précédemment

Cela fessait déjà deux mois que Fenrir avait rencontré Le passeur. Ils se sont séparés dans une petite taverne. Puis le guerrier est allé dans des clans de bandits pour les convaincrez de le rejoindre dans la rébellion. Au début, pour convaincre les chefs de clan. Il fallait faire une diplomatique brutale, puis au fil du temps, les autres clan viennent le rejoindre en leur envoyaient des messagers. Il avait créé un nouveau clan et rendit hommage à son ancien clan. Quand il se rendit à Methymna, son clan comptait 300 hommes, des bandits, des mercenaires et anciens esclaves. Quand il arriva à la ville, Fen chercha les tavernes et auberges de la ville. Il trouva une taverne dont le panonceau indiquait « l'elfe noir ivrogne », il rentra et alla au bar pour commander une bière. Tout en buvant sa bière, Fenrir alla parlé aux clients de la taverne pour récolter des informations et lancées des rumeurs. Comme sa chope était vide, il retourna au bar pour reprendre de la bière quand il fut dérangé par deux soldats qui l’insultaient. Le soldat le plus proche était petit et avait une longue chevelure noire. Alors que son camarade ressemblait à un géant. Le petit commença à dire :

« Regardé qui voila… un va nu pied »

Le géant répondit avec un large rire gras :

« T’as raison et en plus c’est un bête type… Il n’est pas un homme mais une lavette. »

Fenrir reposa sa chope, se dirigea vers eux et leur dis avec un ton plein de menace et un regard rempli de haine.

« Vous arrêtes de m’insulté, sinon je vous refait le portraits…Compris ! »

Les deux hommes s'avançaient vers le guerrier. Fen mis au tapis le géant et attrapa le nabot pour le lancer dans la rue. Au même moment, une patrouille arriva et reçut le soldat ivre dans les rangs. Ils virent l'homme qui avait provoqué cette bagarre. La patrouille chargea l'inconnu qui se mit derrière le bar. Fenrir fonça dans la mêlé générale après avoir attendu que la charge s'arrête. Il balança les chaises et les tables en direction des combattants, alors que dehors une troupe importante sépara la foule et qu'un homme entra dans l'auberge

Dans un coin de la taverne, un homme aux cheveux long et la barbe de plusieurs semaine restait paisible à sa table, buvant sa choppe en regardant le visiteur mettre une correction à deux soldats puis se défouler contre une patrouille complète. Il avait du cran ce petit et l'individu commençait à s'y intéresser...

Alors que les soldats allaient prendre le dessus, il termina sa bière puis se leva d'un trait en pointant sa lame devant lui pour menacer la milice locale qui recula d'un pas. Ceci permettant au jeune bougre de se relever et reprendre une position offensive plutôt que de recul. Il mit la main sur l'épaule de celui-ci, lui jetant un regard avant de foncer sur l'ennemi sans répit. À deux, ils vidèrent la taverne de ses soldats, ne laissant derrière eux que corps endolori et dégâts matériel significatif.

La porte avait été verrouillé de l'intérieur durant l'altercation, empêchant à quiconque d'entrer, seul un homme avait eu le temps de le faire de justesse. Dehors les cris se dissipait, les gardes dispersait la foule, cherchant la source de ce brouhaha en vain puisque c'était terminé. Ils continuèrent leur route, faisant fit de la situation à l'intérieur.

Le l'homme barbu retourna à sa table, rangeant son arme et requérant une nouvelle chope pour lui et son compagnon de combat du moment.

Bien battu petit, qui est-tu ?

Fenrir était en difficulté face aux soldats. Il avait mis un genou à terre quand un inconnu barbu arriva en dégainant son sabre. La patrouille recula et Fen put se relever. L'homme qui l'avec aider mis sa main sur l'épaule du guerrier, se regardaient, puis ils s'élancèrent sur la milices. Les deux hommes renvoya leurs adversaires dehors et verrouillaient la porte ensuite. Une seule personne avait réussi à rentrer. L'homme qui avait sauvé Fenrir, va sur une table et commanda une bière. Puis il s'adressa au rebelle qui il était. Le guerrier pris un tonnelet d'hydromel, s'asseoir en face de son interlocuteur et dit :

« Merci pour le coup de main l'ami... Je m'appelle Fenrir, mais vous pouvez m'appeler Fen. Je suis le seul survivant du clan Dovahkiin et chef d'une troupe de rebelle dans les environs. »

Le rebelle pris une gorgée avant de continuer à parler :

« Je te propose de venir avec nous, mais on le verra en dehors de la ville... Mais avant ça »

Il se retourna et se dirigea vers l'homme qui avait réussi à rentrer et lui dit :

« Je ne sais pas qui tu es, mais je crois que tu es un sale chien de l'empire, je me trompe ? »

Fenrir dégaina son épée, mis son bouclier et alla à la rencontre de son adversaire

Au moment où Fenrir laisse tombé son arme sur le malheure, la porte se mit à brûlé. Le guerrier se retourne et vit une personne sur le seuil de la porte. Le soi disant espion en a profité pour se mettre à l’abris derrière une table près d‘un des murs. L’homme qui avait aidé le combattant à repoussé la milice se lève et va à coté de Fen. Le nouveau arrivant prononce des paroles incompréhensibles et ils eurent tout les deux une grosse nausées. Fenrir mit un genou à terre et essaie de se relevé mais en grande perte, car il n’avait plus de force. Son compagnon de bagarre était dans le même état de lui. Le guerrier entendit un ordre venant du magicien et deux soldats l’attachèrent solidement avec l’aide d’une corde. L’homme de magie arrive à leur hauteur et leur demande qui sont-ils. Fenrir essaie de se débarrassé de la corde par la force brusque mais il ne réussi pas. Il crache par terre et répond à la question :

« Je m’appelle Fenrir, je suis un simple mercenaire de passage et pour ce qu’il s’est passé à la taverne… C’est à cause de deux soldats qu’ils m’ont insulté. »

Le rebelle avait dit la vérité en grand parti mais ne voulant pas dévoiler sa petite armée à un chien de l’empire. Il espérait que son voisin ne le trahir pas. Son regard revient sur l’étreange personnage et lui dit :

« Voila, je me suis présenté et toi… tu es un sale chien de l’empire ? et tu es qui pour m’avoir mis hors combat de cette manière. »

Fenrir le fixe du regard, un regard froid et solide comme de la glace millénaire. Il en profite pour délier petit à petit le nœud de la corde discrètement.

Jamais le hors-la-loi n'avait été fait captif et là il venait de se faire avoir comme un débutant pour cause d'une vulgaire effet magique et déloyal. Ligoté il ne pouvait faire grand chose, n'ayant d'autre choix que de répondre à l'interrogation.

Qui êtes-vous? Que faisiez-vous?

Qui je suis ? Un simple homme qui se défends avec sa lame pour toute cause qu'il considère lucrative. Ce pauvre jeunot avait des soucis avec soldats, les vôtres si je me fis à vos insignes, ceux-ci jouant les fiers à bras pour nul raison autre que d'être déplacé. Ils ont donc payé leur insolence tout comme les autres qui sont venu en renfort en vain et sans invitations. Ce qui résume ce que je faisais ici, quoi qu'avant je prenais une choppe de bière fraîche.

Le barbu prit un temps de pause, secouant la tête pour se remettre des derniers effets du sort manqué par l'individu.

Mais dites-moi palatin, que vaut la visite d'un homme de rang dans une taverne de bas étage ? Besoin de mercenaire pour un vil projet ?

Argostole n'avait jamais été réputé pour être pro-empire, nul doute que le palatin en poste avait sûrement ce même dégoûts que les prédécesseurs. L'homme misait fortement sur cette thèse pour s'éviter des soucis à court terme.

Fenrir réfléchi aux paroles du palatin, il pensait que toutes les régions étaient pour l’empire. Grâce au mage, il compris qu’il pourrais avoir des alliers haut placés pour l’aidé pour la rébellion. Et il trouve que le maître de l’île eu la même histoire que lui, Fen le trouve très sympathique d’un seul coup. Le magicien avait proposé au mercenaire d’être son maître, mais Fenrir ne dit rien. Il préfère être le seul maître de ses actions au lieu d’être traité comme un bête serviteurs. Par contre il ne compris pas que quelle duel, le palatin parle, il se retourne vers son collègue et compris que l’homme avait cru qu’il se battait contre le barbu.

Le mage ordonne à ses hommes d’emmener Fenrir et le hors-la-loi aux palais. Fen se lève sans difficulté avec l’aide d’un garde. Pendant qu’ils marchent jusqu’au palais, le guerrier réfléchis au moyen de battre le sabreur et en même temps d’essayer de trouvé les bonnes paroles pour convaincre le palatin de l’aidé pour la rebellions. Il résume les points communs qui avaient avec le palatin. Ils n’aiment pas les impériaux, ont touts les deux vécus dans un clan qui fut ensuite détruit par l’empire

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