Ulthuran observa silencieusement l'arrivée des célestiaux. Un allier de plus pour cette bataille qui allait probablement amener sa fin, une fin qui lui permettrait de récupérer l'honneur de sa famille qui avait été salie quelques années plutôt qu'il remettrait ensuite à son fils.
Il s'avança lorsque Fardall le présenta mais s'éloigna ensuite de la foule. Ce n'était pas qu'il craignait ou détestait les célestiaux. C'était plutôt que sa race était mal vu par celle-ci.
Puis, un célestial vient vers lui pour lui remettre une lettre. Cette lettre portait l’emblème de Saphery, le temple où était Eataine ainsi que son fils. Il se dirigea donc vers les remparts pour la lire.
Cette lettre lui annonça que son fils allait être très bientôt nommé prêtre-guerrier et qu’après sa nomination, il devra quitter le temple pour se trouver un foyer. Ulthuran devait donc choisir à qui il remettra son fils. Tous les seigneurs présents étaient des êtres de choix, des êtres exceptionnelle mais l’un d’eux avait retenu son attention et semblait être un être pur et s’était à lui qu’il allait le demander, et il le ferait maintenant.
Il redescendit donc vers la grande place où se tenait le conseil et l’approcha.
-Sir Fardall, pourriez-vous venir avec moi, j’aurai une demande à vous faire.
Il s'avança lorsque Fardall le présenta mais s'éloigna ensuite de la foule. Ce n'était pas qu'il craignait ou détestait les célestiaux. C'était plutôt que sa race était mal vu par celle-ci.
Puis, un célestial vient vers lui pour lui remettre une lettre. Cette lettre portait l’emblème de Saphery, le temple où était Eataine ainsi que son fils. Il se dirigea donc vers les remparts pour la lire.
Cette lettre lui annonça que son fils allait être très bientôt nommé prêtre-guerrier et qu’après sa nomination, il devra quitter le temple pour se trouver un foyer. Ulthuran devait donc choisir à qui il remettra son fils. Tous les seigneurs présents étaient des êtres de choix, des êtres exceptionnelle mais l’un d’eux avait retenu son attention et semblait être un être pur et s’était à lui qu’il allait le demander, et il le ferait maintenant.
Il redescendit donc vers la grande place où se tenait le conseil et l’approcha.
-Sir Fardall, pourriez-vous venir avec moi, j’aurai une demande à vous faire.