Archives de Xéénothée
Outres moult insectes et petits animaux, j’ai recensé en Kalamaï les espèces suivantes :
REPTILES ET DRAGONS
Hommes-Lézards :
Races :
Au nombre de trois, elles sont recensées comme Skariar, Diurzor et Jraktir.
Habitat :
Facteurs principaux : Hygiène et nourriture
La race Skariar vit dans les marais, où il règne une humidité et une chaleur propices à leur épiderme, dont ils se servent pour la parade amoureuse.
La race Diurzor préfère les côtes, toujours pour son humidité mais plus pour sa fraîcheur et son vent, car ces hommes lézards se servent du vent pour piéger leur proie, en s’approchant d’elle tout en masquant leur odeur. On en trouve beaucoup en Thassopole et en Outre-Mer.
La race Jraktir n’est pas omnivore, mais herbivore, et vit donc dans les forêts, où l’on trouve des feuilles vertes, dont elles se nourrissent.
Comportement :
Organisation :
Toutes les races d’hommes-lézards s’organisent en tribus dirigées par un couple dominant, comme les meutes des loups.
Ils sont sédentaires.
Reproduction :
Les mâles disposent d’une peau semblable à celle des caméléons, c’est-à-dire qu’elle est « métatréphochromatique » , en d’autres termes, qu’elle peut changer de couleur, en fonction de leur humeur, ou de leurs sensations.
Les femelles possèdent quant à elles une collerette leur permettant de séduire les mâles.
En effet, la parade amoureuse est exécutée par le mâle comme par la femelle, quelle que soit la race.
Les hommes-lézards sont ovipares.
Cyclique :
Les races Skariar et Diurzor sont migratrices. Elles ont tendance à migrer vers les endroits les plus chauds de leur territoire. Leurs migrations mériteraient plutôt le terme de déplacement.
La race Jraktir hiberne durant cinq mois d’affilées. En effet, étant donné qu’elle ne se nourrit que de chlorophylle et de certaines fleurs printanières et estivales, elle ne pourrait survivre durant l’automne et l’hiver.
Kuo-toas :
Races :
Trois races également : les Kuos, les Toas, et les Hurgas.
Habitat :
Facteur principal : Nourriture
Les Kuos vivent dans les marais, car ils sont insectivores. En réalité, ils sont carnivores, mais leur adaptation leur a permis de développer un physique propice à la chasse aux insectes, et ils sont devenus insectivores.
Les Toas vivent sur les côtes, car ils sont avant tout des créatures aquatiques. Ils se nourrissent de poissons et de fruits de mer.
Le Hurgas vivent dans les lacs souterrains, que les vermines arachnides affectionnent. Ces vermines sont la nourriture principale des Hurgas.
Comportement :
Organisation :
Les Kuo-Toas sont regroupés en groupes de chasse, qui sont bien plus hiérarchisés que les tribus hommes-lézards. J’ai remarqué plusieurs grades.
- le Ktor, qui semble être le chef du groupe
- le Yertag, l’équivalent d’un second
- le Fur, plutôt un titre honorifique qu’un grade, et qui désigne les bons chasseurs.
Les femelles sont écartées de ces grades.
Les Kuo-Toas sont souvent sédentaires, mais j’ai recensé des cas nomades.
Reproduction :
Les mâles se battent pour posséder les femelles qu’ils veulent. Apparemment, les vainqueurs violent ensuite les femelles qu’ils désirent.
Ils sont ovipares.
Cyclique :
Très territoriaux, les Kuo-Toas ne migrent pas. Ils n’hibernent pas non plus. Ils ont un comportement cyclique identique à celui des espèces « conscientes ».
Basilics
Races :
Il y a deux races de Basilics. Elles sont communément appelées Basilic marcheur et Basilic rampant.
Habitat :
Facteur principal : Nourriture et lumière
Le Basilic marcheur est le Basilic des déserts. Il est notamment présent en Prévèze, dans le sud de l’Edhesse et sur la frontière ouest de Zakinthe. Ils s’enfouissent généralement sous le sable ou les roches, et sortent la nuit pour chasser les fennecs, oiseaux, œufs de serpents… Ces Basilics sont carnivores.
Les Basilics rampants sont en réalité de longs serpents qui atteignent des tailles entre trois et dix mètres. Ils préfèrent habiter les cavernes, où il fait sombre en permanence. Ils dévorent les chauves souris, les araignées, et même parfois des ours imprudents venus construire leur tanière dans la même caverne.
Comportement :
Organisation :
Le Basilic est solitaire, quelle que soit sa race. Pouvant vivre des centaines d’années, les Basilics ne se reproduisent qu’une fois par siècle environ. J’ignore comment deux Basilics peuvent se rejoindre, mais la reproduction a bel et bien lieu.
Reproduction :
Supposé ovipare, on ignore comment le Basilic se reproduit.
Cyclique :
Le Basilic est sédentaire.
Dans le cas du rampant, il peut sommeiller une année durant, puis être éveillé la suivante. Selon une cycle très imprévisible et incompréhensible à l’échelle humaine.
Dans le cas du marcheur, le sommeil fonctionne comme celui des chauves-souris. Il est également sédentaire et attaque quiconque met le pied sur son territoire.
Le Basilic mue une fois par siècle. Relation avec la reproduction ?
Signes particuliers :
Regard fatal. La victime est pétrifiée vivante sans espoir de guérison.
Le chant d’un coq est mortel au Basilic, pour une raison inconnue.
Taille gigantesque.
Hommes-Serpents :
Race unique.
Habitat :
Facteur : Economique
Les Hommes-Serpents sont pour la plupart des esclavagistes qui recherchent soit un port de contrebande d’où ils peuvent exporter leur marchandise, soit des endroits où ils peuvent se cacher mais sortir facilement au grands jours.
On compte leur présence notamment dans les cavernes, les marais, et sur les côtes.
Comportement :
Organisation :
Les Hommes-Serpents vivent par groupes très civilisés. Certains sont des esclavagistes, d’autres des mercenaires recherchés. Ils sont notamment capables de s’infiltrer dans les lignes ennemies et de frapper les armées de l’intérieur au début des combats.
Apparemment, les groupes d’Hommes-Serpents auraient un régime anarchique. On ne distingue ni hiérarchie, ni loi parmi eux.
Reproduction :
Les Hommes-Serpents sont ovipares. Deux mois après l’accouplement, la femelle pond deux œufs en moyenne, qui éclosent un mois plus tard. Un Homme-Serpent ou une Femme-Serpent a généralement un dizaine d’enfants dans sa vie, car il peut se reproduire jusqu’à sa mort.
Cyclique :
Les groupes d’Hommes-Serpents migrent deux fois par an selon un circuit bien précis, sur lequel sont aménagées des cachettes, probablement pour échapper aux autorités. Sinon, ils suivent le mode de vie des autres espèces civilisées.
Wyvernes :
Races :
Il existe deux races de Wyvernes.
Celle des montagnes et des collines, les Wyvernes archontes, et celle des marais, dites Wyvernes communes.
Habitat :
Facteur principal : Nourriture et anatomie
Les Wyvernes archontes chassent les rapaces, les troupeaux et les clans nains et géants dans les montagnes et les collines. Elles affectionnent les pics et y construisent à l’aide de troncs d’arbres des nids gigantesques.
Les Wyvernes communes sont quadrupèdes, contrairement à leurs congénères ailées, et sont obligées de vivre dans les marais, où le gibier d’eau foisonne. Elles vivent généralement dans les mares, donnant lieu à de nombreuses légendes.
Comportement :
Organisation :
Les Wyvernes vivent toujours en couple, dès leur deuxième année. Hermaphrodites, comme tous les autres dragons, elles se déplacent toujours ensemble et peuvent se reproduire en tout lieu.
Reproduction :
Chose rare chez les dragons et reptiles, les Wyvernes archontes sont vivipares. La gestation de la Wyverne va de deux à trois ans, et le nouveau-né égale le tiers de la taille de ses parents à la naissance.
La Wyverne commune est fort semblable au Basilic marcheur quant à la reproduction. S’ils sont ovipares, leurs œufs sont cachés au fond des mares et des étangs. S’ils sont vivipares, on a aucune trace de leur gestation.
Cyclique :
Les couples de Wyvernes ne se rencontrent que pour constituer un autre couple avec leurs enfants. Ils sont sédentaires et attaquent les êtres qui s’approchent de leurs nids.
Signes distinctifs :
Généralement une dizaine de mètres d’envergure.
Une quinzaine de mètres de long.
Dragons :
Races :
Il existe neuf races de dragons répertoriées. Les Dragons verts, les Dragons rouges, les Dragons noirs, les Dragons d’or, d’argent et de bronze, les Dragons bleus, et les Dragons blancs, ainsi que les gigantesques Serpents de mers.
Habitat :
Facteur principal : Inconnu
Les lieux habités par les Dragons ne suivent aucune logique que les espèces conscientes habitant Kalamaï peuvent comprendre. Seuls les Serpents de mer vivent dans le seul milieu qui peut leur convenir : l’eau.
Comportement :
Organisation :
Les Dragons sont solitaires et belliqueux. Les intrusions des êtres inférieurs sur leur territoire les mettent soit dans un état de fureur, soit attirent leur curiosité. Et aucune des deux possibilités n’est bénéfique aux intrus.
Les Dragons ne sont pas des animaux normaux. Moins d’un millier sur Kalamaï, ils sont bien plus intelligents que les Anciens et gardent leurs trésors avec encore plus de jalousie. Ils ne rendent service qu’à ceux dont ils reconnaissent la puissance intéressante.
Reproduction :
Les Dragons sont hermaphrodites, car de telles puissances ne peuvent être ni males, ni femelles. On ne connaît aucun cas de reproduction de dragon. Peut-être ces créatures sont-elles les fruits de choc inhabituels des flux de mana.
Cyclique :
Les Dragons ne sont pas des créatures mortelles ordinaires. Elles n’ont ni besoin de boire, ni de manger, ni de dormir. Elles se nourrissent des courants magiques et aiment faire semblant de sommeiller sur leur trésor, afin d’attirer des aventuriers imprudents mais puissants, qui sont la seule source d’intérêt des grands reptiles magiques. On ne sait pas si la Wyverne doit réellement être classée parmi les Dragons.
Signes distinctifs :
Puissants pouvoirs.
Mesure généralement de vingt à trente mètres.
Intelligence quasiment divine.
Cruel, belliqueux, curieux, territorial.
Crache le feu et dispose d‘une paire d‘ailes gigantesques, excepté le serpent de mer.
Hydre :
Race unique.
Habitat :
Facteur principal : Humidité
Les Hydres, créatures ayant des têtes multiples, aiment l’humidité des marais et des cavernes. Elles dévorent les oiseaux et les chauves-souris en faisant bondir leurs cous.
Comportement :
Organisation :
Les Hydres sont rares en Kalamaï. Découvertes depuis Séluée, la quatrième collision, elles sont sujettes à de nombreuses études et braconnage. Mais l’Hydre n’est pas stupide et a toujours raison de ses ennemis. Solitaire, elle ne permet le passage qu’aux autres Hydres migratrices ou à certaines créatures des cavernes et marais.
Reproduction :
L’Hydre est aussi hermaphrodite, et ovipare. Elle se reproduit lors des périodes de migrations, et les œufs éclosent dans les cavernes.
Cyclique :
Les Hydres vivent dans les marais du printemps à l’automne, puis partent vivre dans les cavernes en hiver, quand les marais sont pris par les glaces. Elles n’hibernent pas.
Les Hydres muent une fois par mois. La mue de l’Hydre est une période qui dure de deux à trois jours durant laquelle il ne faut l’approcher sous aucun prétexte, si l’on tient à la vie.
Signes distinctifs :
De trois à douze têtes qui repoussent lorsqu’on les coupent.
Vulnérable au feu.
Outres moult insectes et petits animaux, j’ai recensé en Kalamaï les espèces suivantes :
REPTILES ET DRAGONS
Hommes-Lézards :
Races :
Au nombre de trois, elles sont recensées comme Skariar, Diurzor et Jraktir.
Habitat :
Facteurs principaux : Hygiène et nourriture
La race Skariar vit dans les marais, où il règne une humidité et une chaleur propices à leur épiderme, dont ils se servent pour la parade amoureuse.
La race Diurzor préfère les côtes, toujours pour son humidité mais plus pour sa fraîcheur et son vent, car ces hommes lézards se servent du vent pour piéger leur proie, en s’approchant d’elle tout en masquant leur odeur. On en trouve beaucoup en Thassopole et en Outre-Mer.
La race Jraktir n’est pas omnivore, mais herbivore, et vit donc dans les forêts, où l’on trouve des feuilles vertes, dont elles se nourrissent.
Comportement :
Organisation :
Toutes les races d’hommes-lézards s’organisent en tribus dirigées par un couple dominant, comme les meutes des loups.
Ils sont sédentaires.
Reproduction :
Les mâles disposent d’une peau semblable à celle des caméléons, c’est-à-dire qu’elle est « métatréphochromatique » , en d’autres termes, qu’elle peut changer de couleur, en fonction de leur humeur, ou de leurs sensations.
Les femelles possèdent quant à elles une collerette leur permettant de séduire les mâles.
En effet, la parade amoureuse est exécutée par le mâle comme par la femelle, quelle que soit la race.
Les hommes-lézards sont ovipares.
Cyclique :
Les races Skariar et Diurzor sont migratrices. Elles ont tendance à migrer vers les endroits les plus chauds de leur territoire. Leurs migrations mériteraient plutôt le terme de déplacement.
La race Jraktir hiberne durant cinq mois d’affilées. En effet, étant donné qu’elle ne se nourrit que de chlorophylle et de certaines fleurs printanières et estivales, elle ne pourrait survivre durant l’automne et l’hiver.
Kuo-toas :
Races :
Trois races également : les Kuos, les Toas, et les Hurgas.
Habitat :
Facteur principal : Nourriture
Les Kuos vivent dans les marais, car ils sont insectivores. En réalité, ils sont carnivores, mais leur adaptation leur a permis de développer un physique propice à la chasse aux insectes, et ils sont devenus insectivores.
Les Toas vivent sur les côtes, car ils sont avant tout des créatures aquatiques. Ils se nourrissent de poissons et de fruits de mer.
Le Hurgas vivent dans les lacs souterrains, que les vermines arachnides affectionnent. Ces vermines sont la nourriture principale des Hurgas.
Comportement :
Organisation :
Les Kuo-Toas sont regroupés en groupes de chasse, qui sont bien plus hiérarchisés que les tribus hommes-lézards. J’ai remarqué plusieurs grades.
- le Ktor, qui semble être le chef du groupe
- le Yertag, l’équivalent d’un second
- le Fur, plutôt un titre honorifique qu’un grade, et qui désigne les bons chasseurs.
Les femelles sont écartées de ces grades.
Les Kuo-Toas sont souvent sédentaires, mais j’ai recensé des cas nomades.
Reproduction :
Les mâles se battent pour posséder les femelles qu’ils veulent. Apparemment, les vainqueurs violent ensuite les femelles qu’ils désirent.
Ils sont ovipares.
Cyclique :
Très territoriaux, les Kuo-Toas ne migrent pas. Ils n’hibernent pas non plus. Ils ont un comportement cyclique identique à celui des espèces « conscientes ».
Basilics
Races :
Il y a deux races de Basilics. Elles sont communément appelées Basilic marcheur et Basilic rampant.
Habitat :
Facteur principal : Nourriture et lumière
Le Basilic marcheur est le Basilic des déserts. Il est notamment présent en Prévèze, dans le sud de l’Edhesse et sur la frontière ouest de Zakinthe. Ils s’enfouissent généralement sous le sable ou les roches, et sortent la nuit pour chasser les fennecs, oiseaux, œufs de serpents… Ces Basilics sont carnivores.
Les Basilics rampants sont en réalité de longs serpents qui atteignent des tailles entre trois et dix mètres. Ils préfèrent habiter les cavernes, où il fait sombre en permanence. Ils dévorent les chauves souris, les araignées, et même parfois des ours imprudents venus construire leur tanière dans la même caverne.
Comportement :
Organisation :
Le Basilic est solitaire, quelle que soit sa race. Pouvant vivre des centaines d’années, les Basilics ne se reproduisent qu’une fois par siècle environ. J’ignore comment deux Basilics peuvent se rejoindre, mais la reproduction a bel et bien lieu.
Reproduction :
Supposé ovipare, on ignore comment le Basilic se reproduit.
Cyclique :
Le Basilic est sédentaire.
Dans le cas du rampant, il peut sommeiller une année durant, puis être éveillé la suivante. Selon une cycle très imprévisible et incompréhensible à l’échelle humaine.
Dans le cas du marcheur, le sommeil fonctionne comme celui des chauves-souris. Il est également sédentaire et attaque quiconque met le pied sur son territoire.
Le Basilic mue une fois par siècle. Relation avec la reproduction ?
Signes particuliers :
Regard fatal. La victime est pétrifiée vivante sans espoir de guérison.
Le chant d’un coq est mortel au Basilic, pour une raison inconnue.
Taille gigantesque.
Hommes-Serpents :
Race unique.
Habitat :
Facteur : Economique
Les Hommes-Serpents sont pour la plupart des esclavagistes qui recherchent soit un port de contrebande d’où ils peuvent exporter leur marchandise, soit des endroits où ils peuvent se cacher mais sortir facilement au grands jours.
On compte leur présence notamment dans les cavernes, les marais, et sur les côtes.
Comportement :
Organisation :
Les Hommes-Serpents vivent par groupes très civilisés. Certains sont des esclavagistes, d’autres des mercenaires recherchés. Ils sont notamment capables de s’infiltrer dans les lignes ennemies et de frapper les armées de l’intérieur au début des combats.
Apparemment, les groupes d’Hommes-Serpents auraient un régime anarchique. On ne distingue ni hiérarchie, ni loi parmi eux.
Reproduction :
Les Hommes-Serpents sont ovipares. Deux mois après l’accouplement, la femelle pond deux œufs en moyenne, qui éclosent un mois plus tard. Un Homme-Serpent ou une Femme-Serpent a généralement un dizaine d’enfants dans sa vie, car il peut se reproduire jusqu’à sa mort.
Cyclique :
Les groupes d’Hommes-Serpents migrent deux fois par an selon un circuit bien précis, sur lequel sont aménagées des cachettes, probablement pour échapper aux autorités. Sinon, ils suivent le mode de vie des autres espèces civilisées.
Wyvernes :
Races :
Il existe deux races de Wyvernes.
Celle des montagnes et des collines, les Wyvernes archontes, et celle des marais, dites Wyvernes communes.
Habitat :
Facteur principal : Nourriture et anatomie
Les Wyvernes archontes chassent les rapaces, les troupeaux et les clans nains et géants dans les montagnes et les collines. Elles affectionnent les pics et y construisent à l’aide de troncs d’arbres des nids gigantesques.
Les Wyvernes communes sont quadrupèdes, contrairement à leurs congénères ailées, et sont obligées de vivre dans les marais, où le gibier d’eau foisonne. Elles vivent généralement dans les mares, donnant lieu à de nombreuses légendes.
Comportement :
Organisation :
Les Wyvernes vivent toujours en couple, dès leur deuxième année. Hermaphrodites, comme tous les autres dragons, elles se déplacent toujours ensemble et peuvent se reproduire en tout lieu.
Reproduction :
Chose rare chez les dragons et reptiles, les Wyvernes archontes sont vivipares. La gestation de la Wyverne va de deux à trois ans, et le nouveau-né égale le tiers de la taille de ses parents à la naissance.
La Wyverne commune est fort semblable au Basilic marcheur quant à la reproduction. S’ils sont ovipares, leurs œufs sont cachés au fond des mares et des étangs. S’ils sont vivipares, on a aucune trace de leur gestation.
Cyclique :
Les couples de Wyvernes ne se rencontrent que pour constituer un autre couple avec leurs enfants. Ils sont sédentaires et attaquent les êtres qui s’approchent de leurs nids.
Signes distinctifs :
Généralement une dizaine de mètres d’envergure.
Une quinzaine de mètres de long.
Dragons :
Races :
Il existe neuf races de dragons répertoriées. Les Dragons verts, les Dragons rouges, les Dragons noirs, les Dragons d’or, d’argent et de bronze, les Dragons bleus, et les Dragons blancs, ainsi que les gigantesques Serpents de mers.
Habitat :
Facteur principal : Inconnu
Les lieux habités par les Dragons ne suivent aucune logique que les espèces conscientes habitant Kalamaï peuvent comprendre. Seuls les Serpents de mer vivent dans le seul milieu qui peut leur convenir : l’eau.
Comportement :
Organisation :
Les Dragons sont solitaires et belliqueux. Les intrusions des êtres inférieurs sur leur territoire les mettent soit dans un état de fureur, soit attirent leur curiosité. Et aucune des deux possibilités n’est bénéfique aux intrus.
Les Dragons ne sont pas des animaux normaux. Moins d’un millier sur Kalamaï, ils sont bien plus intelligents que les Anciens et gardent leurs trésors avec encore plus de jalousie. Ils ne rendent service qu’à ceux dont ils reconnaissent la puissance intéressante.
Reproduction :
Les Dragons sont hermaphrodites, car de telles puissances ne peuvent être ni males, ni femelles. On ne connaît aucun cas de reproduction de dragon. Peut-être ces créatures sont-elles les fruits de choc inhabituels des flux de mana.
Cyclique :
Les Dragons ne sont pas des créatures mortelles ordinaires. Elles n’ont ni besoin de boire, ni de manger, ni de dormir. Elles se nourrissent des courants magiques et aiment faire semblant de sommeiller sur leur trésor, afin d’attirer des aventuriers imprudents mais puissants, qui sont la seule source d’intérêt des grands reptiles magiques. On ne sait pas si la Wyverne doit réellement être classée parmi les Dragons.
Signes distinctifs :
Puissants pouvoirs.
Mesure généralement de vingt à trente mètres.
Intelligence quasiment divine.
Cruel, belliqueux, curieux, territorial.
Crache le feu et dispose d‘une paire d‘ailes gigantesques, excepté le serpent de mer.
Hydre :
Race unique.
Habitat :
Facteur principal : Humidité
Les Hydres, créatures ayant des têtes multiples, aiment l’humidité des marais et des cavernes. Elles dévorent les oiseaux et les chauves-souris en faisant bondir leurs cous.
Comportement :
Organisation :
Les Hydres sont rares en Kalamaï. Découvertes depuis Séluée, la quatrième collision, elles sont sujettes à de nombreuses études et braconnage. Mais l’Hydre n’est pas stupide et a toujours raison de ses ennemis. Solitaire, elle ne permet le passage qu’aux autres Hydres migratrices ou à certaines créatures des cavernes et marais.
Reproduction :
L’Hydre est aussi hermaphrodite, et ovipare. Elle se reproduit lors des périodes de migrations, et les œufs éclosent dans les cavernes.
Cyclique :
Les Hydres vivent dans les marais du printemps à l’automne, puis partent vivre dans les cavernes en hiver, quand les marais sont pris par les glaces. Elles n’hibernent pas.
Les Hydres muent une fois par mois. La mue de l’Hydre est une période qui dure de deux à trois jours durant laquelle il ne faut l’approcher sous aucun prétexte, si l’on tient à la vie.
Signes distinctifs :
De trois à douze têtes qui repoussent lorsqu’on les coupent.
Vulnérable au feu.
Spoiler :
Sujet en construction, patience à tout le monde, merci !