Le Monde de Kalamaï
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descriptionAdola, Patriarche des Plaines Perdues EmptyAdola, Patriarche des Plaines Perdues

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Adola l’elfe noir au service du souverain chargé de toutes les sales besognes fut chassé de la contrée de Vénopole pour le seul plaisir de la fille de ce souverain égoïste et ingrat.
Adola fut obligé de partir mais avant cela il maudit le roi et toute sa province en jurant qu’il reviendrait se venger sur lui, sa famille, sa contré mais aussi toutes les autres contrées qu’il l’avait bannis en même temps pour avoir les bonnes grâce de ce puissant seigneur.

Après cela Adola n’eu pas d’autres choix que de se réfugier en Edhesse, il décida de fonder sa petite armada qui grandit rapidement.

Il connu une elfe qu’il épousa. Elle lui donna un petit elfe noir qu’ils nommèrent Radzaï. Adola installa sa petite famille dans une somptueuse propriété. Mais un jour alors qu’il guerroyait dans une sombre province, une émissaire ennemi vint le trouver et le menaça de supprimer sa famille, ses paroles touchèrent beaucoup ce guerrier car cet ennemi donnait des éléments de leur vie connus uniquement par lui. Sous la contrainte ce puissant chef de guerre dû abdiquer et défaire sa puissante armada composée de grands chefs de guerre de la province d’Edhesse. Son ennemi s’empara alors du trône qui était depuis longtemps inoccupé et terrorisa les habitant du royaume. Son fils grandit loin des horreurs de la guerre, mais son père était toujours dans l’angoisse qu’il ne lui arrive quelque chose de tragique comme l’avait promis son ennemi.

A sa majorité, Radzaï parti s’installé dans une contrée voisine avec son épouse. Ils eurent à leur tour un fils, une elfe noir, qu’ils nommèrent Adola en hommage à son grand père. Radzaï lui enseignant la politique, mais aussi la philosophie, l’histoire des provinces et l’art, cependant rien en matière militaire car son père n’en avait pas reçu d’éducation et ne voyait dans les combats que la cruauté et la barbarie. Cependant un jour le père de Radzaï contredit le tyran qu’il avait si longtemps combattu. Pour se venger il demanda à des mercenaires d’assassiner toue la famille mais ceux-ci échappèrent de justesse à leurs assassins.
Adola Junior, qui était alors âgé de 12 ans, pleurait de cette fuite obligée. Il allèrent alors se réfugier chez un vieil elfe noir qui tenta de les réconforter. C’était Adola, son grand père qu’il n’avait jamais connu et qui lui proposa de venir vivre chez lui. Ils s’enfuirent alors d’Edhesse pour rejoindre la Vallée Perdu dans la province de Vénopole.

Le jeune elfe noir était impressionné par la quantité d’armes et de trophées de guerre, ce qu’il n’avait jamais vu dans la maison paternelle. Il demandait souvent à son grand père pourquoi ils avaient dû fuir car il ne comprenait pas pourquoi des êtres sans violence ni haine pouvaient être si cruellement menacé. Le vieil elfe noir demeura muet mais lui promis que lorsqu’il serait près il connaîtrait la vérité mais avant il devait s’armer pour la vie.
Commença alors son long et pénible entraînement : diplomatie, apprentissage des langues des différents royaume, dressage d’animaux, quelques notion de vielle magie elfique, l’art de la guerre, mais il se révéla particulièrement habile dans les déplacement discrets, la précision et le maniement des armes
Il grandit et ses capacités de combattants s’amélioraient, il était devenu puissant mais aussi un sage qui savait réfléchir avant d’agir. Son grand père décida alors que l’heure était venue pour son petit fils de connaître l’histoire de sa famille, il lui montra également le dernier drapeau existant encore de l’Armée de l’Apocalypse.

Quelques semaines plus tard, alors que le vieil elfe se promenait seul le long des chemins de son royaume, il tomba face à face avec un tueur qui était là pour le compte de son ennemi. Un contrat avait été mit sur sa tête et fut exécuté. Adola Junior retrouva son grand père qui poussa son dernier râle dans ses bras. Il jura alors de prendre le sentier de la guerre afin de venger la mort de ses parents et de son grand père mais aussi pour l’honneur de sa famille qui avait du fuir.

Adola s’installa alors en Edhesse dans le vieux royaume de son grand père et y installa aussi ses parents qui avaient dû fuir leur royaume. Il jura d`assassiner tout ceux qui avait jurer la perte de sa famille, cela afin de se venger et de rendre la justice

Il fit également commerce de son savoir faire en se mettant également au service de puissants seigneurs, il se fit très rapidement une sanglante réputation.

Dernière édition par Adola le Sam 21 Aoû 2010 - 16:44, édité 4 fois

descriptionAdola, Patriarche des Plaines Perdues EmptyRe: Adola, Patriarche des Plaines Perdues

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J'étais un assassin mais je me fixait certaines règles
* Jamais l'épée ne devait verser le sang d'un innocent;
* L'assassin doit être discret dans tous ses faits et gestes;
* Les actions ne doivent jamais compromettre ton royaume et tes confrères.

Pour remplir à bien mon travail j'ai multiplié les voyages initiatiques dans les différents royaumes de Kalamaï: en Edhesse pour apprendre à tuer, Scitopole pour savoir me battre, en Mésolongion pour acquérir les bases de la magie, en Etimnon pour approcher de la sagesse intérieur.

Mais afin de remplir mes contrats je me suis fournit en armes chez des vieux forgerons elfiques, qui sont dit on les meilleurs pour forger des lames de qualités.
Je portais au poignet gauche une lame rétractable actionnée par un mécanisme. Je peux alors frapper ma victime en ayant la paume ouverte et la main perpendiculaire par rapport au bras.


J'ai également deux autres armes principales : la lame courte, efficace dans les combats rapprochés. Cette dernière fut imbibé de venin d'Arachnias. Je possédais également une épée, longue, utilisée dans les combats singuliers. Elle était magnifiquement ouvragé et portait ma devise sur la lame "Pour Kalamaï, son peuple et ton honneur"
J'avais également de petits poignards pour jeter sur mes adversaires, et ainsi éliminer des ennemis lointains.
Mais l'arme par excellence pour tuer de loin était mon arbalète. C'était aussi la première arme que l'on apprenait à se servir entant qu'assassin. En tout les cas mon maitre m'initia à celle ci car on pouvait tuer de loin et on finissait par le couteau puis tuer à main nu car cela nécessitait de se rapprocher du "client".

Je posséde également quelques autres techniques pour assassiner mais là je préfère les garder secret car un magicien ne dévoile pas tous ces tours, il faut bien garder un peu de surprise.
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