La cité Trimaya

Située aus pieds des montagnes et sur les bords de l'ocean se dresse la cité de Trimaya, domaine de la matriarche Shaka.
Appuyée contre le flanc de la montagne elle semble être le prolongement des rochers sur lesquels elle se dresse.
Baignée par le soleil tout au long de la journée, dont les rayons semblent embrassé les tours, Trimaya vit tranquillement au rythme des saisons.
Elle revéti un épais manteau blanc en hiver et ses tours glacées scintillent sous le pâle soleil, ses lacs gelés donne vie à de nouvelles formes de jeux, les cheminées fument, le tout saupoudré de flocons.
Et lorsque le soleil revient rechauffer les rues, ont voit fleurir les maisons, les branches d'arbre plient sous le poid de leurs fruits et c'est un enchantement de couleurs et de senteurs, partout les habitant vont dans l'allegresse, ne se souciant que de leurs occupations de la journée.

Un peu plus loin se trouve le port, une des principale ressources de la cité est la pêche, veritable ville au pied de la ville le port habrite les maisons des pecheurs et le chantier naval.
Pontons et maisons de bois, bercés par le rythme des vagues, sont protégés par un fort situé sur une ile à l'entrée du port.
Expert en navigation, les trimaya connaisse les voies permettant de ne pas ecraser son bateau sur les recifs ou de se poser sur les hauts fonds.

Les étandards violets claquents au vent, la ville est agité car la martriarche va bientot revenir...

Sujet: Re: La cité Trimaya Mer 14 Oct 2009 - 15:39

Callisto arriva à Trimaya, les joues rosies par le vent et la robe poussiéreuse de tant de distance parcourue.
Elle menait son cheval au pas dans cette cité inconnue, sans savoir quoi chercher...

Elle avait entendu dire qu'ici était le meilleur moyen de retrouver Shaka.

Descendant de monture, elle abaissa sa cape, laissant apparaître ses boucles flamboyantes et regarda le monde s'affairer autour d'elle.

Portée par l'odeur de l'air iodé, elle descendit jusqu'au port, son cheval la suivant comme s'ils ne faisaient qu'un.

Callisto trouva un endroit isolé et s'y installa pour reprendre un peu de force. Levant une main au dessus de l'eau, elle y fit monter une gerbe douce qui vint lui caresser la main. Fermant les yeux, elle ressentait une grande quiétude en cet endroit, et oubliant le temps, elle resta là, à jouer un peu, faisant passer sa sphère liquide d'une main à l'autre,ses yeux d'émeraude prenant peu à peu la couleur de l'eau...

Au bout d'un moment, ressantant la lassitude de sa monture, elle se releva et entrepris de se diriger au coeur de la cité, à la recherche de quelque pitance et d'un endroit pour panser son compagnon équin.