Un paladin se détacha de l'assemblée en se levant. Il salua les personnes présentes tout en rejoignant l'estrade, le discours de Sirias étant terminé.

Quelle ne fut pas ma surprise alors qu'un messager m'apprit que j'avais été choisi par mes pairs, pour accompagner la destinée de cette guilde, en tant que bras-droit du commandant !
N'ayant pas le droit de me présenter au poste de Commandant, ne pouvant le cumuler avec le mandat de palatin, c'est avec regret que je n'ai pu participer à la vie active de cette caserne. C'est donc, aujourd'hui, avec joie que je me présente face à vous !
Encore une fois, merci de me laisser cette chance ; j'espère ne pas vous décevoir.

Respectueusement, Shavo salua la foule de combattants présents avant de vite rejoindre sa place.

Une fois monté sur l'estrade, le drow fit deux pas en avant et s'exprima devant les combattants de la guilde présents...

Me présenter ? Mais qui ne me connait pas ? Bon... Je me présente tout de meme. Je vais etre bref...
Je me nomme Baplens, Patriarche de Lensak, puissant royaume de Mésolongion.
Comme vous le savez certainement, je suis le chef de la plus grande organisation Mésolongionenne,La Cohorte Abyssale.
Suite à l'abscence de Shavo, le role de second m'a été attribué. J'espere que vous n'y verez aucuns inconvéniants.
Il se retourna vers Elya et lui dit...
Jurer allégeance et services ? J'ai déjà fait l'effort de le faire une fois, je ne le ferai donc pas une seconde fois.
Puis vers les combattants...
Si vous avez des questions, c'est le moment.

La Chancelière de Kondalie n'avait pas l'habitude à une telle cérémonie. Elle qui était confinée à recevoir les hauts invités et diplomates au Palais Seigneuriale de Kondall. Tout en douceur, elle reprit.

- Bien, Baplens. Par Évalia, notre impératrice et par Sirias, notre chef, je vous déclare Commandant Second au titre d'Officier Second Baplens.

Un garde guildien arriva vers l'officier pour lui remettre le badge. Puis la chancelière reprit.

- Vous êtes maintenant convié à vous rendre à vos bureaux pour réaliser des tâches internes, du moins pour l'instant. Vous serez en charge des lieux jusqu'au retour du seigneur Sirias. À son arrivé, votre poste prendra forme.

La cérémonie s’avait terminé il y avait déjà plusieurs heures quand un garde vint au bureau de la dame.

- Madame la chancelière, puis-je entré.

- Faites dont.

- Madame la chancelière, le seigneur Baplens se dit ne pas être à son aise dans sa suite. Un problème de lumière je crois...

Dame Elya s'en fût étonnée.

- Je n'ai pas de solutions pour ce cher. Il devra s'y habituer, je le pense bien. Proposez-lui en échange de faire un tour à la Salle du Trône, il pourrait y postuler pour la prochaine mission*.

[HRP: *Quête de la guilde des combattants. Voir message à la salle du trône.]

Un intendant de l'Empire, impartial, chargé de donner le nom du nouveau chef de la corporation, se présenta dans la salle. Il se mit sur une estrade et pris la parole:

- Chers membres de la corporation des Combattants, je suis en ce lieu afin de nommer le nouveau chef de cette magnifique corporation. Le Seigneur Ardent ayant une majorité des votes, ce poste lui revient donc de droit. Ce dernier est donc élu le nouveau Commandant de la corporation des Combattants.

Messire le Commandant, veuillez avancer et prendre la parole.
L'intendant se retira et laissa le nouveau Commandant prendre la parole.

Ardent arriva un peu en retard, une foule ayant bloqué sa progression au milieu de la ville impériale. Il entra en trombe dans une antichambre qui lui donnait un peu d'intimité pour qu'il puisse se préparer un peu. Il jeta un coup d'oeil par l'entrebâillement de la porte où personne ne s'attendait à sa présence.

Il y avait anormalement trop de gens dans la corporation. Ardent n'avait jamais vu la corporation remplie depuis son entrée, et cela l'intimidait un peu. Gill, son écuyer, regardait si son armure était bien ajustée et lui adressa une petite blague que seuls eux comprenaient. Retrouvant son sérieux, il se lança à l'assaut de la foule qui se sépara au fur et à mesure qu'il avançait.

Il n'avait pas mis ses plus beaux atours. Il portait son armure outremerse, une main sur la poignée de son sabre et l'autre qui soutenait son casque aux couleurs de Montfort, couleurs qui s'ajustaient très bien à l'armure d'ailleurs. Son écuyer le suivait de près, sa lance transformée en étendard pour l'occasion. Une fois qu'il eut prit place devant tous, il commença son discours.

Mes frères et soeurs combattants et combattantes. Vous êtes ici pour mon investiture comme chef de votre corporation. Ce poste demande beaucoup de travail, mais j’essaierais de rendre la corporation plus florissante que jamais.

Je suis conscient que nous allons devoir nous battre entre nous, pour des allégeances ou bien pour des missions, mais nous nous devons respects entre nous. Bien des combats et batailles vont éclater en Kalamaï, mais par tous les dieux, montrez ce que vaut un combattant! Nous nous devons de montrer à tous que notre corporation se tient, et que nous sommes les pierres angulaires de toutes les batailles de notre monde.

Je sais aussi que nombre d'entre vous ne sont pas d'accord avec le couronnement de l'empereur Phoenix, mais nous ne sommes pas ici pour parler politiques, idéaux ou philosophies, mais ici, dans cette corporation, pour nous battre pour ceux-ci.

La violence nous anime, servons nous en! La guerre fait battre nos coeurs, qu'ils battent comme ils n'ont jamais battus! Nous brûlons de courage et d’honneur, utilisons les comme il le faut, en nous battant! Par Sorenssen et tous vos dieux, montrons à tous ce que nous valons!

Mais vous êtes intelligents. Le fait que nous vivons pour le combat ne veut pas dire que nous ferons que nous battre. Il existe d’autres choses, et utilisez votre jugement. Ne vous battez que si il ne vous reste aucun autre choix. Nous ne sommes plus dans une époque guerrière, donc faites attention pour que vos erreurs ne détruisent pas la vie de milliers d’êtres vivants.

Pour l’instant, reposez vous, car on demandera beaucoup de vous dès demain.

Il se dressa de tout son long, attendant une reaction de la foule.

Sur ces parole les Hommes de Varatorn qui etait présent dans les locaux de la corporation ce dirigère tous autour de Ardent.

Il hurlère tous leurs mecontentement a partir des paroles ou il mensionna Fardall et tous en coeur il crier '' A Bas le traitre '' ou '' Mort au loyaliste ''.
La tension monté progréssivement et on ce dirigé vers un conflit interne mais arriva le Capitain en charge des 2000 hommes en garnisons.

Il s'approche vers Ardent et dit :

Commandant Ardent cette soif nous anime tous mais aucun d'entre nous ne moura pour Fardall si tu nous conduit suis sa banière nous refuserons le combat, mais si tu nous fait combatre pour notre honneur, notre rage et la justice en notre Royaume nous te suivrons ou que tu aille.

Si te prété Allégence, nous oblige pas a prété allègence a Fardall ou a nous battre pour lui.
Nous preterons allégence.

Le Capitaine cria :

SOLDAT QUI SERVAIT VOUS !

En coeur il repondire :

VARATORN

Le Capitaine cria :

POUR QUI ETES VOUS PRET A MOURIR ?

les Soldats repondire en coeur :

POUR VARATORN, LE PEUPLE DE VENOPOLE ET CES ALLIER.

le Capitaine regarda Ardent et dit :

Seigneur Ardent le Seigneur Varatorn ne vous porte pas dans son coeur mais il accepte que vous soyer sont supérieur hiérchique au sein de la corporation et uniquement au sein de la corporation si toute foit vous nous obliger pas a nous battre pour le traitre.

Ardent ne fut pas du moins impressionné. Au contraire, au même moment la compagnie Ardente se mit autour de lui, armés de leurs lances, ce qui rendit leur tentative d'intimidation inutile.

Qui a parlé de Fardall?? Qu'il s'occupe de ce qu'il doit faire, je m'occuperait de la Corporation. Vous faites justement ce que je déteste. Ici, je ne suis pas plus fidèle à Fardall que vous. Ici, tout ce que je sais c'est que vous essayez encore une seule fois de désobéir aux ordres d'un supérieur, vous allez mourrir de la manière la plus désohorante que possible, est-ce clair?

Je suis le supérieur à votre chef, et lui même devra m'obéir à son temps. Vous ne faites pas honneur à votre rang, capitaine, d'inciter vos hommes a un tel manque de discipline. Si je ne serait pas clément, parce que c'est mon premier jour, vos têtes se retrouveraient maintenant sur des piques. Car ici, meme si votre nombre est supérieur pour l'instant, vous ne vallez rien car des milliers de gardes impériaux accoureraient à mon signal.

Donc si je serait vous, je me tiendrait calme et j'irais faire un rapport à votre maitre, qui ne semble pas s'interresser de qui sera dorénavant son supérieur.

Le capitaine regardé autour de lui.

Le Capitaine ordonna a ces soldat de rangé leurs arme et de ce taire.

Le Capitaine regarda Ardent et dit :

Je ne veut point me battre mon Maitre va bientot venir ici il et retenue au Sénat.
Je ne croit pas que vous etes stupide et moi non plus aucun de nous deux tira si vous tiré vous mourai et par la meme occassion nous aussi mais cette foit-ci sa sera vous le coupable pas nous mes homme on ranger leurs arme et n'exprime plus aucun mécontentement mais je tien a dire qu'il ne faut pas croire mon Maitre aussi docile que nous autre ces serviteur ainsi que les protecteur de la Paix et de la Justice en Vénopole.

Le Capitaine regarda ces troupes et dit :

Bien nous allons regagnier nos Baraquement dans le calme je reste ici Seigneur Ardent et 500 homme egalement qui comme a leur habitude patrouillerons autour du périmètre de la corporation.

Le Capitaine Regarda Ardent et dit :

Bien alors maintenant que fait ton on ce jète a la gorge ou vos hommes ce disperce ?

Ardent fit un petit signe à ses hommes qui le regardait impatiamment. pour eux, mourrir pour leur seigneur n'était rien, car il avait changé leur vies et ils avaient un serment à tenir. Pour eux, Sorenssen leur apparaitrait si ils avaient réussi à tenir leur serment

Vous n'êtes que capitaine mais vous vous prenez pour un général. Ici, c'est moi qui commande. Au moindre de mes désirs, vous mourrez et personne n'entendra parler de vous. Vous pensez me faire peur? Leur faire peur? Nous avons vu pire. J'ai tout le loisir de vous tuer, le pire est que vous ne vous en rendrez même pas compte. Partez immédiatement ou vous connaitrez les douleurs de l'abime. Et puis, pour mes hommes, ils ne sont pas endoctrinés comme vous, ils ne font ce qu'ils veullent, et ils peuvent quitter leur compagnie à leur aise.

Vous direz au combattant Varatorn de venir dans mon bureau lorsqu'il reviendra mais qu'il cogne avant d'enter. Si quelqu'un à quelque chose à me dire, qu'il m'y rejoigne, avec la même condition que Varatorn, est-ce clair?? .