Les brigands entrent dans la clairière. Un feu éteint fume encore, une silhouette cachée par des couvertures est couchée à côté, la lumière naturelle est encore faible. Des cheveux dorés luisent avec les braises. L’orc et le géant renifle son repas; le vampire se lèche les lèvres en anticipation au dernier sang avant l’aube; l’humain pense aux plaisirs de la chair; l’ancien trop possessif qui tue tout intrus; l’elfe noir se réjouie d’avance à la torture; la fée déchue et corrompue qui cherche des esclaves d’une beauté. La cible remue, se lève, se retourne. Un visage innocent illuminé par de grands yeux violets. La chevelure flotte dans la brise. Des oreilles pointues se dévoilent. Il y a souvent un petit mouvement de recul ou d’anticipation à sa vue.
Les autorités parfois, des chasseurs de primes souvent, mes partenaires dans l’embuscade surgissent derrière les malfaiteurs. De nombreuses fois j’ai répété ce scénario est répété, plus qu’il y a de races. Ma participation se limite souvent aux sorts de guérison que je demande à Folaniss, quelque fois aux flammes et aux foudres que j’invoque. Durant mes premières décennies, je vécus au sein d’Amphise parmi ma communauté elfique. Je suivis la tradition de ma famille et quitta la forêt pour parcourir Kalamai à ma majorité. Mes ancêtres vénéraient le dieu des chemins et répondaient à l’appel de ses territoires. Je devins prêtresse et je contribue à arrêter ceux qui menacent les routes Arrêter ou tuer, contre de l’argent, car l’or permet la survie sur Kalamai.
Les autorités parfois, des chasseurs de primes souvent, mes partenaires dans l’embuscade surgissent derrière les malfaiteurs. De nombreuses fois j’ai répété ce scénario est répété, plus qu’il y a de races. Ma participation se limite souvent aux sorts de guérison que je demande à Folaniss, quelque fois aux flammes et aux foudres que j’invoque. Durant mes premières décennies, je vécus au sein d’Amphise parmi ma communauté elfique. Je suivis la tradition de ma famille et quitta la forêt pour parcourir Kalamai à ma majorité. Mes ancêtres vénéraient le dieu des chemins et répondaient à l’appel de ses territoires. Je devins prêtresse et je contribue à arrêter ceux qui menacent les routes Arrêter ou tuer, contre de l’argent, car l’or permet la survie sur Kalamai.