Le Monde de Kalamaï
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249 €

descriptionLe Marché Mal-Famé EmptyLe Marché Mal-Famé

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En plein milieu du quartier mal famé se situait un marché. C’était un endroit plein de vie avec les nombreux étalages de marchants de pain, viandes, boissons,… pour assurer la survie de ses habitants qui ne sortaient que peu de ce zone urbaine. Mais c’était aussi un lieu de mort car en périphérique de ce marché des plus honorable (qui venait en contraste des lieux) se trouvaient des marchands moins scrupuleux sur la marchandise et ses origines : produits volés, interdits tel était le lot de ces personnes. Quiconque désiraient quelque chose d’introuvable devait se rendre en ces lieux pour le trouver car disait-on « si tu ne trouve pas ce que tu veux chez les vendeurs du quartier mal-famé alors c’est que ça ne doit pas exister ».  Poison, armes, élixir, potion, faux-papier, renseignements, mais également esclaves étaient des choses que l’on pouvait acheter sans problème du moment que l’on avait de l’or, beaucoup d’or. En opposition de ces richesses se trouvaient des pauvres vagabonds qui étaient là dans la plus complète pauvreté mais qui avaient été jeté du reste de la ville du temps des précédents empereurs, ils avaient trouvé ici refuge mais restaient dans l’Ombre pour éviter les mauvais coups.
Cependant cet endroit était calme par rapport au reste du quartier, la discipline y régnait car selon les rumeurs une bande de malfrat sévissait en imposant ses règles et en rançonnant les commerçants dont certains n’étaient là que pour nourrir leur famille.

descriptionLe Marché Mal-Famé EmptyRe: Le Marché Mal-Famé

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J’avais quitté le repère de l’Ombre afin de me concentré sur une affaire où j’avais mobilisé toute la Corporation mais qui visiblement n’avait pas recueilli beaucoup de réponse favorable ce qui me déplaisait. Il était rare, très rare que je demande une participation mais là j’espérais mieux.

J’arpentais les ruelles des quartiers mal famés, j’avais revêtu des vêtements simples agrémenté d’une cape. Le but était de passé inaperçu, seul un œil expérimenté pouvait décrypter les bagues que je portais qui me permettais de sceller des lettres : une pour mon royaume des Plaines Perdues, une en tant que Spadassin de l’Ombre et la dernière pour la Magistrature des Institutions Impériales. Il était indispensable que je les garde au maximum sur moi afin de pouvoir réagir aussitôt si je recevais une missive et également de passer plus facilement certains barrages quand la nécessité de l’Empire l’exigeait, bien que je n’appréciais pas forcément les passe-droits. Cependant en cas de nécessité tel qu’une mission d’infiltration je me devais d’enlever ces précieuses bagues.
Toujours était-il qu’accroché à ma ceinture, sous ma cape, j’avais deux dagues, les deux dagues que mon frères m’avaient offertes. J’avais également comme à mon habitude ma lame rétractable à mon poignée gauche.

Je cherchais mon contact dans ses rues, j’avais une description précise et je savais où il devait se situer, mais il n’y était pas. J’avais quelques minutes et la consigne était clair il n’attendrait plus de cinq minutes mais reviendrait chaque jour durant trois jours. C’était son souhait par mesure de sécurité et de discrétion. Je l’avais donc loupé.
Je décidai de rebrousser chemin et de repasser le lendemain. Je coupai par le marché du quartier malfamé, cela faisait longtemps que je n’y avais pas mis les pieds. Lorsque j’y pénétrai ce fut le choc, il n’y avait plus de vit mais le soupçon et la malhonnêté puaient bien plus que par le passé. De riches et gras marchants contrastaient avec certains habillés de loques et qui semblaient avoir à vivre voir survivre.


Tu vas voir sale gamin comme on traite les petits voleurs qui dérobent du pain à un honnête commerçant.
Tu devras apprendre à le faire de l’autre main.


Je détournai instinctivement le regard pour voir la scène. Je n’en revenais pas un pauvre petit gamin qui ne devait pas avoir plus de 8 à 9 ans, il était tout maigrichons et avaient des vêtements en lambeaux. Il se tenait devait 3 personnes armées, enfin quand je disais 3 personnes il y avait un homme qui avait parlé, un orque à l’air agressive et assoiffé de sang et elfe noir. L’elfe noir avait saisi le gamin et lui faisait tendre son bras sur un tonneau alors que l’orque avait sortie son épée. Devant se trouvait également le marchant.
Je venais de comprendre, le môme avait volé un bout de pain et ces brutes qui devaient servir de milice allaient rendre une pseudo justice.

Je ne pouvais laisser faire ça d’une part en tant que personne ce n’était qu’un gamin et deuxièmement en tant qu’officiel je ne pouvais laisser faire une telle mascarade de justice.

Je saisi le bras de l’orgue afin qu’il n’abaisse pas son bras.


Ne croyez vous pas la peine disproportionnez pour un si petit larcin. Ce n’est qu’un gamin après tout.


L’homme qui semblait être leur chef, me répondit on n’aura dit un aboiement.

Tait toi l’étranger, on ne t’a pas demandé ton avis et tu ferais mieux de partir sinon tu risques de le regretter.

De ma main gauche je tendis quelques pièces d’argent, bien plus que le prix de ce pain. Et de ma main droite je saisi l’enfant que je pris à mon coup afin de lui permettre de s’échapper à ses malfrats.

Je leur tournai le dos et amena le petit à l’écart. Par-dessus mon épaule je leur dis :


Ce que j’ai laissé à ce marchant compense allégrement ce petit larcin sans grande conséquence.

Après avoir fait quelques pas, je reposai par terre afin de lui dire quelques mots puis le laisser partir. Car même s’il n’avait pas de quoi à manger, le vol n’était pas la solution et je savais de quoi je parlais en disant cela.


Pourquoi as-tu fais cela ?


Dernière édition par Adola le Mer 26 Aoû 2009 - 14:11, édité 1 fois

descriptionLe Marché Mal-Famé EmptyRe: Le Marché Mal-Famé

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Je venais juste de dire cela que le soleil qui tapait dans mon dos cessa, c’était étonnant pour une journée sans nuage. Dans le même instant, j’entendis le bruit d’une lame que l’on sort du fourreau et je sentis une odeur nauséabonde.
Instinctivement je me retournai en pivota sur mes talons. Je passai de la position accroupis à celle de demi-debout et le bras gauche tendu.
Un corps tomba, celui de l’orgue, et son épée avait quitté sa main. Il se tenait la gorge avec ses mains, il essayait désespérément de retenir son sang. Aucun son ne sortait de sa bouche malgré que sa bouche fût grand ouverte.
Personne autours de nous n’avait compris, à part moi bien sur, ce qui s’était passée. Mais les truands eux avaient saisi que je venais de tuer leur camarade. Seulement il ne comprenait pas car à leurs yeux je n’avais sorti aucune arme. En réalité pendant que je m’étais relevé j’avais fait sortit ma lame secrète du poignet gauche. Je l’avais alors poignardé à la gorge au niveau de la veine qui dessert le cerveau et de l’œsophage. J’avais par la suite rentré ma lame, c’était une arme discrète et efficace, l’arme idéal pour assassiner sans trop se montrer, je ne m’en séparais que rarement.

Je venais de me relever afin de voir comment ils allaient réagir. Ils paraissaient surpris, j’entendais autours de moi des « comment il a fait », « qu’est ce qui s’est passé »,…
Je retournai vers le gosse, maintenant avec ce qui s’était passé je ne pouvais pas le laisser ici.


Où vas-tu ? tu vas nous le payer par ta vie l’étranger.

Je me retournai afin de vers face à ce qui se révélait un ennemi. Ils ne me faisaient pas peur j’avais connu plus dangereux mais il fallait mieux toujours rester méfiant. Le chef, l’humain s’adressa alors sur un ton sec à l’elfe noir.

Règles lui son compte

L’elfe noir sortit alors son épée et se dirigea vers moi. Il ne courait pas, ses pas paraissaient même plutôt hésitants.

Je n’ai rien contre toi vieux frère mais si je peux te donner un conseil remets cette épée dans son fourreau et fait demi tour. Je ne doute pas de ton courage mais ton expérience n’a pas l’air grande pour lutter.

L’humain hurla alors à la foule et à son homme, sans doute pour lui donner du courage.


Regarder il fanfaronne et tu crois pouvoir le battre à main nu.

Je sortie alors mes deux dagues.

Dernière édition par Adola le Mer 26 Aoû 2009 - 14:09, édité 1 fois

descriptionLe Marché Mal-Famé EmptyRe: Le Marché Mal-Famé

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Mon ennemi passa à l’attaque il fonça tête baissée sur moi ce qui me laissa à penser qu’il n’avait jamais vraiment combattu, du moins pas une personne habitué à manier les armes.
Je contrais aussitôt son épée par la dague que j’avais dans ma main gauche. Il essayait de forcer sur ma lame, grossière erreur. Je n’avais presque rien à faire le combat était quasiment fini.
Je pivotai alors sur moi-même tout en gardant le contact de ma lame contre le sienne. Mais lorsque j’avais fait mon demi-tour sur moi-même je brisai ce lien. De ma dague gauche je tranchai les tendons de son genou droit. Cela le fit automatiquement tombé et il lâcha par la même son épée. Il était à ma merci car à genoux il ne pouvait rien faire.
Avec le sang froid qui était le mien depuis que j’étais devenu un professionnelle de l’assassina, je levai ma main droite afin d’achever mon ennemi comme il se devait. J’allais le frapper à la base du cou et de l’épaule pour y planter ma dague dans une artère.
Cependant je ne plantai pas la dague et l’arrêta à la base de la peau. J’avais déjà tué une personne devant l’enfant que je venais de sauver ce qui allait le hanter toute sa vie je le craignais, je ne voulais pas surcharger ce fardeau. De plus, ce jeune elfe noir n’avait peut être pas un mauvais fond et il n’allait plus vraiment pouvoir nuire car je venais de l’handicaper à vie, il boiterait. Je voyais la peur dans son regard.


Je te laisse une chance de changer de vie, tu es blessé mais ce n’est pas mortel.
Par contre si je te revois sur ma route alors ça sera la mort pour toi. Je crois que j’ai été clair.


Puis regarda le reste des personnes et en particulier leur chef.

Personne d’autres ne veut m’arrêter ou me tuer ?

Je rangeai mes lames car je voyais bien que personne n’était assez fou pour me combattre et surtout pas leur chef qui préférait se refugier derrière d’autres personnes.

Je me dirigeai vers ce dernier qui n’osait pas bougé. Il scrutait ses hommes à terres, l’orc mort et l’elfe noir qui gisait les mains sur son genou sanglant.

Maintenant je vais amener cet enfant avec moi et n’essayez pas de m’en empêcher et de tenter quoi que ce soit. De plus sa famille est sous ma protection, si quelque chose lui arrive alors le coupable devra en payer le prix.
De plus je vous conseille ardemment d’arrêter ce genre de procédé, si une personne commet un larcin c’est devant la justice de Kalamaï qu’il doit être livré et non pas au barbarisme et à la pseudo-justice que vous semblez vouloir faire régner ici. Nous ne sommes plus au temps d’Enguerrand, ce genre de procédé n’a plus court sous l’ère de l’Empereur Fardall et du Sénat.


Il essaya de me dire quelque chose pour ne pas perdre la face.


Nous agissons ici au nom de l’Ombre et de son chef alors vous devriez faire attention car c’est vous qui allez avoir des problèmes face à cette puissante institution

Je n’en croyais pas mes oreilles, était-il persuadé de qu’il disait ? Visiblement il ne savait pas à qui il avait à faire et mon visage n’était pas encore si connu que ça, ce qui ma fois ne me dérangeait nullement. Je préférais ne rien dire mais j’esquivai un sourire et lui tourna le dos.

Je pris l’enfant dans mes bras pour l’amener dans un endroit où je savais qu’il serait en sécurité. Je ne doutais pas qu’il y allait avoir des représailles car je venais de rentrer en combat face à ce qui ressemblait à un regroupement de brigands.

descriptionLe Marché Mal-Famé EmptyRe: Le Marché Mal-Famé

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Des hommes en armes circulaient dans le Quartier Mal Famé et plus occasionnellement dans la Cité Impériale. Ils recherchaient quelques choses ou quelqu’un. Enfin cela ne présageait jamais rien de bon de voir autant de brigands réuni. Personne n’osait les contredire ou aller contre eux car cela coutait cher. Ce groupe dirigeait d’une main de fer dans un gant d’acier tout le quartier, rançonnant, pillant, tuant, séquestrant, violant,… quiconque ne disait pas « oui ». Ils étaient sous les ordres d’un dénommé Rhor qui ne rigolait jamais. Il avait une énorme cicatrice sur le visage et ne quittait que rarement son quartier général implanté dans la taverne du Sanglier de Fer. Une fois de plus il avait envoyé ses sbires pour faire le travail. Là il s’agissait de recueillir des informations par rapport aux meurtres de son lieutenant. Le chef pensait que cela pouvait provenir du type qui avait fait parler de lui sur le marché et qui était venu jusque dans la taverne.

Deux hommes en armes véhiculaient sur le marché mal famé. Ils interrogeaient les passants et les commerçant afin de savoir si certains se rappelait d’un détail. Mais rien, aucune information de la matinée jusqu’au moment où un unijambiste s’approcha d’eux. Le pauvre bougre avait l’air mal en point habillé de guenilles il semblait être mendiant.


Hep, c’est vous qui cherchait le Seigneur de l’autre jour ?

Les brigands s’approchèrent de lui.

Oui pourquoi tu sais quelques choses.

J’ai la mémoire qui flanche par moment mais en général tout me revient quand j’ai un peu d’or dans les poches.

Et une lame d’acier dans le bide cela pourrait t’aider, dit l’un des brigands.

Laisse, voila quelques pièces et maintenant tu as intérêt à chanter aussi bien qu’un rossignol.
Le mendiant prit les pièces et le regard admiratif les rangea précieusement dans sa poche.

Bien je vais vous raconter alors.
Je n’ai pas toujours été un mendiant, avant j’étais soldat, un fantassin pour être exact. Lors de la quête du Nord j’ai été volontaire pour escorter le convoi la plus belle connerie de ma vie, ce jour là j’aurais mieux fait de me casser la main. J’ai suivi jusque dans le Nord mais ça se passait pas très bien nous avons eu de nombreux problèmes et des attaques. Dans l’une d’elle j’y ai perdu ma jambe et depuis rien ne va, j’ai du quitter l’armée et j’ai tout perdu ma rente.


On s’en fout on veut savoir qui était le type de l’autre jour.

J’y viens, j’y viens. Ce convoi a d’abord été dirigé par l’Empereur et arrivé à Perganon c’est un elfe noir qui a pris le relais. L’Empereur avait visiblement confiance en lui c’était un officiel écouté de tous ça se voyait mais il écoutait lui aussi toute personne quelque ce soit son rang.

Son nom on veut son nom, dit l’un des brigands ayant déjà sortie un lame pour faire accélérer.

C’est le Magistrat des Institutions Impériale, sa Seigneurie Adola.

Voila le nom était lancé, le pauvre bougre avait vendu une personne pour quelque pièce afin de pouvoir survivre quelque temps de plus.
Les deux homme se hâtèrent d’aller donner l’information à leur maitre.

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En même temps se faire passer pour la vrai Ombre et en profiter pour terroriser la population il ne fallait pas s’attendre à autre chose qu’une élimination en règle.

Yorg semblait approuver ma proposition. Cela permettrait également de voir comment cela se passait sur les lieux. Je savais que des agents étaient régulièrement présent dans le quartier afin d’éviter que des brigands ne reviennent.
Il avait des emplettes à faire, sans nul doute que si les marchands connaissaient son appartenance il aurait le droit à une belle réduction. Mais les membres de l’Ombre se devaient de rester discret et anonyme afin que d’être pleinement efficace.


Je vais vous accompagner sur les lieux du marché.

Là-dessus j’emboitai le pas et nous retrouvâmes rapidement sur les lieux. C’était plein de vie, les marchands avaient déballé leurs produits. Ici de la viande ou bien du poisson, de l’autre côté des fruits et légumes ou bien encore du fromage. Se côtoyait également des vendeurs de produits manufacturés tel que de la vaisselle, des vêtements et il y avait même un vieux marchands d’armes qui était revenu. J’avais appris qu’il avait préféré fuir les lieux pendant un temps car il se faisait dérobé sa marchandise. Cependant les agents de l’Ombre le surveillaient particulièrement car il pouvait être louche de vendre des armes dans un pareil endroit.

Je pense que vous allez trouver un artisan ici. Sinon il y a bien dans notre tanière un chargé des armes et armures qui je suis sûr saura apporter tout son savoir faire à la votre.

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Après avoir suivis Armori, Yorg entra dans le marché a proprement parlé. Il y avais des marchandises dans tous les coins et de toutes sortes. Certains marchants venaient de loin pour vendre leurs produits. Au premier coup d'oeil, Yorg ne vît aucun armurier. Puis, en avançant, il vît un vendeur d'arme d'un certain age.

-Bien le bonjour messire forgeron ! J'aurais une requête a vous soumettre.

-Bonjour monsieur, que puis-je faire pour vous ?

-Je possède une armure voyez vous mais je n'ai hélas pas le savoir faire pour l'entretenir comme il convient. Pouvez vous l'entretenir pour moi ?

Le marchand réfléchit un moment et dit:

-Oui, cela est dans mes cordes. Quand puis-je commencer mon travail ?

Yorg sortit le sac de son dos et lui tendit.


-Tenez mon brave. Fètes y très attention. si rien ne lui arrive et que je suis satisfait de votre travail, je vous payerai grassement.

Le marchand avisa ensuite les Dagues de l'Assassin.


-Vos dagues sont absolument splendides monseigneur ! Dois-je les entretenir ?

Un large sourire éclaira le visage de l'assassin.


-Non mon ami, je suis le seul a toucher ses dagues et je les entretiens moi même. Toutefois, merci du compliment.


Puis Yorg se tourna vers Armori qui n'avais rien perdu de cet échange et lui dit:

-Ou allons nous maintenant ? Pour ma part, j'ai fini mes emplettes et le marchand aura fini son travail en fin d'après midi.

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Yorg avait trouvé la personne qui lui fallait pour restaurer son armure mais il fallait quelque temps. Visiblement elle avait du mal ou bien elle était mal entretenue. Je n’en savais rien car moi-même je n’en possédai pas. Les seules choses que je possédais hormis quelques vêtements et livres étaient mon épée offertes par Adola ainsi qu’un poignard. Je les portais d’ailleurs en ce moment même.

J’entendis une voix qui provenait de par derrière et qui nous interpella. Je me retournai


Bien le bonjour Mes Seigneurs

Approchez approchez ! J’ai de la belle marchandise pour vous digne des puissants de Kalamaï mais aujourd’hui je vous les propose.


Cela éveilla ma curiosité.
Celui qui s’adressait à nous était un marchand ayant des rondeurs, il était de taille moyenne. Ses habits paraissaient d’un bon tailleur mais ne faisait pas non plus dans le luxe. Il avait l’air malicieux et avait la langue bien pendu.
Il s’approcha de nous et je pus sentir une haleine fétide.


J’ai pour vous des esclaves provenant de tout Kalamaï et de différentes races. Des humains pour vous servir, des orques pour de la rude labeur ou bien des charmantes elfes pour disons vous divertir.
Un coup d’œil n’engage à rien. Regardez ! Allez y ! Mes prix sont plus que raisonnable et ce genre de marchandise de passe pas tout les jours.


Effectivement cela ne passait pas tous les jours. Je n’avais d’ailleurs pas vu de marchands d’esclaves depuis fort longtemps. Il ne devait pas venir chaque jour et surtout l’ignorant ne devait pas savoir que ça avait changé de dirigeant ici.

Je décida de jouer dans son jeu.


Et bien vous n’avez pas peur de vendre ça ici. Effectivement ils ont l’air robuste et elles charmantes mais je croyais que ce type de vente était très encadré voir même interdite dans certaine ville comme ici. Vous devez sûrement connaitre du beau monde pour avoir une telle dérogation.

Oui c’est vrai les dirigeants du quartier encourage le commerce.


Quelle futilité pensais-je..
Je jeta un coup d’œil à Yorg afin de voir ce qu’il en pensais.

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Juste après avoir parler à l'armurier, Armori et Yorg se firent aborder par un marchand d'esclave. Yorg n'aimais pas du tout se genre de commerce et, il y a quelque temps il aurais déjà tuer se bandit. Heureusement pour ce dernier, Yorg avais apprit la maitrise du corps au cours de sa longue absence.

Armori se mit à joué au jeu de marchand et à se faire passer pour un client. Pendant qu'Armori discuté avec le marchand d'esclave, Yorg alla les étudier de plus prêt. C'est alors qu'il vit un spectacle qui le désola.

En effet, les Elfes étaient charmantes et les orques robustes... mais derrière les vivants se trouvés allongés des morts !


Yorg leva un regard remplit de haine vers Armori qui vît surement se regard, seulement le marchand étant de dos il ne le vît guère.

Sur les lèvres de Yorg se formèrent les mots suivants a l'attention d'Armori :


-Je suis désolé

Yorg approcha discrètement du marchand, il jeta un rapide coup d'œil autours de lui et ne vît personne. Il sortit silencieusement une de ses dagues, mit la main sur la bouche du marchant se qui étouffa un cri de surprise et il lui trancha la gorge.

Puis il se tourna vers Armori:


-Je suis vraiment désolé mon ami mais je ne pouvais pas cautionner cela... allez voir de vous même.


Et il pointa les chariots, les larmes roulants sur ses joues...

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Yorg avait agi avant même que je n’eus le temps de réagir. Il avait tout bonnement tranché la gorge sans autre forme de procès.

Non je ne vous en veux pas même si…

Un homme sorti alors d’un coin et s’avança vers nous. Visiblement il n’avait pas encore vu le cadavre qui avait roulé dans un coin.
Cela devait être le patron ou au moins un associé. Il était un peu mieux habillé mais plus petit que son confrère et légèrement plus enveloppé. Il ne portait aucun bijou hormis une chevalière.


Alors Mes Seigneurs vous venez admirer nos derniers modèles.
Je peux vous faire des tarifs très intéressant pour vous.


Je vis Yorg qui semblait avoir du mal à se contenir. Je lui fis signe de ne pas intervenir.
Je me retournai alors vers ce pseudo marchand.


Oui en effet nous sommes intéressés pour la totalité.


Je le fis faire des yeux ronds. Il ne devait pas entendre ça tous les jours.

La... la totalité.
Je vois que vous êtes de fins connaisseurs de qualités.
Le tout fait 15 000 pièces d’or mais pour vous je le fais à 13 000 ! c’est un très bon prix.

Je regarda cette personne

Humm en effet il y a un petit effort de fait.
Je crois que vous allez pouvoir libérer toutes ces personnes.


Vous avez fait le bon choix !


Mais n’attendez pas une pièce de cuivre pour cela.
Nous détestons tous deux ce genre de pratique. Qui plus ai-je dois vous rappeler que selon la Charte des Droits et Libertés de Kalamaï et en particulier l’article 1 « Chaque personne naît et meurt libre et égaux en droit et en devoir ; Toutes les races et classes demeurent égale les unes vis-à-vis des autres. »

En conséquence vous êtes hors la loi et donc notre proposition de libérer de suite ces pauvres bougres et de vous laisser libre est tout à fait honnête.
Demandez donc à mon ami ici présent ce qui est arrivé à votre associé.


L’esclavagiste était devenu rouge de colère. Il ne semblait pas avoir peur.


Co Comment vous n’avez pas le droit ! Vous ne savez pas qui je suis !
J’ai des relations moi !
Disparaissez !

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Yorg était encore sous le coup de la colère provoqué par les esclaves morts dans le chariot quand un autre marchand approcha. Il s'identifia comme un associer de ma victime. J'eu juste le temps de faire rouler le cadavre hors de portée de vue du nouveaux venu. Le marchand commença a parler des esclaves et la colère remonta en moi. J'allai me jeter sur lui mais un geste de mon ami m'en dissuada. Toujours dans le dos du marchand, je rengaina ma dague et j'attendis et retrait, hors de vue de se marchand.
Quand Armori dit au marchand :


- " Demandez donc à mon ami ici présent ce qui est
arrivé à votre associé. "

L'homme devint rouge de colère. Son ton devint menaçant et il répliqua :


- "
Co Comment vous n’avez pas le droit ! Vous ne
savez pas qui je suis !
J’ai des relations moi !
Disparaissez ! "

A se moment la Yorg décida d'intervenir une seconde fois. Il marcha silencieusement dans le dos du marchand et lui mit un violent coup de pied sur l'arrière du genoux se qui fit tomber le marchand a genoux. Yorg mit ensuite sa dague sous la gorge du marchand et lui murmura a l'oreille:

- Je vous conseille de ne pas bouger... Au moindre geste de votre part, vous rejoindrez votre associer... Il lui montra le cadavre du premier marchand. Maintenant, répondez a mon ami avec franchise.... Et n'oubliez jamais que si l'homme en face de vous vous laisse la vie, vous ne serais plus jamais le bienvenu dans cette citée. Suis-je clair ?

L'homme hocha doucement la tête.

- Allez y mon ami, il répondra à toutes vos questions.

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Yorg avait essayé de lui faire peur mais ce petit impertinent ne semblait pas se rendre compte dans quel guêpier il s’était mis.

De quoi devrions nous donc avoir peur ?
Vous avez peut vous Yorg? Non bien sûr une personne tel que vous ne connait pas vraiment la peur!


Il répondit d’une voix hésitante et tremblante.

Vous vous croyez fort. Mais ce quartier n’est pas le votre !
Des personnes bien intentionnées et puissantes veillent à ce que les bons commerçants comme moi puissent continuer à prospérer. A votre place je fuirai !


Et bien justement vous n’êtes pas à notre place !

Il s’agit de l’Ombre !

Ha Ha Ha Ha Ha !
Elle est bien bonne celle-là vous entendez mon ami.
Je pense qu’il a loupé sa vocation il aurait mieux fait d’être troubadour.


Je m’approchai de son oreille pour lui chuchoter quelques mots, je savais que Yorg m’entendrait grâce à son ouï d’elfe.

Eux ce n’était pas l’Ombre c’est pour cela qu’ils sont tous morts ou emprisonnées dans des geôles secrètes. Ils se sont fait passer pour ce qu’ils ne sont pas !
Par contre si vous voulez parler et vous plaindre à un vrai membre de l’Ombre il y en a qui est derrière vous ! Moi je n’en fais pas parti mais je suis le disciple du vrai dirigeant de l’Ombre.


Je repris une voix normale :

Tu as compris ?
Donc je l’ai dis toutes ces personnes tu vas de suite les libérer.


Non
Si mes protecteurs ne peuvent plus agir il y a des lois pour défendre le commerce !


A oui, tu veux peut être te plaindre à un officiel ? Mais tu as enfreins une règle morale en exploitant ton prochain.
Mais tu as raison nous sommes injustes.


J’arracha la bourse de pièces d’or à sa ceinture.

Oui toute or va être redistribué à tes victimes et ton or va être saisi.

Vous n’avez pas l’autorité pour cela.

Bon d’accord on va t’enfermer dans une geôle et te présenter au Magistrat des Institutions Impériales mais l’attente peu être longue. Enfin le résultat sera le même car il n’aime pas le bête de votre genre c’est d’ailleurs lui qui a créer et fais voter la Charte des Droits et Libertés.
Donc à toi de choisir.


J'avais pour l'instant rester respectueux dans le sens où je n'avais pas fais valser quelques unes de ses molaires mais cela me démangeait de plus en plus.

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Armori parla un long moment avec l'homme qui refuser de comprendre sa situation désastreuse. Le marchand proféra quelques menaces en impliquant La Corporation De L'ombre. Quand Armori expliqua les faits réels au marchand, Yorg ne put s'empêcher de compléter ses dires :


- " Eux ce n'était pas l'ombre [...] Par contre si vous voulez vous plaindre a un vrai membre de l'ombre, il y en a un qui est derrière vous ! "

Yorg ajouta:

- Vos " protecteurs " si l'on peut les appeler comme sa se sont fait massacrer par le seigneur Adola et quelques membres de l'ombre seulement... Les combats était à deux contre un en votre faveur... Avez vous l'intention d'affronter une des plus grandes lames de cet Ordre en combat singulier ?

L'homme hocha négativement la tête.


- C'est un excellent choix en effet. Maintenant arrêtez de manquer de respect a mon ami ou je vous promet une mort longue et douloureuse... Et, pour votre information personnelle, j'ai était entraîner pour ne jamais connaitre la peur tout comme mon ami ici présent. Cessez donc vos menaces inutiles.

L'homme avais changer de couleurs pendant cette petite parenthèse se qui ne manqua pas d'échappé à Armori.

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Yorg avait parlé avec beaucoup de force, maintenant l’esclavagiste savait à qui il avait à faire. Je décida d’en rajouter une couche.

A vrai dire sa Seigneurie Adola en a abattu quelques uns seul puis pour le final il a fait appel à un membre de notre organisation ainsi qu’un agent.
Maintenant le quartier est sous notre contrôle. Il est dirigé pour le peuple de Kalamaï ainsi qu’en faveur de notre organisation.


Puis je me tourna vers ce pseudo marchant. Je sortie une dague que je pointa en direction du coup de la potentiel victime.

Maintenant que tu sais tout ça, tu as dû comprendre que nous ne rigolions pas et si tu es encore en vie c’est que je le veux bien. Et aussi que mon maitre est quelqu’un de bon il a la réputation d’être un fin diplomate autant qu’il peut se montrer sans merci quand la situation l’exige, c’est pour cela qu’il est tout autant craint que respecter de la part de ses ennemis que de ses amis.

Maintenant je te laisse le choix sois tu tente ta chance en plaidant devant cette personne soit tu nous laisses tout ton or et tu disparais. Alors que décides-tu ?


Il semblait tirailler mais pourtant il savait bien en son âme et conscience qu’il n’avait pas vraiment le choix.
Il détacha une bourse d’or qui était à sa ceinture et la jeta devant lui en même temps qu’un trousseau de clés.


Bien je vois que tu es raisonnable.
Maintenant tu vas pouvoir partir et si je te recroise à pratiquer une activité une amorale réprouve alors ça sera la fin pour toi.
J’ai été clair !

Maintenant déguerpie et que je ne te revois pas dans cette ville.

L’homme hésitait, afin de le pousser un peu je lui donna un bon coup de pied dans son derrière. Après cela il ne demanda par l’argent de son reste.
Je rangea ma dague et m’approcha vers le groupe d’esclave. C’est alors que je m’aperçu que tout ce remue ménage avait arrêté des passants qui nous regardaient. Mais je n’en avais que faire car pour moi ce que nous faisions était juste.

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Après le renvoi de l'homme par Armori, beaucoup trop de monde se massa autours d'eux.

-Ceci est une cruelle injustice. Regardez tous ses gens dans les cages ! L'Ordre a donc mit fin a ce commerce dans cette ville. Reprenez vos activités braves gens, il n'y a plus rien a voir ici...


Pendant ce temps, Armori sortit les prisonniers de leurs cages. Yorg vida la bourse du marchand et distribua tout son contenu aux anciens esclaves.


L'armurier s'approcha alors et dit à l'assassin
:

- Tenez seigneur voici votre armure!

-Déjà ?

- J'ai fait de cette armure une priorité quand j'ai vu la facture de cette magnifique armure. Vous avez bien de la chance de posséder cela, il n'en existe pas beaucoup dans se monde...

-Je vous en remercie noble marchand. Combien je vous doit ?

- Après le sauvetage de ses gens dans les cages ? Vous ne me devez absolument rien!

- Vous ètes sur ?

-Absolument. repassez quand vous le voudrez.

Puis ils partit.
Yorg se tourna vers Armori :


- Cet endroit a bien changé !

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L’esclavagiste était parti et les esclaves libérés n’en revenaient pas de ce changement de situation comme une bonne partie de la population présente.
Yorg en avait même tiré un avantage financier, l’armurier lui avait fait cadeau de la réparation.


Oui effectivement mon ami les lieux ont bien changé et en bien, enfin selon moi. Par contre il y a toujours quelques sursauts de personnes qui n’avaient pas mis les pieds ici depuis quelques lunes et qui se croient en terrain conquis comme les deux personnages que nous avons vu.
Mais à ce que j’ai pu voir ces quelques lunes d’absence n’ont en rien diminué vos capacités.

Il faut aussi dire qu’on a infiltré le quartier et avons repris le quartier général des brigands à notre compte. Bon j’avoue il se situe dans une taverne et tout n’est pas si beau que ça. Nous avons une maison close, un tripot de jeu et quelques reventes d’objets douteux,…
Enfin bon on n’est pas non plus des enfants de cœur.

Si vous souhaitez on peut d’ailleurs s’y rendre dans ce lieu de contrôle du quartier.


Mais à cet instant un oiseau vint se poser devant moi, il était rare que je reçoive des missives car je n'avais pas de famille ni d'ami. les seuls personnes que je côtoyais étaient celle de l'Ombre ainsi que du Royaume des Plaines Perdues.
Je déplia le parchemin


Spoiler :


Le message était court, rien ne laissait paraitre de qu'il pouvait s'agir, peut etre un nouveau membre.

Et bien Yorg je crois que je ne vais pas pouvoir me rendre à la taverne, je dois regagner de suite l'Ombre, vous pouvez m'accompagner si vous le désirez.

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Yorg suivit donc son ami vers la corporation ou un mystérieux visiteur attendait dans le hall.
Il revêtit donc son armure tout fraichement huilée et lustrée par un très honorable marchand.


-Naturellement que je vous suis !

Puis Yorg suivis son ami à travers des sentiers cachés jusqu'au hall de la corporation.

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Je venais d’arriver au petit matin au sein de la Corporation. Je lus le livre de bord, les affaires courantes avaient été traitées. Le terroriste, qui avait attenté à la vie de Grand Prêtre, était toujours dans nos geôles mais ils attendaient que je revienne pour passer véritablement à l’action. Deux agents étaient en mission d’extraction à la prison d’Occien Perlat pour récupérer un des nôtres, un bleu.
Cependant je vis qu’un contra n’avait pas pu être honoré. Il s’agissait d’un petit arnaqueur demandé par les Arcanes qui avaient bien payer pour ça. La seule condition était un temps qui était maintenant juste écoulé. Je n’en revenais pas quelque chose à la porté de n’importe lequel avait été laissé. Mais il n’y avait pas beaucoup d’agent présent en ce lieu. Tous avaient été mobilisés au vu des agitations actuelles.

Je me rendis donc dans ma chambre jouxtant le bureau et me changea pour me rendre dans le quartier mal famé. La phase d’approche avait tout de même était réalisé par des agents de l’Ombre. Repérage du lieu et de la cible, son identité et ses habitudes. Il ne restait plus qu’à agir ce qui signifiait qu’il allait bientôt passer de ce monde à l’autre.
Je demanda à un agent de m’accompagner pour qu’il puisse conduire une des diligence de l’Ombre banaliser mais dont on ne voyais rien à l’intérieur.

Rapidement je fus sur les lieux et repéra l’échoppe qui m’intéressait. Il était encore tôt et les boutiques n’étaient pas encore ouvertes.
Il fallait que j’agisse avant que le quartier ne devienne plein de vie. Je contournai pour me retrouver à l’arrière du bâtiment. Je crochetai rapidement la serrure ce qui me permit de pénétrer dans l’arrière boutique.
On m’avait indiqué qu’il dormait dans l’appartement du dessus.
Afin de faire venir vers moi plus rapidement ma cible et l’attirer où je désirais je fis tomber un objet ce qui fit du bruit.
Rapidement j’entendis des pas se diriger vers moi. Je n’avais rien allumé car comme tous ceux de ma race j’avais la faculté de voir dans la nuit correctement. Je m’étais tapi dans l’ombre en l’attendant. L’homme avait un chandelier et je pus rapidement l’observer il était assez grand et mince, elfe noir avec une peau grisâtre. Il ressemblait à mon client.
Il était devant moi mais de dos ne me voyant pas. Je demandai


Vous êtes bien Rasful Jord ?
J’ai un message de la plus haute importance à transmette, est ce bien vous.


L’elfe noir pâlit et se retourna rapidement. D’une voix tremblante il répondit.

Oui, qu’est ce…

Mais avant même qu’il put finit sa phrase j’avais sortie une très fine corde et je passa derrière lui. Je commençai à exercer un garrot. Instinctivement il porta les mains à con coup comme pour desserrer l’emprise mais c’était peine perdu.


Tu as vendu de faux artefacts qui ont provoqué des morts. Tu as contrarié de puissants mages qui ont demandé ta vie en vengeance. Tu vas donc rejoindre Nucter.
Maintenant ne résiste pas, tu ne fait que prolongé ton agonie.


Mais rapidement le dernier souffle de vie était partie de mon client. Son corps inerte retomba et je l’accompagnai afin qu’il ne provoque pas de bruit en chutant.
J’ouvris la porte et fis signe à l’agent de venir m’aider afin de charger ce colis dans la diligence ce qu’il fit.

J’entendis derrière moi un souffle rapide. Je saisi une dague et me retourna il s’agissait d’une femme. Je n’étais pas au courant qu’il vivait en couple mais cela n’aurait pas changé son sort. L’agent sortit également son arme et fit deux pas en direction de la femme petrifiée.
Je le retins et me dirigea vers elle.


Votre homme a entrainé la mort de plusieurs personnes en les arnaquant et vendant des produits faux. Voila ce que ça lui a coûté. Maintenant vous allez fermer la boutique et quitter la ville sinon vous serez sa complice.
Vous n’avez rien vu de ce qui c’est passé ici, sinon on vous retrouvera et…


J’étais confiant car elle ne pourrait jamais nous identifié, nous étions masqué et vêtu de manière anonyme.
Cependant nous ne trainâmes pas. Mon coéquipier monta à l’avant de l’attelage et moi dans la diligence et partîmes au galop afin de livrer notre client comme le contrat le stipulait.

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Après qu'elle c'est reposer, Hinnata alla voir Le Marché qu'on prétend être mal famé.

Ce Marché, vendait des produit illégaux, illicite, des armes pour inciter aux habitant de s'entre-tué, il y avait de tout, et surtout c'est un marcher qu'on ne peut plus ou moins pas loupé. 
La famine et la pauvreté envahisse l'allée.


Hinnata alla voir le marchant d'armes, en demandant si il avait pas d’épée, ancienne ou neuve.
L'épée qu'il présenta était ancienne et avais servis à un grand général.

Le marchant la vendait en hors de prix.
Alors elle alla voir, le marchant de fruit et légume pour voir si c'est de bonne qualité... 

Elle souffla un grand coup, en disant:
- Pourquoi c'est toujours pareille les fruit et légume sont pas encore mure!
Mais je vous les achètes combien pour 1 kg par fruit et légume?

Le vendeur en ce frottant les mains lui disait un prix malhonnête car encore elle n'avait pas d'argent.
 Hinnata mis un pain au vendeur, en le menacent de ne pas mentir sur le vrai prix.
 Elle réussie a faire baisser le prix et a pouvoir les acheter. Elle les donna au gens qui sont dans le besoins. Et oublia l'épée qu'elle voulue acheté, en pensant que le mieux et de s'occuper des gens dans le besoin et d'oublier un peu ces désire.

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