aux dernières nouvelles nous en avions plus de 500 prête à combattre. Aucune flèche ne les affectera et les obstacles sont tout simplement surpassé. Qu'ils fasse le plus de dégâts possible. je ne tolèrerais aucune pitié mais que leur chef soit amené ici, à genoux et en vie.

Si cela venait qu'à échouer, nous attendrons ici leur assaut. Nous avons l'avantage de la forteresse et nous avons de quoi faire un siège pour des mois.

Gardant sa patience, il s'adressa à Eolia :

Il en est assez d'attendre, dites la raison de votre venue, soyez claire et détaillé dans vos propos. Je ne peux attendre des lunes alors que nous sommes en état de siège. Je vous écoutes !



[hrp]Tu t'es engagé dans un siège contre une forteresse, tu ne pensais quand même pas régler cela en 2 jour.[/hrp]

La matriarche vit arriver les ames errante comme une vague sur la plaine, elle savait que les armes étaient vaines contre ce genre de creatures et elle ne possedait pas de magie.
Se tournant vers son second:
-faite sonner la retraite.
-pardon?
-j'ai dis de faire sonner la retraite.
-mais altesse, jamais vous n'avez perdue une bataille, nos hommes on foi en vous.
-on ne peux pas les battre avec nos armes, moi seule possede une lame enchantée, de plus les armées promises par Lailah ne sont pas là, regarde, ils sont entre 400 et 600 et nous juste 1000 avec les deux armées, partez.

Elle regarder l'armée noire combattre, ou plutot se faire ecraser par les ames erantes.
En'dir sonna le cor de la retraite, les hommes bien qu'incredules obeirent à l'ordre.

-rentrez à Trimaya, puis lui donnant l'épée blanche de la matriarche, en attendant mon retour ,Trimaya est à toi, prend soin de notre peuple.

Puis sur ses mots elle chargea jusqu'à l'abysse, seule.

En'dir la regarda s'enfoncer dans la nuit puis il rejoinit ses hommes, une pointe de tristesse en lui.

Devant le pont de la forteresse, l'elfe noire pouvait sentir la chaleur de l'enfer sortir de l'abysse, une chaleur étouffante qui vous brulait de l'interieur, il n'y avait que la longueur du pont qui la separait de l'armée ennemie et peut être même de sa propre mort.
Dans ses yeux se relfetait la couleur de l'enfer lui donnant un air plus mechant, son bouclier levé contre elle, son poing crispé sur son épée,elle se mit en position.

Grolak, moi Shaka, je te defie en combat singulier, ici sur ce pont, un combat à mort, grâce ne sera pas demandé, ni acceptée.

Elle voyait de l'autre côté du pont le general et à ses côtés Eolia la traitresse.

Il fessait nuit, dans mon château on ne pouvait qu'entendre le bruit des pas de mon armée qui se promenais dans ma notre demeure. Lailah m'avait annoncé que bientôt elle allait tout laisser tomber. De mon côté je prépara quelque plans de secoures. Un de mes hommes venit m'informer qu'ils avaient trouvé un coffre qui étais scellé. Je pris ma dague de je défonça le coffre. Dans celui-ci, se trouva des équipements, une épée qui semblait magique, de l'équipement. Cet équipement était celui que nos parents nous avaient laisser. On pouvait y voir: Deux épées,une lance, une amulette avec un reflet bleu à l'intérieur et un habit noir et gris.

Spoiler:

J'avais prit l'équipement et parti vers la forteresse de Trasalvia, là où je plus voir que Lailah m'avait laisser. Il y avait quelques dragons d'os en arrière et dans un arbre, une amulette, l'amulette que j'avais donner à Lailah. Je m'approcha prêt des dragons voulant en monter un, mais il ne répondait pas, je sorti mon épée et la pointa vers le dragon. Celui-ci se mit automatiquement sur les quatres pattes prêt à décoller je monta dessus et parti en direction de Mogoth.

Rendu à cette place, je demanda à quelque s'un des larbins de Mogoth où il était.Ceux-ci, me pointa tous un pont. Je m'approcha du pont et vit Shaka et un infernaux surement le général

-je veux joindre vos rang!

Hrp: dsl petit texte mais je n'avait pas beaucoup de temps :s

(je modifie juste un peu le passage de lailah, ses renforts arrivent mais restent en retrait de ma position, quand a celui de julios je n'en tiens pas compte puisque je suis avec le general de mogoth sur le pont)


En position d'attaque, l'elfe noire defiait le general ennemi, il était la à quelque mètres seulement et pourtant il ne bougeait pas, il la toisait de toute sa hauteur, ses yeux noirs luisants derriere son casque semblait chercher à percer l'armure de la matriarche pour la mettre a nue, puis un rictus deforma sa bouche, une grimace, un sourire, Shaka n'aurait su le dire.
Il s'avanca vers elle, le bruit sourd de ses pas resonnait sur la structure du pont faisant trembler le sol, la matriarche avait l'impression que le pont aller ceder sous le poid de ce geant en armure et l'entrainer de ce gouffre infernal où nombres d'âme sont torturées.
Il prit la parole, d'une voix grave et neutre.

Pauvre folle, crois tu pouvoir venir ici au milieu de mon armée, dans ma forteresse et me defier?
Tu n'es qu'une miserable creature que je balaye comme le vent balaye les feuilles mortes.
Fuit pendant que tu peux.

Il avait baisser la tête pour la regarder, on aurait dit une enfant face à un adulte, son coeur battait en elle et semblait vouloir fuir de son corps, la jointure de sa main avait blanchit tellement elle serrait la poignet de son épée.
Elle n'osait plus rien faire, se battre et affronter une mort certaine ou bien faire demi tour?
Puis elle leva son glaive vengeur dans un hurlement melant terreur et courage, mais l'ennemi fut prompte à regir et sa lame se brisa sur sa claymore, elle lacha le reste de sa lame et tomba à genoux dans un cri de douleur, la main sur son avant bras, le choc violent s'etait repercuté en elle.
Il s'approcha d'elle en riant et du pied la poussa en arriere, la matriarche voulait fuir, au diable son orgeuil, elle rampait pour tenter de fuir sa mort.

Son épée à la main, les bras en croix, sur le pont, le general exultait, les flammes de l'enfer faisaient naitre des ombres inquietantes sur son armure, au loin les hommes de Lailah était venus recuperer la matriarche blessée...

Eolia vit l'elfe noire se faire lamentablement repousser par le seigneur noir, elle était repartie sans autre forme de proces soigner ses blessures, puis juste apres deux autres vampires arriverent, Eolia les devisageat, son visage de porcelaine à moitié caché à cause du soleil, seul ses yeux clair étaient visibles.
Elle tourna autour des deux vampires puis s'arreta aux côté du lieutenant.
D'une voix clair elle lui:

Ce sont des traitresses, je sens la peur en elles, si vraiment elles veulent nous rejoindre, qu'elles nous aoffre le denomé Sharlnak, comme moi j'ai offert l'efle.

Puis elle regarda à nouveaux les deux vampires.

Mirshall avait fait une longue route par la voie de la terre.
Voyant au passage de plus en plus de terreur.
La guerre faisant de plus en plus de ravage dans les villes et les villages.
Nombreuse furent les forêts qu'elle dut traversée pour arriver à ses fins.
Même si certaine créatures venant des forêts venait l'importuner.
Essayant de la mangé rapidement vu la taille de la fée.
Elle utilisait presque chaque nuit des plantes pour se protèger.
La pluie tombant parfois partout dans les terres de Naxopoles.
Mouillant ainsi les vêtements de Mirshall pour le pire.
Elle n'avait pas apportée de vêtement de rechange.
Voulant ressentir la nature dans son plein fouet et la prendre avec elle.

C'est toujours avec espoir qu'elle espèrait revoir sa plus précieuse amie.
Le vent sifflottant dans les oreilles de la fée lui rendant une bien triste mélodie.
La frayeur de la nuit la réveillait presque tout les jours.
Elle n'était pas habituée à vivre seule durant les nuits.
Les hurlements des loups et des autres bêtes mystiques la réveillait souvent.
Les ombres de la nuits ressemblant parfois à des glyphes et autre...
Les frayeurs les plus fou grandissant dans le coeur de la jeune fillette.
Mais, l'espoir de revoir Shaka la rendait plus forte et plus persévérente.
Que ce soit la boue et le froid, jamais elle n'allait abandonner.

Après quelques jours de route, elle arriva finalement dans les abyss.
C'est du moins ce que pensait Mirshall dès son arrivée.
La chaleur était très suffocante et même de la fumée sortait.
Mais rien n'allait pouvoir arrêter cette petite même pas la mort.
Elle prit la route qui la mena vers un pont et s'arrêta devant eux.
Tout était dévasté, c'était la la réponse à tout ses questions.
La guerre faisant autant de ravage qu'une armée d'humain.
C'est alors qu'elle vit des gens parler sur un pont au loin.
Utilisant son sort d'invisibilité, elle s'approcha du groupe.
Voyant des vampires, elle s'approcha lentement vers eux.
Même si ils ne pouvait pas la voir, ils pouvaient l'entendre.

Ehhh... ehhhh, êtes-vous les... amies de Shaka, je la recherche.

Un autre s'était pointé, decidemant c'était reunion de famille sur le pont ou quoi.
La vampire était perdue dans ses pensées quand elle sentie quelque chose approcher, quelque chose qui se cachait apparement, la voix qui s'éleva dans les airs lui donna raison, Shaka, la jeune fille, ou quoi que ce soit d'autre, parlait de l'elfe.

Eolia, se concentra et parla par la pensée à cette creature invisible...