Le Monde de Kalamaï
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descriptionLe tombeau de Manassé EmptyLe tombeau de Manassé

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précédemment

Cela fessait deux jours que Fenrir avait rencontré le mystérieux voyageur et qu’il avait cette blessure au bras droit. Il avait poursuivis son chemin en direction du nord jusqu'à qu’il s’arrête devant l’entrer d’une grotte. Malgré que la végétation avait recouvré le haut de la grotte et sur les alentour, on pouvait distincte qu’il avait deux immenses statues qui gardaient l’entrée de la grotte. On ne peut pas savoir ce que ces statues représentaient, à causse des dégâts du temps. Fen chercha un endroit où camper. Il trouva un site idéal à l’abri du vent sur une petite carrière où se trouva un ancien lieu de culte. Après avoir mis en place sa tente et allumer un feu, il se mit à dormir et à se remémorer des souvenirs.

Il se rappelle comment il avait trouvé cet endroit. C'était après que son clan se soit fait massacrés. Il était avec une dizaine de survivant qui réclamaient vengeances. Ils s'étaient partir vers le nord pour se cacher des regards de l'empire. Ils avaient installé un campement et il était partir chasser avec quelques guerriers. Après qu'il a trouvé un troupeau de cervidés, il avait poursuivit l'une des bêtes jusqu'à cet endroit. Sans faire attention à l'endroit il est rentré à l'intérieur et pus ainsi fait la rencontre d'un fantôme qui avant sa mort avait réussi à trouver cet endroit. Alors qu'il parlait avec l'esprit du défunt, celui-ci disparut en le mettant en garde de la créature qui surveille cet endroit. Il visita le tombeau avant d'arriver dans une salle obscure. Il entendit un cri strident et ne vit seulement une ombre l'attaquer. Il essaya de se défendre, mais fut repousser hors de la salle. C'était l'une des seules fois, où il y a vraiment ressentit la peur. Il s'était enfuit comme un lâche. Il avait rejoints ses compagnons sans leur dire sa découverte.

Après avoir passé une nuit sans histoire, le guerrier se leva, ralluma le feu de camp et mit à cuire un morceau de viande. Il en profita pour nettoyer son équipement et affûter son épée. Dès que la viande fut cuite, il retira le morceau de bois et dévora son repas à pleines dents. Puis il se leva, éteint le feu, ramassa sa tente et entra dans le tombeau en poussant les lourdes portes de chêne massif. Il arriva dans une salle de petite taille baignant dans l'obscurité. Il prit une des torches qui se trouvait sur les murs de la salle et l'alluma. Fen pus voir qua la salle fut de forme ronde et que des statues en formes de soldats furent la seule décorations de cette pièce. Certaine sont brisées à certaine partie par l'usure du temps, alors que d'autre sont intact comme si elles venaient juste d'être mis en place. Puis il avança dans un long couloir rempli de fresque. à la sortir du couloir, il arriva dans une immense salle que les ténèbres avaient envahir, la lumière de la torche ne suffisaient pas à éclairer entièrement la pièce. Il avança sans se soucier de ce qui passe dans les alentours. Il arriva à l'endroit où il avait fait la connaissance du fantôme. A ce endroit même, il pouvait voir que le cerf qu'il avait traquer la dernière fois, se trouvait devant ses yeux en formes de squelette. Il dégaina son arme, s'avança de quelque et entendis un rugissement. Fenrir se mit en position défensive et attendis l'assaut du gardien.

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Dernière édition par Fenrir le Mar 17 Juin 2014 - 17:06, édité 1 fois

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Lumière. Son.

La bête ouvrit un œil. Au fond de l'eau, voilà bien longtemps qu'elle dormait.

Voix. Maîtres parlaient sous son crâne.


- Mets l'intrus à l'épreuve, bête.

Ses griffes s'enfoncèrent dans la pierre sur laquelle elle reposait, comme un lame dans une tendre chair. Lentement, ralentie par l'eau, la bête tendit son long cou aux écailles ternies par le temps vers la surface de la grande vasque. Elle poussa un rugissement. Déformé par l'élément liquide, celui-ci parvint à la surface en un son sourd, d'autant plus menaçant.

Mouvement. Pouvoir.


L'extase saisit le monstre lorsque son corps s'anima tout entier. L'eau se mouvait sur lui, glissait, tournoyait, il la traversait avec force, remuant assez d'eau pour abreuver une armée. Bandant ses muscles, les griffes mordant le roc, sa masse gigantesque se hissa puissamment sur la paroi, ses ailes créant des siphons. Vivement, il jaillit dans l'air du hall immense du tombeau.

La frêle silhouette brandissait un faible lumière. La bête n'aimait pas la lumière.

Ennemi.

Rugissant, le monstre gigantesque fixa sa proie.

Fenrir n'avait pas prêté attention aux fresques qui ornaient les murs, mais il n'en eu pas besoin pour reconnaître la bête. C'était une vouivre, un être de légende. Un dragon, dont les griffes, la gueule, les muscles portaient la mort, et dont les écailles l'en prévenaient. Jamais il n'en viendrait à bout par la force.

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Fenrir sentit une rafale de vent venir dans la noirceur de la pièce. Entendit un autre rugissement et sentit un regard l'observer. Le guerrier regarda dans toutes les directions pour s'avoir où le gardien va attaquer. Il ne pouvait s'orienter par le rugissement de la bête. En effet le son créa des échos dans la salle. Malgré le fait qu'il entendit des ailes se battent dans le silence de la pièce. La peur de mourir envahis l'homme. Il ne s'avait pas comme battre un ennemi quand on ne le voit pas, alors que celui-ci s'avait exactement où il se trouve. Il regarda la torche qu'il tenait dans sa main et hésita à l'étendre. Sans en avoir le temps de réfléchir, il n'entendit plus un seul bruit. Il recula de quelque pas et soudain il entendit le bruit typique d'un oiseau de proie replier ses ailes avant de plonger sur sa proie. IL se mit à courir dans toutes les sens pour en s'en sortir indemne de cette attaque. Fenrir regarda derrière lui et vit une masse sombre fondre sur lui. Il plongea en avant et entendit le bruit des serres puissantes se refermer dans le vide. Il tomba sur le sol et lâcha la torche. Le guerrier vit enfin pour la première fois le gardien. C'était une vouivre de grande taille, de couleur marron et aux yeux d'or. Elle le regardait comme un amuse bouche. Fenrir se releva et attaqua la créature. Celle-ci s'envola et le vent que ses ailes produisent éteint la torche et l'humain se retrouva dans les ténèbres les plus obscures. Il entendit comme un rire que le dragon fessait. Il s'avait plus quoi faire. Il essaya à maint reprise de toucher ce être invisibles. Il se mit à genoux en pleurant de honte. Il avait perdus l'espoir de venger son clan. Il implora le protecteur de son clan de lui venir en aide en formulant dans une langue antique et étrange :

« Dovahkiin, fika ä ënt blöke ünderblö »
"dovahkiin, aide moi à vaincre mon ennemi"


Fenrir hurla ses paroles plusieurs fois avant de se faire plaquer au sol par la vouivre. Celle-ci le regarda et approcha sa gueule vers la tête de sa proie. Le nordique dans un sursaut d’extrême survit brandit son arme et visa la tête de la bête. Cela n’eut comme effet de faire de la vouivre soit surpris et qu’elle relâche son emprise sur lui. Il en profita pour s’échapper des serres du gardien et se mit à fuir. Il entendit le rugissement de colère de son adversaire et son envol. Le guerrier se mit à prier son âme quand il entendit une voie familière :

« Alors, Fen. Tu m’as appelé. »

« Oui, donne moi la force de vaincre ce montre. »

« Désoler, mais je te donnerais pas un coup de main pour le vaincre, mais je vais d’aide à dévoiler l’un des talent que ton clan pouvait avoir. »

Fenrir voulait réplique quand il vit la forme d’un grand loup blanc aux yeux rouge. Celui-ci s’approcha et lui lécha la main et disparus aussitôt. Le guerrier ne compris pas et alla refaire sa demande, mais il fut empêché par une vive douleur provenant de ses yeux. Il lâcha son arme pour mettre ses mains sur ses yeux. La douleur dura quelque seconde avant de disparaître. Le nordique enleva ses mains et fut surpris. En effet il voyait parfaitement bien la pièce. Il regarda tout autour de lui et vit une grande porte au fond de la pièce. Il repris son armes et alla voir quand il entendit la vouivre rugir. Il se retourna et pus voir la créature fondre sur lui. Il esquiva l’attaque et porta une attaque sur le flan de la bête. L’arme rebondit sur les écailles sans infliger de dégâts. Il alla frapper de nouveau, mais il fut projeté dans l’un des murs de la pièce par la queue du dragon. Il se releva et regarda le montre venir vers lui.

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L'intrus était faible, mais vif. La vouivre ne parvenait pas à l'attraper. Elle était trop imposante ; lui, trop chétif.

Il tentait de la frapper, mais l'acier qui pouvait mordre les chairs ne pouvait transpercer l'écaille.

D'un violent coup de queue, le monstre projeta sa proie sur une paroi, puis se décida à l'occire, à le traverser de ses griffes comme une poupée de chiffon. Le frêle remuant y échappa une fois de plus. Agacée, la bête décocha un coup de patte mortel, qui alla frapper la lame de l'aspirant héros, qui était fort peu héros en ce moment. L'arme s'envola en tourbillonnant pour aller ricocher sur la pierre froide, une vingtaine de mètres plus loin.

Fenrir était désarmé. Le désespoir s'empara de lui : le gardien était invincible. Il ne pourrait le vaincre. D'un revers trop rapide pour le barbare, la vouivre l'enserra de sa patte et le plaqua contre la paroi, faisant de ses griffes un étau infrangible alors qu'elles pénétraient dans la pierre. L'heure du rebelle semblait être venue. Le dragon rugit, victorieux.

Et soudain, un grand craquement écrasa le cri du carnassier géant. Celui-ci se tut. Un court instant, il n'y eut plus un son. Puis un formidable fracas creva le silence, et un pan de la voûte chut, terrassé par le hurlement et la lacération des serres. Un premier roc tomba dans la vasque, chassant l'eau de son lit. De surprise, la bête lâcha prise : Fenrir tomba à terre, se réceptionnant lestement.

Des pierres de tailles diverses, du gravillon au rocher de trébuchet, commençaient à pleuvoir, accablant cependant peu l'animal, dont l'ossature, la musculature et l'armure naturelle le protégeaient des chocs. Fenrir, lui, devait lutter pour ne pas être écrasé, et bénissait à chaque instant son armure et son casque. Son tourment, qui avait paru près de prendre fin semblait se faire un malin plaisir de retarder l'échéance fatale. Les crocs de la vouivre étaient de nouveau apparents, et un sifflement s'échappait de l'enclos de ses dents.

Le temps se figea lorsqu'une pierre ronde, grosse comme le poing d'un géant, alla s'écraser sur son œil. Un hurlement de douleur bestial envahit la caverne.

L'épée de Fenrir n'était pas loin.

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Fenrir avait crus que sa vie allait prendre fin quand la vouivre le pris dans les serres d’une de ses pattes et l’enfonça dans le mur. Il fut à moitié sonner et n’entendant plus rien à cause de la douleur des serres et du mur. Il voyait le visage de la bête remplis de victoire s’approcher de lui. Quand soudain il s’arrêta et regarda vers le plafond. Pendant plusieurs secondes le dragon regarda dans les hauteurs et le guerrier vit soudain une pluie de pierre s’abattre dans la salle. Son ennemi le lâcha et pus en profiter pour tomber sur le sol et s’échapper de son adversaire. Il chercha son épée quand il sentit quelque pierre sur son casque, regarda en l’air et vit que le plafond s’écroulait. Grâce à la nyctalopie que son protecteur lui avait donnée, il évita facilement les blocs de roches et pus récupère son arme. Il se retourna et vit que le gardien allait l’attaquer de nouveau quand un rocher chuta sur l’œil de la bête. Fen en profita pour se langer sur les cotes de la vouivre et de frapper sur les flancs. Mais à chaque fois l’épée n’arrivait pas à entamer les écailles. Il se mit à réfléchit quand il vit que les ailes de son adversaires furent tachés de sangs et que certaines les pierres avaient transpercées les membranes. Fenrir s’approcha d’une des ailes tout en évitant les coups de griffes du dragon. Il plongea sous l’aile et transperça la membrane de part en part pour que la vouivre ne puisse plus voler et se mit à courir en direction de la porte.

Fenrir avait de plus en plus de mal à arriver vers la porte à causer de la pluie de pierre et de ses blessures du au combat contre le gardien. Il jeta un coup d’œil en arrière et vit celui-ci arriva à grande vitesse sans ce soucier des rochers, car même s’il il avait perdus la vue, il pouvait encore sentir la forte odeur du barbare. Fen arrive devant le lit de la rivière et sans hésiter il plongea dans l’eau glacier et arriva fourbu devant l’immense porte et se mit à la pousser, entra et la referma devant le gardien qui s’écroula sur le sol par le poids d’un immense rocher de la taille d’un maisonnette.

Il était dans une salle de couleur bleu saphir et avait les mêmes statues que au début du tombeau. Il avait aussi de vielle torcher accrocher au mur, Fen prit l’une des torches et hésita à l’allumer comme il pouvait voir correctement grâce à sa vision. Il la jeta part terre, vit quelque pas quand il ressentit une douleurs sans nom l’emparer et pendant une minute fut clouer au sol, ensuite il se releva et constata qu’il avait retrouver sa ancienne vus. Il chercha la torche à tacon, l’alluma et traversa la pièce pour se trouver nez à nez à un grand cercueil de pierre où sur le couvercle avait l’image d’un homme en tenus de combat et sur les flancs de pierres racontaient la vie de ce homme. C’était la tombe de Manassé.

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Alors que le barbare s'approchait du sarcophage, il s'arrêta pour admirer les tapisseries somptueuses. De grandes scènes de la guerre des Quatre ornaient les murs antiques. La plus grande tenture représentait la révolte et la prise de pouvoir des hommes. Quelque chose clochait cependant. Comment ces tentures avaient-elles pu être si bien conservées dans un lieu si humide ?

Fenrir se retourna vivement, l'épée au clair, mais trop tard, il était encerclé. Des ombres tournaient autour de lui, l'examinant, murmurant des paroles étranges. Elles se parlaient entre elles dans une langue que le guerrier ne connaissait pas. Comme elle ne semblait pas agressives, il prit le temps de les observer.

C'était des êtres fort étranges, à la peau bleue-grise, à l'air aussi vieux que le tombeau lui-même. Ils étaient vêtus de robe auxquelles on n'aurait pu donner d'âge, et des capuchons leur couvraient les yeux. Ils étaient quatre. Soudain, l'un deux s'adressa à Fenrir dans un dialecte que celui-ci ne savait pas.


- Filsïï, rradz ! Ktaz !

Voyant que le barbare ne comprenait pas, il essaya autre chose.

- Narjum, hiladru ! Zaam leiktub !

Il parut exaspéré de l'incompréhension de l'intrus. Tous s'arrêtèrent de tourner et mirent leur index et leur majeur droit sur leur front. Fenrir sentit une vive douleur, heureusement éphémère, lui traverser la tête. L'être qui parlait parut sourire. Des dents apparurent dessous son cuir tout ridé, en tout cas.

- Une langue bien étrange que celle que vous parlez, aventurier. Je n'avais jamais vu cela.

Il mâchonna dans le vide, comme si les mots qui sortaient de sa bouche lui échappaient sans contrôle.

- Vous nous intriguez. Vous avez terrassé notre serviteur. Que venez-vous chercher ici ?

Les êtres n'étaient pas menaçants. Mais nul doute que les provoquer n'apporterait rien de bon à Fenrir, si ils extrayaient aussi facilement un langage d'un esprit.

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Fenrir fut surpris par l'apparence des spectres et comment ils avaient réussi à apprendre sa langue. Il se demandait pourquoi ils étaient là et qu'ils sont qui pour avoir à leurs services une puissante vouivre. Le chef rebelle n'était pas habitue à la magie sous n'importe quele forme. En plus il ne s'avait pas quoi répondre à l'un des spectres qui lui demander pourquoi il était venus dans ces lieux. Fen se mit réfléchir et compris qu'il ne pourrais pas menti, ni de s'enfuit devant ces esprits. Il rangea son arme et regarde l'être qui est devant lui et dit avec conviction :

« Si je suis venus chez pour que ma soif de vengeance puisse avancer avec l’aide d’un des objets qui se trouve dans ce tombeau. »


Il attendit de voir comment ils allaient réagir en entendant cela, celui qui avait poser cette question tourna sa tête vers ses compagnons et s’approcha du guerrier pour que celui-ci parvient à voit le visage du spectre. La peau était grise, malgré que sa capuche cacha une partir de ses yeux. Fenrir était quand un état qui se mêlait de peur et de respect. En effet le regard du fantôme le fixait et dans la lueur des torches, on pouvait voir dans ses yeux que ses pupilles était remplir d’or. L’esprit s’avança encore plus près et lui dit :

« Et c’est contre qui que tu veux te venger ? »

Le guerrier resta silencieux, mis sa main sur la garde de son épée et murmura :

« Contre l’empire »  

« Contre qui ? »

Le chef rebelle transpira et dit avec force :

« Contre l’empire ! »

Les spectres en entendant cela resta de marbre, mais une envie de tuer s'ajouta à leur auras, Fenrir dégaina son arme et attendit l'assaut des esprits. L'un deux leva son bras et murmura une formule magique et projeta le guerrier sur le mur tandis d'un autre en profita pour dégainer une magnifique rapière et désarma le chef rebelle. Fen essaya de se redresser, leva la tête et vit que les spectres l'encerclaient. L'être qui parlait avec lui le regarda et dit avec colère :

« Tu oses venir ici réclamer l'aide de Manassée et de la notre pour t'aider à détruire ce que nous avons fait au pris de notre vie. Tu ne mérites pas notre pitié. »

L'humain s'avait que son heure allait venir, continua à parler même si on ne le croit pas :

« S'ignore comment était l'empire à sa création mais l'empire de maintenant est corrompu, souiller par la haine de l'autre. Je vivais heureux parmi les miens jusqu'à ce jour où les soldats impériaux sont venus et m'ont tout pris... Vous ne pouvez pas s'avoir ce qui se passe en ce moment, car votre mort remonte à des siècles foire même des millénaires. »

L'esprit s'avança, pris la gorge du guerrier et mis son autre main sur le front de celui-ci et murmura des paroles que seul les spectres pouvaient entendre. Fenrir essaya de se détacher de l'emprise de son agresseur quand il sentit que des personnes avaient pénétrez dans ses souvenis. Il voyait toute sa vie devant ses yeux et ces des gardiens. Il revit son enfance tourmenter par la mort de sa mère et par la brutalité de son père et de ses frères. Comment il avait rejoint Thorken et comment s'était marié avec Tyrellet et revit ses années de bonheur qu'il eu dans le clan. Il revit avait horreur la destruction et la mort de ceux qu'il aimait, sentant la mort et la vu du feu meurtrier. Comment il avait promis de se venger de l'empire. Fen pleura de tout son corps, caa même s'il était un guerrier remplir de haine, il n'était qu'un homme donc la tristesse pouvait le prendre dans son triste voile. Le spectre le posa doucement et le regarda avec peine.

Dernière édition par Fenrir le Mer 29 Mar 2017 - 13:20, édité 1 fois

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La traque avait été étonnamment courte au vue de la surface à inspecter. Cependant, lorsque les deux assassins pénétrèrent finalement dans la sombre caverne où leur proie semblait avoir trouvé refuge, la tourmente avait passablement entamé le moral du vampire. Dorunn écouta attentivement son compagnon et réfléchis un moment avant de répondre :
« L'aube approche au dehors, et je ne pense pas que la claire lumière de l'aurore soit à notre avantage si nous en venons à combattre. Nous traquons un humain qui n'a pas la même vision que moi dans la pénombre de cette grotte, et nous serons sans doute plus à l'aise que lui dans ces espaces confinés. D'autant que si il porte une torche, ça nous fera un point de visée aisément atteignable. Entrons cependant avec prudence, nous ne savons pas ce qui nous attend derrière cette porte... »

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L'être regarda longuement Fenrir avant de reprendre la parole.

- Tu te trompes, homme de violence, nous ne sommes pas des morts. Nous sommes les gardiens de ce mausolée. Nous sommes des Anciens, les derniers descendants des premiers gardiens de ce lieu. Nous veillions à ce que nul ne retrouve ce que recèle ces murs : des mensonges d'un autre temps, mais aussi des artefacts dont la renommée est sans égal.

L'Ancien regarda ses compagnons, qui acquiescèrent.

- Ton cœur est profondément affligé, mais tu es brave et malgré ta colère, tu restes un homme capable d'être honnête et bon. Tu as passé le gardien. Tu peux nous demander ce que tu souhaites et rester ici quelques temps, si tu le dési...

Il s'interrompit brusquement, et les trois autres parurent également étonnés.

- Des hommes te suivaient, guerrier. Ils sont deux, ils viennent de pénétrer dans le tombeau.

L'air inquiet, il réfléchit un instant.

- Il ne faut pas qu'ils aillent plus loin, mais s'ils sont des hommes talentueux, la bête ne les retiendra pas longtemps, blessée comme elle l'est. Guerrier, protège-nous pendant que nous incantons des défenses suffisantes.

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Dorunn s'avançait lentement vers la porte lorsqu'il sentit un picotement désagréable dans sa nuque. Ses muscles se raidirent immédiatement et il se jeta derrière un rocher, suivi par Ancalimon qui lui lança un regard interrogateur.
« De la magie! Quelqu'un ici est en train d'utiliser les forces magiques. Je croyais que ce Fenrir était un guerrier. Se pourrait-il qu'il aie trouvé du renfort dans un tombeau si ancien? »
Ancalimon resta silencieux mais Dorunn vit à son froncement de sourcils qu'il était aussi perplexe que lui. Si cet humain avait peut-être plus de ressources qu'il n'y paraissait. Les deux assassins s'apprêtaient à entrer lorsqu'un raclement rauque derrière eux attira leur attention.

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« De la magie! Quelqu'un ici est en train d'utiliser les forces magiques. Je croyais que ce Fenrir était un guerrier. Se pourrait-il qu'il aie trouvé du renfort dans un tombeau si ancien? »

Nul besoin de répondre, le visage de l'elfe en disait long sur son appréhension ... préférant largement la lame et la discrétion à la magie. Si Dolrunn avait raison, l'instant à venir risquait d'être douloureux. Un son derrière eux, les deux ombres firent volte face, l'ancien spadassin bondissant sur ses pieds pour faire face à.. deux Anciens ! La vision de l'elfe était excellente dans cette obscurité, usant à merveille des moindres reflets lumineux pour discerner ce qu'il avait autour de lui. Il fit signe au vampire de ne pas bouger pour l'instant, espérant de jouer avec les mots plutôt qu'avec la force.


Nous ne sommes pas ici pour vous prendre quoi que ce soit, vous avez devant vous Oengus Ancalimon l'un des protecteur de cet empire de par les voies de l'Ombre et de la discrétion ainsi que son ami et partenaire de combat Dorunn le vampire. Nous pourchassons un homme qui semble venir ici y trouver des artefacts du grand Manassé pour se donner la force de guider ses troupes contre l'Empire. Celui-là même que vous avez défendu voilà de très nombreuses années dont il clame haut et fort la trahison des troupes impériales pour des gestes qui ne peuvent avoir été commis sous le règne de Fardall, Empereur de Lumière. Fenrir est son nom et se doit d'être jugé pour trahison.

Sieur Ancalimon se tenait debout, les mains visibles, à quelques pas seulement de l'ancien... offrant ainsi aucune raison de représenter une menace et espérer poursuivre sur le dialogue. Un gardien n'était pas nommé ici par ce peuple comme première mission mais bien comme récompense que de protéger le tombeau du défunt Empereur d'une époque déjà lointaine, source de puissance pour quiconque parviendrait à y dérober ses ressources. Ainsi les guerriers étaient loin d'être des novices... Il entendit Dorunn se lever derrière lui, espérant bien que celui-ci avait compris les intentions de son collègue. Soudain un hurlement de douleur se fit entendre dans la caverne, créant un bref sursaut à tout le monde, quittant les adversaires des yeux pour voir la vouivre s'écraser au sol, le corps partiellement dans l'eau.

Votre créature est mal en point, ne serait-il pas préférable de soigner la bête plutôt que de s'occuper de nous ? Cette attaque mérite châtiment et vous laisser le coupable libre dans le tombeau le plus protégé de Kalamaï ? Le vampire et moi pouvons intercepter l'intrus tandis que vous les anciens avez la connaissance pour aider le grand gardien...

Il avait essayer de garder le ton le plus neutre possible bien que la colère grondait en lui, ses mains c'étaient instinctivement replacer à l'intérieur des poches de sa tunique, portant attention à tout mouvement menaçant.

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Ancalimon s'était totalement découvert, tentant de gagner les gardiens du tombeau à la cause des deux assassins. Dorunn restait caché, les muscles tendus, prêts à bondir au moindre signe d'attaque de la part des anciens. C'est alors qu'il aperçut une épée à quelques pas derrière Ancalimon; une arme récente en bon acier, loin des lames de fer rouillées qui parsemaient se genre de tombe. En un instant, le vampire comprit : leur proie était désarmée!

Hélas, avant qu'il n'ait pu faire signe à son compagnon, un bruit de pas précipités résonna dans la caverne et Dorunn vit Ancalimon bondir sur le côté pour éviter une hache qui fendit l'air en tournoyant. L'instant d'après, Fenrir surgit du seuil de la porte, agenouillé sur un large pavois de bronze. Le guerrier avait profité de pouvoir prendre son élan pour utiliser le bouclier comme une luge. Dorunn se saisit d'un poignard de lancer et le projeta vers son adversaire qui para le projectile avec sa propre rondache. Le vampire se figea un instant en apercevant le blason brodé sur l'étendard que portait Fenrir dans son autre main. C'était donc ça le but de ce voyage septentrional, l'objectif que poursuivait le chef rebelle. Il s'était emparé de l'oriflamme du grand Manassée!

Les deux Ombres échangèrent un regard entendu : il était hors de question que le guerrier quitte le tombeau avec cette relique en sa possession. La voix rocailleuse des anciens résonna dans l'immensité de la caverne :
« Nous ne vous défendrons pas au-delà de ce seuil, guerrier. Notre tâche est d'empêcher les indignes d'entrer, non d'aider les méritants à s'échapper... Puisse la noblesse de votre cœur ne jamais succomber aux flammes de votre vengeance! »
Dorunn est son compagnon avaient déjà bondit vers Fenrir. Celui-ci, qui avait passé son bouclier au bras tenant l'étendard, effectua un roulé-boulé en quittant son véhicule improvisé, ramassant son épée dans un même élan. Le guerrier se releva et fit face aux assassins.

Après s'être mis en garde, les deux Ombres s'étaient immobilisées. L'un comme l'autre avait suivi un entrainement rigoureux au combat, mais ils devaient aujourd’hui faire face à un adversaire féroce et puissant sans disposer de leur arme de prédilection : la surprise. Les combat serait âpre, mais Dorunn savait qu'un adversaire pris en tenaille par deux assassins de leur trempe n'avait pratiquement aucune chance de s'en sortir, moins encore s'il devait manier un objet aussi gênant qu'un étendard.

Le vampire fit signe à son compagnon et s'élança. Le poignard d'Ancalimon fusa, mais fut aisément paré par la rondache du guerrier. Cette diversion laissa cependant le temps à Dorunn de contourner Fenrir en esquivant le coup maladroit du chef rebelle d'un roulé-boulé. Ayant réussi à se placer de part et d'autre de leur ennemi, les deux assassins purent alors lancer l'assaut. Les lames s'entrechoquèrent et l'obsidienne frappa l'acier du bouclier du nordique. Le style de combat de Fenrir était singulier, presque animal. Le guerrier tournoyait , parant les attaques avec une vivacité stupéfiante pour un homme de son gabarit. Dorunn se surprit même à se demander comment un homme blessé pouvait se mouvoir avec tant de dextérité.

Après une vingtaine de secondes de combat, cependant, le vampire eut un léger sourire; l'odeur de sang qui remplissait peu à peu ses narines lui indiquait que la plaie du rebelle s'était rouverte et qu'il saignait abondamment. Ses gestes se faisaient imperceptiblement plus lent à chaque parade et le vampire savait qu'Ancalimon et lui finiraient par percer sa garde. Mais alors qu'il pensait être sur le point d'atteindre sa proie, le guerrier poussa un rugissement inhumain et envoya un puissant coup de bouclier vers le visage de l'ancien Spadassin, le repoussant de deux bon mètres et le sonnant fortement. Sous l'effort de l'attaque, Fenrir tomba, un genou à terre. Il semblait à bout de force et à la merci des assassins.

« Au nom de Fardall Barka, Empereur Phoenix de Kalamaï et du Sénat Impérial, lança Ancalimon en essuyant le filet de sang qui lui coulait du nez, je vous arrête pour haute trahison et rébellion contre l'Empire. Suivez-nous sans résister, ou mourrez sur... »

L'agent de l'Ombre n'avait pas fini sa phrase lorsque l'étau de deux gigantesques mâchoires s'abattit sur lui. La vouivre s'était extirpé de son hébétement et mordait à présent l'air en tout sens, ses deux yeux crevés l'empêchant de frapper juste. Dorunn se figea un instant. Il avait fallu moins de deux secondes au monstre pour finir de déchiqueter son compagnon. Deux secondes pour annihiler toute une vie de service fidèle, toute l'expérience de l'Ombre, toute la puissance de l'ancien Spadassin, disparue en un instant. Le vampire ramassa à la hâte le poignard de son compagnon qui avait volé vers lui tandis que la bête secouait son corps désarticulé comme une poupée de chiffon avant de s'élancer vers la sortie. Sans que l'assassin ne parvint à comprendre comment, Fenrir avait presque une dizaine de mètres d'avance sur lui, et la rage et la peur du guerrier semblait lui donner un second souffle.

Lorsque Dorunn atteignit enfin la sortie du tombeau, il put voir le chef rebelle dévaler la pente montagneuse, une quinzaine de mètres en dessous de lui. L'assassin trébucha et tomba à terre avant de s'immobiliser sur le dos. Il resta longtemps ainsi, les yeux écarquillés levés vers le ciel, insensible à la tourmente qui n'avait pas faiblit. Cela faisait plus de cinquante ans que Dorunn n'avait pas ressenti pareille terreur. Le froid qui lui gelait à présent les os n'était rien comparé aux griffes glaciales qui lui lacérait l'estomac.

Une éternité passa avant que l'assassin ne sorte de sa torpeur. La tempête avait cessé et quelques étoiles luisaient entre les nuages qui se faisaient plus épars. Il se releva lentement, le corps transi de froid et commença à marcher vers le sud. Dans son poing serré, le poignard d'Ancalimon ruisselait de sang.

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Fenrir écouta les paroles du gardien, quand celui-ci se s’arrêta de parlé et fut d’un seul coup étonné comme par ses compagnons. Le spectre lui dit que des hommes l’avait suivit. Le guerrier fut très étonné par cette révélation. Il se mit à se mit réfléchir qu'il pouvait savoir ou il allait quand il se souvient de l’archer qu’il l’avait aidé contre une bande de bandit. Il se leva et alla parti d’un il se mit à tracé du sang. L’un des spectres vient le voir. On pouvait distinguer par ses formes que c’était une femme. Elle dit quelque mot dans une langue inconnus et les plais se referma. Fen la remercia, mais elle lui dit qu’elles s’ouvriront s’il fait trop de mouvement brusque. Puis il vit deux esprit s’en allé alors que les deux autres déplacé un morceau du mur de la pièce avec la magie. Et l’un deux pris un oriflamme très ancien recouvert par la poussière. Puis l’être s’approcha du chef rebelle et lui tandis l’étendard. L’humain pris la relique avec délicatesse et le déploya dans la salle. On pouvait voir le blason qui représentait un aigle jaune donc ces ailes tient une rune ancienne entouré par des ronce.
Blason de Manasée.
. Puis le nordique remercia les gardiens, puis il se dirigea vers la porte en prenant son épée, mais il constata qu’il avait pris lors de son combat contre la vouivre que c’était une vielle épée, on pouvait voir que la rouille commençait à envahir. Il jeta son arme et il prit une hache de lancé qui se trouvait sur l’un des murs et un grand pavois et il s’élança au de la petite salle. Il ouvrit la porte le plus rapidement possible et il essaya d’avoir de nouveau la nyctalopie, il sentit de nouveau la douleur l’envahir mais il pouvait voir dans cette sombre grotte. Il vit que les deux ombres étaient en train de parler avec ceux qui le poursuivaient, il reconnut l’elfe qui l’avait aidé. Il lança sa hache de jet et se mit à courir en direction de la sortir, il utilisa le pavois pour pouvoir glisser sur l’eau. Il réussi à attendre l’autre rive, le pavois s’échoua et le guerrier du se roulé sur lui-même pour amortir le choc, il trouva son épée, qu’il prit et se mit en garde face à ses adversaires. Il pouvait voir ses adversaires sur ses cotés, mais ses yeux le brulaient de douleur que le temps s’écoulait et en plus Il était gêné par l’étendard.

Le combat commença par l’attaque rapide de l’elfe. Fenrir bloqua son attaque grâce à son bouclier, mais du envoyer un coup d’épée vers l’autre assassin qu’il esquiva facilement. Le combat dura pendant une vingtaine de secondes ou le nordique dut se battre de toutes ses forces et de toue son habilité. Mais son effort avait rouverte ses plaies que la vouivre avait faites. Il était fatigué et il enleva sa vision pour avoir moins de douleur à supporter. Il n’avait pour le moment réussi à toucher personne et cela le mettait hors de lui. Dans un sursaut de rage, il rugir comme une bête sauvage et envoya un coup de bouclier dans le visage de l’elfe. Il sourit, mais il dut mettre un genou et il comprit trop tard qu’il n’avait plus de force dans son corps.  Il entendit L’elfe dire :

« Au nom de Fardall Barka, Empereur Phoenix de Kalamaï et du Sénat Impérial, je vous arrête pour haute trahison et rébellion contre l'Empire. Suivez-nous sans résister, ou mourrez sur... »

Il entendit l’attaque de la vouivre qui avait tué la personne qui était en train de parler. Fen en profita pour se relevé et s’enfuit e direction de la sortie. Sa rage de vivre et la peur lui avait donné un second souffle. Il arriva devant l’entré du tombeau et il vit qu’un blizzard s’était levé. Il regarda derrière lui et il savait que le dernier de ses poursuivants n’allait pas tarder à le rejoindre. Le chef rebelle enroula l’oriflamme sur le manche ou il était fiché et dévala la pente qu’il se trouvait devant lui. Il marcha pendant une heure avant de s’arrêter pour se reposé et de se soigné. Après avoir bien soigné ses plais, il regarda le ciel et il se dit que la chance allait tourner en sa faveur et de celle de ses hommes.

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