Les vastes plaines Mésologiennes

Les vastes plaines occupaient une bonne partie du terrain Mésologien, le reste était constitué de forêt, ou de ruisseaux.
Elles étaient recouvertes par une fine couche d’herbe, dont les brindilles fébriles se détachaient et filaient au vent.
Le calme y était omniprésent, la tranquillité et l’intimité y étaient préservées.
Le seul bruit perceptible était le fin ruissellement des rivières avoisinantes ou les vagues qui venaient d'échouer sur les quelques plages où la mer y est accessible ...


Ils avaient été amenés ici par les pouvoirs du sorcier de la grande place, arrivant à première vue, au milieu d’une vaste étendu.
Le bourdonnement et l’éclat magique provoqués par le phénomène de téléportation avaient brisé le silence traditionnel du paysage.
Il posa sa belle à terre, à contrecœur, il aurait aimé la garder serrée près de lui, mais la continuité de cette action aurait fait souffrir son dos.

De là où ils se trouvaient, on pouvait y voir la mer, ainsi que la forêt, et près de cette dernière, une grande demeure.
Il ouvrit ses bras au vent, puis prononça ces quelques mots, sur d’un air nostalgique :

- ah … cela faisait longtemps !

Puis, ne laissant le temps à celle qu’il disait son ange d’admirer le paysage, il s’approcha d’elle et lui fit une fois de plus goûter à ses lèvres.
Après ce, il dit plein de joie, un sourire entraînant dessiné sur son visage :

- Tu verras, c’est le paradis ici, et tu est l’ange qui y habite, fais ici comme chez toi !

Puis, montrant du doigt la petite demeure située à mi-chemin entre la mer et la forêt :

- Je réside là bas, mais cela faisait bien longtemps que je n’y étais pas revenu …

Elle semblait ravi par l’endroit, mais un quelconque mal-être semblait entraver sa joie.
Après avoir regardé plus attentivement, il crut percevoir les effets secondaires que subissent ceux qui ont reçus une trop grande quantité de puissance magique, à savoir des bouffées de chaleur, et un engourdissement des membres.
Lui-même n’en avait rien senti, mais il côtoyait probablement beaucoup plus la magie qu’elle et avait fini par ne plus ressentir ses effets.
Connaissant le meilleur remède contre tout cela, il y invita sa belle, sous prétexte que lui aussi souffrait de ces effets.

- Je vais de ce pas rejoindre la source d’eau chaude, mes blessures y seront moins douloureuses, cela permet aussi de dissiper les engourdissements et autres mal-être divers que provoquent un sort de haut niveau.
Elle est située juste à coté de mon habitat, si tu daignes m’y rejoindre, ce serait avec plaisir ! Sinon, tu peux toujours rejoindre ma demeure si l’envie t’en prend.
Sur ce …


Ses lèvres prirent une fois de plus celle de Sanya, cela devenait répétitif, mais en aucun cas lassant, il pourrait passer des journées à l’embrasser, à l’admirer.
Après lui avoir jeter un regard profond et intensément heureux, il tourna les talons et si mit en marche vers la source d’eau chaude, espérant de tout son cœur qu’elle le rejoindrait au plus vite.

Geoffrey se dirigeait vers ce qu'il disait être la source d'eau chaude.

Toujours un peu étourdie, Sanya s'accorda quelques minutes pour admirer les alentours. Presqu'aucun bruit ne troublait le silence, tout baignait dans un climat serein.
On comprenait aisément pourquoi Geoffrey était si heureux d'y revenir. Une telle gaité s'était dégagé de lui, on aurait dit qu'il venait vraiment d'arriver au paradis.

"Tu es l'ange qui y habite..." Se souvint elle. Souriante, elle se promit de lui offrir quelque chose prochainement. Peut-être qu'en le questionnant un peu sur lui, elle trouverait quelque chose qui lui ferait vraiment plaisir. En y repensant bien, elle se rendit compte qu'ils ne se connaissaient pas tant que ça. Ils ne se connaissaient pas leurs goûts, leur passé, leur famille...

-*** Quel étrange couple nous formons... ***

Elle trouvait un peu étrange de pouvoir dire : " Je ne suis pas seule! "
Aussi loin que sa mémoire remontait, tout le monde s'était toujours entendu pour dire que son caractère indépendant empêcherait toujours toutes relations avec quiconque.

-*** Comme quoi être indépendant n'est pas synonyme d'être asocial... Est-ce que ça va durer? Ça me ressemblerait bien de tout foutre en l'air... Non! Quelle pessimiste je fais. À peine tombée amoureuse je me prépare au pire. Ça n'arrivera jamais...

Se remettant les idées en place, oubliant quelque peu les légers vertiges qui se faisaient sentir, elle parti d'un apréhensions qui l'avaient animées quelques instants plus tôt l'avait quittées, ultime trace d'une dernière inquiétude avant de s'abandonner pour de bon à cette nouvelle émotion qu'elle découvrait à peine avec une personne tout à fait merveilleuse.

Dans l'esprit du commandant, La personne en question devait être sure de réussir si elle voulait attaquer l'amphise sans trop en subir les conséquences. Il espérait surtout qu'il n'avait pas fait un appel à l'aide qui ne servirait à rien, sauf ternir sa réputation auprès des combattants. Si une confrontation allait se produire, il fallait que tout le monde soit prêt avant que l'ennemi se présente, car l'organisation des troupes en souffrirait de beaucoup.

Je comprends votre désarroi. Pour ma part, je combattrais pour les forêts d'Amphise comme si elles faisaient partie de moi. Je me demande juste si votre corporation, de même que celle des Cultes et de l'ombre, nous aidera pour cette grande bataille.

Je propose que nous bâtissions notre stratégie ensemble, Les dirigeant des corporations et messire Desmar car l'union de nos forces ne pourrait faire autre chose qu'annihiler toutes menaces nous confrontant.

Un elf apparu tenant avec lui un parchemin. Il s'avanca vers le seigneur Ardent et une jeune demoiselle et leur tendit le parchemin avec le sceau des rôdeurs des forêts. Il regarda le seigneur Ardent avec un regard indifférent. Il se recula un peu avant de leurs annoncer:

Bonjour messire Ardent et demoiselle. Je viens de la part de mon chef Farlen farden. Il vous assure qu'il a recu votre lettre, mais qu'il ne comprend pas le pourquoi de cette guerre. Mon maitre est actuellement avec le chef ennemi et parlemente. Ne sachant pas exactement pourquoi il se battrait, il vous demande des explications. Si vous avez besoin de lui en toute urgence, il viendra en toute vitesse, mais pour l'heure, ii demande ce qui ce passe. Le qui quoi et comment de la question et de nos ennemis. Il va ensuite juger ce qui est le meilleur pour son peuple. Bien qu'il vous connaisse et qu'il vos aime bien, ca ne voudra pas dire qu'il vous aidera, car il ne voudrait pas perdre de ses hommes dans un combat inutile.

Ardent remarqua l'elfe, et il baissa immédiatement l'épée qu'il avait levé alors qu'il avait entendu un bruissement imperceptible. Il reconnu le sceau, et il acceuillit l'elfe dans son campement temporaire, lui offrant une boisson chaude et une place près du feu.

Une fois le message transmis, il réfléchit un peu, puis il demanda au messager de lui transmettre son message, mais seulement si son seigneur était en parfaite sécurité et que le message pourrait être transmis secretement.

Combattant Farlen Farden, Si j'ai demandé aux soldats de prendre les armes, c'est seulement car une des nombreuses missions dont je me suis confié, c'est la sécurité de Kalamaï. Si j'ai demandé à tous les soldats de la corporation de prendre les armes, C'est aussi pour que je leur donne un choix, combattre le destructeur de foret d'Amphise, ou rester les bras croisés un assaillant détruire une des plus grandes merveilles de notre monde.

Je vous offre ce même choix. Vous pouvez laisser cette attaque se produire, ou vous pouvez nous aider à stopper l'armée qui la réduis en cendres. Si vous acceptez de nous aider, veuillez nous laisser du temps pour que nous nous préparons, et aussi, trouvez d'ou vient cette armée et qui la commande. J'aimerais savoir contre qui je me bats.

Longue vie et puissiez vous toujours être en paix.
Ardent de Montfort, Commandant de la corporation des combattants.

Une fois le messager parti, Il alla faire le guet dans un arbre dans les environs, et tout en scrutant l'horizon en attente de renforts ou d'une attaque d'une armée étrangère, il composa un message pour l'un de ses plus vieux amis, Le Palatin Oengus. Il doutait que l'elfe Babka avait eu le temps ou l'occasion d'écrire une missive à son chef, mais il voulait lui envoyer un message pour l'informer de ce qu'il comptait faire.

La journée était déjà bien entamée, le vent poussait dans le dos de Vorin quand soudain des silhouettes lointaines se dessinèrent aux yeux du nain. Après quelques minutes de vol, Vorin rejoignit les silhouettes qui se trouvaient êtres les différents membres des corporations. Après quelques cercles autours du groupe, Vorin se posa. Le maître nain prit quelques provisions et son habituel couche en peau d'ours des montagnes grises. Il s'installa confortablement et commença à fumer une pipe tout en se dirigeant vers les chefs de corporations. Une fois à coté du roi d'Erebor, Vorin dit tout bas pour ne pas couper le fil de la conversation :

"Bonjour seigneur Graubuust, que se passe t'il ici ? Tout le monde fait grise mine et certains même portent la peur dans leur regard. Auriez vous subit une attaque pendant mon absence ?"

Vorin regarda le seigneur d'Erebor sans aucune insistance, Graubuust ayant déjà l'air en colère, Vorin ne voulait point faire exploser son congénère.

A la vue de Vorin le grand seigneur d'Erebor sembla se calmer mais son humeur ne changea que pour laisser place au doute et à la déception de voir des chefs de guerre qui ne cesse de vouloir étendre leur pouvoir par la force et non par l'influence de leur citée. Vorin quand à lui fut surprit par la réponse de son frêre nain et tout en lui répondant, le seigneur de Karak-Dron tendit une pipe de tabac pourpre à son ami :

"Voyez mon ami, mon armée peut se rendre dans les terres Amphisoises d'ici quelques jours mais cette force qui veut frapper cette province, sait ont au moin de qu'elle ampleur est elle ?"

Vorin reprit une bouffée de tabac en attendant la réponse de son ami.

Un oiseau de proie vint se poser devant Graubuust, un parchemin roulé était attaché par une fine lanière de cuir à la sa patte gauche. On pouvait voir que le parchemin était scellé par le sceau d'Adola Patriarche des Plaines Perdues

Le seigneur Kaim,Patriarche de Naggaroth arriva dans les vastes plaines Mésologiennes suite à une missive envoyé par le seigneur Adola.Il était accompagné par une petite troupe d'elfe noir.Il vit, contrairement à sa réputation que cet endroit n'est plus aussi calme que jadis.Kaim vit au loin Graubuust,le chef se sa corporation et décida d'en savoir un peu plus sur cette affaire.
Bonjour Spadassin,je suis venu aussi vite que possible avec ma meilleur troupe de combat.Nous ne sommes pas beaucoup mais nos compétences sont variées,discrètes et font très mal.Que savons nous de plus à l'heure d'aujourd'hui et quelle est la suite des évènements.
Kaim attendit patiemment prêt à écouter son chef.

Farlen apparu avec quelques un de ses hommes au millieux de la place. Sans prendre le temps de saluer les autres, il s'approcha d'une petite butte et prit son sac dans ses mains. Il avait la tête ailleurs sur le comment les hommes ennemi réagiraient sur sa disparition. Il prit quelques parchemins et de l'encre et écrivit des lettres pour ces combattants. Leurs proposants de se joindre à lui dans cette guerre. Il ne pouvais pas les obliger de faire la guerre, mais au moins de leurs proposer.

IL contapla le ciel quelques moment et siffla avec ses doigts. Une dizaine d'oiseaux apparurent dans le ciel et s'approchèrent de Farlen. Celui-ci accrocha les message dans leurs pattes et ils partirent. Farlen se coucha et regarda le ciel en espérant recevoir des messages rapidements.

Au moment ou le seigneur Graubuust allait répondre à Vorin, un drox arriva accompagné d'une troupe de guerriers. Il se présenta comme étant le seigneur Kaim, membre de la corporation des ombres. Après que le seigneur Graubuust ais finit sa pipe il la rendit à Vorin, le maître nain s'exprima en ces termes :

"Bonjour seigneur Kaim. Seigneur Graubuust je vous laisse à votre discussion, quand à moi je vais aussi demander mes ordres du jour à mon commandant, à bientôt."

Après un salut, le seigneur de Karak-Dron se dirigea vers son commandant. Une fois à portée de vue de son commandant, Vorin lui fit signe et se raprocha pour lui dire :

"Est-ce que tout vas bien seigneur Ardent ? Que pourrais-je faire pour vous ?"

Vorin attendait patiemment la réponse de son commandant tout en continuant à fumer goulument.

Ardent était pensif. Il était perdu dans ses pensées depuis quelques temps, assi en tailleur sur rocher, et on pouvait observer divers papiers étendus sur ses genoux. Il était à quelque distance du reste du groupe, assez pour que tous les sons soient coupés. Le soleil commençait à fléchir, la lumière de l'astre s'éstompant lentement sur les vastes plaines en répandant l'ombre des montagnes Vénopoliennes. UN léger vent faisait frémisser les feuilles des quelques arbres présents, juste assez fort pour déplacer les étendarts des arrivants.

Il fixait un point à l'horison qui avançait lentement. Lorsque l'aspirant arriva à portée de voix, Il sursauta, puis regarda son subordonné, et lui dit d'une voix rendue un peu rugueuse , que le maitre nain se rendit vite compte qu'elle était remplie d'une émotion qui était pourtant invisible sur le visage dur de son commandant.

Non je n'ai rien à te faire faire pour l'instant. Sauf peut-être envoyer un messager dans votre grande cité pour quérir tous les braves nains qui se porterait volontaires pour protèger la grande forêt d'Amphise.

Il marqua une pause, et au moment ou le seigneur nain s'apprètait à partir, il lui dit:

Tu sait, il n'y a pas très longtemps j'était dans la capitale impériale, à essayer de renverser l'empereur. La compagnie Ardente et moi y sommes allés dans un espoir de vangeance, car peu de temps auparavant, les troupes impériales avaient dévasté mon petit royaume, tuant femmes et enfants. Nous étions partis à la chasse aux griffons qui terrorisait les fermiers, et quands nous sommes revenus, seuls quelques cris des mourants nous ont acueuilli. Mon fils et ma femme sont morts ce jour là...

Souvent, j'entend encore leurs rires resonner dans ma tête. Ils semblent si heureux... Si je me bats pour quelque chose, je me battrait pour eux, pour que leur mémoire ne s'éteigne jamais.

Une petite troupe de guerriers arrivaient de Scitopole, tous à cheval et se dirigeant à grande vitesse sur le campement. Une personne attentive pouvait compter 100 têtes, et ils portaient une armure rouge qui était estampillée d'une flame sur le plastron. Il pourtaient de lourdes lances et d'épais boucliers mais aucun n'avait d'étendarts. Ils étaient suivis par 10 chariots lancés à pleine vitesse. Ardent se redressa et tout en rangeant ses missives, il déclara d'une voix assez forte pour que tous dans le campement puisse l'entendre, il déclara:

La compagnie Ardente est là! Ceux qui n'ont pas de vivres, ils en ont sufissament pour vous avec eux!

D'un ton plus bas, il se retourna vers le nain et lui dit avec un demi-sourire:

Les pièces commencent à se mettre en place. Nous ne pouvont que gagner!

Vorin fut surprit par les quelques révélations de son commandant, qu'un homme si sur de lui et si emplit de force puisse étaler ses sentiments à l'un de ses subordonnés, cela étonna le maître nain. Celui-ci après avoir hoché la tête en signe de compréhention envers la douleur que pouvait ressentir son commandant, tourna les yeux pour admirer l'arrivé de la compagnie ardente. Le seigneur de Karak-Dron s'avança vers la compagnie et reçut des provisions ainsi que quelques sermont sur le courage et les buts communs qui rapproche les races, mais ces discours de soldat fit rire intèrieurement le maître nain. Quand tout le monde se rua sur les provisions, Vorin lui repartit charger son dragon et ranger ses affaires. Une fois son dragon arranger et lui redevenut propre, Vorin repartit surveiller les alentours du ciel. Après quelques cercles, Vorin aperçut une fumée dense qui commençait à monter dans les airs, le nain fit un dernier cerlce pour s'assurer que rien ne menaçait les corporations et alla vers le village. Une fois arrivé, Vorin put apercevoir quelques hommes qui pillait le peut qu'il restait du village, avec toute la puissance de son dragon il se jeta sur eux en hurlant :

"Chiens de pillards je serait votre exécuteur !"

Et vorin se jeta hors de son dragon pour écraser la tête d'un pillard de son lourd marteau. Un à un les pillards tombèrent, le dernier déposa les armes et dit :

"J'ais des informations qui pourrait vous interresser mais pour cela je veut la vie sauve !"

Vorin répondit :

"Parle et nous verrons bien."

Le soldat prit quelques secondes avnt de parler et dit :

"Nous ne sommes pas de simples pillards, l'homme qui se trouve à terre derrière vous à une lettre qui vous aidera à comprendre ce que je dis. C'est tout ce que j'ais."

Vorin tout en gardant un oeuil sur son prisonnier, prit la lettre du chef des pillards et la mit dans sa poche, ensuite il demanda au pillard :

"Est-ce tout ? Très bien, alors meurt chien !"

Vorin brisa le crâne du pillard et s'en retourna au près des corporations, il lut la lettre en route et ce qu'il lut le surprit au plus haut point.
Une fois à terre et près de son commandant, Vorin dit :

"Pardon seigneur Ardent mais j'ai des renseignements de la plus haute importance à vous communiquer."

Le seigneur Ardent fit un signe de la main à Vorin lui permettant de s'exprimer à son aise, le maître nain lut :



Vorin reprit son souffle et dit :

"Le seigneur Varatorn doiot engager des brigands afin d'attaquer l'Amphise, comment devons nous réagirent ?"

Le nain attendait la réponse de son commandant avec un empressement certain.

Je m'approchait de Vorin qui était partie rapidement sans même que je n'ai pu lui parler, j'entendis sa discussion avec le Seigneur Ardent et vit du coin de l'oeil le message qu'il tendit.

Et bien, ce Palatin se croit vraiment au-dessus de tout. Si seulement les autres habitants de la province voyait plus clair, j'obtiendrai les deux voix qui manque à mon élection. Au fait, merci pour cette excellente pipe Vorin, voilà longtemps que j'en avais pris de si bon.

Je regardais derrière moi, la compagnie Ardente était arrivé, voilà une nouvelle encourageante. Déjà Babka et Penya était sûrement loin de nous pour se rendre en Amphise.

Seigneur Ardent, quand pensez-vous commencer a marcher vers l'Amphise avec vos troupes ?



[hrp]Je ne peux répondre à Messire Kaim pour des raisons de cohérence car il indique être ici alors qu'il discute encore à l'intérieur du repaire de la corporation de l'ombre.[/hrp]

Ardent réfléchissait encore sur la tenue des prochains événements, et surtout, à la stratégie qu'il devait utiliser face aux troupes du palatin Varatorn. Alors que le seigneur Graubuust s'exprima, il sursauta car l'approche du spadassin avait été à la hauteur de sa réputation. Il répondit à la question du chef de corporation avec lenteur, comme si il ne voulait pas perdrele fil de ses pensées.

Nous partirons quand les renforts de chacuns d'entre nous seront arrivés. Pour ma part, il ne me reste que les troupes envoyées par mon lieutenant Faraël Barka et je serait pret à partir. J'aimerais aussi que l'on discutte de la force que nous pouvons déployer sans risquer de perdre des soldats inutilement.

Aussi, j'aimerais vous confier la lourde tache de faire surveiller tous les mouvements ennemis et de nous informer sur leur position et leur effectifs. ensuite nous pourrons attaquer les forces Vénopoliennes en toutes sécurité.

Vorin entendit les paroles de chacuns des deux seigneurs présents, les paroles du seigneur Graubuust l'emplit de joie et celles du seigneur Ardent de terreur, le maître nain s'exprima promptement mais clairement :

"Seigneur Ardent, il est impossible pour moi et mes hommes d'attaquer le moindre soldat vénopoliens, comprenés nous ils sont nos frêres d'armes et nos amis.
Si vous voulez bien m'accorder une chance, je pourrais défier le palatin Varatorn et le mettre à bas. Je connait Vénopole mieux que quiconque et mes hommes malgré leur petite tailles irons plus vite que vous par delà les montagnes. Je vous en prit seigneur Ardent laisser une chance à mes hommes et à moi de pouvoir sauver un maximum de vénopoliens !"

Vorin était en colère contre le seigneur Varatorn de détruire tant d'efforts fait pour la restoration de la paix et en même temps le nain était plein d'espoir, l'espoir d'une réponse positive de son commandant.

Les paoles du nain lui offrait une nouvelle possibilité... Il devait faire sa stratégie avec la solution la moins dangereuse, et celle qui s'imposait était la bonne.

Aspirant combattant Vorin, vous me donnez une chance de finir rpidement ce combat. Je donnerai le commendement de mes troupes a quelqu'un ici, tamdisque je partirais avec vous combattre dans un combat singulier le combattant Varatorn. Nous avons des comptes à nous rendre....

L'assault des troupes de Vénopole aurra quand même lieu, mais essayez de capturer les soldat au lieu de les tuer. On ne veut pas avoir plus de sang sur la conscience, mais bien arreter la destruction des plus belles foret de Kalamaï.

Nous attendrons quand même l'arrivée du lieutenant commandant les troupes venant de Faraël. Ensuite, Nous mettrons ce plan a exécution, si personne n'a quelque chose à ajouter. Et j'espère que celui qui viendra me voir pour m'en parler aura réfléchi à ce qu'il voudra dire, car je n'acceptera pas de problèmes si vous ne m'offrez pas de solution. Si vous voullez m'escuser, je vais aller sceller mon dragon.

Et il partit vers le campement de la compagnie Ardente.

Il était tôt dans la matinée, le vent balayait les plaines de son doux souffle, la journée s'annoçait calme et pleine de promesses. Vorin s'entrainait avec une quinzaine de ses congénères arrivés trois jours plus tôt, quand soudain le représentant de la maison Barka fit son entrée. Vorin torse nus et trempé de sueur alla prendre un bain. Une fois propre et présentable, le roi de Karak-Dron alla saluer les nouveaux arrivants et son commandant. une fois devant les différents seigneurs le maître nain s'exprima en ces termes :

"Mes salutations à vous représentant de la maison des Barka, je suis Vorin roi de Karak-Dron et Ordonnateur des forges de Vénopole."

Vorin se retourna vers le seigneur Ardent et il lui dit :

"Seigneur Ardent si vous le souhaitez, mes hommes et moi même sommes près à partir. Rejoignez nous dans notre tente pour discuter du déroulement des opérations."

Le maître nain alla rejoindre ses hommes après avoir resaluer tout les seigneurs, et officiers présents.

Ardent lança un appel général à tous les seigneurs présents qui étaient arrivés, pusque cela faisait déja six jours qu'ils attendaient, soit le double de ce qui était prévu au départ. Il lança:

Seigneurs de toutes corporations! Tous ceux voulant prendre part au combat contre les troupes dévastant les forets d'Amphise, veuillez nous rejoindre à la tente de messire Vorin dans les plus brefs délais.

Il se tourna vers la lieutenant venue de Zircondal et qui lui rapella vaguement quelqu'un, et lui dit d'une voix courtoise:

Je vous prierait de nous suivre. Vous allez avoir une place importante dans mon plan....


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La tente du nain était bondée. Malgré le fait quelle était immense, il fallut y adjoindre deux autre tentes pour contenir tous les seigneurs et leurs lieutenants et conseillers. Ardent était au centre des regards, appuyé sur une table en bois, les autres chefs de corporations et dirigeant d'expédition à ses cotés. Sur la table était étendu une carte d'Amphise, avec tous les renseignements sur la force Vénopolienne. Il commença à expliquer son plan d'une voix sans appel aux personnes présentes.

Premièrement, les forces de coalition formée de tous les volontaires, devront encercler l'armée lancée de Vénopole, tout en imposant un couvert Aérien. Vos troupes devront se déplacer rapidement et discrettement, n'attaquant pas mais en créant une barrière infranchissable de métal et de volonté. Cela devrait les forcer à abandonner, et faites les prissonnier et désarmez les. Ces soldats devront être comptabilisés, et ces chiffres devront être envoyés au Sénat pour donner une preuve de la culpabilité du responsable de cette agression, le seigneur Varatorn.

La compagnie Ardente vous accopagnera, sous la gouverne de la lieutenant Trike. Pour ma part, je partirait à la grande forge de Vénopole Avec le seigneur Vorin, un membre de la compagnie Ardente et un des hommes de Zircondal. J'irais chercher le Palatin resposable de ces attaques et j'essayerait de le convaicre d'aller lui-même se présenter au Sénat, sinon nous essayeront de l'emmener de force avec nous.

Si nous en sommes à la deuxième étape, je vus enverait une missive et tous les soldats disponibles et volontaires devront essayer de nous aider .

Qu'en pesez vous?

un oiseau arriva et vient se poser devant le Spadassin, il tenait attaché à sa patte une missive.