Le Monde de Kalamaï
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Le Monde de KalamaïConnexion
-20%
Le deal à ne pas rater :
Drone Dji DJI Mini 4K (EU)
239 € 299 €
Voir le deal

Vol à la corporation des combattants

+6
Eolia
Nunä & Mäelle
Adola
Ignak
Irkos
Ardent
10 participants

descriptionVol à la corporation des combattants EmptyVol à la corporation des combattants

more_horiz
La corporation des combattants. C’était un vieil édifice aux allures de citadelle qui se dressait au centre de la ville, semblable à un petit bastion urbain. Si elle avait autrefois fière allure, cette corporation était tombée dans l’oubli, ses hauts murs parsemés de meurtrières n’impressionnaient plus personne. De la flamboyante armée corporative l’on ne retrouvait plus que quelques poignées de vétérans et quelques volontaires, mais la splendeur du passé était belle et bien disparu. Dans les lueurs des torches dans la nuit ambiante, elle semblait presque lugubre,

Quelque chose dans ce spectacle enrageait le vampire. Cela avait tellement changé! Il entra par la porte principale, de lourds battants de bois qui dans une autre époque étaient toujours ouvert pour accueillir les membres et les nouveaux venus, mais il dût l’ouvrir de lui-même. Il s’assura que son visage était bien dissimulé, puis il entra.

Après deux pas, on l’interpella. Qui il était, et que venait-il faire ici, grogna un misérable garde bien mal en point qui semblait surtout avoir besoin de se laver, dans l’immédiat. En prenant soin de masquer sa voix, il murmura qu’il était un nouveau, et qu’il voulait rencontrer l’agent de recrutement. On lui indiqua son chemin, mais les plans et les détails de l’endroit lui revenait à la vitesse de l’éclair. Il connaissait les moindres détails, jusqu’à l’angle de vue des meurtrières et l’épaisseur des murs de la cave. Tout.

Il commença à emprunter la route que l’on lui avait donnée, mais dès qu’il fut hors de vue il changea de trajectoire, empruntant des couloirs et des escaliers le menant vers une porte plus stylisée. Le bureau du commandant.

Il cogna, mais personne ne lui répondit. Une certaine inquiétude serra son cœur, car il était très possible que le nouveau chef de la corporation soit partit avec les objets qu’il y avait laissé. Paniqué, il entreprit de défoncer la porte, Chose relativement aisée compte tenu de sa force raciale, mais quand même relativement bruyante. Il n’eut que le temps d’entrer et de barricader la porte avec un meuble avant que les soldats arrivent au pas de course, mais les coups répétés sur la seule entrée laissaient entendre qu’il avait le temps de procéder à ses opérations avant d’être vraiment dérangé.

Ils étaient là. Au même endroit où il les avait déposés il y avait si longtemps. Un peu de poussière s’était déposé sur ces artefacts, ces objets légendaires. Faisant abstraction des gens qui le sommait de sortir, il déchira une tapisserie pour épousseter avec soin et amour la cuirasse, qu’il attacha soigneusement sur son torse. Elle lui allait parfaitement. Les motifs de dauphins et de vagues n’avaient pas changés, le bleu azur de l’acier ne s’était pas terni, malgré toutes les épreuves et les dangers que l’armure avait traversé.

Il ceignit le fourreau autour de sa taille et dégaina d’un geste souple et rapide pour laisser découvrir une lame courbe et brillante d’un sabre outremerrien. La qualité de la lame était époustouflante, tranchante à souhait. Il se perdit dans sa contemplation de l’arme pendant un instant, rengaina puis sauta aux travers d’une des seules fenêtres des bureaux, pour atterrir souplement une dizaine de mètres plus bas dans une petite roulade pour réduire l’impact.

Aussitôt relevé, il courut vers la porte qui menait à l’armurerie et les entrepôts. Il passa la première porte, et se retrouva face à face avec deux gardes qui protégeait surement la seconde porte, une du type solide, en fer et visiblement bien barrée. S’attendant à une attaque, il transperça le premier de la lame du sabre qu’il avait sorti en un éclair, et agrippa le bras du deuxième pour l’attirer directement sur ses crocs. Il aspira une ou deux gorgées de sang, mais lorsqu’il entendit un murmure de la part de sa proie, il se releva pour écouter ce qu’il n’avait pas compris.


Pour…quoi…. Commandant…

Un élan de rage prit le contrôle de son corps, et lui trancha la tête proprement. Son masque avait dût tomber. Il espérait vivement que personne d’autre n’avait vu son visage, cela compliquerait les choses

Ne t’occupe pas de cela. Pense à ta fuite. Je t’en reparlerai plus tard, fit une voix que seul lui pouvait entendre.

Il pénétra dans la pièce avec une des clefs que les gardes avaient à la ceinture, puis referma derrière lui et s’enferma à l’intérieur. Si ses calculs étaient exacts, il avait un quart d’heure avant que l’on ouvre cette porte à nouveau, donc il devait faire vite. Il amassa toutes les étagères et les armes de pratique en bois devant la porte, puis prit un baril d’huile qu’il versa sur le tout. Une torche pendant sur le mur compléta l’ensemble, et un joli brasier se dressa devant la porte.

Pendant que le feu prenait de l’ampleur, il rechercha une petite trappe qu’il avait fait installer il y avait des années, lorsqu’il était maitre de ce lieu. Il la trouva finalement, puis s’y glissa, pendant que d’un coin de l’œil, il remarqua que les flammes se dirigeaient rapidement vers les tonneaux d’huile.

Il continua sa course dans les souterrains secrets qui le mènerait en dehors des murs de la capitale. Un sourire était peint sur son visage. Il avait réussi, l’héritage de Nathaniel était dans ses mains.

descriptionVol à la corporation des combattants EmptyRe: Vol à la corporation des combattants

more_horiz
Irkos flânait en ville, sans cesse à la découverte de ce nouveau monde qui s'ouvrait à lui. Il y avait tant à faire, à voir ! Il culpabilisait de partir à l'exploration de l'Empire tandis que son peuple se reconstruisait à des milliers de kilomètres de là, mais il se disait que tout ce qu'il découvrait, tout les contacts qu'il nouait, pouvait aider l'Outre-Mer. Bien qu'au fond de lui, il savait que l'ambiance frivole de la Capitale commençait à le pervertir. Il se promit de rentrer bientôt. Mais un événement changea ses plans.

Un épais panache de fumée s'élevait au loin, et il crut entendre des hurlements. Il courut aussitôt vers le bâtiment, suivant le courant de badauds qui se dirigeait là-bas. Il finit par découvrir une imposante structure, qui ne manquait pas d'imposer le respect, si elle n'était malheureusement pas en train de subir l'assaut des flammes.

Sur les lieux de l'accident, bon nombre de personnes s'affairaient à éteindre l'incendie, mais un plus grand nombre encore se contentait de regarder. Mais qu'attendaient-ils pour aider ?
Ce peuple était décidément bien différent des Natifs, songea amèrement Irkos. Ce dernier s'adressa à un garde, en lui demandant si il pouvait être d'une quelconque aide.

- Rien que tu puisses faire ne sera utile, l'Elfe, les magos des Arcanes ont utilisé leur sorcellerie pour éteindre le gros de l'incendie, y'a plus qu'à prier pour ces braves gars qui ont rejoint leurs ancêtres.
- Que Synodar veille sur leurs âmes, soupira-t-il.

Le garde le toisa d'un œil mauvais, ainsi Irkos s'éloigna promptement. Il aperçut le Géant, Aquilodon, qu'il salua d'un signe de la tête. Il rougit légèrement en se rappelant que le Pontife était aveugle, même si l'infirme semblait l'avoir vu. C'est un peu troublé que l'Elfe surprit une conversation entre deux individus en robe de mage, le visage noir de suie :

- As-tu vu les soldats qui ont péri dans l'incendie ? On rapporte qu'il se serait fait assassiné, du moins c'est ce qu'on a relevé sur les cadavres en bon état.
- Paraît que la porte du bureau du Commandant a été forcé, je ne sais pas qui a fait le coup, mais ce n'était pas un novice...

La banale journée d'Irkos prenait un tour autrement plus intéressant. Une des plus grandes institutions de l'Empire en flammes, un dangereux individu en liberté, il n'en fallait pas plus pour éveiller la curiosité de l'Elfe...

descriptionVol à la corporation des combattants EmptyRe: Vol à la corporation des combattants

more_horiz
Dans un bar miteux faisant frémir tellement l’odeur de la moisissure et la crasse était omniprésente, un homme assis au bar aux multiples fractures dues aux fréquentes batailles sirotait tranquillement son alcool en essayant de ne pas trop faire le difficile. Il faisait tâche au milieu des brutes avec sa petite taille et son apparence frêle mais pourtant personne ne semblait vouloir le dérager, un observateur aurait même dit qu’il était craint par la populace de la taverne, des brutes épaisses pourtant costaudes. Un milieu différent avait été sien, mais maintenant il avait été réduit à ce tenir dans ce genre d’endroit.

Sa mère lui avait pourtant dit de tenter sa chance, de tenter de devenir seigneur plutôt que de devenir le lieutenant d’un souverain, mais malgré ses talents de planificateur et de combattant, il avait choisi de s’associer à l’homme qui avait pris le contrôle d’un royaume avoisinant son village natal. Pourtant, ces années avaient été une bénédiction! Il avait appris les vrais sens des mots noblesse et loyauté dans les actions de son chef, et il s’était juré de le servir jusqu’à la mort. Malheureusement il était celui qui survivait, et chaque jour il se demandait à quoi sa vie pouvait servir.

Dans un fracas, la porte s’ouvrit à la volée pour laisser entrer un vieillard quand même bien en forme, mais ses cicatrices montraient qu’il avait été rendu borgne et défiguré par une quelconque querelle datant du passé. Ignorant les regards des curieux, il beugla à l’homme qui n’avait pas quitté son vers des yeux :


Ignak! La corporation est en feu!

Quoi!

Dans un même geste, il tira quelques pièces de sa bourse à sa ceinture, et bondit vers la sortie. Le borgne n’avait qu’à peine eu le temps d’esquiver une collision, mais il ne fut qu’effleuré par le vent créé par la vitesse d’exécution du mouvement. Tous les gens présents dans l’auberge se lançaient des regards ébahis, tandis que le défiguré déclarait à son assistance :

Par Sorrenssen! Cela fait des mois que je ne l’ai pas vu comme cela. Dans son temps plus jeune, c’était un des meilleurs combattants de la corporation des combattants. On dit même qu’il aurait déjà vaincu l’ancien commandant, Ardent, dans un duel. Les choses ont bien changé depuis…

Traversant la ville à toute vitesse, utilisant ruelles et les toits plutôt que les rues encombrées de civils et de carrioles, voltigeant rapidement. L’on aurait pu croire voir un elfe sylvain dans son domaine, dans les bois où il avait grandi tellement son aisance semblait naturelle, mais s’était sa spécialité, se faisant souvent appeler par les autres soldats de a compagnie Ardente comme ‘’le guerrier urbain’’.

Il arriva bientôt à son but, mais descendit des toits un peu plus loin, question de ne pas apparaitre comme une menace pour ceux qui se trouvaient près des ruines encore fumantes de la corporation. Cela le frappa comme une masse. Le dernier endroit où il se sentait chez lui, l’endroit qui recelait le plus de souvenirs de son chef était maintenant disparu. Tâchant de voir si il connaissait quelqu’un dans les survivants, il grimpa sur un étal se trouvant de l’autre côté de l’avenue pour avoir une meilleure vue. Il reconnut plusieurs gardes qui avaient été en service pendant qu’il avait été l’intendant, mais ce qui le frappa le plus fut la présence d’Irkos de Kalferas. Il ne l’avait pas recruté lui-même, il était parti en mission, c’était un autre elfe nommé Farlen Farden qui s’en était chargé à l’époque. Cependant il avait eu le temps de lire quelques rapports et savait qu’il méritait sa place dans cette corporation, et qu’il avait même mérité le grade de combattant. Il alla donc le rencontrer, puisqu’il semblait la personne la plus digne de confiance, car il n’accordait sa confiance qu’au mérite, et le pontife qui ne se trouvait pas loin lui donnait une étrange impression de malaise. Trop énervé par la scène, il en oublia ses politesses:


Combattant Irkos! Savez-vous ce qui s’est passé avec la corporation? Est-ce un accident ou bien un crime?

descriptionVol à la corporation des combattants EmptyRe: Vol à la corporation des combattants

more_horiz
Alors que l'Elfe continuait d'arpenter les décombres de la Corporation, un homme s'adressa à lui en le qualifiant de ''Combattant''. Il savait que c'était un grade, mais il était étonné qu'il lui soit adressé. Il s'expliqua :

- Se connaît-on ? Vous devez faire erreur, je ne suis pas un membre de la Corporation des Combattants, je m'y suis simplement inscrit il y a fort longtemps, quand mes convictions pour l'Outre-Mer étaient encore enfouies profondément en moi.

Il n'appréciait pas trop qu'on crie sur tout les toits qu'il n'était pas un Natif d'origine, bien que cela lui donna une plus grande légitimité à l'arrivée, au vue des actes accomplies pour une Nation qui n'était pas la sienne à sa naissance.

-Quant à ce qu'il vient de passer... L'Elfe hésitait à donner des renseignements à l'étranger, mais ce dernier semblait connu et respecté des autres combattants. Cela ressemble à un crime. J'ai entendu dire que la porte d'un bureau avait été forcée et que des armes manquaient. J'ai aussi constaté de mes yeux qu'au moins un des soldats n'a pas péri des flammes, de plus il paraîtrait qu'un corps a été retrouvé sans tête. Vous conviendrez comme moi que quelqu'un a provoqué tout ça, l'origine de cet accident est donc criminel, pour répondre à votre question.

Irkos parcourut des yeux la bâtisse calcinée. Par chance, l'incendie avait été maitrisé relativement vite, mais les dégâts restaient importants.

- Une idée du coupable ? Je n'ai pas la prétention de m’immiscer au sein du dispositif, je ne suis qu'un étranger, mais si je peux aider, je le ferai avec joie.

Car ce criminel semble être redoutable. Un brin d'excitation luisait dans ses yeux, tandis qu'il ne cessait de tendre l'oreille à l'affût de discussion intéressante.

descriptionVol à la corporation des combattants EmptyRe: Vol à la corporation des combattants

more_horiz
Je venais de voler sur le dos d’un griffon depuis une bonne partie de la nuit, le jour pointait son nez. Devant moi se dressait la noble cité impériale de Kalamaï. Je n’avais pas annoncé ma venue précipité mais les événements faisaient que j’étais légitime pour désirer voir les faits de plus prêt.
Les deux Ombres avaient opté pour les chemins terrestres afin de couvrir une plus grande superficie. Mais je ne doutais pas d’être arrivé plus tôt qu’eux car les voies aériennes permettaient d’aller tout droit.

Le griffon commençait sa descente et je fus très rapidement au dessus de la corporation des Combattants ou plutôt ce qu’il en restait. Cela était triste à voir et il y avait encore bon nombre de badauds curieux.
L’animal ailé se posa sans un bruit, je glissai de son dos et il se renvola aussitôt pour regagné son écurie dans mon royaume.
Je me dirigeai vers l’entrée de la corporation qui était solidement gardé par un cordon de soldats.

Halte on ne passe pas.

Je dévoilai alors mon visage afin d’être reconnu, cela eu le résultat escompté et les gardes me laissèrent rentrer en tant que Magistrat mais j’étais également présent sous le statut de Spadassin afin de pouvoir récolter des informations.

Il y avait déjà plusieurs personnes qui semblaient chercher des réponses.
Je pus entre autre voir le Seigneur Irkos. Je fus d’abord étonné pour je me rappelai qu’il avait le rang de Combattant et faisant donc parti de la Corporation. Je pus également voir l’intendant Plocournu qui donnait des ordres mais semblait perdu.

Je pris quelques informations sur le déroulement de l’incendie. Il semblait que l’incendiaire connaissait parfaitement les lieux. Il avait également commis un vol et des soldats avaient été retrouvés morts. Ils n’avaient pas encore été enterrés.
Je demandai à voir les cadavres, on m’amena rapidement à la chapelle ardente. Je pus les examiné calmement. Je demandai à ce qu’il n’y ait personne.
Ils étaient carbonisés, toute trace avait disparu. Il ne semblait pas y avoir eu de trace de lutte. J’ai du mal à comprendre les raisons de la mort d’un des deux soldats. Pas de plaie apparente. Mais en examinant de plus prêt je pus voir des traces de morsures à la base du cou. Le coupable serait un vampire bizarre ;
Mais pas si étonnant que cela car selon les témoignages outre le fait qu’il connaissait parfaitement les lieux il avait fait preuve de beaucoup d’agilité.

Je quittai le lieu où reposait les cadavres pour aller voir de plus prêt les origines de l’incendie. J’espérais également pouvoir me rendre dans le bureau du Commandant mais cela n’était pas garanti même avec mon statut impérial.

descriptionVol à la corporation des combattants EmptyRe: Vol à la corporation des combattants

more_horiz
Les deux jumelles avait fait beaucoup de chemins à travers l'Empire, lentement mais sûrement elles avaient fini par rejoindre la cité impériale. Elles en avaient entendu parler comme d'un lieux grandiose et quel ne fut pas leur surprise d'y retrouver du chaos et un brasier fumant. Elle s'approchèrent, curieuses, craintives, elles posèrent des questions ici et là, voulant savoir quel était ce bâtiment avant d'être la proie des flammes. Quelques citoyens les regardèrent, ne comprenant point leur ignorance, puis un soldat leur appris la mauvaise nouvelle.... la corporations des combattants ! Pile l'endroit pourquoi elle venaient en ville, s'y inscrire et combattre.

On fais quoi ?
Je sais pas, on aide ?
Déjà qu'on nous regarde étrangement.
C'est peut être pas courant des jumelles.
N'empêches, je comprend d'être regardé pour nos courbes pas pour notre ressemblances unique.
Tu comprends ? Pourquoi tu blesses les hommes qui regarde de trop près alors ?
C'est pas pareil, quand je blesse c'est qu'ils en font trop !
Mais trop c'est relatif, question de perception.
Ah non recommences pas ce débat !
Ok ok, alors on fais quoi ?
À toi de me le dire, j'ai posé la question la première.
Allons flâner autour, nous verrons bien.

Nunä & Mäelle s'approchèrent, côte à côte, une main sur la garde de leur lame respective. Elles regardèrent ce qui restait du bâtiment, celui-là même où ils auraient pu être si Mäelle n'avait pas brisé l'attache de son haut, forçant une halte pour réparer le dit tissu. Un frisson parcouru les deux elfes, la destinée et la vie ne tenait parfois qu'à un fil. Mais rien n'arrive pour rien, cet imprévu leur avait probablement sauvé la vie.

Elles prirent places sur un bancs de l'autre côté de la rue et attendirent quelconque intervention de la part de tout invidus d'un certains rang...

descriptionVol à la corporation des combattants EmptyRe: Vol à la corporation des combattants

more_horiz
Je pouvais voir l’Intendant qui donnait des consignes afin de réorganiser sa corporation et d’effectuer les réparations nécessaire à son bon fonctionnement. Les dégâts étaient considérables mais pas irréparables avec un peu de temps et de l’or. Or je ne savais pas si le temps était un luxe que nous possédions. Il serait certainement nécessaire de travailler de nuit en plus, heureusement l’or ne manquait pas et l’Empire pouvait en apporter si besoin.

Mais cela n’était pas pour moi la priorité du moment que cela était fait. Au pire je pouvais envoyer un haut fonctionnaire pour soutenir la réorganisation.
Ce qui me préoccupait était de retrouver le coupable et de rendre la justice. Et pour ce type d’enquête j’étais, il me semble, la personne la mieux placé et informé de Kalamaï. Pour cela j’allais devoir mettre des agents sur l’affaire voir même des membres. Peu m’importait de comment nous obtenions des informations ce qui me preoccupait était d’avoir des réponses rapidement.

Après avoir observé attentivement les scènes de crimes et de l’incendie je décidai d’aller voir le Combattant Irkos.


Bonjour Seigneur Irkos, à moins que vous n’ayez obtenu le titre de Roy ?
Je suis fort heureux de vous voir.
Il me semble que vous avez été durant un temps Combattant de cette noble Corporation. Je ne sais pas si vous en faites encore parti et peut importe.
Avez-vous une idée de ce qui a pu se passer ?

descriptionVol à la corporation des combattants EmptyRe: Vol à la corporation des combattants

more_horiz
Eolia et Samia arrivèrent enfin à la corporation, mélangées à la foules des badaud, elles détaillèrent les lieux, ou ce qu'il en resté, tout en restant cachées aux yeux du commun des mortels. Seules quelques personnes sauraient les desceller dans la masse.

La vampire avait laissé son cheval à l'exterieur de la ville en liberté, l'animal saurait retrouver sa maitresse si cette dernière lui en donnait l'ordre.
Pour l'instant les deux membres de l'ombres attendaient...

descriptionVol à la corporation des combattants EmptyRe: Vol à la corporation des combattants

more_horiz
Sur les chemins de la capital, un cheval portant sur sont dos un étrange individus, l'animal avancée d'un pas non chalant, et l'homme sur sont dos tête baissé portant sur lui une armure de maille mal entretenus, des vêtement sale sans emblème apparent, portant un casque a nasal abimé présentant des zones de rouille, plusieurs vieille plaie était encore visible sur les partie déchiré de l'armure du guerrier.

Deux oui, deux ans que ce guerrier parcours les terres de l'empire après tout ce qu'il a vécu, tout le mal qu'il a pue faire il revient malgré tout vers la capital le seul endroits qui le rattache a quelque chose.

Cette individu, c'était Varatorn, ancien seigneur d'Aldanas, ancien palatin de Vénopole, mais toujours et jusqu'à sa mort combattant de la corporation des combattants.

Alors qu'il s'approchait peu a peu de la capital il vire au loin une étrange fumé qui monté au ciel, cela n'importé peu au guerrier qui poursuivi sa route en direction de l'entré de la capital.

Une fois la porte principal passé, le guerrier n'eurent aucun mal a retrouvé le lieux ou la corporation des combattants siégé, mais très vite plus le guerrier j'approchai plus il trouvé curieux l'affluence de personne dans les rues qui menais a la corporation, une fois arrivé au dernier angles de rue qui donner sur la corporation, Varatorn respira un bouffé d'air et soudain ou lieu de sentir un air frai, l'air qui pour lui serai l'annonce d'un repos bien mérité après deux ans de lutte et de défaite, il respira une fumée, une fumée qui présagé rien de bon, et une fois l'angle de la rue passé, il vire l'édifice de la corporation des combattants meurtrie par le ravage d'un incendie, tout en restant calme, mais le cœur serrez de voir que sont dernier refuge n'était que cendre, il continua sur le dos de sont cheval, a ce rendre a l'entré de la corporation, une rangée de soldat bloqué l'accès, je m'approcha de cette rangée, puits retirant mon casque de dit :

<< Soldat je vous prit de me laisser passé. >>

Le soldat me regarda d'un air perplexe il semblait jeune et ne m'a pas reconnue sur le moment, mais derrière lui un sergent reconnue ma voix ce tourna vers moi en annonçant :

<< C'est bon ! laisser le passé il s'agit du Seigneur Varatorn >>

Les soldats me laissère passer puits une fois au niveau du sergent en question, je mis pied a terre et m'adresser a lui :

<< Sergent, que c'est t'il passer en ces lieux, qu'est t'il advenu de la corporation, pourquoi et telle en ruine ? >>

Le sergent désignant de sont doigt l'armorie et répondit :

<< Monseigneur, nous avons subit un cambriolage, plusieurs vol on était signalé, notamment des effets présent dans le bureau du commandant, le voleur ces enfuit dans l'armurie en tuant deux garde et a prit la fuite tout provoquant l'incendie des lieux pour le moment nous dégageons les débris et éteignions les derniers foyer de flamme, le magistrat Adola et présent pour l'enquête et ... >>

A ce moment Varatorn détourna sont regard cherchant des yeux Adola, l'un des acteurs de la déchéance de Varatorn, le cœur du guerrier brulé, brulé d'une rancœur meurtrière qui tenta de maitrisé malgré tout. Sans laisser le Sergent finir sont discours Varatorn franchie les mur donnant les reines de sont cheval a un soldat pour qu'il aille le rangé a l'écurie et ce dirigeant vers les lieux du méfait afin d'en savoir plus sur les circonstance du vol commit.

Dernière édition par Varatorn le Mar 8 Nov 2011 - 18:03, édité 1 fois (Raison : Fautes et mise en forme du méssage.)

descriptionVol à la corporation des combattants EmptyRe: Vol à la corporation des combattants

more_horiz
Irkos avait continué ses recherches personnelles, avec le faible espoir de trouver le criminel sur les lieux. Personne ne l'avait vu, soit il était invisible, soit il avait emprunté un passage peu connu des simples soldats. Il ne tarda pas à trouver Adola sur les lieux. Décidément, cet incident attirait les plus grandes personnalités de Kalamai, l'affaire prenait une tournure beaucoup plus grave.

Bonjour Seigneur Irkos, à moins que vous n’ayez obtenu le titre de Roy ?
Je suis fort heureux de vous voir.
Il me semble que vous avez été durant un temps Combattant de cette noble Corporation. Je ne sais pas si vous en faites encore parti et peu importe.
Avez-vous une idée de ce qui a pu se passer ?


- Bien le bonjour à vous, Sire Adola. Je n'ai pas encore eu l'occasion de vous remercier pour la bourse qu'un de vos messagers m'a envoyé, ainsi je le fais devant vous en ce jour.
Ensuite, continua Irkos avec un petit sourire, je suis Roi depuis le jour où les pirates se sont fait chassés de l'Outre-Mer.
Concernant mon passé de Combattant, il fut très court, et je crains n'avoir pas beaucoup aidé, au contraire. Je suis parti juste après en Outre-Mer où j'ai commencé mes activités d'indépendantiste, mais au vu de la situation actuelle, on peut penser que mon combat fut juste et honorant pour la Corporation.


Mais tout cela n'est pas le sujet. Je suis arrivé ici juste après l'incendie, et j'ai collecté quelques informations. L'individu en question est un être puissant, plus qu'un simple humain, et semble à l'aise dans le maniement des armes. Il a dérobé des objets de valeur, dont une lame qui appartenait à un illustre Combattant, qui se nommait... Nathanel ? Je ne me souviens plus de son nom, je ne le connaissais pas. Il a ensuite mis le feu et s'est sauvé sans que personne ne le voit, sans doute par un passage souterrain. Voilà tout les éléments dont je dispose, mais je suis sûr que d'autres soldats pourront vous en dire plus.

L'Elfe n'en croyait pas un mot, étant donné qu'il avait écouté à distance toutes les discussions entre haut gradés des Combattants. En attendant, il donnerait cher pour trouver ces fameux dédales.

Dernière édition par Irkos le Mer 9 Nov 2011 - 22:59, édité 1 fois

descriptionVol à la corporation des combattants EmptyRe: Vol à la corporation des combattants

more_horiz
Ce vieil idiot d'Aquilodon devenait de moins en moins apte à la conversation, ce qui était bien triste pour le pauvre inquisiteur qui n'avait plus personne à énerver. Non mais franchement piétiner comme ça une si grande amitié ce n'était pas très correct de sa part. Mais bon après tout la terre continuait de tourner. Il sortit donc du siège de son ex-corporation qui n'avait plus d'importance pour lui ... La corporation du culte n'en avait plus que le nom, c'était devenue ni plus ni moins qu'un ramassis d'abrutis à la botte d'Aquilodon. Si l'Inquisition avait un minimum de vertu et de cran elle n'aurait jamais du s'incliner face à ce faible et à ce couard. Mais tout ceci n'avait guère d'importance, les sous-fifres de Fardall auraient un pontife à leur juste mesure un banal couineur démagogique. Mais bon l'incendie de la corporation des combattants était quelque chose d'interessant. Il allait y faire un tour, comme ça en touriste. Il se mit à marcher dans les rues pavées de la capitale. Ses blessures ne lui faisaient plus aussi mal qu'avant, mais cela n'avait pas d’importance c'était la punition pour sa faiblesse. Un blasphème pour un fidèle de Brak.

Le bâtiment carbonisé lui apparu alors. Une foule de soldats, passant, aristocrate s’agglutinait tout autour de la bâtisse. Aedric soupira, il allait falloir se frayer un passage. Ce qu'il fit à grands coups d'épaule, ces types l'emmerdaient, ils n'avaient rien d'autres à foutre que de regarder ? Un visage lui sembla familier ... Ou plutôt une paire d'oreilles pointues et une chevelure blonde. Irkos de Kalferas, roi d'Outre-Mer accompagné du pantin Adola. L'un lui inspirait le respect l'autre un mépris sans nom. Pas difficile de deviner lequel du fier roi natif et du niais qui résister des règles et les ordres de son maître. Il aurait fallu un empereur de la trempe d'Irkos pour sortir l'Empire de sa décrépitude. S'approchant sourire aux lèvres des deux individus.

Tiens tiens, mais qui voilà. Le noble roi des païens monothéiste et notre magistrat fierté de notre si brillante administration. Je ne savais pas qu'on pouvait rencontrer un si beau monde près des restes d'un incendie. A mon grand plaisir ça n'a pas touché la corporation du culte, s'eut été tellement dommage qu'il arrive quoique ce soit à notre guignol de pontife vous ne trouvez pas ?

D'ailleurs Aquilodon n'était il pas sensé venir ici, un géant ne passant jamais inaperçu Aedric en déduit que le géant avait pris du retard. Il se tourna vers Irkos en désignant la cicatrice sur son visage. Il parla sur un ton plus sérieux et moins cynique

Je garde un souvenir inpérissable du courage et du talent de sa Majesté. Mais je m'étonne que ne soyez pas rentré en vos terres. Votre peuple ne s'est pas battu pour son indépendance pour que vous fassiez mumusse avec les impériaux. Mais si vous avez du temps à perdre, je me ferais un plaisir de vous faire visiter l'Empire. Votre victoire dans notre duel fait de moi votre obligé. Vous m'avez montré que les Natifs ont leur valeur. Vous me faites penser à un Natif avec qui j'ai combattu à l'Abysse et qui est mort pour l'Empire. Même si je persiste à dire que votre place était sous domination impériale. Quand à vous mon cher Adola, vous qui êtes toujours le mieux informé des impériaux que savez vous donc sur ce qu'il vient de se produire ?

Puis souriant à nouveau il ajouta :

Ne vous avais-je pas dis que si les natifs devenaient indépendants tout l'Empire partirait en ruines ?

descriptionVol à la corporation des combattants EmptyRe: Vol à la corporation des combattants

more_horiz
Aquilodon, accompagné par le jeune Gulion et le prêtre-guerrier Lammarant, arriva enfin sur les lieux du brasier, s'appuyant sur son bâton. Son regard brûlé fixé dans le vide semblait triste, et il paraissait sentir la peine et l'angoisse des rescapés de l'incendie. Se dirigeant vers Adola, Irkos et Aedric, déjà en grande conversation, il se mit tout naturellement à y participer.

- Eh bien Aedric, on s'attarde ? Je ne peux donc que vous conseiller de quitter rapidement les lieux avant que vous ne risquiez de vous attirez plus encore l'ire des dieux. Messires Adola, Irkos, mes respects. Un bien grand désastre que voilà. Adola, savez-vous ce qui est arrivé ? Le sieur Lammarant ici présent m'a averti en urgence que les locaux du Corpus guerriers partaient en fumée, mais guère plus de détails.

Se penchant jusqu'à l'oreille du Magistrat, Aquilodon continua en aparté.

- J'ai également à vous parler seul à seul. Je pensais que ma missive vous trouverait en vos terres, mais visiblement, vous êtes revenu. Il s'agit d'un problème d'Etat.

descriptionVol à la corporation des combattants EmptyRe: Vol à la corporation des combattants

more_horiz
Les fâcheux événements qu’avait subis la Corporation des Combattants commençaient à attirer un peu trop de monde à mon goût. La scène de crime allait être compromise, heureusement j’avais eu le temps de recueillir les informations nécessaire selon moi. Mais je ne pouvais admettre qu’autant de monde puisse pénétrer ici.

Le Roi Irkos venait de me répondre et apportait les confirmations de ce que j’avais pu apercevoir sur les cadavres. Mais je p savoir ce qui avait été dérobé.


Nathanael ! cela doit donc être le sabre !

Mais peu de personne avait connu cette époque sanglante. Le Commandant déchu avait été exilé à l’arrivée de Fardall.

Je vous remercie Roi Irkos pour vos précieuses informations. Et sachez que les portes de la dites corporation ne vous sont pas fermée tout comme à ceux d’Outre-Mer. Les corporations ne sont plus Impériales et acceptent toutes les bonnes volontés.


Mais dès que j’eus fini, je vis un revenant, Varatorn !
Il me vit et sembla se crisper. Il est vrai que je m’étais présenté à la porte de son royaume pour le trainer devant le tribunal Impériale mais il m’avait échappé.
Je décidai de briser la glace et d’avancer vers lui. Lui par contre ne sembla pas enclin au dialogue mais préférait surement m’affronter.


Bonjour Seigneur Varatorn.
Je vous croyais mort et je suis bien ravi de constater le contraire.
Pour ma part après votre dévouement, lors de la première embuscade que nous avons subi dans l’expédition du Grand Nord, je vous considère comme laver de votre traitrise envers l’Empire. Du moment qu’il n’y a pas récidive bien entendu.

Mais je suis bien au regret de vous revoir en de pareilles circonstances. Le bâtiment des Combattants a subi une attaque comme vous pouvez le constater. Mais heureusement l’âme de cette corporation demeure intacte tant qu’il y aura des membres tels que vous pour la soutenir et apporter son soutien à la cause et au peuple et non pour prendre le pouvoir et s’enrichir.


Mais rapidement un autre protagoniste nous rejoignit. Et il n’était pas des moindre, l’ex-Pontife.
Nous étions maintenant quatre, le Roi Irkos, Varatorn, moi-même et le Rouge.
Je vis également les deux Ombres qui étaient arrivées, mais elles semblèrent préféré resté à l’écart.


Bonjour Palatin Aedric, excusez moi Seigneur Aedric.
Vous frisez le ridicule avec votre ironie. Il semble que vos mésaventure ne vous ont point suffit.

Il était mordant, et je désirais lui montrer que je pouvais également jouer sur le même terrain.

Et vous devriez faire attention à ce que vous dites. Vos propos pourraient être interprétés comme un aveu de culpabilité ou de complot. Et si tel est le cas je pourrais vous faire arrêter sur le champ et vous constateriez que les geôles de l’Inquisition font figure de chambre de luxe comparé à certaines cellules dont j’ai connaissance !
D’ailleurs pouvez-vous m’expliquer ce que vous faites ici ? Les civils n’ont rien à faire sur ce lieu sauf ils ont quelques témoignages à apporter !


Mais Le Seigneur n’eut pas le temps de répondre que le Pontife arriva. Il me demanda audience.

J’entends votre demande cher Pontife. Par la suite, je serai soit à mon bureau de la Magistrature soit à celui de l’Ombre si cela vous convient.

descriptionVol à la corporation des combattants EmptyRe: Vol à la corporation des combattants

more_horiz
Je me retrouver la 2 ans plus tard en face de celui qui était sensé être mon bourreau, la personne qui devait me faire condamné pour les crimes que j'ai pue commettre il a cela de nombreuse année, je ne savait plus quoi faire mon envie de vengeance était tel que j'étais prêt a tout, mais au beau milieu de la capital dans l'une de ces institutions il et sur que j'aurai aucun mal a lui porté un coups fatal et lui arraché sa tête, mais une chose et sur je ne ferai pas de vieux os aucune chance que je puise m'échappai du périmètre, j'étais donc résolu a accepter le dialogue, mais ce fut le Magistrat qui engagea la conversation en premier :

<< Bonjour Seigneur Varatorn.
Je vous croyais mort et je suis bien ravi de constater le contraire.
Pour ma part après votre dévouement, lors de la première embuscade que nous avons subi dans l’expédition du Grand Nord, je vous considère comme laver de votre traitrise envers l’Empire. Du moment qu’il n’y a pas récidive bien entendu.

Mais je suis bien au regret de vous revoir en de pareilles circonstances. Le bâtiment des Combattants a subi une attaque comme vous pouvez le constater. Mais heureusement l’âme de cette corporation demeure intacte tant qu’il y aura des membres tels que vous pour la soutenir et apporter son soutien à la cause et au peuple et non pour prendre le pouvoir et s’enrichir. >>


Je n'était pas surprit du discours pacificateur du Magistrat et je lui répondit :

<< Hum, vous dit que pour vous je suis laver de la traitrise envers l'Empire, mais quel traitrise je n'ai fait que servir sont intérer remémorer vous les faits passé, souvenait vous qui et réellement l'Empereur et peut être vous comprendrai que votre nouvelle enfin nouveau depuis 2 ans n'est qu'un fantoche manipulé par des êtres tel que vous qui prétexté a tous va que ces pour l'Empire que vous faite sa. Vous détenais le pouvoir Judiciaire et avec votre fantoche sur le trône vous possédé également le pouvoir Exécutif.
Et donc du haut de votre cheval blanc vous penser me toi-sonner et me faire croire que je suis laver des actes passé,
Vous êtes naïf de croire que je serai lâche au point de me ranger de votre coter, je serai et pour toujours du coter du vrai empire, pas de l'institution que vous oser nomme un empire avec un fantoche manipulé par sont propre gouvernement a sa tête.
Soyer assurer je ne serai jamais asser désespérer pour tomber a genoux et réclamer le pardon de mes actes passé je ne regrette rien et croyait moi tant que je vivré sa ne sera jamais terminée. >>


Varatorn regarde autour de lui il aperçois que de nombreuse personne on surprit la conversation entre lui et le magistrat, tout en restant droit et digne il s'adressa a nouveau au Magistrat :

<< Je suis en effet un combattant, et je ne trahirai jamais mon serment fait a la corporation, mais sacher que je ne suis pas quelqu'un qui ce laisse facilement intimidé, voir même enclin a devenir docile, je suis et resterai ce que je suis.
L'inquisition peut venir me cherché si vous penser ces nécessaire, mais sacher jamais je ne reconnaitrai légitime votre gouvernement et je brandirai toujours l'étandart de bataille contre les corrompues qui on entaché de honte les hautes fonction de l'Empire, je me battrai jusqu'à leur mort ou jusqu'à la mienne. >>


Le discourt de Varatorn avait attiré de plus en plus de monde ce qui a eu pour effet de commençais a mettre mal a l'aise le guerrier, malgré tout il continua a fixé le regard du Magistrat Adola jusqu'à ce que celui daigne lui répondre.



Dernière édition par Varatorn le Jeu 10 Nov 2011 - 18:59, édité 1 fois

descriptionVol à la corporation des combattants EmptyRe: Vol à la corporation des combattants

more_horiz
Les jumelles avaient tout entendu du discours des propos de Varatorn, dont les faits et gestes avait circuler jusqu'à eux voilà quelques années. Elles-mêmes habitantes de l'ancienne Vénopole, elles avaient sauté de joie lorsque celui-ci avait été forcé de quitter la tête de la province. Et maintenant, il était là, devant eux, criant qu'il n'avait rien fait de mal et que l'Empereur Fardall n'était qu'une poupée de chiffon. Elles s'avancèrent et engagèrent la conversation, tour à tour, comme à leur habitude.

Pardon messire Adola
Permettez-nous de répondre à cet individu.

Tu es Varatorn ?
Celui qui a causé tant de mal à Vénopole ?
Nous avons entendu tes propos à l'instant.
Nous avons subi la misère et la faim lorsque tu étais dirigeant de Vénopole !
Tes actes sont répréhensible en tout point.
Tu as causé la misère du peuple et ce fut une libération que te de voir détrôné.
Tu parles comme si le défunt empereur Enguerrand était un dieu.
Il n'était qu'un homme en soif de puissance, tout comme toi.
Des êtres sans scrupules, qui tue, brûle, vol, pour soumettre les paysans à leur joug.
C'est la torture qui devrait t'être donné, un cachot froid et humide.
Les Combattants ne devrait pas garder un rat dans leurs murs.
Un menteur et un profiteur, voilà ce que tu es.
L'honneur, tu n'en a pas.

Les jumelles arrêtèrent là avant que la rage ne l'emporte sur leur sang-froid. Il n'était pas à elles de faire son procès, mais de dire ce qu'elles pensaient depuis si longtemps de cet homme putride venait de leur faire du bien. Elles attendirent quelconque réponse de Varatorn.

descriptionVol à la corporation des combattants EmptyRe: Vol à la corporation des combattants

more_horiz
La réponse qu'il avait fourni à Adola semblait avoir satisfait au plus haut point ce dernier. L'Elfe ne voyait pas en quoi, mais c'était une bonne occasion d'obtenir des informations sur un probable souterrain secret. Mais avant qu'il ne put continuer leur discussion, le Seigneur Aedric vint à leur encontre, qui tout de son sarcasme, vint les provoquer. Il réussit en une minute à insulter le Pontife, se moquer d'Adola, et sous-entendre que l'Outre-Mer serait la cause de l'incendie, une grande performance.

- Il m'a semblé que l'Empire n'ait pas attendu notre indépendance pour commencer sa chute vers le bas, répondit simplement Irkos. Et vous n'y êtes pas pour rien, Seigneur Aedric.

L'Elfe respectait l'Inquisiteur pour ses compétences martiales, mais ses propos l'empêchait d'en faire un homme vertueux à ses yeux. La réplique acerbe ne semblait pas avoir ébranler le Rouge, qui en souriait et qui semblait persuadé du contraire.

Puis vint Aquilodon, à qui Irkos rendit son salut d'un hésitant '' Mes respects, Pontife '', sans trop savoir comment on maniait le terme de chef de l’Église dans l'Empire.

Et enfin survint une succession d'évènements qui déboussolèrent un peu l'Elfe. Un Combattant nommé Varatorn discutait avec Adola, et visiblement il ne se portait pas une grande affection. Puis deux Elfes, identiques comme deux gouttes d'eau, s'en prirent à Varatorn. La rixe attirait quelques badauds, et Irkos profita du léger brouhaha pour poser une question au Géant Aquilodon :


- Excusez-moi, Pontife, mais ma culture de l'Empire reste à parfaire. Je croyais qu'en entrant dans une Corporation, on servait l'Empire, et ainsi l'Empereur, est-il possible d'y être opposé ? Si un Combattant est sensé servir l'Empire mais en exècre l'Empereur, son honneur ne lui guide-t-il pas de se retirer de l'institution, sous peine d'être un parjure ?

Aquilodon sourit à la question, contrairement à Varatorn qui ne semblait pas bien le prendre. Visiblement, Irkos avait, lui, une vision claire des choses. Quoiqu'il en soit, il attendrait patiemment la fin de la discussion pour tenter de trouver des renseignements auprès d'Adola, ou d'autres, sur la présence d'un passage secret.

descriptionVol à la corporation des combattants EmptyRe: Vol à la corporation des combattants

more_horiz
Varatorn surprit d'entendre une voix de femme l'interpeler ce retourna dans la direction de celle-ci et vire deux délicieuse créature elfique, mais de manière ferme il dit :

<< Je ne vous permet pas de me tutoyer ainsi de plus, vous vous considérer comme le peuple de vénopole ! Ahahah >>

Varatorn ria de bon cœur et repris peu après ces esprits.

<< Vil créature manipulatrice, soyer heureuse d'être dans la capital, en vénopole on vous aurai torturer, violer puits noyer pour de tel parole contre votre monarque. Et si je me souvient bien les elfes telle que vous n'était pas les bienvenus en mes terres, je dirai même que nous procédions a des déforestation massive de la régions, pour chasser la vermine telle que vous et alimenté la glorieuse machine de guerre vénopolienne et ces forges des montagne grises en avait bien besoin, jusqu'au jour ou deux satané elfe telle que vous me piegère pendant que je fessait brulé des terres ou allentour de Vénopole. >>

Varatorn droit et d'un ton supérieure dit :

<< Vous ne savait rien de ce qui a pue ce passer créature ignorante, la désolation et le malheurs ce sont répandu sur les terre par la faute de Fardall qui poussa l'Empire dans la guerre civil, et ce sont les armée impérial qui on raser le territoire de Vénopole pour ensuite le rattacher a Naxos pour crée Naxopole. Que ce maudit Fardall paye pour ces crimes qui sont bien plus odieux que les mien, pour ce qui et de votre misérable peuple, je vous traquerai tel des rats, je vous vaincrai et vous exterminerai moi même si il le faut. >>

A ce moment la un autre interlocuteur intervient dans la discution :

<< Excusez-moi, Pontife, mais ma culture de l'Empire reste à parfaire. Je croyais qu'en entrant dans une Corporation, on servait l'Empire, et ainsi l'Empereur, est-il possible d'y être opposé ? Si un Combattant est sensé servir l'Empire mais en exècre l'Empereur, son honneur ne lui guide-t-il pas de se retirer de l'institution, sous peine d'être un parjure ? >>


Varatorn ce tourna vers lui de manière agréssive et ce mi a son niveau le regard dans les yeux et lui dit :

<< Pour qui vous prenais vous pour insinuer que je n'ai rien a faire ici, j'ai servit cette corporation et versé plus de sang que qui-conque ne peut imaginé pour servir l'Empire et maintenant qu'un traitre siege sur le trone je devrai me retirer, sacher que personne ne me dicte ma conduite, personne ! >>

Varatorn commençais a bouillir de rage voulant massacré ces quatre interlocuteur qui interpellée alors qu'il venais juste de rentrer cher lui dans la corporation des combattants.

descriptionVol à la corporation des combattants EmptyRe: Vol à la corporation des combattants

more_horiz
Irkos regardait le Combattant avec un sourire de coin. Il possédait des idéologies discriminatoires encore plus prononcées que celle d'Aedric, et il tenait des propos incohérent.

- Un soldat qui refuse de se laisser dicter sa conduite ? Personne n'est donc en droit de vous donner des ordres ? Vous n'êtes pas un Combattant, juste un mercenaire avide de sang.

En Outre-Mer, traiter un soldat de mercenaire était un injure grave, mais il ne savait pas si ce mot avait beaucoup de poids au sein de l'Empire.

- Quant à moi, je suis celui qui a unifié l'Empire et l'Outre-Mer, qui a conduit ces deux armées pour sortir victorieux d'une invasion sans précédent, une invasion de guerrier comme vous, avide de sang, de viol, de destruction, je suis celui qui a redonné son indépendance à une Nation entière non pas en se battant contre son bourreau mais en se battant à ses côtés.
Ne parlez pas d'honneur quand vous menacez de viol et de mort deux femmes, vous n'êtes qu'un être perfide à qui les Dieux ont fait l'erreur d'accorder de trop puissants dons. Mais Synodar pourrait bien réparer cette faute.
Maintenant, bien que je n'ai aucun ordre à vous donner, je ne saurai que vous conseiller de circuler. Vos propos n’intéressent personne et nous souhaiterions résoudre cette affaire et rendre mémoire aux soldats morts aujourd'hui. Si cela signifie quelque chose pour vous, laissez-nous.


Irkos s'était emporté, mais il ne pouvait se taire devant un tel comportement. Tout en gardant une attitude posée, la seule violence provenait de ses mots, il gardait les yeux rivés sur le mercenaire.

descriptionVol à la corporation des combattants EmptyRe: Vol à la corporation des combattants

more_horiz
Seigneur Irkos, je ne faisais qu’une petite plaisanterie. Vous vous êtes battu et m’avez battu. Les fidèles de Brak s’inclinent face à ceux plus fort qu’eux. Moi qui venais de vous complimenter … Loin de moi l’idée d’insinuer que les Natifs se livreraient à de pareilles exactions. Votre peuple est trop fier pour ces bassesses. Non ça serait plutôt le style de notre magistrat bien que je doute qu’il en soit à l’origine. Mis nous sommes d’accord sur le fait que l’Empire tombe vers le bas.

Adola ne dîtes pas de bêtises quels intérêts pourrait avoir le pauvre palatin que je suis à bruler une corporation que je n’ai fréquenté que durant la bataille de l’Abysse. Un fin limier comme vous ne serait pas assez stupide pour croire ça non ? Par contre je ne nierais pas l’envie profonde que j’ai de me battre avec Aquilodon. Ces mains de couard souillent jours après jours la sainte Claymore de Brak Saviez-vous que l’Aveugle envoie des assassins déguisés en diplomate maintenant ? Quant à vos cellules, ça serais avec plaisir même si je doute qu’elles puissent être plus terribles que les miennes. A moins que vous ne soyez plus que le gratte-papier que vous prétendez être ? Je me suis toujours dis que vos muscles n’étaient pas ceux d’un fonctionnaire. Et au risque de vous le rappeler, je ne suis pas un civil, du moins pas plus que Sa Majesté Irkos. A moins que vous ne vous décidiez sous couvert d’une de vos légendaires œuvres démocratique à mettre un pantin à la tête de Thassopole comme vous l’avez fait pour le culte. En parlant de pantin en voilà un grand tiens !

Quel plaisir de vous revoir ô très saint Pontife. Vous êtes encore plus rayonnant que d’habitude. Cela doit venir de votre regard.


Puis le géant réitéra ses menaces, ce qui fit rire Aedric.

Toujours pas Aquilodon. Je suis ici chez moi autant que vous êtes ici chez vous. Et ne vous inquiétez pas pour moi j’ai la peau dure.

Puis débarqua un certain Varatorn, le discours qu’il tenait plut à Aedric. Mais ce type était un ennemi de l'Empire le dernier larbin d'Enguerrand encore vivant.

Je vois qu’au moins un impérial du continent a gardé une paire de …

Dit l’ex pontife en ricanant. Puis tout partit en vrille. Deux elfes débarquèrent de nulle part rappelant des événements peu glorieux du règne de Varatorn. Puis il commença à s’engueuler avec Irkos. Les éclats de voix couvrirent à peine ses ricanements.

Pour répondre à votre question Irkos, bien qu’elle ne m’ait pas été posée. Il y a une grande différence entre servir l’Empereur et servir l’Empire. L’Empereur n’est qu’une personne, un type comme un autre dont l’image sert à certains pour s’accaparer du pouvoir, on trouve de jolie spécimen de ce type à Maon ou à Zackinthe par exemple. Servir l’Empire est bien plus noble. C’est ce battre pour un peuple, une histoire, une culture, une religion, un tout. C’est se battre contre les brigands, les monstres, les sorciers ou même des nécromanciens qui menacent la paix. Se battre pour que les sacrifices des frères kalamaïens qui nous ont précédés ne soient pas vains. Vous vous apercevrez que beaucoup qui se disent serviteur de l’Empereur ne servent pas l’Empire. Là encore les Natifs sont bien plus nobles que nous, pour désigner votre pays vous parlez de Nation. Vous vous désignez comme un peuple, pas comme une hiérarchie.

Seigneur Varatorn il est vrai que vous gênez, si c’est pour brailler comme un enfant à qui on a volé ses jouets, vous n’avez rien à faire ici. Vengez-vous si ça vous amuse mais agissez. On ne se venge pas avec des mots. Vos motivations sont certes nobles. Mais vous êtes un serviteur d’Enguerrand, et j’ai une certaine aversion pour eux depuis mon incarcération à Nothaume. Et puisque vous parliez d’être traquer devant l’inquisition, en voilà un. Enfin un inquisiteur indépendant, petit problème avec la hiérarchie … Mais si vous voulez régler vos compte avec l'Empire je suis votre homme. Enfin si Adola est d'accord. J'obéis aux ordres maintenant ! Par contre si j’étais vous à moins d’aimer ma cicatrice et de vouloir avoir la même j’éviterais de provoquer l’elfe. Il est costaud !


Dernière édition par Aedric le Jeu 10 Nov 2011 - 21:22, édité 1 fois

descriptionVol à la corporation des combattants EmptyRe: Vol à la corporation des combattants

more_horiz
Aedric surprit l'Elfe. Il s'excusa, et parut sincère quand il exprima le respect qu'il éprouvait envers lui. Finalement, il n'était pas le sale type qu'Irkos s'imaginait. Un peu honteux de s'être fait aveuglé par ses préjugés, il écouta attentivement ce que l'Inquisiteur affirmait.

- Je vous remercie de cette explication, Seigneur Aedric. Néanmoins, elle ne me convient pas, du moins moralement. Si je savais une partie conséquente de mon peuple contre moi, je tenterai de résoudre ce problème rapidement puis je quitterai mon poste si nécessaire. Il m'est difficile de concevoir un Empereur qui ne représente pas un Empire. Si on se bat pour l'Empire, alors on se bat aussi pour la figure qui l'incarne. Mais ma méconnaissance de votre culture m'a surement fait dire quelques approximations, bien que je soutiens mes propos vis à vis de Varatorn.

Un peu plus tranquille, l'Elfe attendit que quelqu'un d'autre prenne la parole. Il avait calmement exposé son point de vue et reconnut ses torts, et il espérait que tous en ferait autant afin de s'attaquer au véritable problème.

descriptionVol à la corporation des combattants EmptyRe: Vol à la corporation des combattants

more_horiz
Aedric ne put s'empêcher, dès l'arrivée du géant, de lui lancer ses accusations et sarcasmes habituels.

- En fait d'assassin déguisé en diplomate, Aedric, je vous ai envoyé un vieillard désireux de préserver la paix, et vous l'avez enfermé dans une geôle dont vous avez le secret en accusant sans fondement et sans preuve Zakinthe. Et vos remarques ne me touchent plus guère. Vous vous pensez exceptionnel parmi les grands ? Prouvez-le, au lieu de jacasser comme nous, ceux que vous critiquez.

Irkos, s'interposant habilement, posa une question au Grand Prêtre.

- Et bien, Seigneur Irkos, ou Roi... Qu'importe votre rang, en fait, là n'est pas le débat... rejoindre une Corporation c'est servir avant tout cette Corporation. La constituer, en fait, plutôt. En être un membre, qui l'aide à rester en vie en ces heures sombres. Après, bien entendu, les Corporations ont des obligations envers l'Empire, et sont des Institutions Impériales. En tant que telles, elles ont des comptes à rendre à l'Empereur, via le Magistrat des Institutions Impériales, Adola, ici présent. Ainsi, oui, les membres d'une Corporation ont des obligations envers l'Empire et l'Empereur, mais il peut arriver qu'ils doivent désobéir, parce que le bon-sens, les dieux et la raison l'exigent. Contre un usurpateur despotique et cruel, par exemple. En fait, je rejoins assez, pour une fois, l'opinion d'Aedric sur le sujet, même si les petites allusions au seigneur Babka et à moi-même sont légèrement déplacées. L'Empereur n'est au fond qu'une personne comme les autres, avec plus de tripes et de prestance, peut-être. Mais c'est quelqu'un de bien, le fait qu'il soit assez passif ces temps-ci mis à part. Il est vrai que son œuvre en tant qu'homme et héros est tout à fait légendaire, alors que son action comme Empereur n'est que l'ombre de celle d'un véritable grand comme Siméon, l'Empereur Soleil. Mais nous nous éloignons du sujet.

Ici, comme vous avez pu le remarquer, Empereur et Empire sont deux notions très dissociables même si, en théorie, vous avez raison, il ne peut y avoir l'un sans l'autre. Le problème de l'Empereur, c'est qu'il est héréditaire, et ceci est une aberration. On ne peut pas dire que l'Empereur incarne l'Empire, parce que l'Empereur n'est pas élu. Bref. Ceci n'est que mon opinion, assez peu tolérée par mes concitoyens et ouailles. Aussi vais-je me taire.

Quant à vous, seigneur Varatorn, j'ai entendu parler de vous, et je vous conseille de ne pas proférer de paroles comme celles que vous venez de cracher si vous ne voulez pas vous retrouver dans les pires cellules qui existent. Seigneur ou non, un violeur, un assassin ou un bourreau est un criminel. Et il n'est pas bon d'afficher ses crimes. Pour vous comme pour les autres. Quels que soient vos buts, vous n'êtes pas ici chez vous, et si vous menacez les citoyens de l'Empire, messire Lammarant, à mes côtés, se fera une joie de vous arrêter et de vous conduire devant le Tribunal, qui a, je crois, déjà eu vent de vos exactions diverses, par le passé. En bref, si vous ne pouvez vous taire ou mugir autre chose que des insultes, vous pouvez partir et nous laissez priez en paix pour les défunts.

Et maintenant, si quelqu'un pouvait me guider jusqu'aux morts, qu'ils puissent être en harmonie avec l'Equilibre, je lui en serais redevable.

descriptionVol à la corporation des combattants EmptyRe: Vol à la corporation des combattants

more_horiz
Les jumelles riaient aux éclats suite à la réponse de Varatorn, le pauvre petit soldat qui a été empêché de faire joujou avec sa petite torche par des êtres plus intelligents que lui. Trouvant ridicule les allégations du soldat frustré, elle ne prirent même pas le temps de répondre à celui-ci, outre une merveilleuse gestuelle synchronisée de la main pour exprimer à l'individu devant eux qu'elles ne voulaient plus l'entendre parler. Portant attentions aux autres personnes, Nunä & Mäelle écoutèrent toutes les conversations autours d'elles, tâchant de savoir qui étaient ceux devant elles afin de ne pas porter atteinte à quelconque personne plus gradé. Rapidement, les deux filles comprirent les fonctions de chacun et ne s'interposèrent pas dans aucun discours même si ce n'était pas l'envie qui manquait de placer quelques coup bas, en réaction de certains propos.

Et maintenant, si quelqu'un pouvait me guider jusqu'aux morts, qu'ils puissent être en harmonie avec l'Equilibre, je lui en serais redevable.

Si vous le permettez Pontife,
Nous considérons en être capable.

Chacune des jumelles prit une main du géant afin de guider celui-ci parmi les débris fumant, jusqu'à l'endroit où les soldats encore en état avec accumulé les corps des défunts, couché l'un à côté de l'autre, en rang serré.


Vous y voici
Ils sont couché devant vous.
Le regard vers le ciel
Ils reposeront sous peu en paix.

Les deux guerrières fermèrent les yeux, priant Folaniss en silence pour qu'elle guide ces hommes et femmes vers le repos. Tout autant de gens qui aurait été des compagnons d'armes dès que Nunä & Mäelle auront pu rencontrer le responsable du corpus pour s'y inscrire. Certes les lieux étaient partiellement ravagés mais la conviction et le dévouement pouvait venir à bout de tout, reconstruire serait vite fait.

descriptionVol à la corporation des combattants EmptyRe: Vol à la corporation des combattants

more_horiz
Ater n'eut aucun mal à se rendre aux ruines de la corporation des combattants même si il y avait beaucoup de monde, sa grande stature et son air ténébreux lui faisait fendre la foule et il avait toujours un chemin dégagé devant lui. Arrivé sur place il réussit à apprendre qu'un homme avait volé une cuirasse et une épée de très grande valeur et qu'après il avait mis le feu en partant, tout en tuant tout ceux qui étaient sur son passage. De plus cette personne connaissait très bien les lieux ainsi que les passages souterrains et qu'elle était très bien entrainée.
Toujours en cherchant d'autres informations pour son rapport, il vit un grand nombre de personnes se diriger vers le même endroit. Il les suivit donc et tomba sur plusieurs hautes personnalités de l'Empire ainsi que quelques personnes qu'il ne connaissait pas. Le débat avait l'air tendu et il ne si risqua point, car lui-même ne savait pas ce qui était le mieux, un tyran qui dirigeait l'Empire d'une main de fer, ou un héros qui ne faisait plus rien et qu'on ne voyait jamais et qui déléguait ses pouvoirs à des personnes qui commençait à constituer une oligarchie qui ne s'entendait pas et qui se battait pour le pouvoir.
Mais quand le pontife demanda à voir les morts pour qu'ils reposent en paix il prit la parole, sa sombre voix résonnant dans son heaume:
-Excusez moi pontife, mais étant paladin de du dieu de la mort, je me vois dans l'obligation de vous accompagner pour qu'ils rejoignent le monde des morts et accomplissent leur dernière mission auprès de Nucter.
Ceci dit il suivit le pontife guidé par deux jumelles elfes, très jolies, mais à l'air particulièrement menaçant. Une fois arrivée devant les corps il enleva son heaume et entonna une prière à mi-voix, il n'appréciait guère le monde qu'il y avait autour des défunts, et par expérience les disciples de Nucter était rarement bien considéré.
-Par la grâce de Nucter, vous qui êtes mort courageusement pour défendre votre corpus, suivez ma voix, suivez mon esprit, suivez l'appel de Nucter, Le dieu de la mort vous guidera dans son monde. Pour votre dernière mission, dans un monde meilleur, avant l'éternel repos parmi les votre, parmi vos ancêtre et nos compatriotes.
Puis il se tut, fermant les yeux et répéta cette prière dans son esprit.

descriptionVol à la corporation des combattants EmptyRe: Vol à la corporation des combattants

more_horiz
En réalité le Seigneur Varatorn n’avait point évolué et était resté le même.
Je m’approchai de lui afin que les choses soient claires. Il y avait un attroupement de personnes, et chacune se montraient hostile à Varatorn le prétentieux.

Vous ne m’aimez pas et ça c’est le cadet de mes soucis.
Mais avant de parler, il serait intéressant de connaitre en profondeur la géopolitique de Kalamaï et d’Outre-Mer avant d’ouvrir votre bouche.
De plus la prochaine fois que vous tenez de pareil parole envers une dame je vous couds la bouche afin que celle-ci ne débite plus autant d’absurdité !
Maintenant je vous conseille de vous éloignez avant que je vous fasse conduire à Occian Perlat afin d’y être jugé.

Et je vous préviens n’essayez pas d’user de la force vous n’en avez pas les capacités et vous êtes en nombre nettement inférieur.

Et pour vous répondre Seigneur Aedric, vous êtes libre d’agir contre ce rustre.
Mais je vous conseille de rester courtois envers vos semblables. N’oubliez pas que nous agissons pour les citoyens et le peuple. En tout les cas c’est pour eux que j’oriente mes actions.

Sur le point contre Varatorn, Aedric faisait exceptionnellement preuve de discernement et d’intelligence.
Me tournant vers Aquilodon


Mais faites donc votre devoir mon brave. Et puisse Nucter les accueillir en paix.

descriptionVol à la corporation des combattants EmptyRe: Vol à la corporation des combattants

more_horiz
Je ne fut pas surprit de voir que comme auparavant les pauvres âmes perdu suives l'idée aveugle du misérable Magistrat Adola, après avoir écouter attentivement les reproches de chacun je fit quelque pas en arrière, puit pointant du doight l'elfe Irkos et lui dit d'un air menaçant en lui jetant un regard noir :

<< Nous en avons pas terminer et nous nous reverons croyait moi. >>

Puit je me retourna et prit la direction des chambres afin d'y poser mes affaires et commençais ces investigations au sein de la corporation des combattants.
Une fois mes affaires ranger et que la personne a qui j'avait confier ma monture, me rendire compte que celle-ci était bien au écurie, je partit au bureau du commandant afin de récolter des indices, une fois arrivée sur les lieux deux garde gardé l'entré du bureau, en me voyant a leur niveau il me laissère l'accès au lieu.
L'endrois etait couvers de poussière, des papiers trainer sur le bureau peu de chose on était bouger mes on voyait visiblement que le voleur connaiser les lieux et qu'il n'a chercher a rien volé d'autre que ces deux objets ayant visiblement disparu, une cuirrase décorer de trés bonne facture, ainsi qu'une lame, et je me souvient de cette fameuse lame c'est avec elle que sont ancien propriétaire me menaça il a cela 3 ans sur les marche du Sénat impérial qui d’ailleurs n'ai qu'un spectacle de poupée de chiffon pour faire croire au seigneur qu'il on un importance dans la vie politique évidement il en et rien,une preuve de plus du despotisme du misérable Fardall.
Je m'approcha de la fenêtre brisé et me pencha apparament ces par ici que l'individu c'est enfuit, un homme ce serai briser les os a sauter d'aussi haut, sa ne peut pas être un elfe, ni un géant il aurai pas pue passer par la fenêtre, un garde rapporta que l'une des victimes a était mordu, ce qui signifie que le voleur était forcément un Vampire mais le mystère restait entier, je resta la prêt de la fenêtre essayant de comprendre et de savoir pourquoi on aurai voulut volé c'est deux ancienne relique d'un autre temps.

descriptionVol à la corporation des combattants EmptyRe: Vol à la corporation des combattants

more_horiz
privacy_tip Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum