précédemment
Après avoir quitté le village où il avait montré pour la première fois le drapeau de Manasée, il se dirigeait avec ses partisans en direction de Perganon. Quand en cours de route il se mit à cracher du sang et que certain de ses blessures les plus grave se rouvris. Il voulait continuer, mais ses compagnons lui dirent que c’était en pure folie de continuer dans un état pareil. Le nordique dure se rentre compte que ses rebelles avaient raison. Il s’arrêta et envoya des éclaireurs pour ouvrir le vois, la sécurisé et pour trouvé un village des environs. En attendant que les hommes qu’il a envoyés reviennent, l’une des femmes s’occupa de lui en lui changeant les bandages qu’il a autour de son torse. Cela pris une dizaine de minute avant que l’un des éclaireurs revient pour dire que la voie est sans danger et qu’il avait un village à une heure d’ici. Il se leva avec difficulté et du s’appuyer sur l’un des paysans qu’ils l’avaient suivi.
Après une heure de marche, ils arrivèrent dans le dit village et allèrent à la taverne pour prendre une chambre et mettre le chef rebelle sur un lit. Après avoir remercie ses hommes, il ferma la porte de sa chambre, s’allongea sur son lit et regarda la pièce où il était. C’était une petite pièce sombre où il avait une fenêtre qui donnait une vue sur la place du village. Il vit que ses partisans étaient en bas en train de dire aux habitants de cet endroit qui il était et quel était leur but. Il vit aussi que l’oriflamme était brandit sur le plus haut endroit du village gardé par une vingtaine de personnes. Le nordique ne s’avait pas s’ils devaient les frappés et les remercies. Alors qu’il réfléchissait, il entendit la porte s’ouvrir. Il se retourna et reconnus le sorcier qu’il l’avait soigné il a une dizaine d’heure. Le rebelle le remercia de le soigné et lui demande pourquoi il est venus jusque ici. Le sorcier lui répondit que c’était son devoir de veille sur ses patients et que peut être qu’il était le seul espoir de l’Edhesse. Puis le sorcier se mit à la tâche et il soigna le chef rebelle pensant plusieurs heures avant de lui dire que c’était bon. Il lui laissa quelque fiole en lui disant de les boires pendant deux jours et qu’ensuite il pourra se battre comme auparavant. Fen le remercia et lui dit qu’on lui monte un bon repas avec deux trois chopes d’hydromel.
Après avoir mangé et but. Le nordique s’allongea et s’endormi ; Il se mit à rêver des siens, de ses projets de vengeance et à ceux qu’ils le suivront jusqu’à la mort. Au milieu de la nuit, alors qu’il était au milieu de son clan, l’esprit protecteur de son clan arriva et lui dit :
« Je vois que tu avances bien dans ta quête… par contre si tu continues en comptant seulement sur la force, tu risques de tout perdre dans un futur proche. »
Le nordique regarda le loup blanc et répondit
« Si je ne peux compter sur la force, les combats se gagnent sur la force, c’est celui qui a la plus grande puissance qui a la victoire. »
L’esprit lui sourit, s’en alla tout en laissant une parole destiné au guerrier.
« Souviens-toi comment tu as battu la vouivre. »
Puis il disparut avant même que le rebelle ne put dire un seul mot. Alors qu’il allait l’appelé de nouveau, on le réveilla pour lui dire qu’il fallait lui changé ses pansements. Il se leva et regarda par la fenêtre et il put constaté que c’était l’aurore de la matinée. Il se mit à sourire et pensant que les lendemains seront dures pour lui et surtout pour l’empire.
Après avoir quitté le village où il avait montré pour la première fois le drapeau de Manasée, il se dirigeait avec ses partisans en direction de Perganon. Quand en cours de route il se mit à cracher du sang et que certain de ses blessures les plus grave se rouvris. Il voulait continuer, mais ses compagnons lui dirent que c’était en pure folie de continuer dans un état pareil. Le nordique dure se rentre compte que ses rebelles avaient raison. Il s’arrêta et envoya des éclaireurs pour ouvrir le vois, la sécurisé et pour trouvé un village des environs. En attendant que les hommes qu’il a envoyés reviennent, l’une des femmes s’occupa de lui en lui changeant les bandages qu’il a autour de son torse. Cela pris une dizaine de minute avant que l’un des éclaireurs revient pour dire que la voie est sans danger et qu’il avait un village à une heure d’ici. Il se leva avec difficulté et du s’appuyer sur l’un des paysans qu’ils l’avaient suivi.
Après une heure de marche, ils arrivèrent dans le dit village et allèrent à la taverne pour prendre une chambre et mettre le chef rebelle sur un lit. Après avoir remercie ses hommes, il ferma la porte de sa chambre, s’allongea sur son lit et regarda la pièce où il était. C’était une petite pièce sombre où il avait une fenêtre qui donnait une vue sur la place du village. Il vit que ses partisans étaient en bas en train de dire aux habitants de cet endroit qui il était et quel était leur but. Il vit aussi que l’oriflamme était brandit sur le plus haut endroit du village gardé par une vingtaine de personnes. Le nordique ne s’avait pas s’ils devaient les frappés et les remercies. Alors qu’il réfléchissait, il entendit la porte s’ouvrir. Il se retourna et reconnus le sorcier qu’il l’avait soigné il a une dizaine d’heure. Le rebelle le remercia de le soigné et lui demande pourquoi il est venus jusque ici. Le sorcier lui répondit que c’était son devoir de veille sur ses patients et que peut être qu’il était le seul espoir de l’Edhesse. Puis le sorcier se mit à la tâche et il soigna le chef rebelle pensant plusieurs heures avant de lui dire que c’était bon. Il lui laissa quelque fiole en lui disant de les boires pendant deux jours et qu’ensuite il pourra se battre comme auparavant. Fen le remercia et lui dit qu’on lui monte un bon repas avec deux trois chopes d’hydromel.
Après avoir mangé et but. Le nordique s’allongea et s’endormi ; Il se mit à rêver des siens, de ses projets de vengeance et à ceux qu’ils le suivront jusqu’à la mort. Au milieu de la nuit, alors qu’il était au milieu de son clan, l’esprit protecteur de son clan arriva et lui dit :
« Je vois que tu avances bien dans ta quête… par contre si tu continues en comptant seulement sur la force, tu risques de tout perdre dans un futur proche. »
Le nordique regarda le loup blanc et répondit
« Si je ne peux compter sur la force, les combats se gagnent sur la force, c’est celui qui a la plus grande puissance qui a la victoire. »
L’esprit lui sourit, s’en alla tout en laissant une parole destiné au guerrier.
« Souviens-toi comment tu as battu la vouivre. »
Puis il disparut avant même que le rebelle ne put dire un seul mot. Alors qu’il allait l’appelé de nouveau, on le réveilla pour lui dire qu’il fallait lui changé ses pansements. Il se leva et regarda par la fenêtre et il put constaté que c’était l’aurore de la matinée. Il se mit à sourire et pensant que les lendemains seront dures pour lui et surtout pour l’empire.