Auparavant
Retrouver l’Ardonien n’était pas une tâche insurmontable, même pour Grognar. Avec son habitude de plonger dans les ennuis et de semer les cadavres, il devrait être facile à pister.
Et puis, le géant décida avec bon sens de commencer par le plus évident : aller à la Corporation des Combattants. C’est là qu’il l’avait laissé la dernière fois, et c’est la Corporation qui pourrait lui dire vers quelle sombre affaire il s’était précipité.
Aussi, il avait demandé à son cocher de l’air de le déposer au plus près possible du bâtiment, ce que l’elfe avait pris à la lettre en amorçant sa descente directement devant l’entrée de la grande cour.
Les soldats virent se poser ce curieux attelage devant leurs yeux et après quelques minutes, le temps de s’assurer que sa plante de pied avait retrouvé la merveilleuse stabilité du sol, un géant sortit lentement la tête, regarda autour de lui et déplia sa vaste anatomie pour s’extirper du gigantesque panier.
Il s’avança vers le Poste de Garde, l’air décidé du Grognar qui passera, qu’on lui réponde oui ou oui !
- Messieurs de la "soldatèque", bonjour ! J’ai besoin de l’aide d’un vieux pote qui turbine chez vous… Je vais donc entrer pour savoir où il se trouve !
Estimant avoir fait preuve de suffisamment de politesse, le géant distribua une baffe à chacun, qui les fit tournoyer sur eux-mêmes et s’aplatir au sol, inconscients. A titre préventif ! Parce qu’il avait bien compris qu’on aurait pu lui faire des difficultés.
Retrouver l’Ardonien n’était pas une tâche insurmontable, même pour Grognar. Avec son habitude de plonger dans les ennuis et de semer les cadavres, il devrait être facile à pister.
Et puis, le géant décida avec bon sens de commencer par le plus évident : aller à la Corporation des Combattants. C’est là qu’il l’avait laissé la dernière fois, et c’est la Corporation qui pourrait lui dire vers quelle sombre affaire il s’était précipité.
Aussi, il avait demandé à son cocher de l’air de le déposer au plus près possible du bâtiment, ce que l’elfe avait pris à la lettre en amorçant sa descente directement devant l’entrée de la grande cour.
Les soldats virent se poser ce curieux attelage devant leurs yeux et après quelques minutes, le temps de s’assurer que sa plante de pied avait retrouvé la merveilleuse stabilité du sol, un géant sortit lentement la tête, regarda autour de lui et déplia sa vaste anatomie pour s’extirper du gigantesque panier.
Il s’avança vers le Poste de Garde, l’air décidé du Grognar qui passera, qu’on lui réponde oui ou oui !
- Messieurs de la "soldatèque", bonjour ! J’ai besoin de l’aide d’un vieux pote qui turbine chez vous… Je vais donc entrer pour savoir où il se trouve !
Estimant avoir fait preuve de suffisamment de politesse, le géant distribua une baffe à chacun, qui les fit tournoyer sur eux-mêmes et s’aplatir au sol, inconscients. A titre préventif ! Parce qu’il avait bien compris qu’on aurait pu lui faire des difficultés.