Je venais de chevaucher pendant toute la journée, je commençais à ressentir les premiers signes de fatigue, il faut bien dire que je n’avais pas fait une nuit complète depuis déjà bien longtemps. L’administratif me prenait beaucoup de temps mais cela était nécessaire.
Au bout de ma route se trouvait une barrière et à coté se trouvait un bûcher que je connaissais bien pour en avoir ordonné la construction. Les feux d’alarmes afin de prévenir la ville fortifiée que le branle le bas de combat devait être ordonné.
C’était un poste frontière où un peloton de garde était présent. Ces personnes étaient en armure et doté d’épée et de lance et ils avaient pour mission de contrôler l’identité de chaque voyageur, de refouler les indésirable et en cas d’invasion de donner l’alerte en mettant le feu au bûcher. Ces hommes étaient dévoués à leur chef et donneraient leur vie pour leur royaume. Mais l’heure où il devrait témoigner de cela n’était pas encore venue.
C’est alors qu’un des gardes m’arrêta et me demanda :
Stop étranger, veuillez décliner votre nom et les raisons de votre visite ?
Je souleva alors ma capuche que j’avais mise pour me déplacer inaperçu puis je lui déclara
Je suis Adola et je viens me reposer un peu dans mon royaume et aussi vérifier que tout se passe bien.
Je vis alors tous les gardes se mettrent au garde à vous et celui qui m’avait arrêté commencé à rougir comme une tomate. Je m’empressa alors d’ajouter
Repos soldats. Mon brave vous avez eu tout à fait raison de m’arrêter, vous êtes là pour ça et sur mon ordre. Si vous aviez fait le contraire vous auriez alors commis une faute. Je dois maintenant vous laisser.
Je repartie alors pour me diriger vers la ville principale où se trouvait mon château. Je traversais mon royaume et j’étais heureux de pouvoir m’y ressourcer, de retrouver mes terres avec son paysage, les récoltes qui allaient bientôt avoir lieu, le blé que l’on allait battre, les raisins qui mûrissaient,… Il faut dire que bien que mon royaume s’appelait les Plaines Perdues la terre qu’on y trouvait était fertile et le nom venait essentiellement du fait que ces plaines étaient entouré de hautes montagnes ce qui en faisait un endroit difficile d’accès et qui avait longtemps abandonné.
J’étais également heureux de voir des personnes dans les champs, sur le chemin ou dans les villages que je traversais m’adresser des sourires. Pour moi cela valait toutes les richesses car je prenais cela comme la preuve que j’étais un Patriarche juste.
En effet les personnes qui vivaient sur mes terres étaient libre et disposaient de droits. Ils avaient la protection, le droit aux soins à la sécurité contre tout un tas de risques tel que la maladie, les catastrophes naturelles,… et contre cela ils devaient juste payer un peu d’impôt mais qui était proportionnel à leurs ressources. Cela expliquaient sans doute pourquoi peu de personnes partaient mais que beaucoup venaient.
De plus dans mon royaume la liberté d’expression était la coutume tout comme la justice où nulle personne ne pouvait être déclaré coupable sans un procès équitable. Par exemple la torture y était exclu mais en cas de nécessité les druides pouvaient préparé des potions de vérité afin d’obtenir des aveux sans violence à n’importe qui mais cela était bien encadré. De plus la peine de mort existait mais était rarement appliqué, cela était réservé au cas les plus grave.
J’arriva bientôt aux portes de la ville, là je me fis aussi arrêté par des soldats mais qui me reconnurent aussitôt et me laissèrent passer. J’avança jusqu’à la deuxième muraille là où se trouvait mon château et de nouveaux gardes pour en barrer l’accès. Je franchis cela et un serviteur s’avança, je descendis de cheval puis lui tendis les rênes puis lui dis.
Mon brave pouvez vous appeler un palefrenier afin qu’il amène mon cheval aux écuries, qu’il le lave, lui donne à manger et à boire.
L’homme s’exécuta. Et moi je rentra dans ma demeure.
Au bout de ma route se trouvait une barrière et à coté se trouvait un bûcher que je connaissais bien pour en avoir ordonné la construction. Les feux d’alarmes afin de prévenir la ville fortifiée que le branle le bas de combat devait être ordonné.
C’était un poste frontière où un peloton de garde était présent. Ces personnes étaient en armure et doté d’épée et de lance et ils avaient pour mission de contrôler l’identité de chaque voyageur, de refouler les indésirable et en cas d’invasion de donner l’alerte en mettant le feu au bûcher. Ces hommes étaient dévoués à leur chef et donneraient leur vie pour leur royaume. Mais l’heure où il devrait témoigner de cela n’était pas encore venue.
C’est alors qu’un des gardes m’arrêta et me demanda :
Stop étranger, veuillez décliner votre nom et les raisons de votre visite ?
Je souleva alors ma capuche que j’avais mise pour me déplacer inaperçu puis je lui déclara
Je suis Adola et je viens me reposer un peu dans mon royaume et aussi vérifier que tout se passe bien.
Je vis alors tous les gardes se mettrent au garde à vous et celui qui m’avait arrêté commencé à rougir comme une tomate. Je m’empressa alors d’ajouter
Repos soldats. Mon brave vous avez eu tout à fait raison de m’arrêter, vous êtes là pour ça et sur mon ordre. Si vous aviez fait le contraire vous auriez alors commis une faute. Je dois maintenant vous laisser.
Je repartie alors pour me diriger vers la ville principale où se trouvait mon château. Je traversais mon royaume et j’étais heureux de pouvoir m’y ressourcer, de retrouver mes terres avec son paysage, les récoltes qui allaient bientôt avoir lieu, le blé que l’on allait battre, les raisins qui mûrissaient,… Il faut dire que bien que mon royaume s’appelait les Plaines Perdues la terre qu’on y trouvait était fertile et le nom venait essentiellement du fait que ces plaines étaient entouré de hautes montagnes ce qui en faisait un endroit difficile d’accès et qui avait longtemps abandonné.
J’étais également heureux de voir des personnes dans les champs, sur le chemin ou dans les villages que je traversais m’adresser des sourires. Pour moi cela valait toutes les richesses car je prenais cela comme la preuve que j’étais un Patriarche juste.
En effet les personnes qui vivaient sur mes terres étaient libre et disposaient de droits. Ils avaient la protection, le droit aux soins à la sécurité contre tout un tas de risques tel que la maladie, les catastrophes naturelles,… et contre cela ils devaient juste payer un peu d’impôt mais qui était proportionnel à leurs ressources. Cela expliquaient sans doute pourquoi peu de personnes partaient mais que beaucoup venaient.
De plus dans mon royaume la liberté d’expression était la coutume tout comme la justice où nulle personne ne pouvait être déclaré coupable sans un procès équitable. Par exemple la torture y était exclu mais en cas de nécessité les druides pouvaient préparé des potions de vérité afin d’obtenir des aveux sans violence à n’importe qui mais cela était bien encadré. De plus la peine de mort existait mais était rarement appliqué, cela était réservé au cas les plus grave.
J’arriva bientôt aux portes de la ville, là je me fis aussi arrêté par des soldats mais qui me reconnurent aussitôt et me laissèrent passer. J’avança jusqu’à la deuxième muraille là où se trouvait mon château et de nouveaux gardes pour en barrer l’accès. Je franchis cela et un serviteur s’avança, je descendis de cheval puis lui tendis les rênes puis lui dis.
Mon brave pouvez vous appeler un palefrenier afin qu’il amène mon cheval aux écuries, qu’il le lave, lui donne à manger et à boire.
L’homme s’exécuta. Et moi je rentra dans ma demeure.