Pendant l'absence de Babka dans sa province, dû à la Séance du Sénat, dans un bureau installé au coeur des batîments entourant l'Arbre de Maon, les intendants d'Helcar qui s'occupait aussi de l'administration de l'armada de Maon prirent l'initiative de mettre sur pied un groupe afin de restaurer et agrandir le Fort situé en Amphise et qui servait de lieu de rassemblement pour feu le Protectorat Ancestralafin que les Fidèles de Maon s'y installent. La nouvelle non officielle de la fusion avec l'Igoumen était parvenu à eux. Ce fort serait le premier restauré dû à sa proximité puis ce serait au tour de l'Est de la forêt d'en voir se faire construire puisqu'aucun document ne signale la présence de fortification de ce côté de la forêt. Une place stratégique serait donc à prévoir au retour du palatin.
La nécessité des fort étant justifié par l'aggravation de la situation politique en Naxopole et en Outre-Mer. Pour l'instant seule la première des deux régions allait devenir un champs de batailles et le peuple souhaitait que le conflit avec la Nation d'Outre-Mer soit clos par le biais de relations diplomatiques plutôt que militaire. Les Amphisois ayant un souvenir encore frais des conquérants d'outre-mer qui ont été repoussé après maintes pertes humaines et matérielles.
Là n'était pas les seuls travaux sur la table, une vérification complète des établissements religieux se préparait afin d'assurer au peuple des lieux de cultes sécuritaire et digne de leur vocations dans toutes les villes et villages de Maon. La réfection des grandes routes d'Amphise étant toujours effectué régulièrement, ce sujet n'avait pas a être traité pour le moment, cependant une vérification des routes de l'Igoumen devra être fait afin d'avoir des rapports précis des entretien requis dans le futur.
Le port de Phornose serait assurément agrandi suite aux nouvelles ententes avec Prévèze mais aussi pour répondre à la demande commerciale supplémentaire qu'engendre l'agrandissement du territoire à couvrir. Afin d'encourager le commerce intérieur à nos territoire et avec nos alliés, une motion de loi restait à adopter afin qu'aucune taxe ne soit prélevé sur tout achat et vente d'un produit Maonais ou Prévèziens.
Les casernes actuelles où s'effectue l'entrainement de la milice et des dresseurs avait pour le moment une superficie adéquate. Les méthodes d'apprentissage prônant de toute manière la pratique sur le terrain permettait d'utiliser les bâtiments pour y entreposer les armes et vivres secs, tout le reste de la formation étant directement en forêt. Ainsi, en temps paisible, un millier d'individus par mois recevait les tactiques de bases du combat à l'épée ou à l'arc et ce sur la monture de son choix. Ensuite, il retournait à ses occupations normales. Ceci créant un peuple en mesure de se défendre sous tout circonstance sans avoir a payer des sommes incroyables en soldes. Seul la formation était payé pour le temps qu'il ne pouvait travailler ou lorsque la situation exigé l'emploi de la milice en plus grand nombres. Chaque graduation voyait certains d'entre-eux être engagés de manière permanente, ceux-ci devenait les élites de Maon et constituait la garde provinciale et du palatin.
Tout allait donc très bien, la situation étant sous contrôle, le peuple était prospère et ne manquait jamais de nourriture et ce peut importe la saison ou les intempéries. Les terres d'Helcar étant d'immenses lieux de récoltes apte à fournir tout ce qui est nécessaire à plus du deux tiers de la population en considérant des rations normales. Tous les autres seigneurs réunis étant en mesure de produire cette même quantité, un surplus était ainsi engendré régulièrement afin d'obtenir des réserves conséquentes.
Nul doute, le palatin avait de quoi être fier de la situation économique et sociale de son peuple, il va s'en dire qu'il devait les fondations de tout ceci à l'ancien palatin Oengus... Qui sait ce qu'il est advenu de lui, nul ne l'a revu depuis son départ sur un bateau vers les mers inconnues.
Parfois des visiteurs entrait obtenir information ou encore apposait requêtes diverses. Tous et chacun était entendu et pris en considération dans ses demandes. Ce lieux servait régulièrement de point de rencontre lorsque des envoyés diplomatique était en mission sur nos terres. Voilà cependant longtemps qu'aucun n'était venu et les intendants souhaitait voir ses situations changer suite à la grande fusion...
La nécessité des fort étant justifié par l'aggravation de la situation politique en Naxopole et en Outre-Mer. Pour l'instant seule la première des deux régions allait devenir un champs de batailles et le peuple souhaitait que le conflit avec la Nation d'Outre-Mer soit clos par le biais de relations diplomatiques plutôt que militaire. Les Amphisois ayant un souvenir encore frais des conquérants d'outre-mer qui ont été repoussé après maintes pertes humaines et matérielles.
Là n'était pas les seuls travaux sur la table, une vérification complète des établissements religieux se préparait afin d'assurer au peuple des lieux de cultes sécuritaire et digne de leur vocations dans toutes les villes et villages de Maon. La réfection des grandes routes d'Amphise étant toujours effectué régulièrement, ce sujet n'avait pas a être traité pour le moment, cependant une vérification des routes de l'Igoumen devra être fait afin d'avoir des rapports précis des entretien requis dans le futur.
Le port de Phornose serait assurément agrandi suite aux nouvelles ententes avec Prévèze mais aussi pour répondre à la demande commerciale supplémentaire qu'engendre l'agrandissement du territoire à couvrir. Afin d'encourager le commerce intérieur à nos territoire et avec nos alliés, une motion de loi restait à adopter afin qu'aucune taxe ne soit prélevé sur tout achat et vente d'un produit Maonais ou Prévèziens.
Les casernes actuelles où s'effectue l'entrainement de la milice et des dresseurs avait pour le moment une superficie adéquate. Les méthodes d'apprentissage prônant de toute manière la pratique sur le terrain permettait d'utiliser les bâtiments pour y entreposer les armes et vivres secs, tout le reste de la formation étant directement en forêt. Ainsi, en temps paisible, un millier d'individus par mois recevait les tactiques de bases du combat à l'épée ou à l'arc et ce sur la monture de son choix. Ensuite, il retournait à ses occupations normales. Ceci créant un peuple en mesure de se défendre sous tout circonstance sans avoir a payer des sommes incroyables en soldes. Seul la formation était payé pour le temps qu'il ne pouvait travailler ou lorsque la situation exigé l'emploi de la milice en plus grand nombres. Chaque graduation voyait certains d'entre-eux être engagés de manière permanente, ceux-ci devenait les élites de Maon et constituait la garde provinciale et du palatin.
Tout allait donc très bien, la situation étant sous contrôle, le peuple était prospère et ne manquait jamais de nourriture et ce peut importe la saison ou les intempéries. Les terres d'Helcar étant d'immenses lieux de récoltes apte à fournir tout ce qui est nécessaire à plus du deux tiers de la population en considérant des rations normales. Tous les autres seigneurs réunis étant en mesure de produire cette même quantité, un surplus était ainsi engendré régulièrement afin d'obtenir des réserves conséquentes.
Nul doute, le palatin avait de quoi être fier de la situation économique et sociale de son peuple, il va s'en dire qu'il devait les fondations de tout ceci à l'ancien palatin Oengus... Qui sait ce qu'il est advenu de lui, nul ne l'a revu depuis son départ sur un bateau vers les mers inconnues.
Parfois des visiteurs entrait obtenir information ou encore apposait requêtes diverses. Tous et chacun était entendu et pris en considération dans ses demandes. Ce lieux servait régulièrement de point de rencontre lorsque des envoyés diplomatique était en mission sur nos terres. Voilà cependant longtemps qu'aucun n'était venu et les intendants souhaitait voir ses situations changer suite à la grande fusion...