Un bateau voguait à vive allure, il ne semblait se soucier de rien et glissait sur la mer calme comme les enfants s’amusent à glisser sur la glace en hiver. Pourtant son histoire n’était pas banale et ses occupant encore moins. Le simple nom de leur profession en faisait pâlir plus d’un, ils étaient à la fois marins et de rudement bons, et voleurs-assassins. C’était des pirates.
Il y a peu ils avaient fait deux raids, deux raids qui furent sanglant pour ceux qui s’étaient trouvé en face d’eux. Des deux villages qui avaient été pris pour cible il ne restait plus que cendres et cadavres. Aucun survivants n’avaient été laissé et ils n’avaient eu que faire qu’en face d’eux se trouve des hommes en âge de combattre ou bien des femmes, enfants ou vieillards. La pitié, chacun de ses pirates l’avaient rayé de leur vocabulaire depuis longtemps, l’honneur il n’en avait que faire. Seul Brak avec sa force et Nucter les inspirait, mais pour eux ce n’était que des légendes. Le culte ils laissaient ça pour les faibles.
Leur seul but dans la vie était de s’enrichir et de prendre du bon temps, pour eux, avec des femmes. Grâce aux deux raids dans des villages de l’Outre-Mer avait continué à remplir la cale d’or et de bijoux. Ces raids avaient été rapide, ils arrivaient à la tombée de la nuit alors que tout le monde dormait et repartait aux premières lumières du matin. Entre temps ils laissaient libre court à leurs envies : vol, tuerie, viol,… Ils repartaient aussitôt après leurs méfaits accomplit.
Après ces deux raids, Kennit Hardawit le second qui dirigeait le vaisseau, avaient décidé de mettre les voiles pour sortir des eaux de l’Outre-Mer. Ils ne voulaient pas éveiller l’attention sur eux afin de continuer à s’enrichir tranquillement. Surtout que maintenant les soldats de cette grade île allaient sans doute être tendu et rechercher les causes de ces villageois tués.
Ils avaient donc repris la mer comme ils en avaient l’habitude, ils ne restaient jamais longtemps au même endroit. Le seul lieu où ils retournaient régulièrement était une île où les pirates allaient se ravitailler et réparer les avaries.
Seulement tout ne s’était pas passé comme prévu. Alors qu’ils se dirigeaient vers Kalamaï ils tombèrent sur une patrouille navale de l’Outre-Mer. Bien que les soldats étaient entrainés ils furent surpris car ils pensaient que le navire face à eux étaient marchand or ils étaient occupé par de redoutables pirates. Là encore le résultat fut terrible.
Cela les avait ralentis mais maintenant ils avaient augmenté la surface des voiles et le vent était à leur avantage. Couplé à ces deux éléments et la rigueur dont ils savaient faire preuve sur le navire, rapidement ils atteignirent les côtes de Kalamaï et plus particulièrement celles d’Argostole. Le programme était le même que pour l’Outre-Mer. Ils avaient visé un village de pêcheurs et marchands navigants, ainsi les villageois ne seraient pas troublés par la vue de voile au large.
Ils attendirent la tombée de la nuit avant d’accélérer leur course vers le village. Il possédait un port ce qui facilita l’approche. Leur bateau était fin, rapide et facilement manœuvrable, c’était une demoiselle parmi les vaisseaux.
Ils accostèrent donc sans un bruit. A quelques miles avant la côte les armes avaient été sorti et distribuées aux hommes : épée, lance, arc, masse, hache,… Dans leurs mains ces armes étaient encore plus redoutables.
Kennit Hardawit était sur le pont et ses hommes étaient devant lui prêt à sauté à terre dès que leur chef en aura donné l’ordre. Ce dernier s’adressa rapidement à eux :
Le sang va couler cette nuit encore, nous ne ferons pas de pitié et encore moins de prisonniers !
A L’ATTAQUE !
Sur ces mots un cri lugubre se fit entendre, c’était les pirates. Aussitôt les hommes sautèrent à terre et s’éparpillèrent en petit groupe à la lueur de torches.
Quelques villageois sortirent voir ce qui se passait mais rapidement ils ne virent plus rien du tout. Mais ce fut bientôt l’affolement qui régna chez les villageois.
Un ancien arriva devant le chef pirate.
Pitié, pitié. On va vous apportez l’or et les bijoux mais pitié ne nous tuez pas.
Va les chercher.
Aussitôt l’ancien s’exécuta avec quelques villageois et revint avec un coffre. Ils l’ouvrirent afin de montrer les précieux biens.
Kennit Hardawit se tenait devant ces villageois, le pirate sortirt rapidement sa lame et éventra les pauvres malheureux. Ses hommes firent de même.
Je ne lui ai jamais promis la vie sauve.
Ils rirent devant le regard de l’ancien qui ne comprenait pas pourquoi ces hommes agissaient ainsi. Mais en réalité la plupart des ces pirates avaient une histoire de vie atypique qui les avaient conduits vers ce sanglant chemin où ils savaient que la seule issu était la mort. Mais pour l’instant ils profitaient à leur façon, ils étaient égocentrique et seul leur personne comptait ainsi que leurs camarades du moment qu’ils ne se gênaient pas. Ils ne respectaient rien si ce n’est leurs frères d’armes et leurs chefs car la rigueur était de mise sur le navire.
Pendant ce temps des villageoises s’étaient enfermé dans un temple. Ce ne fut pas une préoccupation pour les pirates qui bloquèrent les portes et incendièrent le temple. Ses occupants furent bruler vives.
Rapidement les combats cessèrent, ils ne restaient plus personne de vivant, ceux agonisant étaient achevé. Les pirates s’étaient amusés avec quelques filles qui elles ne l’avaient pas pris pareil et étaient maintenant mortes. Le village avait été pillé et ses occupants exterminé sans pitié, certains avaient essayé de se défendre mais peine perdu face à ses loups de mer. En quelques coups ce fut réglé, ils n’avaient pas de véritables armes face aux pirates ils offraient des faux, fourches et haches face à l’arsenal de pirates expérimentés en n’ayant peur de rien. Ils avaient été écrasés et certains pirates avaient fait durer le supplice.
Tous les objets précieux avaient été rapidement chargés dans la cale du navire afin d’enrichir un peu plus la bande sanglante. Les hommes regagnèrent rapidement le bord afin de larguer les amarres. Mieux fallait ne pas trop trainer. Il allait bientôt faire jour et la fumée allait sans doute donner l’alerte. Ils ne souhaitaient pas que leur venu soit découvert afin de pouvoir continuer à opérer. Kennit espérait que les autorités pensèrent que cela vient de brigands sur terre car après tout la spécialité des pirates étaient le combat en haute mer. Là il ne faisait qu’élargir leur métier.
Il y a peu ils avaient fait deux raids, deux raids qui furent sanglant pour ceux qui s’étaient trouvé en face d’eux. Des deux villages qui avaient été pris pour cible il ne restait plus que cendres et cadavres. Aucun survivants n’avaient été laissé et ils n’avaient eu que faire qu’en face d’eux se trouve des hommes en âge de combattre ou bien des femmes, enfants ou vieillards. La pitié, chacun de ses pirates l’avaient rayé de leur vocabulaire depuis longtemps, l’honneur il n’en avait que faire. Seul Brak avec sa force et Nucter les inspirait, mais pour eux ce n’était que des légendes. Le culte ils laissaient ça pour les faibles.
Leur seul but dans la vie était de s’enrichir et de prendre du bon temps, pour eux, avec des femmes. Grâce aux deux raids dans des villages de l’Outre-Mer avait continué à remplir la cale d’or et de bijoux. Ces raids avaient été rapide, ils arrivaient à la tombée de la nuit alors que tout le monde dormait et repartait aux premières lumières du matin. Entre temps ils laissaient libre court à leurs envies : vol, tuerie, viol,… Ils repartaient aussitôt après leurs méfaits accomplit.
Après ces deux raids, Kennit Hardawit le second qui dirigeait le vaisseau, avaient décidé de mettre les voiles pour sortir des eaux de l’Outre-Mer. Ils ne voulaient pas éveiller l’attention sur eux afin de continuer à s’enrichir tranquillement. Surtout que maintenant les soldats de cette grade île allaient sans doute être tendu et rechercher les causes de ces villageois tués.
Ils avaient donc repris la mer comme ils en avaient l’habitude, ils ne restaient jamais longtemps au même endroit. Le seul lieu où ils retournaient régulièrement était une île où les pirates allaient se ravitailler et réparer les avaries.
Seulement tout ne s’était pas passé comme prévu. Alors qu’ils se dirigeaient vers Kalamaï ils tombèrent sur une patrouille navale de l’Outre-Mer. Bien que les soldats étaient entrainés ils furent surpris car ils pensaient que le navire face à eux étaient marchand or ils étaient occupé par de redoutables pirates. Là encore le résultat fut terrible.
Cela les avait ralentis mais maintenant ils avaient augmenté la surface des voiles et le vent était à leur avantage. Couplé à ces deux éléments et la rigueur dont ils savaient faire preuve sur le navire, rapidement ils atteignirent les côtes de Kalamaï et plus particulièrement celles d’Argostole. Le programme était le même que pour l’Outre-Mer. Ils avaient visé un village de pêcheurs et marchands navigants, ainsi les villageois ne seraient pas troublés par la vue de voile au large.
Ils attendirent la tombée de la nuit avant d’accélérer leur course vers le village. Il possédait un port ce qui facilita l’approche. Leur bateau était fin, rapide et facilement manœuvrable, c’était une demoiselle parmi les vaisseaux.
Ils accostèrent donc sans un bruit. A quelques miles avant la côte les armes avaient été sorti et distribuées aux hommes : épée, lance, arc, masse, hache,… Dans leurs mains ces armes étaient encore plus redoutables.
Kennit Hardawit était sur le pont et ses hommes étaient devant lui prêt à sauté à terre dès que leur chef en aura donné l’ordre. Ce dernier s’adressa rapidement à eux :
Le sang va couler cette nuit encore, nous ne ferons pas de pitié et encore moins de prisonniers !
A L’ATTAQUE !
Sur ces mots un cri lugubre se fit entendre, c’était les pirates. Aussitôt les hommes sautèrent à terre et s’éparpillèrent en petit groupe à la lueur de torches.
Quelques villageois sortirent voir ce qui se passait mais rapidement ils ne virent plus rien du tout. Mais ce fut bientôt l’affolement qui régna chez les villageois.
Un ancien arriva devant le chef pirate.
Pitié, pitié. On va vous apportez l’or et les bijoux mais pitié ne nous tuez pas.
Va les chercher.
Aussitôt l’ancien s’exécuta avec quelques villageois et revint avec un coffre. Ils l’ouvrirent afin de montrer les précieux biens.
Kennit Hardawit se tenait devant ces villageois, le pirate sortirt rapidement sa lame et éventra les pauvres malheureux. Ses hommes firent de même.
Je ne lui ai jamais promis la vie sauve.
Ils rirent devant le regard de l’ancien qui ne comprenait pas pourquoi ces hommes agissaient ainsi. Mais en réalité la plupart des ces pirates avaient une histoire de vie atypique qui les avaient conduits vers ce sanglant chemin où ils savaient que la seule issu était la mort. Mais pour l’instant ils profitaient à leur façon, ils étaient égocentrique et seul leur personne comptait ainsi que leurs camarades du moment qu’ils ne se gênaient pas. Ils ne respectaient rien si ce n’est leurs frères d’armes et leurs chefs car la rigueur était de mise sur le navire.
Pendant ce temps des villageoises s’étaient enfermé dans un temple. Ce ne fut pas une préoccupation pour les pirates qui bloquèrent les portes et incendièrent le temple. Ses occupants furent bruler vives.
Rapidement les combats cessèrent, ils ne restaient plus personne de vivant, ceux agonisant étaient achevé. Les pirates s’étaient amusés avec quelques filles qui elles ne l’avaient pas pris pareil et étaient maintenant mortes. Le village avait été pillé et ses occupants exterminé sans pitié, certains avaient essayé de se défendre mais peine perdu face à ses loups de mer. En quelques coups ce fut réglé, ils n’avaient pas de véritables armes face aux pirates ils offraient des faux, fourches et haches face à l’arsenal de pirates expérimentés en n’ayant peur de rien. Ils avaient été écrasés et certains pirates avaient fait durer le supplice.
Tous les objets précieux avaient été rapidement chargés dans la cale du navire afin d’enrichir un peu plus la bande sanglante. Les hommes regagnèrent rapidement le bord afin de larguer les amarres. Mieux fallait ne pas trop trainer. Il allait bientôt faire jour et la fumée allait sans doute donner l’alerte. Ils ne souhaitaient pas que leur venu soit découvert afin de pouvoir continuer à opérer. Kennit espérait que les autorités pensèrent que cela vient de brigands sur terre car après tout la spécialité des pirates étaient le combat en haute mer. Là il ne faisait qu’élargir leur métier.