Le Monde de Kalamaï
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A Eryope, en fait, rien de particulier n’avait été prévu. La princesse Méhe recevrait les diplomates de Kalamai comme n’importe quel autre visiteur : souverains, palatins, diplomates ou simples citoyens, tous seraient reçus de la même façon. Certes, la tension serait un plus importante quand s’ouvriraient les négociations mais aucune attention particulière n’avait été prévue.

Le convoi arriva enfin aux portes de la petite bourgade. A l’extérieur, des gardes étaient chargés d’accueillir les visiteurs. O’Mac descendit de cheval.
« Nous voici à Eryope. Madame, acceptez ma main pour vous aider à descendre de votre monture. » Tandis que le jeune homme proposait son aide, le capitaine de la garde s’approchait du groupe. « Comtesse Hélèna, Conseiller Babka, soyez les bienvenus. J’espère que vous avez fait bon voyage. » Il ignora le voyageur inconnu, le prenant pour un membre de la garde rapprochée de la Comtesse, pourtant sa tenue était bien différente. S’en apercevant, il interpella O’Mac.
- Cet homme est aussi un diplomate de Kalamai ?
- Non, c’est un voyageur rencontré à la capitale et qui souhaite aussi rencontrer la princesse.
- D’accord. Bienvenue à vous aussi cher inconnu !


Le capitaine de la garde se tourna alors vers la Comtesse et le Conseiller. « Par arrêté royal, les armes sont interdites à l’intérieur du royaume. Par conséquent, si vous souhaitez que votre escorte personnelle vous accompagne dans la ville, il faudra qu’elle dépose ses armes auprès de l’intendant près de la guérite que vous voyez là-bas. C’est la seule contrainte que vous nous vous imposerons. De même, si vous possédez des armes, merci aussi de vous en délester. Pendant que vous vous déséquipez, je vais prévenir la princesse Méhe de votre arrivée. »


Dernière édition par Méhe le Dim 27 Déc 2009 - 19:47, édité 1 fois

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Par arrêté royal, les armes sont interdites à l’intérieur du royaume.


L'Ardonien soupira.
"Qu'est ce qu'ils ont tous contre mon épée aujourd'hui?"
Saluant de la tête le capitaine de la garde, il descendit de cheval, le prit par la bride et se dirigea vers le sieur O'Mac.



Messire O'Mac, nous avions convenu une épée contre un cheval. Je vous rend le cheval et vous remercie pour le voyage. Puis-je avoir mon épée?



O'Mac lui rendit son bien, non sans lui rappeller l'arrêté dont avait parlé le capitaine.
L'Ardonien se mit en route vers la guérite, non sans avoir répondu à l'Eryopéen.



Ne vous en faites pas, je compte bien partir sur une base honnête pour traiter avec la princesse. Et au besoin, je tacherai de me rappeler de mes cours de combats à mains nues.
Adieu O'Mac, ou à un de ses jours, le destin est parfois capricieux.



Arrivé dans la guérite, le guerrier déposa à l'intendant l'épée qu'il avait gardé à la main. Il y ajouta la dague qu'il portait bien visible à la ceinture ainsi que les deux cachées dans son dos et derrière sa cuisse. Le couteau de chasse dans sa botte compléta le lot.



Je voyage léger,
s'excusa l'Ardonien je ne suis qu'un pauvre fermier.



Inclinant son chapeau pour saluer l'intendant, il retourna se placer non loin de O'Mac et de la troupe pour attendre la suite des évènements.

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O'Mac aida Hélèna à descendre de cheval. Malgré la chaleur, cette dernière ne semblait pas avoir souffert du soleil. Du moins en apparence. Et ce en n'ayant à aucun moment touchée aux réserves d'eau du convoi. Toutefois, il avait fallu à la comtesse faire un énorme effort de volonté pour occulter de son esprit les intenses douleurs occasionnées par l'astre solaire sur sa peau. Heureusement, son vêtement couvrait honnêtement ses formes, les protégeant en partie...

La mention d'une interdiction des armes au sein d'Eryope par le capitaine de la garde ne manqua pas de faire réagir. Si les visages restèrent impassibles, les pensées de tous le trahir, du moins.
Les natifs attendaient, un peu anxieux quant à la réaction des impériaux. Les Sabres, considérés comme escorte personnelle, devaient être les principaux visés par cette interdiction...
C'est un refus catégorique qui s'inscrivit en premier dans leurs pensées: selon la coutume, un Sabre n'a pas a se démunir de son arme sans son consentement ou sans qu'il n'en ait reçu l'ordre. Or, les ordres venaient de la comtesse. Les Sabres attendirent donc sa décision avant de réagir. Un hochement de tête discret d'Hélèna suffit pour qu'ils se démunissent de leur armement respectif.
-C'est légitime en ces temps troublés... Ajouta-t-elle en adressant au capitaine un regard compréhensif de ses yeux bleu pale.
Les casiers de l'intendant indiqué se remplirent vite: les arbalètes courtes furent posées aux côtés des lames de toutes sortes...
Parmi lesquels une étrange lame fine légèrement courbe ayant donné son nom aux unités spéciales d'Ald'Rhune. Personnalisées selon les goûts de son porteur, ces armes particulièrement meurtrière en corps à corps n'étaient autre que la récompense de fin de formation d'un Sabre.A l'origine identiques, prêtées aux apprentis dès les premiers instants de leur formation, elles leur étaient offertes par la suite à leur entrée en service actif. Et à partir de là, chacune devenait différente de sa sœur au grès de son propriétaire et du chemin qu'il avait choisit d'emprunter...

Une fois les Sabres dépouillés de leur armement, on enjoignit la comtesse à faire de même.
-Je ne porte pas d'armes. Répondit-elle. Je n'en ai que trop rarement l'utilité pour m'en encombrer. Et j'ai toute confiance en vos hommes pour garantir notre sécurité. La comtesse esquissa un sourire aimable à O'Mac. La subtile jeune femme avait bien captée quelques pensées de ce dernier concernant la présence des Delta durant le voyage...
Hélèna et ses compagnons rejoignirent le voyageur aux côtés de O'Mac. Restait plus qu'à Babka de faire de même. S'il disposait d'armes, il devait à son tour s'en défaire...
Et ainsi, ils seraient prêt à rencontrer le princesse Méhe d'Eryope, représentante d'Outre-mer.

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Nous étions finalement arrivé aux limites du territoire d'Eryope et le capitaine de la garde nous informa des règlementations en cours. Le voyageur ayant rejoins le convoi fut le premier à se défaire de ses armes, suivi des Sabres et il ne restait que moi.

Je descendis de ma monture, retira un morceau de cuir cousu que j'ouvris à plat sur le dos du cheval. J'y déposa ensuite, une à une, les quatre dagues qui agrémentaient ma ceinture. Je roula de nouveau la pièce de cuir que je noua d'un lacet prévu à cet effet. M'avançant vers l'intendant, je luis tendit le rouleau de cuir puis sorti une lame de longueur peu habituelle, entre l'épée courte et la dague sans toutefois être de forme connu.


Voilà, me voici sans armes messieurs. Pour que la paix s'installe, il faut respecter les moeurs de la Nation

Je retourna aux côtés d'Hélèna qui semblait quelque peu surprise de voir autant de lames sur le diplomate que je suis supposé être avec elle. Je me demandait même ce que je faisait là. La comtesse était pleinement en possession de ses moyens et j'avais depuis depuis longtemps compris que ses talents diplomatiques étaient de loin supérieur aux miens. Sans doutes les avantages des charmes féminins...

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Après les présentations d'usage et les échanges de politesse entre la princesse et les différents hôtes, Méhe laissa de côté les visiteurs de Kalamai et préféra se diriger vers cet homme inconnu qui s'était présenté sous le nom tout simple de L'Ardonien. Cela ne sonnait pas comme un nom mais plutôt comme un surnom mais peu importe son identité, il semblait venir là pour une bonne raison.

L'Ardonien lui expliqua alors son problème de brigands qui attaquaient les villages voisins au sien. Il avait besoin d'architectes et de constructeurs pour établir un mur d'enceinte pour repousser ces bandes organisées. Il venait d'un village assez pauvre et il était assez clair qu'il avait aussi besoin de fonds pour ce projet mais par pudeur certainement il n'en avait point parler. Demander de l'aide devait déjà être une chose difficile pour lui.

La princesse Méhe était à l'écoute de cet homme sombre mais qui semblait déterminé à ne pas revenir sans ce qu'il était venu chercher.


"Noble voyageur, j'entends votre requête. Je ne suis plus la dirigeante de notre belle Nation d'Outre-Mer mais je vais répondre à votre appel. Vous ne referez pas votre long voyage seul, je vais demander à Ga'al, mon fidèle ami, de vous aider. C'est un gnome et il a la construction et les beaux ouvrages dans le sang. Il saura vous trouver les meilleurs artisans qui pourront vous aider à construire ce mur d'enceinte."

Et c'est ainsi que quelques jours plus tard, le gnome Ga'al dépêchait les meilleurs bâtisseurs gnomes auprès de L'Ardonien. Fournissant les meilleurs matériaux d'Eryope, la princesse tenait par ce geste à participer à l'effort.

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L'Ardonien (enfin armé) et le gnome était sur le chemin du retour. Curieux de nature, l'architecte voulait savoir dans quel royaume la Princesse l'avait envoyé.



On ne peut guère parler de royaume, gnome. Nous sommes un regroupement de fermes autour duquel je souhaite bâtir un mur. Notre village grossit de jours en jours d'ailleurs, des paysans isolés nous rejoignant par souci de sécurité.

...

C'est une bien drôle de contrée en réalité. Nous sommes pour ainsi dire collés au désert, à proximité d'un cours d'eau. Au delà des maisons s'étendent des champs à pertes de vue. Tu ne manqueras pas de main d'oeuvre, ces gens sont des travailleurs courageux que nul labeur n'effraie.



Un messager arriva sur ces entrefaites et remis un pli à l'Ardonien. Après l'avoir lu, ce dernier congédia le porteur.
L'air de rien, le gnome essayait de lire par dessus l'épaule de l'humain la fameuse missive, mais sans succès. Le guerrier remarqua son manège et, chiffonnant le papier, choisi d'apaiser sa curiosité.



Mon intendant me rapportait les décisions du conclave de l'outre-mer. Beaucoup de grands seigneurs choisissant pour nous tous un avenir radieux...
...
Je crois que tes murailles vont servir Gnome, et plus souvent que je ne l'imaginais.



Tu n'as pas de souci à te faire, humain, je perdrai la considération de mon peuple si de simples humains et assimilés pouvaient altérer mes constructions!
Au fait, tu ne m'as pas dit le nom de ton village, vers quel lieu dois-je faire suivre le courrier de ma mère et de mes soeurs?



Il n'a pas de nom, mais il est vrai que l'on devrait lui en trouver un. J'aimerai remercier le royaume d'Eryope, tu le connais mieux que moi, as tu une idée?


Le gnome réfléchit longuement.


Ma foi... Il était de coutume, il y a fort longtemps de baptiser les royaumes et les lignées à partir des spécialités locales. Mehe est princesse de la Poire, tandis que la petite Clémentine que tu n'as pas vu venait du Citron. Eryope est le dernier lieu où cette tradition perdure, alors, un bel hommage serait peut être de la reprendre. Quelle est donc la spécialité de ton village?



Et pour la première fois depuis bien longtemps, L'Ardonien fit de l'humour. Un nom interprétable de bien des façons, et qui trancherai à la fois avec la bienséance et avec l'aspect austère d'un petit village du bord du désert.
Après un moment de réflexion, c'est avec un petit sourire qu'il répondit à la question du gnome.



Elles vont adorer, mon cher architecte. Ton futur village a dorénavant un nom. Dis leur d'envoyer leur courrier à :
La grosse courge.


Le gnome manqua trébucher.

HRP:
Désolé pour mon style horrible, pas pu faire mieux que ça aujourd'hui, et sachez bien que ça m'embête vraiment. C'est indigne.

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La délégation patientait devant l'intendant aux armes que la maitresse des lieux s'en revienne afin d'assurer son rôle d'hôtesse. Les Sabres échangeaient silencieusement quelques regards tout en assurant une certaine protection aux deux dignitaires de l'Empire à leurs côtés. Ils avaient été démunis de leurs armes, mais conservaient leurs excellentes capacités de pugilistes.
Une certaine agitation sur la droite du groupe fit se mettre sur leurs gardes les soldats d'élite Ald'Rhunais.
Un homme venait en courant vers eux, tenant un petit bout de papier à la main. Les Sabres s'interposèrent entre leur comtesse et l'homme, en bon gardes du corps.
L'homme ralentit en arrivant vers la délégation, avant de s'arrêter devant Naal, le chef de l'escouade Delta. Il lui tendit le fin morceau de papier, le souffle coupé:
-Un...pfff...message pour...pffff...vous. Par pigeon...pfff.
Naal prit le message que lui tendait l'homme en le remerciant d'un signe de tête accompagné d'un sourire.
-Merci mon brave.
Naal fit courir ses yeux le long des fines lignes recouvrant le morceau de papier. La nouvelle qu'il y découvrit le stupéfia. Sans chercher à revenir de sa surprise, il tendit le message à sa supérieure intriguée. Cette dernière venait de sentir à travers l'esprit de l'homme chargé de sa protection l'intensité de sa réaction et cherchait à en connaitre l'origine.
Hélèna se saisit du message et le lu à son tour:

A la délégation impériale à Eryope - Rumeur attaques navales contre cibles Outre-merriennes - Danger - Préparons départ vers Kalamaï - Vous attendons à Roc-Le-Castel - De Jolett


Les informations se frayaient leur chemin dans les intenses réflexions qui venaient de s'enclencher dans l'esprit de la jeune femme. L'Outre-mer? Attaquée? Par qui? Ce ne pouvait pas être Ald'Rhune. Ce n'était pas Prévèze... Pas l'Empire, quand même? Mettons que non. Qui restait-il? Pas grand monde, en tout cas. Surtout pour causer des soucis à l'Outre-mer et effrayer De Jolett au point de le faire se préparer à appareiller en urgence...

¤...Je ne suis plus la dirigeante de notre belle Nation d'Outre-Mer...¤

Hélèna fut presque frappée lorsqu'elle perçue cette phrase. Elle y avait reconnue la voix de leur hôtesse, la princesse Méhe. Mais cette dernière se trouvait trop loin pour qu'elle ait pu l'avoir entendue, même avec ses sens plus aiguisés. Sans le vouloir, elle venait de survoler ses pensées... Vérifiant que la princesse ne l'avait pas percée à jour, elle se reconcentra sur ses pensées à elle...
Mais ce qu'elle avait entendue mentalement allait apparemment peser lourd dans ses réflexions en cours.

La présence de la délégation impériale à Eryope était dorénavant devenue obsolète. Et De Jolett la jugeait suffisamment dangereuse pour demander l'envoi d'un pigeon voyageur depuis Roc-Le-Castel jusqu'à Eryope...
Hélèna en vint à la seule conclusion logique possible: rejoindre Roc-le-Castel le plus vite possible...
La comtesse donna l'ordre mental à Naal de s'occuper d'acheter 6 chevaux pour le retour. Il acquiesça silencieusement et discrètement et envoya un de ses hommes vers l'écurie proche, après lui avoir confié suffisamment d'or pour accomplir sa mission.
La jeune femme se retourna vers l'intendant aux armes et lui dit:
-Je crois, maitre intendant, que nous allons récupérer nos armes. Nous ne pouvons malheureusement rester plus longtemps à Eryope.
L'homme fit un signe de la tête et indiqua les casiers de la main.

Les trois Sabres présents se ré-équipèrent de leurs multiples lames, les rangeant à gestes sûrs dans les logement prévus par leur armure. Babka en fit de même, se re-lestant de son attirail de voyage à la taille un peu déconcertante.
Le soldat Ald'Rhunais envoyé aux écuries en revint avec le nombre de montures escomptées. Il les laissa à Naal, qui lui permis ainsi de reprendre ses armes.
Le chef des Delta répartit alors les chevaux entre les voyageurs, laissant une jolie jument brune à la comtesse et un étalon tacheté à l'elfe de Maon.

Alors que tous avaient déjà enfourchés leurs montures, Hélèna resta à terre un instant. Elle voulait prévenir le capitaine de la garde de leur départ inopiné. Ce qu'elle fit en le rencontrant à la porte de la ville, que ses pas avaient approchés d'elle.
La comtesse s'inclina devant le militaire.
-Capitaine, j'aimerais vous faire mes adieux. Je ne puis le faire à votre maitresse qui semble grandement absorbée par des tâches requérant toute son attention. Aussi vous demanderais-je de lui transmettre mes salutations.
La jeune femme marqua une pause.
-Et...euh...il court une rumeur comme quoi l'Outre-mer serait sujette à quelques troubles, en ces temps... Prenez soin de vous...
L'Ald'Rhunaise monta avec une agilité étonnante sur le dos de sa monture. Elle salua une dernière fois le militaire, avant de donner le signe du départ...

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Méhe se dressa devant les cavaliers et éleva la voix à l'attention d'Hélèna :

"A présent que vous avez lu dans mes pensées, vous fuyez ? De quel droit vous permettez-vous de pénétrer ainsi mon esprit ? Vous croyiez que je ne ressentirais rien ? Vous vous trompiez lourdement. Sachez que je pratique la nécromancie et donc que j'ai l'habitude de manipuler les morts-vivants telle que vous l'êtes. Vous n'êtes pas plus forte d'esprit que les squelettes et zombies qui composent nos forces armées. Pourquoi fuir Eryope et m'avoir fait ainsi perdre mon temps ? Par votre fuite, j'en conclus que la paix entre nos deux Nations ne vous intéresse point. J'en conclus donc que vous reconnaissez l'indépendance de l'Outre-Mer et que Kalamai renonce à reprendre sa colonie. Fuyez et ne revenez plus jamais par ici. Comme vous l'avez lu en moi, je ne suis pas la dirigeante de la Nation d'Outre-Mer. J'en étais l'ambassadrice, tout comme vous l'étiez vous aussi. Si vous renoncez aux négociations, je vous demande de ne plus revenir me faire perdre mon temps. Fuyez et quittez l'Outre-Mer aussi vite que possible."

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