Le Monde de Kalamaï
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descriptionQuelque part en Vénopole EmptyQuelque part en Vénopole

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En Vénopole dans les montagnes Grises ce trouvé les derniers bastions de la puissance de Varatorn.
Après ces cuissante défaite et la perte de sont royaume Varatorn ordonna l'extermination total de toute rebellion Vénopolienne et ce que trouvé Varatorn de plus odieux ce sont ces étranger que ce pitoyable nain a rassemblé pour affirmé sont soit dissant pouvoir.
Varatorn etait seul aucun allier et pourtant malgrés sont envit de voir les allier de l'empire mourir lui seul voyait la vérité et elle et simple l'empire doit etre vaincu quelque soit le prix et quelque soit les sacrifices.

Le devoir de Varatorn et de vaincre ces pitoyable pantin que l'empire a mit au pouvoir pour s'assurer la domination total.
Varatorn ne pouvait laisser faire l'empire une tel chose bien que ces forces etait moindre et sont royaume ébranler par les rebellions et les complots Varatorn sait que le trône de Vénopole lui reviendra très bientôt et ce jour la l'intrut qui ces proclamé a la place de Varatorn mourra.

Varatorn une foit sont royaume reconquie detruira Amphise et cette foit-ci il ne sera pas stoper.
Puit Varatorn quitte a mourir s'en prendra a la capital de l'empire et tentera de tuer lui même l'Empereur une foit cela fait Varatorn quittera la capital et laissera le trône de l'Empire vaccant a qui sera jugé suffisament noble par Varatorn pour devenir empereur.

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La Corporation de l’Ombre s’était une nouvelle fois révélée très efficace et les espions avaient pu indiquer non sans mal le lieu où se cachait Varatorn. Ce n’était pas un lieu facile d’accès et nous pouvions être vu de loin ce qui permettait à ceux qui venait se cacher dans les montagnes de s’enfuir ou de préparer tranquillement une embuscade ce qui pouvait très bien se passer car notre cortège était très visible.

J’avais donné des consignes très strictes, j’avais interdis à mes hommes de sortir leurs armes sans mon ordres afin d’enlever tout signe d’hostilité qui pourrait amener les troupes de Varatorn à nous attaquer sans raison. J’étais toujours à la tête du convoi avec un grand drapeau blanc bien visible, signe que nous venions en paix et que notre but n’était point de faire la guerre.
J’avais également demandé (bien que je savais que cela serait peine perdu) à ce que Luciole et sa suite restent en arrière afin qu’elle ne soit pas blessée ou pire si jamais nous tombions dans une embuscade.

Nous montions dans la montagne jusqu’au point où un espion m’avait indiqué. Là nous tombâmes sur un camp des plus organisé en village avec tout ce qui est nécessaire à la vie où plutôt devrais-je dire à la survie. Il y avait tout de même une présence massive de soldat. Nous fûmes arrêtés par des gardes à l’entrée de la fortification. Ce ne pouvait être que son campement au vue des armoiries dessiné sur les tuniques des gardes.
Ils pointèrent aussitôt leurs lances dans ma direction. Je fis aussitôt signe à mes hommes de ne pas réagir. J’avais toujours le drapeau blanc dans ma main et je leur dis


Je suis Adola, Patriarche des Plaines Perdues, Magistrats des Institutions Impériales et à ce titre je veux parler à votre maître donc je vous pris de me laisser passer moi et mes gardes.
Je viens ici en diplomate et non en militaire comme vous pouvez le voir avec ce drapeau blanc.


Sur ces quelques mots j’avançai vers le centre du camp en laissant les gardes penauds.
Je me dirigea vers le plus beau bâtiment où je pensais trouver Varatorn. Autours de moi il était possible de distingué des artisans qui s’afféraient à leur besogne : un boulanger, un menuisier, des tisserands, des forgerons,… Nul doute était possible ce camp avait bien pour but de se préparer à reprendre le chemin de la guerre et il faisait préparer les armes et armures nécessaire à cela.

J’arrêta mon cheval et fis signe au capitaine qui dirigeait ces cavaliers de s’approcher.

Je vais aller voir Varatorn, je vous demande de ne pas réagir aux provocations mais si vos vies sont visiblement mises en danger alors vous devrez réagir.
Si cela tourne mal sonner la retraite et ne vous occupez pas de moi.


Je descendis de mon cheval et me dirigea vers l’entrée du bâtiment. Là encore il y avait des gardes, je décida de ne pas franchir la porte sans y avoir été invité afin de ne pas offensé le seigneur des lieux. Je demanda donc aux gardes.


Je vous prie d’aller quérir votre seigneur, je suis Adola Magistrat des Institutions Impériales je viens en paix parler à votre seigneur.

J’attendais la réponse avec impatiente car je n'étais pas d'humeur à attendre indéfiniment et j'avais une proposition bien précise à lui faire et il devrait rapidement y réfléchir car il allait jouer son avenir ici.

descriptionQuelque part en Vénopole EmptyRe: Quelque part en Vénopole

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Le Garde regarda Adola et lui dit :
Veyer rester la.
L'arrivée d'adola n'avait pas passer inaperçu et des soldats commencé a ce rassemblé autour de lui et ces compagnons.
Le Garde resortie et dit :
Entré.
Le Garde poussa une double porte batante qui laissa place a une grande salle avec des pillones en pierre par rangé et des gardes posté a chaque accés a chaque fenètre et tout le long de l'allés au bout ce trouvé Varatorn dos tournée penché sur une table en bois avec une carte de Vénopole.
Varatorn ce tourna vit au loin adola c'est yeux virèrent au noir profond une haine s'empara de lui elle etait visible mais Varatorn n'agis pas cette foit-ci et offre une chance a son interlocuteur de parlé avant de connaitre le destin que Varatorn lui réserve.

descriptionQuelque part en Vénopole EmptyRe: Quelque part en Vénopole

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J'entra dans la salle où visiblement le seigneur Varatorn passait une partie de son temps on pouvait y voir des livres et diverses cartes, cela ne devait pas être sans raison. Mais cela m'importait peu à l'heure actuelle. Il y avait également une quantité de gardes afin visiblement d’assurer sa sécurité, visiblement il avait peur que des personnes viennent crier vengeance. Cette peur n’était pas sans fondement pensais-je. Mais après tout quoi de plus normal que de craindre quand on n’a nui à l’Empire et à l’Empereur.

Je sentais bien que ma visite n'était pas des plus apprécié mais j'allais toujours juqu'au bout de ce que je pensais et je n'allais pas rebrousser chemin si vite et surtout sans lui avoir parlé.


Bonjour Seigneur Varatorn

Je viens ici en tant que diplomate de Kalamaï et non en temps que soldat.


J'étais décider à ne pas prendre de détour et à ne pas épiloguer car cela n'avait que trop duré et le but n'était pas de faire des rond de jambe mais bel et bien d'avancer.

Comme vous le savez surement l'Empire et plus particulièrement l'Inquisition souhaiterait vous entendre suite à un certains nombres d'actes dont il semble que vous ayez été le commanditaire.
La guerre a eu lieu et cela a engendré des pertes des deux cotés cependant nous n'avons toujours pas la certitude que cela va cesser ni même connu les raison qui vous ont poussé à vouloir envahir Amphise et à en vouloir à l’Empereur.
La plupart des seigneurs de Kalamaï désiraient continuer la guerre mais moi je viens vers vous afin de vous proposer de vous rendre auprès de l'Inquisition afin de vous expliquer sur vos faits et gestes.
Cela dans le noble but d'épargner la vie de vos hommes qui sans nul doute tomberons sous les coups de la coalition qui s'est formé dans le but de défendre Amphise et qui a aussi pour mission de vous retrouvé.


Je marqua une pause afin de jauger les réactions de mon interlocuteur mais cela ne faisait pas le moindre doute que ce que je lui proposait ne lui convenait pas du tout. Mais au moins je n’avais rien à me reprocher car j’essayais autant que faire ce peu de faire couler encore plus de sang.


Je vous propose donc dans un premier temps de déposer les armes et de me suivre vers le campement de l’Inquisition si vous le voulez bien où je me porte garant du bon déroulement du procès qui aura lieu. De plus je peux vous garantir un procès équitable.

J’attendais la réponse de Varatorn qui je n’en doutais pas serait explosive mais en tant que diplomate j’étais protégé par les textes sacrés qui n’avait jamais été remis en question par aucun Empereur les honnêtes comme les tyrans et donc nuire à ma personne lui vaudrait outre les foudres des dieux mais aussi la colère de l’Empire et de mes compagnons. Mais j’étais persuadé que Varatorn était assez intelligent pour ne pas commettre une telle erreur.

Pendant ce temps un aigle rentra et se dirigea vers moi pour me remettre une missive.
Celle ci m'apprenait que notre Spadassin avait disparu. Je ne laissa apparaitre aucune réaction sur mon visage comme j'avais appris à le faire au cours de la vie. J'étais le plus haut gradé de la Corporation et si jamais cette missive se confirmait j'aurais donc la lourde responsabilité de prendre les rênes de la Corporation Mais cela entrainerait également de nouveaux troubles en Vénopole.
Avec ces événements j'étais décidé à encore moins trainer car j'aurais sans doute une masse de travail en arrivant en ville, mettre au courant le Grand Prêtre, le Sénat, l'Empereur, réunir l'Ombre,...


Alors qu'en pensez vous Varatorn? Ma proposition vous convient-elle?

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Le convoie allait bon train quand un volatile vint apporté une missive des plus confidentiel.
Arzhùl brisa le sceaux et la lu.

Le magistrat Adola veut lui offrir une dernière chance de se rendre… C’est peine perdu si il croit pouvoir résonné ce malade névrosé…
Vous savez ce qu’on dit sur la longévité de vie des diplomates…

La garde personnelle d’Arzhùl se mit à rire de bon cœur, mais fut vite refroidi par le regard sévère d’Arzhùl.
Je ne plaisante pas avec la vie d’un allié !

Puis le voyage continua jusqu’à leur arrivé. Le campement avait été dressé à quelques acres du chef lieu de résistance de Varatorn. Arzhùl, comme à son habitude, n’avait pas fait dans la finesse ce qui fait que Varatorn serait alerté dans la demi-heure qui suit de son arrivé.
Arzhùl savait que son ennemie avait un minimum d’honneur pour ne pas fuir dans les montagnes et se défendre dans un dernier baroud d’honneur. De toute façon, il n’y aurait que mort et famine dans ses montagnes désertique. Les hommes étaient prêt, prêt à faire sonné le glas du règne de Varatorn.

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Varatorn ne réagissait pas, ne répondait pas. Mais visiblement il n’approuvait pas ma proposition ce qui était son droit bien que cela le condamnait à devoir combattre et soit se faire capturer soit se faire tuer. En tout les cas son refus n’avait rien d’étonnant mais j’avais désiré lui donner une chance de se racheter et ainsi d’éviter de faire couler encore plus de sang. Mais cela était peine perdue, il continuait malgré qu’il était traqué comme une bête.

Je n’avais vraiment pas de temps à amener à la raison cette personne et visiblement cela ne servirait à rien car on pouvait voir les flammes de la colère dans les yeux de ce seigneur. Je décidai donc de repartir comme j’étais venu


Bien je vois que vous vous entêté. Libre à vous, mais sachez que vous aurez des comptes à rendre à l’Inquisition, au Sénat, à l’Empereur et à tout Kalamaï. Je vous ai laissé une chance de pouvoir vous expliquer en évitant de faire couler du sang mais visiblement cela ne vous convient pas.

Je me retourna et me dirigea d’un pas vif vers la lourde porte centrale que j’ouvris à la volée. Ni Varatorn ni les gardes n’avaient bougés le moindre petit doigt. Le soleil venait aussitôt de remplir la sombre pièce dans laquelle se trouvait Varatorn.

Mes cavaliers m’attentaient et l’un d’eux me tendit les rênes de mon cheval sur lequel je grimpa. Nous repartîmes sur le sentier que nous avions prit pour venir, moi à la tête du groupe. Là aussi aucun garde ne bougea et nous sortîmes du camp encore plus facilement que nous étions rentrée. Pour moi la page concernant la diplomatie avec Varatorn était tournée et cela ne se finirait que dans un bain de sang comme je l’avais toujours redouté.

Nous chevauchions depuis environ une demi-heure quand nous tombâmes sur un campement bien gardé. Je reconnu aussitôt les insignes, il s’agissait de la Sainte Inquisition. Nous nous stoppâmes devant les hommes qui empêchaient d’entrer dans le camp mais aussi d’en sortir. Les gardes croisèrent leur hallebardes pour empêcher l’entrée dans le camp puis demandèrent mon nom et les raisons de ma venue dans ce coin. Là encore quand je déclina mon identité cela eu pour effet que les gardes me laissèrent rentrer. Bien que je détestais mettre en avant ma fonction je devais avouer que cela était efficace et gagnait bien du temps.

Je demanda que l’on me conduise vers le Grand Prêtre Arzhùl Gorbad afin que je puisse m’entretenir rapidement avec lui pour le tenir au courant de mes démarches. Ensuite je devais rapidement regagner la capitale de Kalamaï afin de réunir l’Ombre au grand complet car un événement des plus important mais aussi inquiétant s’était produit.

Malheureusement personne ne vint m'inviter à entrer, visiblement le Grand Prêtre devait être très occuper Je vis un serviteur passa et lui demanda de m'excuser auprès de son maître de ne pas avoir attendu mais le devoir m'appelait.

Je repartie donc du camps avec mes cavaliers et nous nous dirigeâmes vers la capital au galop.


HRP:
Spoiler :

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