précédemment
Cela faisait quelque jour que Fenrir avait trouvé l'oriflamme de Manassé et avait dût combattre une vouivre et deux agents de l'empire. Il était blessé de toute part et son sang coulait à flot, il a pu se faire les premiers soins avec ses rares connaissances en médecines et il utilisa ses vêtements comme bandage. Il avait trouvé une rivière où il pourra laver ses plais. Quand il eut fini de se soigné, il enleva l'oriflamme de son manche, puis il le plia avec délicatesse et le rangea ensuite dans son sac. Il se leva et marcha en direction du sud. C'est après deux jours de marche qu'il arriva dans une petite bourgade. Les gens furent étonné de le voir arriver en haillon, certain voulurent se moquer de lui quand ils virent les pansements qu'il avait et l'épée qui bandait à ses côtés. Le guerrier demanda à une jeune demoiselle, s'il n'avait pas un guérisseur ou un rebouteur. La jeune femme lui dit qu'elle va le guidé chez son père qu'il est le sorcier du village. Le rebelle la remercia et la suit pendant quelque minute avant d'arriver dans une maison de petite taille. L'habitat était en bois, alors que le toit était fait en chaume. Fen entra après son guide, il entendit une vielle voie dire :
« Tu es déjà de retour, Yselda ? Tu as bien pris tout ce qu'ils nous valaient, en particulier les herbes.
Désolé père, j'ai dû revenir plus tôt, car nous avons quelqu'un à soigner.
Hum... je vois, alors emmène le moi. »
Il fessait sombre, mais après quelque seconde, il pouvait voir ce qu'il avait dans cette demeure. Il avait des meubles remplis de vieux livres et des bocaux qui contenait sans doute des remèdes, poisons et autres substances. Il s'assoit sur une chaise que lui avait montrée Yselda, il la remercia quand il vit le père venir vers lui. C'était un homme de petite taille, le dos courbé. Vêtus d'une grande robe noire. Celui-ci demanda au nordique de lui montrer ses blessures. Fen lui obéir en enleva les morceaux de tissus, on pouvait voir que les plais s'étaient infecter. Le guérisseur prit des potions et du tissu. Il désinfecte les blessures du rebelle, Le blessé dut se retenir de douleur, car le contenus de la fiole mis sur les plais fessait comme une impression de brûlure. L'ancien prit son temps à le soigné, puis quand il eut fini de nettoyer les plais, il lui tendit une viole contenant une liquide verdâtre. Le guerrier pris la fiole et la but d'un trait. Le gout était infect, mais il savait qu'il serait en pleine forme quand quelque jour. Le sorcier lui demanda ou il avait reçu ces blessures. Fenrir lui répondit qu'il s'est battu contre une vouivre. Le vieillard fut étonné et il lui dit :
« Si c'est bien la vouivre qu'il habite dans l'ancien tombeau, alors tu dois être très chanceux ou complètement suicidaire. »
Le nordique voulu prendre son sac, quand l'oriflamme tomba sur le sol et dévoila son blason. Le sorcier le regard médusé lui dit :
« Tu as réussi à battre la bête mais en plus tu as trouvé ce étendard... Qui es-tu étranger. »
Fenrir prit son épée et il dit :
« Je suis Fenrir, chef des troupes rebelles, je vous laisse la vie sauve comme vous m'avez soigné, mais ne dite jamais ce que vous avez vu.
Ne vous inquiété pas, nous autres gens du peuple, nous en avons marre de l'empire, surtout que le nouveau paladin a mis en place cette soit disant milice composé des pires criminels. Nous devons les nourrir sur nos maigres réserves. On veut que ça change, mais nous ne pouvons rien faire.
A vous seul, vous risquez de rien faire mais si tous les citoyen de l'Edhesse rejoint ma cause alors, nous pouvons renverser le pouvoir établit pour un autre plus juste avec le peuple... »
Il alla continuer de parler quand une vielle femme rentra et dit :
« Les maraudeurs sont là, ils sont dans la taverne en train de boire. »
Fenrir se rhabilla et sortir de la demeure sans écouté la suite des paroles de la vielle femme. Il avait récupérer ses affaires. Il se dirigea vers la taverne pour boire un coup avant de s'en aller le plus rapidement possible. Il entra dans l'établissement de boisson quand il vit que la patrouille de maraudeurs était au centre de la salle ne train de boire leurs boissons. Il alla voir le tavernier pour lui demander de le servir quand il reçut sur son crâne, une chope et son contenu. Le nordique se retourna et il vit que c'était l'un des maraudeurs qu'ils lui avaient fait ça. Il alla voir la table quand l'un qu'eux se leva et s'excusa pour le geste de son compagnon. Comme pour confirmer ses dires, le nordique vit que l'un des maraudeurs se faire frapper par les autres. Fen leur dit de faire plus attention la prochaine fois et invita le maraudeur à lui payer sa boisson pour la peine. Celui-ci se mit à rire un peu et accepta cette proposition. Alors que le nordique allait avoir sa boisson, L'un des miliciens le reconnus et il se mit à hurlé tout en prenant son arme :
« Chef, faite attention, c'est ce bâtard de Fenrir que j'avais vu la dernière fois ! »
Alors que le chef allait prendre son arme, Fenrir prit l'une des bouteilles de vin et la fracassa sur le crane du maraudeur qu'il s'effondra sur le sol. Puis il prit son arme et commença à se battre contre les autres soldats d'Edhesse qui sont à moitié ivre. Il en tua deux en les transpercent de son épée. Il dut lâche son arme pour éviter d'avoir sa main coupé. Il dut se battre sans arme, alors que ses adversaires étaient mieux équipés de lui. Il esquiva les attaque avec difficulté, ses blessures le fessait souffrit et avait l'impression qu'elles risquaient de souffrit à tout moment. Il renversa une table par un coup de pied et pris une chaise qu'il utilisa comme gourdin. Il assomma deux maraudeurs à l'aide de sa chaise et envoya ce qu'il en restait de son arme sur les autres combattants. Il courra en direction de son arme, la prit et se mit en garde. Les soldats qui avaient reçu le restant de chaise se mirent à hurlé de race et se mirent à foncés dans la direction de leur proie. Alors que le combat se déroulait avec violence, les habitant du village regardèrent cette scène et ne purent comprendre ce qu'il se passa. Quand on les informa, certain se mirent à sourire de joie alors que d'autre furent pris par la peur. Le combat se termina assez rapidement après que les derniers combattants étaient mort. Le rebelle allait partir quand il entendit une voie derrière lui: « Ne bouge plus salopard, jette ton arme »
Le nordique se retourna et il vit que celui qui avait jeté sa chope sur le rebelle avait pris un jeune garçon comme otage et il avait dans ses mains deux dagues. Fen commença à s'avancer vers son interlocuteur que celui-ci répliqua:
« Ne fais plus un seul geste, sinon je tue ce mioche, tu vas m'obéir si tu veux qu'il reste en vie. »
Comme pour affirmer ses propos, il appuya sur gorge de l'enfant avec sa dague et un filet de sang s'échappa de la peau de l'otage. Fenrir ne pouvait pas agir comme il l'aurait voulu. Il regarda le jeune garçon et celui-ci lui rappela son fils qu'il avait eu avec Tyrellet. Il jeta son arme sur le sol et regarda le maraudeur et lui dit de laisser le gosse s'en allé, celui-ci se mit à rire. Le soldat lui répondit qu'il allait le tuer avant de relâcher le gosse sain et sauf. Le nordique ne savait plus quoi faire, alors qu'il allait demander pardon à son clan, il vit le maraudeur hurlé de douleur avant de s'effondré. Il avait un homme d'une taille moyenne qui avait tranché la gorge du soldat. L'enfant alla rejoindre sa mère qui remercia le nouvel arrivant. L'inconnu s'approcha du chef rebelle et s'agenouilla et il dit :
« Heureux de savoir que vous êtes encore en vie chef. Nous vous attendions
Je te remercie de m'avoir sauvé la vie, l'ami... tu peux rassembler tous les habitants du village s'il te plait.
A vos ordres, maître. »
Après quelque minute, toutes les personnes du village étaient présentes. Fenrir était sur les marches de la taverne, il pouvait voir la foule. Il attendit le silence avant de faire son discours :
"Habitants, vous ne me connaissez pas, mais vous avez du entendre des rumeurs sur moi. Je suis Fenrir, le chef des rebelles du clan Midgard. Nous nous battons contre l'Empire qui nous privait de libertés. Qui nous envoie ses soldats pour soit disant nous défendre alors qu'ils ne font que piller et tuer ceux qui ne sont pas avec eux sans preuve. C'est pour cette raison que j'ai décidé de prendre les armes! Il n'ont plus l'honneur des soldats d'autrefois. Regardez ce qui s'est passé à la taverne! Ils étaient prêt à tuer un enfant pour m'avoir! Ils disent que nous représentons une menace pour le peuple alors que ce sont eux, la menace! Sinon, pourquoi aurais-je lâché mon arme pour sauver la vie de cet enfant?
Et pour prouver le bien fondé de mes convictions, je suis allé dans le tombeau de Manasée. Oui, vous m'avez bien entendu, le créateur de l'Empire! Je me suis battu contre son gardien et les esprits de ce lieu ont approuvés ce que je faisais! La preuve, la voici: voici l'oriflamme de Manasée!
Vous voulez protéger vos familles? Vos femmes, vos amis? Alors rejoignez-moi et ensemble nous créerons un nouvel Empire tel que Manasée aurait voulu voir de son vivant!"
Après avoir prononcé ce discours et montré l’oriflamme de Manasée, les villageois se mirent à l’acclamé comme un véritable héros. Il les remercia et leurs dit que pour le moment il faut répandra cette nouvelle dans tout l’edhesse et marché sur Perganon. L’heure de passé à l’action est venue. Le chef rebelle regarda le ciel et il sourit en pensant qu’il allait bientôt accomplir sa vengeance. Il se mit en route avec les volontaires qu’ils voulurent le suivre en dirigions de la capitale de l’Edhesse.
suite
Cela faisait quelque jour que Fenrir avait trouvé l'oriflamme de Manassé et avait dût combattre une vouivre et deux agents de l'empire. Il était blessé de toute part et son sang coulait à flot, il a pu se faire les premiers soins avec ses rares connaissances en médecines et il utilisa ses vêtements comme bandage. Il avait trouvé une rivière où il pourra laver ses plais. Quand il eut fini de se soigné, il enleva l'oriflamme de son manche, puis il le plia avec délicatesse et le rangea ensuite dans son sac. Il se leva et marcha en direction du sud. C'est après deux jours de marche qu'il arriva dans une petite bourgade. Les gens furent étonné de le voir arriver en haillon, certain voulurent se moquer de lui quand ils virent les pansements qu'il avait et l'épée qui bandait à ses côtés. Le guerrier demanda à une jeune demoiselle, s'il n'avait pas un guérisseur ou un rebouteur. La jeune femme lui dit qu'elle va le guidé chez son père qu'il est le sorcier du village. Le rebelle la remercia et la suit pendant quelque minute avant d'arriver dans une maison de petite taille. L'habitat était en bois, alors que le toit était fait en chaume. Fen entra après son guide, il entendit une vielle voie dire :
« Tu es déjà de retour, Yselda ? Tu as bien pris tout ce qu'ils nous valaient, en particulier les herbes.
Désolé père, j'ai dû revenir plus tôt, car nous avons quelqu'un à soigner.
Hum... je vois, alors emmène le moi. »
Il fessait sombre, mais après quelque seconde, il pouvait voir ce qu'il avait dans cette demeure. Il avait des meubles remplis de vieux livres et des bocaux qui contenait sans doute des remèdes, poisons et autres substances. Il s'assoit sur une chaise que lui avait montrée Yselda, il la remercia quand il vit le père venir vers lui. C'était un homme de petite taille, le dos courbé. Vêtus d'une grande robe noire. Celui-ci demanda au nordique de lui montrer ses blessures. Fen lui obéir en enleva les morceaux de tissus, on pouvait voir que les plais s'étaient infecter. Le guérisseur prit des potions et du tissu. Il désinfecte les blessures du rebelle, Le blessé dut se retenir de douleur, car le contenus de la fiole mis sur les plais fessait comme une impression de brûlure. L'ancien prit son temps à le soigné, puis quand il eut fini de nettoyer les plais, il lui tendit une viole contenant une liquide verdâtre. Le guerrier pris la fiole et la but d'un trait. Le gout était infect, mais il savait qu'il serait en pleine forme quand quelque jour. Le sorcier lui demanda ou il avait reçu ces blessures. Fenrir lui répondit qu'il s'est battu contre une vouivre. Le vieillard fut étonné et il lui dit :
« Si c'est bien la vouivre qu'il habite dans l'ancien tombeau, alors tu dois être très chanceux ou complètement suicidaire. »
Le nordique voulu prendre son sac, quand l'oriflamme tomba sur le sol et dévoila son blason. Le sorcier le regard médusé lui dit :
« Tu as réussi à battre la bête mais en plus tu as trouvé ce étendard... Qui es-tu étranger. »
Fenrir prit son épée et il dit :
« Je suis Fenrir, chef des troupes rebelles, je vous laisse la vie sauve comme vous m'avez soigné, mais ne dite jamais ce que vous avez vu.
Ne vous inquiété pas, nous autres gens du peuple, nous en avons marre de l'empire, surtout que le nouveau paladin a mis en place cette soit disant milice composé des pires criminels. Nous devons les nourrir sur nos maigres réserves. On veut que ça change, mais nous ne pouvons rien faire.
A vous seul, vous risquez de rien faire mais si tous les citoyen de l'Edhesse rejoint ma cause alors, nous pouvons renverser le pouvoir établit pour un autre plus juste avec le peuple... »
Il alla continuer de parler quand une vielle femme rentra et dit :
« Les maraudeurs sont là, ils sont dans la taverne en train de boire. »
Fenrir se rhabilla et sortir de la demeure sans écouté la suite des paroles de la vielle femme. Il avait récupérer ses affaires. Il se dirigea vers la taverne pour boire un coup avant de s'en aller le plus rapidement possible. Il entra dans l'établissement de boisson quand il vit que la patrouille de maraudeurs était au centre de la salle ne train de boire leurs boissons. Il alla voir le tavernier pour lui demander de le servir quand il reçut sur son crâne, une chope et son contenu. Le nordique se retourna et il vit que c'était l'un des maraudeurs qu'ils lui avaient fait ça. Il alla voir la table quand l'un qu'eux se leva et s'excusa pour le geste de son compagnon. Comme pour confirmer ses dires, le nordique vit que l'un des maraudeurs se faire frapper par les autres. Fen leur dit de faire plus attention la prochaine fois et invita le maraudeur à lui payer sa boisson pour la peine. Celui-ci se mit à rire un peu et accepta cette proposition. Alors que le nordique allait avoir sa boisson, L'un des miliciens le reconnus et il se mit à hurlé tout en prenant son arme :
« Chef, faite attention, c'est ce bâtard de Fenrir que j'avais vu la dernière fois ! »
Alors que le chef allait prendre son arme, Fenrir prit l'une des bouteilles de vin et la fracassa sur le crane du maraudeur qu'il s'effondra sur le sol. Puis il prit son arme et commença à se battre contre les autres soldats d'Edhesse qui sont à moitié ivre. Il en tua deux en les transpercent de son épée. Il dut lâche son arme pour éviter d'avoir sa main coupé. Il dut se battre sans arme, alors que ses adversaires étaient mieux équipés de lui. Il esquiva les attaque avec difficulté, ses blessures le fessait souffrit et avait l'impression qu'elles risquaient de souffrit à tout moment. Il renversa une table par un coup de pied et pris une chaise qu'il utilisa comme gourdin. Il assomma deux maraudeurs à l'aide de sa chaise et envoya ce qu'il en restait de son arme sur les autres combattants. Il courra en direction de son arme, la prit et se mit en garde. Les soldats qui avaient reçu le restant de chaise se mirent à hurlé de race et se mirent à foncés dans la direction de leur proie. Alors que le combat se déroulait avec violence, les habitant du village regardèrent cette scène et ne purent comprendre ce qu'il se passa. Quand on les informa, certain se mirent à sourire de joie alors que d'autre furent pris par la peur. Le combat se termina assez rapidement après que les derniers combattants étaient mort. Le rebelle allait partir quand il entendit une voie derrière lui: « Ne bouge plus salopard, jette ton arme »
Le nordique se retourna et il vit que celui qui avait jeté sa chope sur le rebelle avait pris un jeune garçon comme otage et il avait dans ses mains deux dagues. Fen commença à s'avancer vers son interlocuteur que celui-ci répliqua:
« Ne fais plus un seul geste, sinon je tue ce mioche, tu vas m'obéir si tu veux qu'il reste en vie. »
Comme pour affirmer ses propos, il appuya sur gorge de l'enfant avec sa dague et un filet de sang s'échappa de la peau de l'otage. Fenrir ne pouvait pas agir comme il l'aurait voulu. Il regarda le jeune garçon et celui-ci lui rappela son fils qu'il avait eu avec Tyrellet. Il jeta son arme sur le sol et regarda le maraudeur et lui dit de laisser le gosse s'en allé, celui-ci se mit à rire. Le soldat lui répondit qu'il allait le tuer avant de relâcher le gosse sain et sauf. Le nordique ne savait plus quoi faire, alors qu'il allait demander pardon à son clan, il vit le maraudeur hurlé de douleur avant de s'effondré. Il avait un homme d'une taille moyenne qui avait tranché la gorge du soldat. L'enfant alla rejoindre sa mère qui remercia le nouvel arrivant. L'inconnu s'approcha du chef rebelle et s'agenouilla et il dit :
« Heureux de savoir que vous êtes encore en vie chef. Nous vous attendions
Je te remercie de m'avoir sauvé la vie, l'ami... tu peux rassembler tous les habitants du village s'il te plait.
A vos ordres, maître. »
Après quelque minute, toutes les personnes du village étaient présentes. Fenrir était sur les marches de la taverne, il pouvait voir la foule. Il attendit le silence avant de faire son discours :
"Habitants, vous ne me connaissez pas, mais vous avez du entendre des rumeurs sur moi. Je suis Fenrir, le chef des rebelles du clan Midgard. Nous nous battons contre l'Empire qui nous privait de libertés. Qui nous envoie ses soldats pour soit disant nous défendre alors qu'ils ne font que piller et tuer ceux qui ne sont pas avec eux sans preuve. C'est pour cette raison que j'ai décidé de prendre les armes! Il n'ont plus l'honneur des soldats d'autrefois. Regardez ce qui s'est passé à la taverne! Ils étaient prêt à tuer un enfant pour m'avoir! Ils disent que nous représentons une menace pour le peuple alors que ce sont eux, la menace! Sinon, pourquoi aurais-je lâché mon arme pour sauver la vie de cet enfant?
Et pour prouver le bien fondé de mes convictions, je suis allé dans le tombeau de Manasée. Oui, vous m'avez bien entendu, le créateur de l'Empire! Je me suis battu contre son gardien et les esprits de ce lieu ont approuvés ce que je faisais! La preuve, la voici: voici l'oriflamme de Manasée!
Vous voulez protéger vos familles? Vos femmes, vos amis? Alors rejoignez-moi et ensemble nous créerons un nouvel Empire tel que Manasée aurait voulu voir de son vivant!"
Après avoir prononcé ce discours et montré l’oriflamme de Manasée, les villageois se mirent à l’acclamé comme un véritable héros. Il les remercia et leurs dit que pour le moment il faut répandra cette nouvelle dans tout l’edhesse et marché sur Perganon. L’heure de passé à l’action est venue. Le chef rebelle regarda le ciel et il sourit en pensant qu’il allait bientôt accomplir sa vengeance. Il se mit en route avec les volontaires qu’ils voulurent le suivre en dirigions de la capitale de l’Edhesse.
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