Le message avait rapidement été transmis et de manière efficace. Je ne pouvais que me réjouir de voir autant de personnes ici rassembler pour partager un repas. Combien était-il ? je ne pouvais le dire mais sans soucis plusieurs milliers, pour l’instant.
Cependant cela n’avait pas été simple à mettre en place. Cette décision avait été prise rapidement et à l’imprévu. Cela avait eu pour conséquence de nécessité toute l’énergie des employés de la Magistrature, ils avaient su être réactifs et le résultat avait été payant.
Des émissaires avaient été diligenté pour se rejoindre toutes les provinces de l’Empire. Le but était que chacune soit représentée sur les tables. Pour se faire les ingrédients avaient été importé mais également les cuisiniers. Ces derniers préparaient le repas depuis deux jours. Pour être plus exact ils étaient plus présents pour diriger des commis car il fallait préparer une grande quantité de plats.
Mais le défi avait été surmonté. L’avenue devant la Magistrature avait été fermée à la circulation des chars et autres moyen de transport. Les citoyens arrivaient par groupe à pied. Le même dispositif de sécurité, que pour la dernière séance du Sénat, avait été conservé. Chaque personne était fouillé et les armes confisquées. Seuls les Seigneurs pouvaient garder leur dague si ces derniers ne représentaient pas un danger. De plus des gardes circulaient au sein de la foule et d’autres étaient sur les toits à surveiller d’un point culminant. J’avais également mit à contribution les agents de l’Ombre qui étaient bien plus discret pour se fondre dans la population.
Il n’y avait encore aucun plat de déposer sur la table mais les barriques de vin avaient été mise en perce tout comme les tonneaux de cervoise. Les serveurs étaient occupés à servir à boire. Des amuses-bouches avaient également été disposé sur les longues tables.
Derrière les équipes en cuisine s’activaient, c’était le coup de chauffe, il fallait que tout soit finit d’ici deux heures. Cela nécessitait une organisation hors du commun.
Pour faire patienter les invités, des bardes avaient été convié. Ces derniers chantonnaient des ballades puis que le repas serait fini, il était prévu un bal. Cela était rare à notre époque qu’il y ait des moments de divertissements.
Pour ma part je regardai le tout depuis le balcon de mon bureau.
Je venais de revêtir une tenue plus adapté à un banquet. Il s’agissait de vêtement assez ample mais permettant d’avoir des gestes aisés. Une large bande de cuir me ceinturait la taille. Je portais également une dague, mais également ma lame de poignée et un couteau dans une botte. Bref le minimum vital au vu de ma personnalité et l’enseignement que j’avais reçu. J’avais également comme à l’accoutumé l’ensemble de mes sceaux aux doigts de la main droite : les Plaines Perdues, l’Ombre et la Magistrature des Institutions Impériales.
Il était l’heure que je descende rejoindre la fête.
En descendant les marches, j’espérais que rien ni personne ne viendrait gâcher la réception.
Un taureau avait été offert en offrande à Sorenssen et des colombes à Orfange. Le but était d’avoir la protection des dieux.
En arrivant je pus voir que plusieurs seigneurs étaient déjà arrivés. J’espérais qu’Irkos verrait d’un bon œil cette manifestation et se joindrait à nous car lui aussi avait été invité.
Il était agréable de voir les différentes races se côtoyer : elfes, orcs, nains, humains,… Cela n’était pas forcément habituel malgré que j’avais réussi à faire passer une loi pour une égalité de traitement entre les races. Mais il y avait également différentes classes sociales de présentes : de paysan à seigneur, d’artisan à saltimbanque, des soldats, commerçants, bureaucrates,…
Cependant cela n’avait pas été simple à mettre en place. Cette décision avait été prise rapidement et à l’imprévu. Cela avait eu pour conséquence de nécessité toute l’énergie des employés de la Magistrature, ils avaient su être réactifs et le résultat avait été payant.
Des émissaires avaient été diligenté pour se rejoindre toutes les provinces de l’Empire. Le but était que chacune soit représentée sur les tables. Pour se faire les ingrédients avaient été importé mais également les cuisiniers. Ces derniers préparaient le repas depuis deux jours. Pour être plus exact ils étaient plus présents pour diriger des commis car il fallait préparer une grande quantité de plats.
Mais le défi avait été surmonté. L’avenue devant la Magistrature avait été fermée à la circulation des chars et autres moyen de transport. Les citoyens arrivaient par groupe à pied. Le même dispositif de sécurité, que pour la dernière séance du Sénat, avait été conservé. Chaque personne était fouillé et les armes confisquées. Seuls les Seigneurs pouvaient garder leur dague si ces derniers ne représentaient pas un danger. De plus des gardes circulaient au sein de la foule et d’autres étaient sur les toits à surveiller d’un point culminant. J’avais également mit à contribution les agents de l’Ombre qui étaient bien plus discret pour se fondre dans la population.
Il n’y avait encore aucun plat de déposer sur la table mais les barriques de vin avaient été mise en perce tout comme les tonneaux de cervoise. Les serveurs étaient occupés à servir à boire. Des amuses-bouches avaient également été disposé sur les longues tables.
Derrière les équipes en cuisine s’activaient, c’était le coup de chauffe, il fallait que tout soit finit d’ici deux heures. Cela nécessitait une organisation hors du commun.
Pour faire patienter les invités, des bardes avaient été convié. Ces derniers chantonnaient des ballades puis que le repas serait fini, il était prévu un bal. Cela était rare à notre époque qu’il y ait des moments de divertissements.
Pour ma part je regardai le tout depuis le balcon de mon bureau.
Je venais de revêtir une tenue plus adapté à un banquet. Il s’agissait de vêtement assez ample mais permettant d’avoir des gestes aisés. Une large bande de cuir me ceinturait la taille. Je portais également une dague, mais également ma lame de poignée et un couteau dans une botte. Bref le minimum vital au vu de ma personnalité et l’enseignement que j’avais reçu. J’avais également comme à l’accoutumé l’ensemble de mes sceaux aux doigts de la main droite : les Plaines Perdues, l’Ombre et la Magistrature des Institutions Impériales.
Il était l’heure que je descende rejoindre la fête.
En descendant les marches, j’espérais que rien ni personne ne viendrait gâcher la réception.
Un taureau avait été offert en offrande à Sorenssen et des colombes à Orfange. Le but était d’avoir la protection des dieux.
En arrivant je pus voir que plusieurs seigneurs étaient déjà arrivés. J’espérais qu’Irkos verrait d’un bon œil cette manifestation et se joindrait à nous car lui aussi avait été invité.
Il était agréable de voir les différentes races se côtoyer : elfes, orcs, nains, humains,… Cela n’était pas forcément habituel malgré que j’avais réussi à faire passer une loi pour une égalité de traitement entre les races. Mais il y avait également différentes classes sociales de présentes : de paysan à seigneur, d’artisan à saltimbanque, des soldats, commerçants, bureaucrates,…