Le Marché Central

En plein coeur de la ville impériale a coté de la grande place se situe le principal marché de Kalamai, ici vous pouvez vous offrir tout ce que vous voulez de légal pour des prix plus que raisonnables, des épices, des vines du vénopole, des robes de velours, des meubles en chênes, des couverts d'argent tout cela n'attend que d'alléger quelqúe peu votre bourse. Les marchands sont polis et civilisés, les dames bien habillés et les enfants sages, tout n'est qu'ordres et bonne volonté, étroitement surveillé par la police impériale les étalages ne connaissent pas le vol et les affaires sont toujours florissantes. Si vous venez dans la ville impériale venez y faire un tour, qui sait ce que vous pourrez y trouver.

Regit arriva dans le marché central, tout les objets et toute cette nourriture le faisait saliver. Il regardait partout comme un enfant dans son parc à jouets. Il s'arrêta à un endroit qui sentait vraiment bon. Adorateur de pâtisserie, il s'arrêta devant un stand plein de pain et divers gâteaux. Il ne pu s'empêcher d'acheter une sorte éclair au chocolat qui avait l'air trés alléchant. Il le mangea en pensant tout haut.

- C'est dommage, il faut que je la vois, comment pourrais-je la remercier...

Il observa les horizons comme un chasseur, tous ses sens en alerte. Il murmurait...

- l'ancienne ...
- Vous cherchez quelqu'un ? Celle qui vendait les pains et pâtisserie lui adressa la parole.
- Une ancienne a acheté du pain ici, il y a peu ...
- C'est surement elle !! Elle est partie par où ??
La marchande lui montra une direction.

- Je vous remercie

Regit courra dans cette direction.

Oengus arrivait de ses terres en Vénopole, ses hommes avait trouvé un objet inconnu durant leur exploration. Il avait donc décidé de venir sur le marché central afin d'en soutirer quelques pièces d'or.

Il vit l'échoppe d'un gnome qui était ouverte, il s'y dirigea.

Salutation cher marchand, je crois avoir quelque chose qui pourrait vous intéresser. Cette petite statuette as été trouvé dans une vieille caverne par mes hommes. Seriez-vous prêt à marchander afin que nous soyons tous deux profitable ?

Oengus sorti la statuette et la présenta au gnome sans la lâcher.

Mais suis-je bête, je manque de politesse. Je me présente, mon nom est Oengus d'Héraldie.

Dernière édition par le Mar 1 Mai 2007 - 1:48, édité 1 fois

Kimri arpentait les rangées au milieu des centaines de marchands. Elle était à la recherche de certains objets de pouvoir et d’Amphise. Il était temps que les rénovations de la Maison des Guérisseurs commencent. Son plus grand projet de la place prendrait du temps à réaliser, donc elle devrait commencer maintenant.

Ses sacs étaient en ce moment vides, mais elle voyait déjà certains objets recherchés. Des plantes, des arbres, des graines, de la terre… Tant de chose a amener, il lui faudrait donc plusieurs voyages jusqu’ici. Les fleurs donnent un air harmonieux et calme à un endroit, autrement dit, il en fallait pour sa place. Des arbres et des arbustes pour rajouter de l’ombre et du vert aux pierres blanches aussi il lui faudrait. Tant de choses à faire…

Arithmeas dévisageant Oengus légèrement pour s'assurer que cet homme était bien la et non une illusion comme plusieurs membres de sa race le peuvent.

Vous permettez que je vérifie l'authenticité de votre pièce?

Ce faisant il sortait sa trousse d'outil.

Après tout il serait inconvenant pour vous et pour moi que cette pièce soit un faux, non?

Dernière édition par le Lun 30 Avr 2007 - 5:03, édité 1 fois

Kimri vit un Elfe la dévisager tout en parlant avec un marchand Gnome qui était sûrement monté sur un tabouret ou un banc. Elle décida de s’approcher un peu des deux sans toutefois démontrer un empressement. Après tout, c’est difficile de négocier si le vendeur voir que la cliente est pressée. Kimri prit donc le temps de regarder les échoppes entre elle et l’autre Elfe qui avait piqué sa curiosité. En chemin, elle réussi à se procurer des petites babioles, marchandées un peu trop rapidement. Elle ne voudrait pas que ses cibles disparaissent parce qu’elle prenait trop de temps.

Bonjour à vous cousin Gnome, salua-t-elle gaiement avec une petite courbette. Bonjour à vous frère Elfe. Une autre courbette, puis elle regarda à nouveau le marchand la vois émerveillée. Vous avez là une intéressante collection!

Kimri regarda les objets, la plupart magiques, avec des yeux brillant de violet. Il y avait pas mal de composants de sorts aussi. Elle commença à se choisir des items, tout en entamant la discussion.

Je m’appelle Kimri des Toits Infinis, Grande Prêtresse Guérisseuse, maîtresse la Maison des Guérisseurs de la Ville Impériale, déclara-t-elle tout en examinant une pierre runique. Vous avez là des objets d’une telle rareté, maître… Elle recula un peu, le rouge aux joues, pour regarder l’enseigne de l’échoppe. Ah! Maître Arithméas. Elle fit une nouvelle courbette. Et vous, frère Elfe. Puis-je savoir votre nom?

Kimri regarda l'Elfe qui a sû reconnaître le symbole de son Dieu. Ce n'était pas rare qu'un Elfe choisisse la voie des Grands Chemins, mais elle ne s'était pas trop attendu à une telle remarque.

Enchantée Oengus d'Héraldie. Et bien oui, je suis une servante de Folaniss. Ne vous inquiétez pas, les prêtres de tous les dieux servent sous le toit des guérisseurs, unis par la volonté d'aider. Les routes m'ont menées à un lieu sédentaire où je peux tout de même aider les voyageurs cherchant soins et repos. Je suppose par votre remarque que vous aussi suivez les Grands Chemins?

Oengus était heureux d'apprendre quelle voie Kimri a choisi, cette rencontre était plus qu'étonnante.

En effet, je porte allégeance à Folaniss. Étant régulièrement sur les routes de Kalamaï, ma foi en lui m'est bien utile.

Oengus tourna la tête vers le gnome puis vers Kimri. Pardonnez moi chère soeur, je ferais bien d'avoir à l'oeil ce marchand. S'appuyant sur la table de l'échoppe du gnome, il dit : Alors cher marchand, votre inspection donne t'elle des résultats ? J'aimerais bien avoir quelques détails, vous semblez de plus en plus souriant à mesure que vous examiner ma statuette.

Ayant fini les tests il releva la tête appercevant une elfe qui n'y était pas la minute d'avant. Il se présenta donc:

Maître Arithmeas pourvoyeur d'objets exotiques et rares. Si un quelquonque objet vous intéresse faite moi signe. Se tournant vers Oengus, vous avez la une statuette intrigante j'aimerais m'en porter aquéreur pour pouvoir l'étudier plus longtemps et plus librement. Je vous en offre donc 50,000 pieces d'or une somme généreuse pour une telle piece vous en conviendrez.

Plusieurs objets magiques avaient été mis de côté par l'Elfe. La pierre runique qu'elle avait tenu s'y retrouvait en compagnie de semblables reliques. C'était une partie de ce qu'il lui faudrait pour le grand sort qu'elle avait en tête. Dans sa tête, elle établit une liste des autres choses qu'elle aurait besoin pour la création du portail.

Kimri rajouta à la pile une statue de bois représentant une dryade ailée faisant corps avec un arbre bourgeonnant et vivant; représentation d'une légende de Maon. Cette dernière trouvaille était enchantée et pouvait émettre les mélodies d'une clairière paisible avec un ruisseau clapotant et divers oiseaux chantant avec un mélange de feuilles et de brise dans le fond.

Elle s'apprêta à interrompre Oengus et Arithmeas, quand ses oreilles pointues perçurent la requête de l'autre Elfe. Le rouge lui monta aux joues et elle fit semblant de ne rien entendre. Il était par contre clair qu'elle regardait la dryade avec trop d'attention. Puis, elle regarda le gnome et l'interrogea en montrant sa pile d'un bras :

Maître Arithmeas, j'ai besoin de ces objets-ci. Et de quelques autres pierres runiques et composants de sorts aussi, mais que je n'ai pas vu ici.

Oengus mon ami voici la lettre de change qui permettra a vos hommes de récolter la fortune qui vous est du ils n'auront qu'a passer par mes terres. Bon voyage et que Folaniss guide vos pas.

Et bien dame Kimri, les objets que vous demandez seront déduit de votre crédit qu'Oengus vous a offert. Je me débrouillerai pour tenter de trouver les autres objets dont vous avez besoin, mais en échange comme vous voyager les routes souvent peut-être pourriez vous apporter une missive a mes parents qui sont en Amphise?

Kimri, de plus en plus rouge, remercia Oengus qui s’était déjà éloigné dans la masse du marché. Il l’avait sûrement entendu, car c’était tout de même un Elfe. Aussi, elle ne se répéta pas. Après un long moment, elle regarda le marchand en face. Sa question avait fait surgir mille pensées dans sa tête…

Maître Arithmeas, je vous remercie de vos services. Cependant, même si je sers bien le dieu des Grands Chemins, les circonstances ont fait que j’ai une Maison des Guérisseurs à gérer et je suis donc plus sédentaire… Par contre, votre offre est bien alléchante; il y a bien longtemps que je n’ai pas dormi sous les Toits Infinis ni vu la forêt de Maon. Il faudra que je voie si je puis me libérer quelques temps pour entreprendre un tel voyage.

Ses dernières paroles étaient rêveuses et ses yeux regardaient maintenant au loin, vers les possibilités, vers le Grand Chêne.

-Rien, rien et toujours rien!!

Après avoir parcouru tous les étalages, Sanya n'avait toujours pas réussi à mettre la main sur une @#$%&* de carte de Scitopole. C'est pourtant simple comme bonjour!! Frustrée d'avoir perdu son temps, elle s'en fut d'un pas rapide vers le marché noir. Ça lui couterait plus cher mais elle n'avait pas trop le choix.

Kimri avait quitté l'échoppe d'Arithméas après lui avoir dit qu'il pourrait la rejoindre à la Maison des Guérisseurs.

Revenu sur ses pas, Sanya arpentait le marché central de long en large. Elle si pressée tout à l'heure semblait préoccupée. Elle n'arrivait pas à se débarasser du détail bénin qui pourtant la travaillait. Soucieuse, elle continua à marcher.

Surprise, Sanya ne répondit pas tout de suite et examina le dénomé Raziel avant de répondre.

-Vous êtes le fils du Seigneur Kain? Comment se fait-il qu'il soit tombé dans le coma? Et comment m'avez-vous retrouvé?

*Je suis repérable à ce point?*

Elle parcouru le marché du regard.

-Allons ailleur voulez-vous? Je crois qu'une discussion s'impose.